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Le plaisir d’être là est évident. Surtout après avoir traversé la trop longue période d’atonie de la vie associative. Double plaisir, même, devrait-on dire. Celui d’être reçu dans l’antre de l’excellence de la pédagogie qui se décline en faveur de l’alternance. Celui, aussi, de soutenir de jeunes talents de l’artisanat, relèves assurées de la vie professionnelle de demain. Le Rotary Club d’Auxerre, fidèle à son credo universel « Servir d’abord », s’est donc satisfait d’encourager deux apprentis qui le méritent bien…

 

AUXERRE : On sent poindre par moment un zeste d’émotion dans la voix de Thierry BISSERON. Intérieurement, ce dernier jubile de se retrouver là, sous les lumières finement tamisées du restaurant d’application du CIFA, le « Com’des Chefs ».

Pourtant, l’actuel président du Rotary Club d’Auxerre est un habitué de ce type d’exercice. Prendre la parole devant un public qui ne peut qu’apprécier le geste altruiste du club service envers les autres. En l’occurrence, ce soir-là, de la jeunesse. Celle, besogneuse mais pugnace qui apprend au fil de l’eau les rudiments d’un métier afin de faire croître son potentiel professionnel.

Preuve manifeste que cela fonctionne, la petite phrase lâchée par Thierry BISSERON, en préambule de cette cérémonie des plus conviviales aux antipodes des tensions actuelles qui secouent la planète : « Je suis agréablement époustouflé ! ».

Par qui, pourquoi ? Par cette génération de milléniums qui se lance avec avidité et courage dans l’apprentissage de ces métiers issus de la filière manuelle. « On dit des artisans qu’ils ne sont jamais seuls ». Un ajout oral fondamental dans la bouche du président rotarien, qui explique de facto le soutien inconditionnel de son club à l’encouragement de ces jeunes gens qui empruntent cette voie professionnelle antinomique avec le chômage.

« C’est ce que disait mon grand-père il y a un siècle. Pour lui, la valeur travail était digne du moment qu’elle était utile à la société et qu’elle garantissait le respect de chacun d’entre nous… ».

 

 

Le travail manuel glorifié par deux de ses dignes représentants…

 

Philosophe, alors qu’il est plus enclin à manier d’ordinaire les chiffres et les analyses entrepreneuriales en sa qualité d’expert-comptable, Thierry BISSERON nous renvoie avec une once de pensées nostalgiques dans cette France de jadis. Celle où le travail symbolisait encore l’idée d’être un outil génial au service de l’humain dans son accomplissement. Une réminiscence naturelle de ce que pratique au quotidien le CIFA de l’Yonne en déployant ses arguties en faveur de l’excellence pédagogique.

« Voilà le but que vous poursuivez, souligna l’orateur en se retournant vers Méline DUPRE et Romain PREVOST. Si vous êtes parmi nous ce soir, c’est parce que vous avez compris toute l’importance du travail manuel, de la notion de service, du goût de bien faire, de l’abnégation à avoir dans l’apprentissage d’un chemin professionnel… ».

La jeune fille, spécialiste du service en salle, en rougirait presque, émue et timide, par cette ondée de compliments qui lui tombe sur la tête. Le garçon, qui exerce ses talents dans ce beau métier de la boulangerie, écoute en fermant les yeux. Afin de ne pas perdre une miette (de pain !) de ce discours aux intonations élogieuses.

« Vous êtes reconnus par vos maîtres, vous êtes reconnus par vos clients, il fallait donc que vus le soyez par le Rotary Club d’Auxerre ! ».

Une mise à l’honneur qui se buvait comme du petit lait pour Marcel FONTBONNE, directeur du centre de formation, et de Delphine ENGELVIN, en charge de nombreuses responsabilités au sein de la grande maison.

Une vraie reconnaissance pour ce travail manuel, emblématique fleuron de cette filière artisanale qui demeure la première entreprise de l’Hexagone. Un accessit logique, distillé par le Rotary, ayant pour vocation de distinguer les personnes méritantes, en particulier cette jeunesse engagée pour servir et partager. « Servir d’abord ! ». Certes, mais surtout « Servir encore » ces futures pépites de l’artisanat de l’excellence…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Voilà un déplacement qui a été largement rentabilisé ! Celui du préfet de l’Yonne à Joigny, ce mardi après-midi. Non seulement, Henri PREVOST a effectué le trajet depuis Auxerre vers la ville du Centre Yonne pour y signer le Contrat de Relance et de Transition Ecologique (CRTE), doublé du COT (Contrat d’Objectif territorial), mais en outre, il en a profité pour inaugurer le nouvel espace France Services. Une mutualisation teintée d’efficacité qui a eu l’heur de plaire à Nicolas SORET !

 

JOIGNY : Dans le registre « action/réaction », voilà une visite préfectorale qui s’est montrée prolifique en termes de résultats pour l’agglomération du Centre Yonne. Le représentant de l’Etat ne s’est pas limité à apposer sa griffe au bas de deux conventions de partenariat (CRTE et COT), applicables à la partie septentrionale de notre territoire – lire l’article consacré à ce sujet à paraître dans nos colonnes -, il a aussi porté sur les fonts baptismaux de l’officialisation inaugurale une nouvelle Maison France Services. Une de plus pour le département de l’Yonne qui devrait atteindre sa vitesse de croisière d’ici peu avec trente-et-une références de la sorte.

Dans l’absolu, c’est le Centre communal d’action sociale (CCAS) de Joigny qui accueille l’espace dédié à cet effet. Ouvert gracieusement à toutes celles et à tous ceux qui désirent en utiliser les multiples avantages, ce dispositif est fonctionnel chaque jour de la semaine.

Qui trouve-t-on ? Une palette d’opportunités administratives permettant à chacune et à chacun de trouver la solution idoine à une problématique donnée. L’accompagnement proposé concerne les démarches pouvant être liées à la Caisse Primaire d’Assurance Maladie, la Caisse des Allocations Familiales, Pôle Emploi, le logement, la fiscalité, la retraite…

 

 

Seront également déclinés les services de La Poste, de la MSA, des ministères de l’Intérieur et de la Justice, de la Direction générale des Finances Publiques. Un patchwork de possibilités favorisant l’existence. Notamment de celles et de ceux qui n’y comprennent que couic lorsqu’il faut remplir tel formulaire, telle case ou tel document officiel.

Une bulle d’oxygène en somme où deux agents de la ville, formés spécifiquement à cet accompagnement personnalisé, apporteront leurs lumières pour éclairer ceux des utilisateurs encore dans la pénombre des usages du numérique.

Il est prévu également des permanences assurées par les neuf partenaires nationaux de ce concept, voire des visioconférences explicatives.

Outre ces 31 maisons France Services, à terme, l’Yonne dispose en parallèle d’un bus itinérant du Conseil départemental dont le déploiement et la labellisation sont pilotés par l’Agence nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT).

 

 

En savoir plus :

 

La Maison France Services au CCAS fonctionne :

- le lundi de 13h30 à 18h30,

- le mardi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h,

- le mercredi de 8h30 à 12h30 ; une permanence a lieu de 13h30 à 17h30 au 2, avenue de Mayen (locaux de l’APREM),

- le jeudi de 8h30 à 12h30 et de 13h30 à 17h,

- le vendredi de 8h30 à 12h.

 

Thierry BRET

 


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Il suffit de traverser la rue pour trouver du travail. Loin de plagier la fameuse formule linguistique élyséenne, chère à l’hôte actuel de la présidence tricolore, parfois, se rendre de l’autre côté de la rue peut être aussi initiateur de business à réaliser et venant étoffer un carnet de commandes ! C’est ce que vient de vivre BMO Agencement qui a fait bénéficier de son savoir-faire l’un de ses voisins, l’industriel JOVID’OR…

 

JOIGNY : Une agréable odeur de viennoiserie titille nos sens olfactifs lorsque l’on rend visite à l’un des spécialistes de l’agencement de l’Yonne, la société BMO. Un parfum agréable, légèrement sucré qui plane dans l’air et qui irrésistiblement nous met en appétit. Logique ! De l’autre côté de la rue, sur ce périmètre de la zone industrielle de Joigny, est implantée l’unité de production de la société JOVID’OR, entité entrepreneuriale qui fabrique toute une gamme de produits de la boulangerie et de la viennoiserie.

La structure irrigue de ses marchandises les grands acteurs de la distribution alimentaire. Environ 150 personnes y sont employées.

Pas étonnant qu’il y ait des besoins de rénovation d’une salle faisant office de cafétéria, d’un autre espace accueillant des vestiaires avec des cabines de douche, d’une salle de réunion pour faire crépiter les neurones lors des brainstorming. Et c’est là que le voisin BMO intervient pour entrer en action !

 

 

L’entreprise de François RICHARD a donc été sollicitée pour procéder à un sérieux lifting de cet univers professionnel qui conçoit du pain et des croissants.

La PME, positionnée sur le segment de la conception et fabrication de mobilier destiné à agencer les édifices publics et commerciaux, a achevé il y a peu ce nouveau chantier, d’une valeur de 70 000 euros. Un chantier mené avec EQUIP BURO.

Un ouvrage qui satisfait son dirigeant qui marque ainsi d’une empreinte de plus en plus prégnante le territoire communautaire en y levant de nouveaux contrats. Presque inhabituel jusque-là pour cette société travaillant pour l’essentiel avec les acteurs du tourisme haut de gamme (palaces, hôtellerie de grand standing, chalets) dans les endroits les plus huppés de l’Hexagone : Paris, Courchevel, Chamonix.

Ce qui atteste désormais que Joigny gagne en importance !

 

Thierry BRET

 

 


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Le contexte sanitaire aura une nouvelle fois raison de la convivialité. Dommage. Les assemblées générales des caisses locales du Crédit Agricole Champagne-Bourgogne ne dérogeront donc pas à la règle du respect absolu du protocole anti-COVID. Seul l’aspect statutaire sera abordé lors de cette série d’évènements. Avec, en sus, un dispositif de vote en ligne pour élire les représentants/administrateurs de chacun de ces établissements.

 

DIJON (Côte d’Or) : Mesures de protection anti-COVID oblige, cette année encore, les traditionnelles assemblées générales des caisses locales de la Banque Verte feront l’impasse sur l’un des instants attendus des sociétaires : la phase de convivialité.

Ces réunions se dérouleront selon le protocole sanitaire en vigueur, avec les seuls membres du Conseil d’administration. Alors que l’établissement prône les valeurs du mutualisme et la place de l’humain au cœur de ses priorités.

Ces derniers, au nombre de 283 000 sur le territoire inter-régional, auront la possibilité d’exprimer leur choix pour élire leurs représentants/administrateurs par le biais d’un scrutin électronique.

Ouvert depuis le 12 février, le vote peut également se réaliser en agence durant les quinze jours qui précèdent l’assemblée générale. L’envoi d’une convocation personnalisée par mail ou par courrier apporte son lot d’explications aux intéressés.

Précisons que l’assemblée générale de la caisse régionale se tiendra, quant à elle, le 23 mars à Dijon.

 

Thierry BRET

 

 


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La froidure d’un « petit matin d’hiver », comme le chantait si bien en souvenir de sa période scolaire Gérard LENORMAN en 1975, était bel et bien au rendez-vous de ce rassemblement protestataire devant les grilles du collège de Saint-Georges-sur-Baulche. C’est sur une toute autre musique, celle plus tendance de SOPRANO, qu’enseignants, parents d’élèves et leurs représentants ont interprété un air de révolte pour faire entendre leurs réclamations.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : « Faut lutter » ! Dès les premières paroles de ce texte scandé par la quarantaine de manifestants – des professeurs, représentants de parents d’élèves et membres des familles venus soutenir ce rassemblement aux grilles du collège Jean Bertin malgré le mordant d’une température glaciale – le ton était donné !

Pas de place réservée à la poésie et aux souvenirs nostalgiques de la période scolaire : adaptée d’un morceau du répertoire de la star du rap SOPRANO (« Le Coach »), sa réécriture avait pour objectif de faire mouche par la virulence de ses propos et de son engagement à revendiquer contre le système éducatif.

Banderole déployée sur les grilles de l’enceinte pédagogique, morceaux de carton brandis à bout de bras soulignant les messages essentiels, haut-parleur brancher à quasi saturation pour porter la voix des organisateurs : rien ne manquait dans cette panoplie contestataire contre la dégradation des conditions d’études et de travail.  

« Nous dénonçons la perte de moyens qui a pour conséquence de provoquer la surcharge des classes ce qui risque de mettre en danger la scolarité des élèves présentant des signes de faiblesse et de fragilité… ».

 

 

Une politique de contraintes budgétaires au détriment de la qualité de l’enseignement…

 

En substance, la dotation horaire globalisée (DHG) est dans le viseur des protestataires. Insuffisante, voire décevante, elle n’est certainement pas à la hauteur des enjeux en matière de lutte contre le décrochage, paradoxalement l’une des priorités de la politique éducative de la gouvernance.

Oui mais voilà, sur le terrain, le son de cloche tinte différemment selon les manifestants, contrairement à la gesticulation médiatique autour de ce sujet.

« Nous sommes en total désaccord avec cette gestion approximative de l’éducation. Elle ne repose aujourd’hui que sur des contraintes budgétaires et une volonté d’optimisation et de rentabilité…. ».

Des principes qui sont contraires à la qualité de l’enseignement, et à l’intérêt des élèves et des familles.

Et la chanson de reprendre à l’unisson des quarante « choristes » en colère : « Faut entasser les ados pour ne pas dépenser, faut faire taffer les ados sans budget ».

Si la dotation d’heures actuelle est maintenue par l’académie, des problèmes surviendront en termes de capacité d’accueil de certaines classes. Sachant en outre que les calculs effectués ne prennent pas en compte les élèves de l’ULIS (unité localisée pour l’inclusion scolaire) prévu au nombre de huit dès l’an prochain, ainsi que des AESH (accompagnement des élèves en situation de handicap) qui les assistent.

 

 

Le retour des classes surchargées : le cauchemar des enseignants…

 

Autre problématique observée localement : celle qui est née de la fermeture du collège Bienvenu-Martin survenue à Auxerre en 2019 avec pour effet corollaire l’accueil d’élèves en situation de REP (Référentiel de l’éducation prioritaire) qui est largement dépassé.

On l’aura compris : les représentants élus des personnels enseignants au conseil d’administration du collège et les représentants des parents d’élèves craignent la hausse exponentielle des effectifs de ces classes, augmentation observée chaque année. Une tendance qui ne s’inversera pas à l’avenir. La récente ouverture d’une classe au sein de l’école primaire locale ainsi que la venue de plusieurs familles, installées sur la commune, le confirment. Le nombre d’élèves par classe ne peut que progresser et dépasser le seuil limite.

Précisons que la prévision des effectifs est déjà évaluée vers la hausse lors de la future rentrée de septembre, aux alentours de 670 collégiens.

« Trente élèves dans une même classe paraît que c’est la normalité, surchargé veut dire normal, je ne comprends plus mes cours de français… ».

La chanson se poursuit avec ces couplets révélateurs du mal-être persistant qui affecte le milieu de l’Education nationale

A commencer par les enseignants eux-mêmes. Ils espèrent une progression de leurs effectifs.

« Logique, nous constatons une tendance accrue à la conversion des heures postes en heures supplémentaires. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Avec 7 % d’élèves en plus pour 6 % d’heures postes en plus et 19 % d’heures supplémentaires par rapport à l’année dernière… ».

 

 

Vers une classe supplémentaire accueillant les élèves de troisième ?

 

Or, cela nuit à la bonne fonctionnalité de certains collègues contraints à effectuer un complément de service sur un, voire plusieurs établissements alors que les besoins en heures sont bien présents au collège de Saint-Georges. Un état de fait qui impacte l’enseignement délivré aux élèves.

Quant à l’ouverture d’une classe supplémentaire sur le niveau de troisième, elle est souhaitée par les personnes protestataires. « Il faut que l’ensemble des disciplines puisse bénéficier de conditions pédagogiques convenables ».

Reste le demi-poste d’infirmière supplémentaire, déjà opérationnel au sein de l’établissement. Son maintien aurait pour avantage de proposer une ouverture maximale de l’infirmerie sur la semaine entière.

Si la direction de l’établissement n’a pas souhaité réagir à chaud à ce rassemblement, organisé jeudi, dans la rue, peut-être que Vincent AUBERT, le directeur académique des services de l’Education nationale sera plus enclin à répondre par l’affirmative à la demande d’entrevue des manifestants. La balle se trouve désormais dans le camp du DASEN de l’Yonne.

« A Saint-Georges, on se bat, à Saint-Georges, on se bat », conclut la chanson !

 

Thierry BRET

 

 

 


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