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Prise de parole intéressante du parlementaire de l’Yonne ce mardi après-midi à la tribune du Palais Bourbon. Le député Les Républicains de la première circonscription est intervenu lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité. Objectif de son propos : positionner Auxerre en qualité de candidate en vue de l’installation d’un centre 15 18 (pompiers et SAMU) tel que le prévoit l’article 31 de la loi. Une manière réaliste de circonscrire définitivement l’incendie ?

 

PARIS : Se battre jusqu’au bout dans l’intérêt des Icaunais ! Déterminé et volontaire, Guillaume LARRIVE s’est exprimé à la tribune de l’Assemblée nationale ce mardi 17 novembre après-midi lors du vote sur la nouvelle loi se rapportant aux sapeurs-pompiers et à la sécurité.

Se faisant le porte-voix des 4 300 élus de notre territoire ayant choisi par une délibération favorable l’implantation d’un centre 15 18 dans la capitale de l’Yonne, l’élu Républicain a précisé que « la ville d’Auxerre était candidate à l’accueil de ce dispositif, mutualisant les appels aux sapeurs-pompiers (les rouges) à ceux destinés au SAMU (les blancs) ».

Un acte de candidature solennel prononcé dans l’hémicycle qui entre de plain-pied dans ce que prévoit l’article 31 de cette loi. En effet, celui-ci stipule que « dans plusieurs départements, des plateformes communes permettront de mutualiser les appels aux pompiers et les appels au SAMU, en composant un numéro unique, celui des appels d’urgence, à savoir le 112 ».

 

 

Le transfert du centre 15 d’Auxerre à Dijon : l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire…

 

En annonçant de manière officielle la candidature de la ville dont il est le député dans le cadre de ce projet, Guillaume LARRIVE entend bien obtenir gain de cause une bonne fois pour toute sur cet épineux dossier. Et aboutir par ce biais à sa résolution.

Déjà le 24 septembre dernier, il avait obtenu du Premier ministre Jean CASTEX alors en déplacement dans le nord de la Bourgogne qu’il suspende la décision de l’Agence Régionale de Santé (ARS), désireuse de la suppression du centre 15 à Auxerre. Afin de mieux le transférer vers Dijon !

Au nom des 103 députés membres du groupe Les Républicains à l’Assemblée, Guillaume LARRIVE s’est montré favorable à ce texte de loi qui est le fruit d’une véritable coopération entre les différents groupes de l’hémicycle. Sans omettre la concertation sénatoriale.

Espérant une application rapide et effective de cette proposition de loi, le parlementaire a évoqué ensuite les faits relatifs à l’Yonne. « Un exemple de ce qu’il ne faut surtout pas faire sur le plan administratif et qui doit amener à réfléchir sur ce qu’il faut réussir à faire au plan politique tous ensemble dans les mois qui viennent… ».

 

 

L’attitude bornée et bureaucratique d’un seul homme…

 

Puis, Guillaume LARRIVE de relater toutes les péripéties rocambolesques de ce dossier kafkaïen imputable à « l’attitude bornée du directeur général de l’Agence régionale de Santé » de l’époque. Un bras de fer qui aura duré in fine deux années.

« Il se trouve que j’ai été haut fonctionnaire avant d’être député, souligne l’orateur, et que jamais je n’ai rencontré un tel bureaucrate ! Il voulait absolument supprimer le centre 15 de régulation des urgences de l’hôpital d’Auxerre pour le transférer à Dijon…». En voilà un qui est habillé pour les quatre saisons !

Qu’ils soient de gauche, du centre, de droite, 4 300 élus de l’Yonne, ont protesté comme un seul homme contre ce projet de suppression farfelu.

« Ils se sont même battus pour qu’une plateforme physique commune au 15 et au 18 voie le jour dans la capitale de l’Yonne, unissant les rouges et les blancs. Peine perdue… ».

Il faudra attendre l’intervention de Jean CASTEX pour enrayer le jusqu’auboutisme du directeur général de l’ARS !

« Nous nous réjouissons de cette aide, poursuit à la tribune Guillaume LARRIVE.

Quant à la possibilité pour Auxerre d’expérimenter les vertus applicatives de cette plateforme commune 15 18, Guillaume LARRIVE dit banco.

« Nous y sommes prêts, y compris sur le plan budgétaire qu’il s’agisse de l’agglomération d’Auxerre, du Département ou encore du conseil d’administration du SDIS 89 ».

Comme qui dirait l’autre, il n’y a plus qu’à. Auxerre peut devenir assurément le poisson pilote expérimental de l’article 31 de la nouvelle loi. Personne, vu de notre chapelle, ne s’en plaindra puisque l’on parle d’altruisme et de sécurité…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Ras-le-bol de cette téléphonie défectueuse qui vous lâche en pleine conversation sans crier gare ! Ras la frange de ces outils numériques censés être ultraperformants, et vous relier avec le reste du monde qui rament et tournent dans le vide sidéral ! Seraient-ce les joies de vivre à la campagne ? Que nenni ! D’autant que même dans les zones urbaines, le phénomène de coupures intempestives ne cesse de s’accélérer au grand dam des utilisateurs depuis plusieurs mois.

 

TRIBUNE : Trop, c’est trop à l’heure de la mondialisation à outrance, de l’attractivité territoriale que l’on nous sert à toutes les sauces, matin, midi et soir !

Entre les zones blanches omniprésentes qui tapissent notre environnement et les incohérences technologiques qui nous privent de tous les usages de la modernité et du lien social, c’est une colère froide et sourde qui envahit les consommateurs que nous sommes, tous !

Parce qu’au final, la facture de toutes ces prestations et services non assurés reste la même ! A acquitter au centime d’euro près à l’instar des heureux bénéficiaires du système qui eux peuvent en jouir à satiété ! Parce que vivant sur des secteurs de couverture technologique privilégiée…

Petits et grands, jeunes ou vieux, professionnels ou retraités, inactifs ou femmes au foyer, valides ou handicapés : la moutarde nous sort par les trous de nez devant ces pannes chroniques à répétition qui jalonnent notre ordinaire au goût d’amertume !

Une feuille tombe d’un arbre, une branche se brise d’un arbuste, trois gouttes de pluie mouillent la route, le vent balaie deux nuages ou le soleil fait grimper un peu à l’excès la température : et voilà les effets gigognes qui en résultent en cascade dans toute leur splendeur.

 

 

Retour vers le Moyen-Age pour les ruraux privés des liens de communication…

 

Avec leur litanie habituelle de noms pour en qualifier les conséquences, faite de coupures, pannes, plus de réseaux, autarcie, solitude, privation, et emmerdes à venir toutes catégories confondues pour gérer la crise !

On nous parle de cohésion sociale et de progrès technologiques ! Foutaise alors que sans téléphone et ordinateur, l’humain de la campagne se retrouve plongé comme au temps suranné du Moyen-Age ! Dépourvu de tout !

Impossible de travailler, de s’instruire, de jouer, de discuter, d’être en relation avec l’autre, de pouvoir, et ceci est nettement plus grave, se soigner ou de joindre son médecin !

Et si pendant ces pannes insupportables, il arrivait à ces habitants de zones dites reculées de faire un malaise. Voire pire de subir les foudres d’une attaque cardiaque parce que trop excédé par la tournure de ces évènements qui font fulminés les esprits et chauffer le sang à blanc. A qui en incomberait la faute ?

A pas de chance, à la goutte de pluie, à l’incompétence, aux retards emmagasinés depuis tant d’années par les gouvernances, quelles qu’elles soient qui n’ont pas su prendre le train en marche du modernisme, à la lenteur administrative dont on se repaît depuis des siècles pour prendre la moindre des décisions ?

 

 

Une fracture numérique toujours présente dans la France de 2021…

 

A quoi bon avoir en sa possession  des smartphones de dernière génération, des routeurs de dernier cri pour amplifier les ondes, des ordinateurs au design de Rolls-Royce, de la 4 G, 5 G, haut débit en veux-tu en voilà, de la fibre optique et tutti quanti pour arriver in fine toujours au même résultat : dans les zones rurales, tout cela ne fonctionne pas !

A six mois des échéances présidentielles, peu de candidats (pour ainsi dire aucun) n’évoque ce fléau crucial qui mine nos jolis territoires de villégiature : la fracture numérique et technologique.

C’est pourtant l’un des enjeux prioritaires de cette France rurale qui ne demande qu’à profiter des mêmes attraits technologiques que les villes et leurs périphéries. Au nom de l’égalité, chère à nos esprits patriotiques.

Une chose est sûre : compte tenu de ces difficultés pour trouver ENFIN les solutions idoines devant s’appliquer très vite à la résolution de ces sempiternels problèmes devant pourrir l’existence des Français de plus en plus nombreux à choisir la campagne plutôt que la ville, force est de constater que la France se divise en deux.

Celle des villes et celle des champs. Comme l’aurait si bien narré en son temps et avec poésie le fabuliste Jean de La FONTAINE.

Mais, maintenant, cela suffit : nous autres, les ruraux, n’avons plus envie de boire de cette eau trouble qui sent le soufre…et attendons avec impatience de lire les programmes des candidats de tout bord qui s’intéressent réellement à ce problème de fond. Pour que les choses changent vraiment…

 

Thierry BRET

 

 


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Ce sera sans doute l’un des axes prioritaires à la réflexion des structures institutionnelles en marge du plan de relance et du soutien aux acteurs de l’économie la saison prochaine. L’économie sociale et solidaire (ESS) aura droit à sa conférence régionale, autour de débats et de conférences, dès les premiers jours de 2022. Précisément, le 20 janvier à Besançon.    

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est officiel : sous l’égide de la préfecture de la Région et de la Région Bourgogne Franche-Comté, l’ESS, acronyme de l’économie sociale et solidaire, aura droit à sa conférence territoriale dès l’entame de l’année prochaine. Un rendez-vous à porter d’ores et déjà sur les tablettes de ses principaux acteurs en date du 20 janvier. Une manifestation qui a été confirmée par le service communication de l’exécutif régional ce jour.

L’économie sociale et solidaire représente un pan important de l’activité entrepreneuriale, créatrice de ressources et d’emplois, sur notre secteur géographique. Un segment qui n’a pas été occulté des initiatives prises par l’Etat et la Région dans le cadre des aides financières à apporter pour soutenir les structures face à la crise sanitaire.

 

 

 

 

Un exemple réussi de l’ESS dans l’Yonne : l’Epicerie solidaire d’Auxerre…

 

A titre d’exemple, l’Epicerie solidaire d’Auxerre a bénéficié d’une enveloppe de 35 000 euros destinée à la modernisation de sa chaîne de froid. Grâce aux subsides de la Région, l’entité associative présidée par Catherine JAPIOT a pu acquérir deux chambres froides et optimiser ses capacités de stockage en les doublant. Une agréable manière de commémorer la première décennie anniversaire qui surviendra en mars 2022.

Profitant des avantages du PAIR (Plan pour l’accélération à l’investissement régional), l’épicerie auxerroise a ainsi pu s’installer dans des locaux plus adaptés à ses besoins en matière de stockage. Une initiative judicieuse qui devrait se solder par l’embauche d’un salarié supplémentaire selon toute vraisemblance.

Rappelons que l’Epicerie solidaire de l’Auxerrois s’inscrit dans cette veine altruiste de la mixité, accueillant des clients solidaires payant le prix normal des produits à la vente et des clients bénéficiaires ne s’acquittant que d’une partie du montant des achats ; le reste-dû étant financé par les bénéfices générés par les achats des clients. Un bel exemple de solidarité économique en ces périodes délicates…

 

Thierry BRET

 


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Le concept est proprement génial. Il a pour vocation de se dupliquer à moyen horizon. Sur le Sénonais ? Sans doute. Dans d’autres secteurs de l’Yonne ? Pourquoi pas ! Proposer une crèche au beau milieu d’une zone industrielle permet de résoudre bien des problématiques pour les jeunes mamans qui y travaillent. Une formule idéale que Christina NGOUMBI à la tête de BPC Concept entend développer avec le concours des collectivités…

 

SENS : Elle adore l’exotisme, la sémillante cheffe d’entreprise du Sénonais. Et elle a bien raison de nous abreuver de ce soleil qui irradie d’ordinaire son joli sourire. Après avoir porté sur les fonts baptismaux la crèche « Copains Cabana » (une astucieuse appellation rappelant le sable blond de la fameuse plage brésilienne de Rio de Janeiro !), la voici qui ouvre un autre complexe à la similitude professionnelle déjà éprouvée, arborant la douce sémantique de « Shé Nonolulu » ! Le surf pratiqué à outrance à Hawaï s’invite donc à la fête !

Dirigeante de la société BPC Concept, entité entrepreneuriale spécialisée dans la création et la gestion de structures dédiées à la petite enfance, Christina NGOUMBI occupe depuis le lancement de l’entreprise en 2018 une place privilégiée dans cet univers si atypique des services aux bambins.

 

 

Le bilinguisme comme modèle vertueux de la pédagogie…

 

Nageant comme un poisson dans l’eau auprès des entreprises, des collectivités et du tissu associatif interpellés par la démarche. On ne peut plus insolite, en vérité.

Implanter une crèche au cœur d’une zone d’activité industrielle (celle des Vauguillettes) n’est pas aussi étrange que cela puisse paraître. Une fois les explications fournies par la dirigeante.

« C’est un établissement qui accueille une vingtaine de berceaux, explique la jeune femme qui ne se départit pas de son sourire éclatant, on a voulu concevoir un projet novateur à bien des égards au sein de cette zone d’activité : cette fois-ci, on a placé la barre de ces innovations dans le domaine du bilinguisme... ».

Inculquer les bases fondamentales de la langue des BEATLES aux petits bouts de chou venant en garde quotidienne sur ce site ouvert depuis début septembre s’apparente à une véritable prouesse pédagogique. Prouesse encouragée par la Chambre de Commerce et de l’Industrie de l’Yonne. Idem pour son pôle de formation qui y dépêche ses forces vives. A raison de trois épisodes journaliers assurés par des intervenants francophones et anglophones, of course !

Une manière tangible d’anticiper avec beaucoup de réalisme la quête des futurs cadres recherchés par les entreprises locales ?!  

 

 

 

Une entité pourvoyeuse de nouvelles recrues…

 

Ergonomique, spacieuse, articulée en petits univers fonctionnels, la crèche à l’appellation hawaïenne résulte d’un concept structurel évalué à 900 000 euros d’investissements. Une paille !

Un projet sur lequel la CAF (Caisse d’allocations familiales) est intervenue en apportant un précieux soutien (214 000 euros). Geste altruiste qui pourrait engendrer peut-être d’autres subsides après coup au vu du renchérissement des matières premières qui ont été nécessaires à la réalisation de ces travaux.

Côté recrutement, BPC Concept veut dynamiser l’embauche de jeunes talents à travers ses établissements. Ici, ce sera huit nouveaux recrutements qui viennent grossir les effectifs de la structure.

« Si l’on y ajoute le complexe de Paron, additionne Christina NGOUMBI, nous atteignons un total de 27 emplois créés en trois ans. Des postes qui se concrétisent sous la forme de contrats à durée indéterminée. C’est une très grande satisfaction ! ».

Malgré la pénurie de main d’œuvre observée dans la filière des services.

 

 

Un projet qui s’inscrit dans le retour des services dans les Territoires d’industrie…

 

Mais, déjà la dirigeante de BPC Concept regarde l’horizon. Celui qui est identifié par d’autres sites à ouvrir dans l’Yonne.

« Nous avons de la ressource, concède-t-elle avec enthousiasme, des perspectives évolutives se font jours dans l’Auxerrois à l’intervalle 2022/2023. Un projet de micro-crèche s’esquisse à Saint-Denis-les-Sens. L’Avallonnais s’étudie très sérieusement… ».

Elle n’en dira pas davantage la lauréate du Réseau Entreprendre. Revendiquant ses valeurs intrinsèques qui sont les siennes, puisées dans ce service public qu’elle connaît bien lorsqu’elle officiait jadis en qualité d’infirmière puis de cadre de santé. Même si aujourd’hui elle avance à rythme bien soutenu dans le privé.

Alors disposer d’un nouvel outil de 250 mètres carrés érigé sur un  terrain de plus de deux mille mètres carrés l’a comble.

« Nous sommes propriétaires de nos locaux, souligne-t-elle, on essaie toujours d’avoir notre destin en main en étant propriétaire de nos complexes. C’est plus facile pour gérer les investissements, l’entretien et conserver les coudées franches, question autonomie ! ».

Remerciant au passage l’Agglomération du Grand-Sénonais et la Ville de Sens, de vrais facilitateurs dans les démarches administratives, Christina NGOUMBI se satisfait de l’initiative de réservation de neuf berceaux par les organes institutionnels.

« Ramener des services supplémentaires au cœur du tissu industriel est méritoire et s’inscrit parfaitement dans l’esprit des Territoires d’Industrie… ».

Labellisée AGIP, une certification saluant l’accueil d’enfants en situation de handicap, la nouvelle crèche de Sens démontre toute sa raison d’être depuis qu’elle a ouvert ses portes. Mais, de cela, personne n’en doutait…

 

Thierry BRET

 

 


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On ne les a pas comptés ! Mais, la nouvelle centrale solaire de Dijon-Valmy, devant être inaugurée en grandes pompes le 25 novembre prochain, accueille près de 43 000 panneaux photovoltaïques. Ce qui a nécessité une implantation physique sur 16 hectares de terrain. Sa capacité totale de production est équivalente à 15,5 MWc. De quoi produire les besoins annuels en électricité d’environ huit mille habitants…

 

DIJON (Côte d’Or) : Il reviendra au président-maire de Dijon Métropole, François REBSAMEN, de découper le traditionnel ruban lors de l’inauguration officielle de cette centrale solaire dont la genèse remonte à 2007.

Aux côtés du PDG d’EDF Renouvelables, Bruno BENSASSON, en charge du développement du pôle des énergies renouvelables, du préfet de Région Fabien SUDRY et du directeur de l’action régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, Yves CHEVILLON, l’élu de Côte d’Or aura sans doute un petit pincement au cœur devant le travail accompli. En effet, enfin concrétisé, ce projet marque la volonté de Dijon Métropole de favoriser le développement des énergies renouvelables sur son territoire. Son cheval de bataille.

 

 

D’ailleurs, originalité, la population a été associée à la conception de ce nouveau mode de production énergétique. Via une campagne de financement participatif citoyenne qui aura permis de récolter près de 200 000 euros !

Située sur l’ancien centre d’enfouissement technique de Dijon-Valmy, où étaient autrefois entreposés les gravats et autres détritus de chantiers de construction, cette centrale solaire photovoltaïque aura permis du fait de son installation de réhabiliter ce site de stockage durant l’été 2020.  

L’épilogue de ces travaux se fera donc le jeudi 25 novembre à partir de 11 heures avec cette cérémonie officielle.

 

Thierry BRET

 

 


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