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De l’espoir en perspective pour les personnes en quête du Graal en matière d’emploi sur notre territoire. Le dernier baromètre relatif aux besoins en main d’œuvre dans les entreprises du département le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté se révèle être franchement positif. Fruit de Pôle Emploi, cette livraison sociologique se veut plutôt rassurante pour les mois à venir…

 

AUXERRE : Estimation prévue : + 4 % de hausse sur le seul territoire de l’Yonne. Malgré la sinistre année 2020, synonyme de recrudescence de la pandémie de la COVID-19, la reprise du nombre de recrutements dans les entreprises de notre territoire s’oriente vers l’optimisme pour les personnes en quête d’emploi. Le rapport annuel conçu par Pôle Emploi et réalisé avec le concours du CREDOC est en ce sens très révélateur d’une certaine amélioration de l’employabilité.

L’Yonne représente plus d’un projet de recrutement sur dix de la région, avec à la clé l’éventualité de 10 160 embauches en 2021 contre 9 750 seulement en 2019. 2020 n’entrant pas en ligne de compte pour la comparaison des données chiffrées, suite au triste épisode épidémiologique que l’on a connu.

La nouvelle se révèle être très intéressante. Car, malgré les affres récurrentes du coronavirus, les intentions de recrutement repartent de plus belle, démontrant ainsi les prémices d’une reprise de la part des entreprises.

Au plan sectoriel, Auxerre se taille la part du lion, avec 5 330 projets à venir, soit 52 % du volume d’embauches de l’Yonne ! Puis viennent dans l’ordre les bassins de Sens (2 240 projets), Joigny (1 350 projets) et Avallon (1 240 projets).

53 % des intentions d’embauches concernent des emplois durables. C’est-à-dire ceux essentiellement liés à des remplacements initiés à la suite des départs définitifs de salariés pour 42 % des cas.

A contrario, l’apparition de nouvelles activités permet de créer 28 % de postes supplémentaires. Quant au surcroît de travail généré dans les entreprises, il explique à lui seul une progression de 23 % de ces embauches futures.

 

 

Certains domaines professionnels peuvent engendrer des difficultés…

 

La typologie sectorielle de ces projets de recrutement se rapporte pour le plus grand nombre au secteur de l’agriculture. 1 816 d’entre eux pourraient ainsi voir le jour cette année du fait de l’importante activité saisonnière.

Toutefois, le commerce (1 530) et l’industrie manufacturière (956) demeurent les principaux recruteurs au niveau de notre territoire départemental devant le bâtiment (539). In fine, les métiers des services rassemblent plus de la moitié des intentions d’embauche.

Du côté des difficultés à recruter, les entrepreneurs jugent délicat de pouvoir embaucher avec aisance des profils spécifiques comme ceux des ouvriers non-qualifiés dans le secteur du papier/carton et du bois ainsi que ceux de type artisanal. Cependant, il est à noter que la part de ces projets jugés difficiles à concrétiser enregistre une baisse substantielle, passant de 54 % en 2019 à 53 % en 2021.

Il est à noter qu’une catégorie professionnelle présente de réelles difficultés de recrutement selon les employeurs : celui d’ouvrier non qualifié divers de type artisanal. Une denrée suffisamment rare, visiblement, qui fasse que ce domaine soit incorporé au top dix en Bourgogne Franche-Comté.

Enfin, petit focus sur l’année 2020, pour conclure. 31 % des établissements professionnels ont cherché à renforcer leurs effectifs de collaborateurs dont les trois quarts ont recruté autant que prévu et un sur dix a embauché plus que prévu.

Signalons, néanmoins, qu’un peu moins de 10 % des sociétés de la région ont finalement renoncé à leur recrutement. La crise sanitaire étant passée par là. C’est d’ailleurs ce que considère un employeur sur trois au terme de cette année quasi blanche pour l’emploi.

 

Thierry BRET

 


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Aujourd’hui, le pays entame la seconde phase du déconfinement, avec notamment l’allégement d’un certain nombre de restrictions parmi lesquelles : le couvre-feu décalé à 21 h, les terrasses des bars et restaurants accessibles à 50 % de leur capacité, la réouverture des musées et cinémas ou encore, la reprise sous conditions, de certaines activités sportives. Un assouplissement sous surveillance et progressif rappelle le préfet de l’Yonne Henri PREVOST, qui dans un nouvel arrêté, en a fixé les modalités opérationnelles.

 

AUXERRE : Nul doute que le 19 mai au matin, nombreux seront les cafetiers et restaurateurs icaunais à scruter le ciel, avec l’espoir que la pluie ne vienne gâcher la fête et doucher leurs attentes.

L’impatience à rouvrir était palpable ce mardi après-midi dans les rues d’Auxerre, où l’on se préparait activement, éponge et mètre à la main pour certains, à rendre accessibles des terrasses, en mal de clients depuis la fermeture effective des établissements le 29 octobre dernier. La vie sociale va reprendre un peu de couleurs mais pour autant, les règles et les gestes barrières perdureront, souligne l’autorité préfectorale : « ce qui caractérise cette sortie des mesures restrictives, c’est la progressivité et il est important de la respecter si l’on veut éviter de perdre tout ce que nous avons gravi grâce aux restrictions que l’on a tous dû supporter pendant plusieurs mois ».

A commencer par le port du masque dont l’usage demeure, dans les zones à forte concentration humaine comme les marchés ou les centres villes à Auxerre, Sens, Avallon, Joigny, Tonnerre, Migennes, Saint-Florentin, mais aussi Noyers-sur-Serein, du fait de l’affluence touristique. A Auxerre, le périmètre reprendra celui de l’hiver dernier, délimité par les boulevards ceinturant le centre historique, ainsi que le secteur du parc de l’Arbre Sec.

 

Des manifestations culturelles probables mais sous certaines conditions…

 

Si les terrasses des bars et restaurants peuvent rouvrir, ce ne sera pas sans un protocole sanitaire strict : tables de six convives maximum, une capacité d’accueil réduite de moitié et obligation de consommer assis. Des contrôles seront effectués prévient le préfet et tout attroupement sera interdit, de même que la consommation d’alcool sur la voie publique. La  Fête de la musique du 21 juin prochain sera autorisée, précise Henri PREVOST, mais « un travail sera mené en lien avec les collectivités, pour établir de nouvelles mesures sans prise de risques excessive ». Autre rendez-vous attendu en ce début de l’été : le festival CATALPA à Auxerre. Un évènement d’envergure qui avait accueilli 39 000 personnes en 2019 et dont l’accès pourrait cette année être conditionné à la mise en place d’un pass sanitaire. Les stades vont rouvrir leurs portes aux supporters, mais la jauge ne devra pas dépasser le millier de personnes ou 35 % de leur capacité d’accueil.

En ce qui concerne le sport amateur, il faudra patienter jusqu’au 09 juin, pour voir autorisée la reprise des matchs de football ou de rugby. Les activités sportives de plein air et sans contact pourront pour leur part reprendre dès ce mercredi, mais limitées à dix personnes.

 

 

Une baisse notable de la présence virale observée depuis deux semaines…

 

Sur le front sanitaire, 31,6 % de la population icaunaise ont pu bénéficier d’une première injection vaccinale et ils sont 16 % à avoir reçu les deux doses ou considérées comme définitivement vaccinés.

Pour autant, l’on est encore loin de la cible de 90 %, synonyme d’immunité collective et les centres de vaccination se multiplient. Pas moins de 19 sites sur l’ensemble du département fonctionnent dont une quinzaine chaque semaine, en capacité de proposer des injections Pfizer et Moderna. Au niveau du taux d’incidence, la barre est redescendue à 138 pour 100K habitants. Une baisse notable alors qu’il y a deux semaines, elle était encore à 300 souligne Eve ROBERT, déléguée départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) : « pour autant, cela reste à un niveau qui n’est pas rassurant, loin de ce que l’on a pu connaître l’été dernier. Je rappelle que le seuil d’alerte épidémiologique est de 50 pour 100 000 habitants ».

Si le nombre d’hospitalisations diminue, avec 183 personnes comptabilisées cette semaine contre 250 fin avril, 17 d’entre elles sont toujours en service réanimation. Des chiffres qui ont conduit le Centre hospitalier de Sens à réclamer l’appui de la réserve sanitaire, face au taux d’absentéisme engendré par la fatigue grandissante des équipes de terrain, sur le pont depuis plus d’un an : « si les signes optimistes sont encourageants, il ne faudrait surtout pas laisser croire que les difficultés sont toutes et définitivement derrière nous… ».

 

Dominique BERNERD

 


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La structure fait partie des huit abattoirs de Bourgogne Franche-Comté retenus dans le cadre du Plan France Relance. Elle va bénéficier à ce titre d’une enveloppe de 1,355 million d’euros. Une aide bienvenue qui contribuera à accélérer les investissements menés par l’entreprise pour le développement de son activité. Que ce soit en termes d’amélioration des conditions de travail, de protection animale ou d’amélioration des conditions sanitaires…

MIGENNES : Créée il y a 65 ans dans la localité du Centre Yonne, et depuis, étroitement liée à l’histoire de la cité cheminote, la SICAVYL a changé de dimension en 2017 de par sa fusion-absorption avec le groupe SICAREV. Aujourd’hui spécialisé dans l’abattage, la découpe et le désossage de bovins et ovins, le site emploie 340 salariés dont 300 en CDI.

Après celui de TRADIVAL LAPALISSE, il est le second site du groupe à bénéficier d’un soutien de 1,355 million d’euros dans le cadre du plan France Relance de modernisation des abattoirs. Un « coup de pouce bienvenu qui va nous permettre d’enclencher les investissements de manière simultanée » confiait Sylvain PRUDON, directeur de la filière viande du groupe SICAREV, lors de la visite effectuée sur les lieux par le préfet de l’Yonne Henri PREVOST.  

 

 

 

Améliorer la protection animale via la vidéosurveillance : une priorité…

 

C’est au total plus de 8,4 millions d’euros d’investissements que le groupe va engager à Migennes d’ici 2023. Une stratégie portant pour 3,4 M€, sur la modernisation de l’outil et du process, dont plus de 2,2 M€ pour le volet développement et compétitivité.

Concernée également : l’amélioration de la protection animale au travers du renforcement de la vidéosurveillance. Pas question pour autant de filmer l’abattage des animaux souligne Sylvain PRUDON : « cela ne serait pas acceptable pour les opérateurs procédant à la mise à mort de les filmer en permanence alors qu’ils sont formés et contrôlés. Par contre, tout ce qui est réception, manutention des animaux, transport, le sera ».

Les salariés, pour leur part, verront leur travail facilité, notamment par la mise en place d’un système de convoyage automatisé à l’atelier désossage. Autre chantier prévu s’achever d’ici la fin de l’année : la modification des installations frigorifiques pour une enveloppe globale de plus de 1,8 M€. Avec l’objectif de réduire de 20 % la consommation d’énergie thermique et électrique du site. 

 

 

 

 

Un troisième volet d’investissements est en cours, avec le démarrage dès novembre prochain, d’un atelier de fabrication de steaks hachés. Un projet à 3,2 millions d’euros qui valorisera sur place une partie des bovins abattus, avec à la clé de 20 à 25 créations de postes, pour un volume annuel de 2 500 tonnes à l’horizon 2023. Le marché est porteur et les chiffres encourageants, la SICAREV ayant enregistré l’an passé une hausse de 15 à 20 % de la demande en viande hachée.

Autant de signes prometteurs qui font de Migennes un outil stratégique pour le groupe, explique Sylvain PRUDON : « c’est un site sur qui, du fait de sa proximité avec les bassins de consommations et les lieux de production, repose d’énormes ambitions. Par ailleurs, Migennes est l’un des six sites industriels français agréés pour exporter de la viande bovine en Chine. On se tient prêts si la conjoncture nous est favorable ».

Des projets en ce sens avaient été engagés début 2020, mais un certain virus est passé par là !  

 

 

En savoir plus :

De 2 000 à 3 000 ovins sont abattus chaque semaine sur le site de Migennes.

Les bovins abattus à Migennes sont issus à 70 % de la race charolaise

Les exosquelettes installés à l’atelier de découpe dans le cadre du plan de modernisation contribuent à faciliter le travail des opérateurs.

 

Dominique BERNERD

 


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On peut être titulaire d’une licence de biochimie et diplômé d’une école de commerce pour prétendre assurer un jour le leadership managérial d’un établissement bancaire coopératif de renom. A l’instar de la Caisse d’Epargne de Bourgogne Franche-Comté et ce, depuis le 01er mai. A 56 ans, le successeur de Jean-Pierre DERAMECOURT s’installe dans le fauteuil présidentiel. Avec l’objectif de poursuivre les missions régaliennes de l’entité : être un acteur majeur au service du développement et de l’économie…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il a su gagner la confiance du COS, le Conseil d’Orientation et de Surveillance de l’établissement financier. Rien d’étonnant à cela, à la lecture du pedigree.

Depuis 1994, le nouveau responsable de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté évolue dans le milieu bancaire et de la finance. Lui, le détenteur d’une licence de biochimie !

Ses premières armes, il les pratique avec dextérité au sein de la Banque de Financement et de Trésorerie. Puis, il renforcera ses compétences chez la « cousine » mutualiste, la Banque Populaire Val-de-France. Avant de rejoindre la Lorraine où en 2003, il assurera la fonction de directeur financier de la Caisse d’Epargne régionale.

Qu’ils sont déjà loin les débuts prometteurs de ce personnage au sein du cabinet de commissariat aux comptes chez MAZARS ! Le dirigeant gagne de nouveaux galons en 2008, devenant membre du directoire en charge des finances et de l’activité commerciale de la banque du développement régional de la Caisse d’Epargne Loire-Drôme-Ardèche.

Quatre années plus tard, Jérôme BALLET quitte le sillon rhodanien pour se rendre dans la capitale des Gaules à Lyon où il intègre le directoire de la Caisse d’Epargne Rhône Alpes.

Là, il peaufine ses acquis. Au sein de la cellule de pilotage de l’établissement, il s’occupe des finances, de l’exploitation bancaire mais également de l’immobilier. Une transversalité qui lui sied comme un gant !

 

Mobiliser l’établissement pour la relance économique du territoire…

 

On connaît la suite. Une nouvelle page de ce chapitre professionnel vient de s’ouvrir pour Jérôme BALLET convié à se rendre en Bourgogne Franche-Comté pour y succéder à Jean-Pierre DERAMECOURT. Ce dernier a fait valoir ses droits à la retraite après une longue période de présidence de près d’une décennie.

Aux côtés des autres personnalités du directoire, Philippe BOURSIN, du pôle finances, Isabelle BROUTE, à la tête du pôle banque du développement régional, Fabien CHAUVE, en charge du pôle ressources et Cédric MIGNON, gestionnaire du pôle banque de détail, le président du directoire, nouvellement installé, aura à cœur de continuer le travail entamé par son prédécesseur.

Soit la mobilisation sans retenue de la Caisse d’Epargne au plus près de son cœur de cible : ce territoire où elle jouera un rôle prépondérant, favorable à la relance de l’activité économique et sociale de notre région.

 

Thierry BRET

 

 


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Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST l’a réaffirmé clair et net lors de l’entretien accordé à la presse à l’issue de la 5ème Conférence départementale de la relance : « l’Etat poursuivra ses initiatives en faveur de la reprise économique et de l’emploi sur notre territoire »…Rassurant.

 

AUXERRE : Une chaîne vertueuse s’est progressivement engagée dans le paysage économique de l’Hexagone. On la doit par un effet gigogne positif en guise de réponse aux conséquences funestes imputables à la pandémie de la COVID-19.

Les investissements, consentis par l’Etat et ses divers organes représentatifs à grands renforts de plans de relance, ont pour but de rendre plus compétitives et environnementales les entreprises qui en sont les bénéficiaires.

Un sacré challenge qui n’a d’autre alternative que la réussite afin d’extraire toutes ces structures entrepreneuriales en proie aux doutes de l’ornière, compte tenu du marasme ambiant.

Lors de sa prise de parole explicative face aux journalistes, au terme de la cinquième conférence départementale consacrée à la relance, le représentant de l’Etat Henri PREVOST a rappelé le désir de la nation de soutenir l’activité économique avec des aides d’urgence.

Une contribution qui se veut conséquente depuis le début de la crise sanitaire puisque s’élevant à 569 millions d’euros apportés à ce jour aux entrepreneurs de l’Yonne sous la forme de prêts garantis par l’Etat, de fonds de solidarité, de report d’échéances fiscales, etc.

 

 

Industrie et agriculture dans le viseur de la préfecture…

 

A titre d’exemple, la filière industrielle départementale a été largement abondée par ces subsides nécessaires à la reprise des activités. Ainsi, plusieurs sociétés, et non des moindres, ont perçu des enveloppes leur permettant de se réarmer structurellement en attendant la sortie de crise.

Cela a été le cas dans le domaine automobile avec la SAS BOUDIN sur le Sénonais, du fabricant de semi-remorques FRUEHAUF à Auxerre ou encore parmi les nouveaux bénéficiaires de l’entreprise LOUAULT à Saint-Fargeau qui voit ainsi ses projets soutenus par la préfecture.

Le secteur agricole n’a pas été oublié de cette manne financière importante. La coopérative 110 Bourgogne a reçu récemment la visite du préfet sur l’un de ses silos à Nitry tandis que la SICAREV installée à Migennes a obtenu également de précieux subsides. Même le secteur des graines et plants se situe dans le viseur préfectoral avec des pépinières ayant reçu 450 000 euros d’aides pour le développement de projets agronomiques. Et cela n’est pas fini…

 

Thierry BRET

 


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