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Villiers-Saint-Benoît ! Deux minutes d'arrêt annonçait ou pas le haut-parleur BOUYER dévolu aux quais ferroviaires autrefois. Il fonctionnait par tous les temps, proche de  cette  antique voie métrique de la ligne Toucy-Montargis, et de son tacot fermé depuis des lustres. La gare, toute proche de l'ancien lavoir,  affiche 168m d'altitude…et là une surprise vous attend.



VILLIERS-SAINT-BENOIT : Bienvenue en Puisaye ! La Corse icaunaise ? C'est ce qui se dit parfois dans le landerneau. Au milieu de ce village de 450 habitants, la façade de l'hôtel-restaurant « La Croix Blanche » se dresse avec une certaine élégance gravée dans la pierre !

Voilà vingt ans, utilisant le train touristique « trans-Poyaudin », nous y étions venus avec mon père, nous y attablant en terrasse. A l'époque, un autre établissement local « Le Relais Saint-Benoît » était même référencé au Michelin.

Oui mais ça....c'était avant ! Et depuis lors, les ronces avaient pris place sur la verdoyante terrasse d'une auberge fermée depuis une dizaine d'années. Courage et détermination furent plus que nécessaires à un couple de concitoyens villageois, Yolaine et Bruno ORTOLE pour la reprise de cette affaire, avant de se lancer dans le grain bain de l'ouverture en décembre dernier. Adieu buissons piquants, peut-on songer en zyeutant la terrasse annonciatrice des beaux jours !

 

 

Une cuisine au parfum bourguignon avec de l’exotisme antillais…


Un cadre lumineux et une réfection au goût du jour, tel est l'agréable lot des convives poussant la porte ! Belle reconversion pour Bruno, le chef, ancien des travaux publics, passé plus récemment par l'excellent CIFA auxerrois !

En semaine, il propose deux formules deux plats à 18 euros,  menu complet à 20 euros. En fin de semaine, pour d'autres mets, comptez dix euros supplémentaires.  
C’est une cuisine au parfum bourguignon, mais pas que ! Puisque les Antilles y sont aussi à l'honneur, de par les origines de nos aubergistes. Tant mieux pour nous, songeais-je alors en m'y attablant récemment. 

 

 

Le plaisir gustatif d’une succulente tarte à l’oignon…


Passées les onctueuses gougères, ce midi-là, il y avait en entrée un jambon persillé maison au bon goût de persil, et une tarte à l'oignon, plat injustement passé de mode peut-être, et pourtant régulière vedette des « winstubs » alsaciens ! J'avais oublié combien c'est bon une tarte à l'oignon !
En plat : la cuisse de poulet sauce antillaise et son méli-mélo de légumes d'hiver (eh oui, c'est de saison !), avec notamment de goûteuses carottes impeccablement cuites ou bien le poisson poché au lait de coco, riz créole. 

Le soleil caribéen n'est jamais trop loin de ces assiettes, et c'est tant mieux ! Et pour terminer une tarte aux pommes ou une salade de fruits maison bien réussie. 

 


Un établissement très fréquenté par la clientèle locale…

La clientèle locale est heureuse de retrouver une table au village : elle joue le jeu et l'on ne peut que l'encourager à continuer ainsi en 2022, en poussant la porte de l'établissement. 

Dans un futur proche, des chambres pourraient compléter l'offre actuelle. Paris ne s'étant pas fait en un jour, il en va de même pour ce village de Puisaye-Forterre dans lequel, petit à petit, l'oiseau fait son nid !

 


En savoir plus :

Les plus : signalons une salle agréable au cadre lumineux ainsi que de spacieuses toilettes très propres.

Les moins : en servant le rhum en digestif à 17 euros le verre, cela nous a paru cher et excessif ! Nous sommes en Puisaye : pas sur les Champs !

 

Contact : La Croix Blanche à Villiers-Saint-Benoît 

1 rue Marie Guillemot 

Tel : 03.86.74.39.42.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

 

Gauthier PAJONA

 

 


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L’excellence est à l’honneur dans l’Yonne. Et prendre part au fameux Concours général agricole ne peut que la conforter. Surtout à partir de produits élaborés avec l’art et la maîtrise de la vinification. C’est le principe de la pré-sélection de crus de nos terroirs par un jury composé d’esthètes en la matière. Deux cent cinquante échantillons ont été passés au crible lors d’une séance gustative matinale. Sous l’œil avisé de Jean-Baptiste THIBAUT, viticulteur lui-même et vice-président de la Chambre départementale d’Agriculture.

 

BEINE : La finale se déroulera le 27 février prochain à Paris. Dans le cadre exceptionnel du Salon international de l’Agriculture, porte de Versailles. L’un des temps forts de cet évènementiel qui nous revient deux ans après sa dernière édition. Entre-temps, la COVID est passée par là !

Alors pour cette épreuve pré-sélective des vins du Chablisien et du Grand Auxerrois, se déroulant dans la salle des fêtes de la petite commune située entre Chablis et Auxerre, Jean-Baptiste THIBAUT n’aurait voulu en aucun cas manquer son lancement officiel. Fait dans les règles sanitaires d’usage. Organisé par les services de la préfecture.

Logique, le Concours général agricole est le fruit d’une initiative portée en 1870 par le ministère de l’Agriculture. C’est donc la seule et unique manifestation de la sorte à incomber à l’organisation de l’Etat.

 

 

Une soixantaine de vins sélectionnés faisant office d’ambassadeurs liquides de l’Yonne…

 

A l’issue de ce rendez-vous d’épicuriens et de professionnels de la chose vineuse savamment triés sur le volet, une soixantaine de crus ont été retenus. Ils seront les ambassadeurs liquides de ce département qui possède de belles pépites et ramène à chaque édition son lot de distinctions et de médailles nationales.

Y figurer pour les viticulteurs est capital. L’évènement séculaire jouit d’une importance phénoménale parmi le sérail des professionnels de la vigne. Un avis que partage Jean-Baptiste THIBAUT.

« La Chambre départementale de l’Agriculture met tout en place pour en favoriser sa réalisation. Etre sélectionné et pouvoir concourir avec ses vins représente énormément de travail pour les viticulteurs. C’est de la reconnaissance à l’état brut ! Cela démontre le plus souvent qu’il y a une continuité dans la qualité de leurs produits. Une médaille se vit comme une véritable plus-value qualitative et permet de différencier les domaines… ».

Le passage obligé pour amener à l’excellence ? Peut-être, tant la motivation des viticulteurs est grande dans les phases préparatoires de ce rendez-vous.

 

 

Le bonus de la récompense se convertit en plus de ventes dans les commerces…

 

Autre aspect intéressant selon Jean-Baptiste THIBAUT : cela permet aux jeunes professionnels de la vigne de se lancer dans le grand bain de l’optimisation du savoir-faire. En plaçant leurs produits sous le feu des projecteurs des médias qui ne loupent pas l’occasion d’en parler.

Naturellement, l’impact est conséquent sur les ventes de ces vins qui sont primés. Se sentant rassurés sur la qualité des produits, les consommateurs sont plus enclins à acheter la bouteille médaillée à l’inverse de celle qui ne l’est pas.  

Parmi les nectars dégustés ce jour, des grands crus, bien sûr mais pas seulement. Les vins blancs comme les vins rouges ont recueilli les suffrages des dégustateurs ainsi que les crémants. Du chablis, of course, mais aussi des côtes d’Auxerre, des vins du Tonnerrois, de la Côte de Joigny ou du Vézelay. Un large éventail de succulences acidulées, sucrées, aux arômes travaillées, à la rondeur en bouche confirmée, à la forte minéralité.

Notons que cette année, le Concours général agricole fait la part belle aux bières artisanales. Vingt-quatre échantillons des brasseurs du cru ont pu être ainsi soumis à la sagacité gustative du jury. De la pure logique face à l’émergence constante des micro-brasseries qui prennent de l’essor dans le paysage. Parmi les autres spécialités pouvant concourir dans la catégorie des produits, ajoutons-y pêle-mêle deux fromages, un miel, une liqueur et même une viande.

 

 

La petite leçon de dégustation de Jean-Baptiste THIBAUT…

 

Quant aux critères retenus servant de base à la future pré-sélection de ces crus, citons de prime abord la limpidité des vins. L’aspect visuel est fondamental tant pour les blancs que pour les rouges. L’observation de la fluidité du contenu dans le verre est un autre élément primordial à prendre en considération.

« Vous remuez le verre tout en délicatesse, ajoute en expert Jean-Baptiste THIBAUT, et là, vous voyez comment il tourne et quels sont les reflets de la robe du vin… ».

D’où l’importance de l’éclairage de la pièce qui accueille ce type de manifestations. A Beine, les cinquante personnes formant le jury y ont vu clair !

« Après, bien sûr, il y a le nez. Alors là, précise le viticulteur, c'est important de savoir si c'est un vin qui est très exubérant ou alors s’il possède davantage de profondeur. Il faut lui laisser le temps de venir. Donc, la température est aussi très importante pour pouvoir laisser sortir et optimiser tous ses arômes... ».

Ensuite, place seulement à la dégustation en faisant travailler un autre sens : le goût.

« C’est l’ultime étape pour savoir s'il y a de la profondeur et de la longueur en bouche. Mais, attention, en fonction des jurés, on n'a pas forcément les mêmes goûts et les mêmes envies ! ».

Toutefois, on peut faire confiance à l’expertise de ces professionnels de la dégustation de la dive bouteille, amateurs et épicuriens aguerris à l’exercice.

Plus on pratique, plus on maîtrise. Une chose est sûre : les vins sélectionnés pour représenter la filière viticole de l’Yonne à Paris le 27 février n’auront pas été choisis par le plus pur des hasards. De plus, comme chacun le sait, il n’existe pas !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Dans l’Yonne, près de 172 700 comptes AMELI ont déjà été ouverts depuis l’origine de ce processus. Astucieux et pratique, il favorise notamment le suivi des remboursements en ligne des assurés sociaux. Ce procédé, les Icaunais l’ont adopté sans trop de problèmes, facilitant ainsi les relations avec l’Assurance Maladie qui sécurise ainsi les échanges d’information.

 

AUXERRE : La Caisse Primaire de l’Assurance Maladie de l’Yonne est satisfaite. Le succès du compte AMELI n’est plus à démontrer depuis l’apparition de ce dispositif numérique, utilisable par tous. Il vise à sécuriser de manière optimale les échanges d’information.

A date, près de 172 700 personnes qui vivent dans notre département utilisent ce procédé. Il permet d'effectuer différentes démarches pratico-pratiques du quotidien et offre avec aisance le suivi détaillé des remboursements de soins.

Arrêts de travail, déclaration de perte de la carte Vitale, modification de coordonnées bancaires ou besoin de relevé fiscal : ce ne sont que quelques exemples qui attestent que le compte AMELI est la réponse à tout ! Et ce dans les meilleurs délais puisque consultable depuis le domicile ou le bureau à tout moment.

 

 

En outre, on y retrouve l’espace prévention santé, sorte de bible personnelle de son bilan sanitaire qui s’adapte au profil de l’utilisateur selon les cas. Très utile en cette période de crise majeure et des évolutions mouvantes imputables à la COVID.

Précisons que les Maisons France Service, réparties un peu partout sur le territoire septentrional de la Bourgogne vous accueillent et vous aident sur les services de la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie.

Pour les identifier localement, il suffit de consulter la liste de ces établissements qui est disponible sur la référence suivante : www.service-public.fr

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Il ne faudra pas trop faire rêver les automobilistes. Même si 95 % des personnes ayant répondu favorablement à la grande consultation du Conseil départemental de l’Yonne va dans ce sens. Seuls 500 kilomètres, la portion congrue sur les près de cinq mille kilomètres d’asphalte gérés par l’organe institutionnel, pourraient retrouver au cours du second semestre sa vitesse originelle à 90 km/h. Une décision assortie à un vote majoritaire obtenu dans l’hémicycle le 11 février prochain…

 

AUXERRE : Celles et ceux qui croyaient pouvoir circuler à 90 km/h sur l’ensemble du réseau routier de l’Yonne devront modérer quelque peu leurs ardeurs lorsqu’ils prendront le volant ! Car, si le sondage effectué par l’organe institutionnel départemental auprès des Icaunais revient favorable à 95 % à cette prise de décision, qui va certes dans le bon sens, il faut être nettement plus nuancé quant aux conséquences futures de ce projet et à son mode opératoire applicatif.

Proposée en décembre dernier, cette enquête auprès du grand public sur l’hypothétique retour en grâce de ladite vitesse (celle qui servait de référence d’avant le 01er juillet 2018) aura mobilisé bon nombre de nos concitoyens.

9 016 réponses ont ainsi été obtenues par les services du Département chargés de cette étude. Un succès, au premier chef, mais il est vrai que ce sujet sociétal (paradoxalement peu abordé par les prétendants à l’échéance élyséenne) préoccupe beaucoup les Français. Et par un effet gigogne très naturel les automobilistes que nous sommes tous ou presque !

De ce chiffre, il a été admis in fine que 8 565 avis sont positifs à ce retour à la vitesse de croisière que les conducteurs regrettaient depuis bientôt quatre ans. Toutefois, si retour il y a (il faudra pour cela que le Conseil départemental de l’Yonne acte la décision à l’issue d’un scrutin programmé le 11 février prochain en séance plénière et obtenu à la majorité), il ne sera que partiel. Conformément aux règles fixées de manière dérogatoire par l’Etat.

 

Le plébiscite des citoyens pour la mesure mais peu de kilomètres concernés…

 

C’est à partir de cet élément disruptif que le ballon de baudruche, fait d’enthousiasme et de sensations de liberté retrouvée derrière le volant, se dégonfle petit à petit. Sans pour autant faire un pschitt notoire !

En effet, pour rappel, ce sont seulement cinq cents kilomètres sur les 4 875 kilomètres de voirie départementale gérés par le Département qui sont réellement concernés par cet éventuel retournement de situation. D’un côté le plébiscite pour les citoyens de l’Yonne, emballés à l’idée de se procurer un peu plus de plaisir dans leur conduite quotidienne ; de l’autre, le sentiment de frustration d’avoir si peu de kilométrages pour en abuser !

 

 

Outre la présentation officielle des résultats de cet audit auprès du public aux élus départementaux, les services du Département devront se concerter avec ceux de la Commission départementale de la Sécurité routière, placée sous l’autorité du préfet de l’Yonne, pour avis.

Rappelons, si cela vous avait échappé, que le territoire le plus septentrional de la Bourgogne reste dans le peloton de tête des départements hexagonaux dont le taux d’accidentologie vire au rouge chaque année avec sa cohorte de décès et de tragédies sur les routes. Qu’elles soient nationales, départementales ou communales.

 

 

Une enveloppe de 110 000 euros pour changer la signalisation…

 

Moyennant quoi, et à l’issue de cet avis qui n’a de valeur que consultative, le Conseil départemental de l’Yonne pourra alors se prononcer en faveur ou pas sur la révision de la vitesse autorisée. Pour une entrée en vigueur au second semestre.  

Si tel était le cas, il sera alors temps de provisionner le changement des panneaux de signalisation limitant la vitesse sur le réseau départemental, soit une enveloppe de 110 000 euros pour y parvenir. Un budget supporté à 100 % par l’institution territoriale, sans l’aide de l’Etat qui a tout de même chamboulé toutes les règles en 2018.

Mais, nous n’en sommes pas encore là même si Patrick GENDRAUD, président de l’exécutif départemental, est convaincu que la position des Icaunais en faveur de ce rétablissement partiel de la vitesse sera entendue par les pouvoirs publics. Espérons-le et croisons les doigts même pour ces quelques cinq cents kilomètres de routes départementales on l’on pourra de nouveau circuler à vitesse normale…

 

Thierry BRET

 


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La mobilité durable est au centre des débats. Ce volet de la transition écologique n’est d’ailleurs pas le seul à avoir capté l’intérêt des collectivités. Les réseaux d’éclairage, l’éclairage public et l’optimisation énergétique constituent les autres thèmes de premier choix servant de critères au nouveau label « Terre d’Innovation » qui leur est  destiné. Un sésame porté par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne.

 

AUXERRE : Mettre en lumière les actions abouties des collectivités territoriales qui s’engagent dans le schéma salvateur de la transition écologique. Voilà sur quoi repose le ferment de ce nouveau label, « Terre d’Innovation » que le SDEY a créé de toute pièce afin de les inciter à sauter le pas.

Force est de constater qu’à l’amorce de cette année 2022, elles sont de plus en plus nombreuses à l’avoir fait. D’ailleurs, dix d’entre elles recevront une distinction pour leur engagement au service de leurs administrés et de la planète.

Lauréates de cette première édition, ces communes de l’Yonne se verront remettre le précieux label qui les distinguera des autres. De celles qui ne leur ont pas encore emboîté le pas et qui peut-être hésiteraient quelque peu.

Ce distinguo est beaucoup plus important qu’il n’y paraît. La démarche voulue par le Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne se veut unique dans l’Hexagone et s’inscrit dans la feuille de route menée par le président Jean-Noël LOURY et ses équipes, « Energie Yonne 2026 ».

 

 

Une manifestation à vivre en visioconférence en toute tranquillité…

 

Valoriser les communes et leurs élus qui ont à cœur de faire bouger les lignes aurait dû se concevoir dans les faits par une cérémonie protocolaire en présentiel si la situation sanitaire était revenue à la normale.

Or, comme chacun le sait, il n’en est rien. Et c’est donc la mort dans l’âme que le SDEY a pris la décision d’annuler la cérémonie des vœux initialement prévue le 20 janvier. Conformément aux recommandations préfectorales qui allaient dans ce sens.

Toutefois, l’idée de concocter un évènementiel spécifique autour de cette remise de label a germé dans les esprits réfléchis de l’organisme. Un plan B qui va se traduire par le biais de la sacro-sainte visioconférence proposée autour de ce cérémonial.

Celui se déroulera le jeudi 20 janvier à 18 heures.

Il suffit de consulter le site du SDEY (www.sdey.fr) et de cliquer sur la rubrique ad hoc pour découvrir les modalités techniques permettant de suivre depuis son domicile ou à son bureau le futur évènement.

Cerise sur le gâteau pour les dix communes bénéficiaires de ce label : une signalétique sera visible à l’entrée de ces localités courant 2022. Une manière supplémentaire de mettre un coup de projecteur appuyé sur les agglomérations attractives de l’Yonne qui jouent pleinement le jeu de la transition énergétique avec le concours du syndicat d’énergies.

 

Thierry BRET

 

 


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