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L’évènement s’étale sur quatre journées. Dont deux en Puisaye, le reliquat se faisant sur le Tonnerrois. Une zone géographique qu’affectionnent les responsables de la chambre départementale agricole. Ils y ont expérimenté ces derniers mois le projet « 360 degrés » avec la communauté de communes. Mais là, du 07 au 10 février, changement de registre. Les bâtiments d’élevage seront au centre des prérogatives…

 

AUXERRE : Cinq visites d’exploitation constitueront le socle de ce copieux programme instructif. Elles seront assorties de causeries et témoignages variés autour de problématiques permettant de mieux appréhender la réalité de l’installation des jeunes agriculteurs dans l’élevage. C’est le menu non alimentaire mais pourtant très digeste que propose la semaine prochaine la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne.

Un cycle de conférences, conçu avec le précieux concours du réseau Innov’ Action et de la coopérative ALYSE, servira de solide armature à ce projet ; le premier de l’année permettant de renouer les liens de l’écoute et de la discussion. 

L’objectif du projet est simple : faire toute la lumière sur l’installation des jeunes éleveurs ayant opté pour la filière. L’une des plus complexes qui soit proposée parmi le panel de métiers issus du milieu agricole.

 

Le partage de bons trucs et astuces pour les éleveurs…

 

Ces portes ouvertes dans les bâtiments d’élevage traduiront dans les faits la nouvelle dynamique impulsée par la chambre consulaire et l’un de ses partenaires essentiels, la coopérative ALYSE. Vouloir optimiser la communication en 2022.    

Trois lieux ont été choisis pour cela : Provency, Moutiers-en-Puisaye et Noyers-sur-Serein. Accueillies dans cinq établissements tenus par de jeunes agriculteurs, ces conférences possèdent pour fil rouge un dénominateur commun : le partage d’expérience et de savoir-faire dont pourrait profiter l’auditoire.

Initié en Côte d’Or, ce cycle a rencontré un joli succès, plus que d’estime avec la présence de près d’un millier de visiteurs ! Certes, l’Yonne n’est pas comparable à son voisin méridional. 

« En fait, résume Arnaud DELESTRE, président de l’organe institutionnel, ce rendez-vous est propice au partage des bons trucs et astuces nécessaires à une installation réussie dans la filière… ».

D’autant que les renseignements sont très attendus des jeunes professionnels ayant osé franchir le pas.

 

Préparer la relève alors que les cartes vont être brassées d’ici dix ans…

 

Parmi les items de cette édition 2022, la dynamique de l’élevage de caprins et d’ovins constituera l’une des priorités de ce cycle. Une tendance exponentielle observée depuis plusieurs mois. On y parlera aussi de l’engraissement des génisses, de l’emploi d’appareillage facilitant la traite et le confort de l’éleveur, de la directive nitrates et de ses impacts sur les exploitations, voire de la transformation en élargissant la gamme de produits laitiers afin de se différencier.

Petit coup de projecteur spécifique : une animation organisée autour de la valeur ajoutée pour un néophyte de la filière qui en viendrait à créer sa propre fromagerie !

Quand on sait que 50 % des agriculteurs actuels pourront prétendre à la retraite dans la décennie à venir et que 70 % du cheptel de bovins sont détenus par des personnes âgées de plus de 55 ans, on se dit effectivement que l’anticipation permettant de bien préparer la relève devient urgente !

 

Thierry BRET

 

 


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C’est une première nationale. Ni plus ni moins. Au bénéfice du Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY). Mais, in fine, pas une réelle surprise en soi. Tant cet acteur de référence pour l’aménagement énergétique de notre territoire nous gratifie de trouvailles ingénieuses régulières au niveau de sa communication. Créer un label valorisant les actions novatrices des communes en faveur du développement durable méritait bien une belle soirée. Réussie !

 

MONETEAU : Certes, le public ne pouvait être présent pour les raisons que l’on connaît. La faute aux risques sanitaires, imputables à OMICRON. Regrettable, car la cérémonie de remise de ces trophées « Terre d’Innovation » méritait le détour. D’autant qu’elle plaçait sous le feu nourri des projecteurs, puissants ceux-là qui éclairaient la scène du SKENET’EAU, les élus de l’Yonne ayant fait le choix de privilégier des actions en faveur du développement durable et des économies d’énergies.

La démarche, une première dans l’Hexagone, devrait sans doute faire des émules dans d’autres départements. C’est certain. En portant sur les fonts baptismaux ce label aux contours vertueux, le SDEY (Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne) entend bien distinguer ces élus de proximité que sont les maires, s’engageant dans la voie de la sauvegarde de l’environnement par le prisme de la maîtrise énergétique.

Une maîtrise qui passe par son optimisation budgétaire, ses encouragements à la pratique de la mobilité durable, l’adoption de son éclairage public en système moins énergétivore ou en développant ses réseaux d’énergie. Tout cela au service de leurs habitants, premiers bénéficiaires.  

Ces différents critères constituent la feuille de route stratégique de la structure au service des communes. Un cahier des charges a été établi jusqu’en 2026. Il s’adresse à l’ensemble des collectivités adhérentes au SDEY. Ce challenge récompense celles qui auront fourni le plus d’efforts pour mettre en œuvre lesdites innovations visant à satisfaire leurs habitants.

 

 

Un jury éclectique pour attribuer les prix spéciaux…

 

Elles sont donc au nombre de dix, ces localités ayant reçu le précieux accessit. Dix communes de l’Yonne ayant obtenu la moyenne dans chaque catégorie d’investissement servant de critères référentiels aux commissions locales d’énergies, émanations du SDEY.

Des sésames qui se convertiront en autant de panneaux de signalétique, posés aux accès stratégiques de ces localités lauréates courant 2022.

En sus, trois autres prix se sont ajoutés à ces cadeaux de Noël offerts après coup. Ils ont pour objectif d’encourager les communes et leurs maires à poursuivre des aménagements novateurs.

Parmi ceux-ci, le prix du président du jury, le prix du jury et le prix d’encouragement du jury. Des distinctions distribuées par un jury éclectique, englobant des élus, mais aussi des chefs d’entreprise (on remarquera la présence de Christophe CHARBONNIER, PDG du groupe de transport et logistique PICQ & CHARBONNIER, de Brigitte GUICHARD, responsable régionale de TRANSDEV), ou de médias (Sofi MARTIN, directrice d’antenne de France Bleu Auxerre).

La présence de Charles-Antoine GAUTIER, directeur-adjoint de la FNCCR (Fédération nationale des Collectivités concédantes et Régies), au sein du jury marquait la volonté du président du SDEY Jean-Noël LOURY de vouloir élargir ce label à d’autres territoires de l’Hexagone.

« La création de ce label représente une formidable opportunité de valoriser les commues qui se saisissent des projets que nous leur proposons au service de leurs habitants. Il a été présenté à mes homologues des autres départements en ma qualité de vice-président de la FNCCR. La plupart souhaitent étendre à leurs territoires cette labellisation née dans l’Yonne… ».

Ce sera l’un des grands chantiers, parmi tant d’autres, porté par le SDEY au cours de ces prochains mois.

 

 

La liste des communes lauréates :

Bussy-en-Othe pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public,

Chéroy pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public,

Jussy pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public,

Ormoy pour l’éclairage public,

Passily pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public,

Quarré-les-Tombes pour l’éclairage public,

Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes pour l’éclairage public,

Val-de-Mercy pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public,

Vézelay pour les réseaux d’énergie et de l’éclairage public,

Villeneuve-la-Dondagre pour les réseaux d’énergie et l’éclairage public.

 

 

Les prix spéciaux du jury ont été remis aux localités suivantes :

 

Héry pour le prix du président du jury,

Annay-la-Côte pour le prix du jury,

Dixmont pour le prix d’encouragement du jury.

Précisons que Grégory DORTE, premier vice-président du Conseil départemental de l’Yonne en charge des grands projets et Dominique CHAPPUIT, présidente de l’Association des maires ruraux de l’Yonne ainsi que le président du SDEY Jean-Noël LOURY étaient également membres du jury aux côtés des chefs d’entreprise et des représentants de la presse radiophonique.

 

Thierry BRET

 

 


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Finalement, les Français vont-t-ils réellement céder à la tentation de casser leur tirelire et entamer ainsi le « trésor de la COVID » ? Vont-ils poursuivre l’effort d’épargne de précaution ? Le début d’année commence mal avec les soldes d’hiver qui affichent déjà une chute de 40 %. Cela en dit long sur l’état d’esprit de nos concitoyens ! L’épargne est cependant stabilisée. Le début 2022 est marqué par une très légère décollecte…

TRIBUNE : L’Elysée et le gouvernement espèrent la fin prochaine de l’épidémie. Les annonces spectaculaires fleurissent aux quatre coins du pouvoir ! On va voir ce qu’on va voir ! Le terme de la crise sanitaire est prévu vers le mois de juin. Ce sera le retour aux libertés de circuler, la disparition des confinements et autres contraintes…

Bref, le message est subliminal à lire : « vous pouvez profiter dès maintenant de vos réservations des vacances d’été, vous pouvez investir dans une nouvelle voiture (à condition de patienter plus de douze mois pour les véhicules neufs haut de gamme en rupture !), dans les équipements ménagers… ». Tous les experts  louchent sur les quelques centaines de milliards d’euros, propres à relancer l’économie et à augmenter le PIB.

N’oublions pas que « l’épargne COVID » est liée à une dimension psychologique évidente : la crainte de l’avenir. Pour que les Français se décident à vider leur bas de laine, il faut réunir plusieurs conditions : la fin certaine de la pandémie avec les vaccins qui portent l’espoir d’un retour à une vie normale (mais les variants font craindre de nouveaux reconfinements) ; la stabilité sociale avec la fin des grèves qui vont marquer les mois à venir jusqu’aux élections présidentielles ; la stabilité économique où trop d’incertitudes se profilent engendrant une situation d’endettement catastrophique.

Il est vrai que l’inflation galopante sur les produits de première nécessité (pain, pâtes, énergie, carburants…) grève de plus en plus le pouvoir d’achat des ménages. Nos dépendances industrielles et pharmaceutiques vis-à-vis de la Chine vont encore perdurer. Et ce pour longtemps !

 

La confiance : un argument à changer comme programme électoral…

 

Enfin, il y a la stabilité politique : elle ne pourra s’envisager qu’après les élections présidentielles et législatives, après la nomination du premier gouvernement et les premières mesures qui seront décidées. Reste l’international. De gros nuages noirs s’accumulent aux frontières orientales de l’Europe…

Pour consommer, il faut donc de la confiance. Le résultat est clair : il n’y a plus de confiance en les politiques de tout genre, dans les scientifiques du secteur de la santé et encore moins sur l’avenir. De toute façon, la confiance, facteur clef de succès d’une reprise par la consommation ne pourra se faire que progressivement. Pas avant le troisième trimestre 2022.

Il va falloir que notre président trouve un autre domaine électoral s’il veut assurer sa réélection ! Il peut toujours reporter les élections sine die s’il juge que la pandémie est trop forte, et que pour des raisons sanitaires, il ne faut pas risquer la santé des français… Pourquoi pas ?

 

 

Anecdote autour d’une vision imaginaire devenue réalité !

 

Un bon client, alors que j’étais encore son conseil patrimonial, me posa un jour cette question. « Et si vous aviez mon patrimoine (l’équivalent de deux millions d’euros à l’époque), vous me conseilleriez quoi ? ».

Comme il était amateur de « kir », je consentis à lui livrer ces quelques clefs, délivrés en 1984) : « Situons d’abord un contexte imaginaire : une crise économique forte associée à un environnement perturbé par de mauvaises conditions climatiques (sécheresse, tempêtes, ruptures d’électricité…), alors vendez votre portefeuille d’actions et alimenter vos livrets à hauteur de 10 à 15 % du patrimoine. On a tous en tête la carte « chance » du Monopoly : faites des travaux dans vos maisons ! ET n’oubliez pas l’acquisition d’une propriété avec la résidence, des dépendances, un étang pour le poisson, un verger, un potager, et éventuellement une basse-cour. De l’autosubsistance pour faire face à toutes les situations de crise… : on ne sait jamais ! ».

Aujourd’hui, j’ajouterais volontiers des panneaux solaires ! Bien sûr, nous sommes sûrement dans une stratégie imaginaire… elle n’est donc pas inimaginable ! « Ma philosophie ne m’a rien rapporté mais elle m’a beaucoup épargné » dixit Arthur SCHOPENHAUER…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 


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L’équation était assez simple à résoudre. Le président de la Commission départementale de Présence Postale Territoriale (CDPPT) Xavier COURTOIS n’ayant pu renouveler son mandat électoral lors des échéances cantonales en juin dernier, la place se libérait de facto pour y accueillir un nouveau prétendant. En l’occurrence, c’est l’élu régional Gilles DEMERSSEMAN qui a repris le flambeau de cet organe. Une succession logique, en somme : il en était jusque-là l'un des éléments prépondérants au sein du Conseil d'administration.

 

AUXERRE : Il est toujours hyper actif, le conseiller régional socialiste de Bourgogne Franche-Comté ! Gilles DEMERSSEMAN promène sa silhouette et son sens de la relation publique entre Dijon et Auxerre, de Toucy au moindre coin reculé de la campagne de Puisaye.

Enthousiaste et investi. On dirait que le temps n’a pas d’emprise sur lui, même s’il évoque à demi-mots une hypothétique retraite d’ordre professionnelle plutôt que citoyenne d’ici peu. On peine à le croire tant le garçon aime avoir des responsabilités. Ne serait-ce que pour faire bouger les lignes stratégiques d’organes institutionnels tels que la Région ou La Poste où il vient d’hériter de la fonction de président de la CDPPT, la Commission départementale de Présence Postale Territoriale.   

 

Une charge qui s’appuie sur de nombreuses années d’expérience…

 

Un appareil institutionnel qu’il connaît comme le fond de sa poche. Logique, il en était l'une des éléments prépondérants sous le mandat de son prédécesseur, l’ancien conseiller départemental Xavier COURTOIS, qui n’a pu retrouver son fauteuil en juin dernier.

Privilégier la concertation entre les élus et La Poste fait partie des axes prioritaires de cet outil qui a pour vocation de maintenir et de développer des liens. La présence postale est indispensable dans le cadre de la défense des services publics au cœur de la ruralité.

Reprendre le flambeau et succéder à Xavier COURTOIS s’apparentaient donc à une évidence légitime pour Gilles DEMERSSEMAN.

« Je n’avais pas trop le choix, plaisante-t-il, après les élections municipales, départementales et régionales, qui ont provoqué bon nombre de surprises dans le sérail ; au sein de cet organisme, j’étais l’un des rares à posséder ce regard fait d’expériences sur le fonctionnement de la CDPPT sur plusieurs exercices dans le temps ! ».

 

 

Un travail mutualisé avec tous les élus du territoire…

 

Membre de ladite structure depuis 2016, qui d’autres, hormis Gilles DEMERSSEMAN pouvait incarner cette salvatrice continuité au sein de cet organe vital pour le développement du relationnel pratico-pratique nécessaire avec les élus de proximité au moment même où le délégué départemental de La Poste quittait ses fonctions ? Marielle SOMMET faisant valoir ses droits à une retraite amplement méritée a laissé depuis sa place à Christine MORANGE, qui prend ses marques sur le département petit à petit.

Autre argument plaidant en la faveur de l’élu socialiste de la Région, sa volonté de travailler de façon mutualisée avec l’ensemble des élus de notre territoire. Qu’ils soient nommés dans un environnement urbain ou provenant d’horizons champêtres. Sans omettre le peu d’importance fait à la couleur politique ! 

« Ce qui compte en définitive lorsque l’on travaille avec des élus, précise Gilles DEMERSSEMAN, c’est le sens de l’intérêt commun au développement du territoire. Défendre le maintien du service public nous concerne tous. C’est mon sentiment le plus profond : nous devons travailler ensemble et sans parti pris pour le bien-être de nos territoires ».

 

 

Renforcer la présence postale dans les zones rurales : une certitude…

 

Sans ambages sur son rôle dont il esquisse les contours, le président évoque le devenir de la CDPPT. Elle veille à ce que le nombre de points contacts de La Poste ne baisse pas. Il en va de cette notion de service public à offrir à tous, et de l’accomplissement de ses missions régaliennes.

« La nature peut être aménagée, ajoute-t-il, on peut analyser les besoins réels des utilisateurs selon la configuration géographique, on peut y adopter l’ajout de nouvelles prestations et services, mais une chose est sûre : on ne doit pas supprimer cette présence postale de nos territoires. On va même aller encore plus loin dès cette année, comme l’a rappelé Philippe WAHL, le président de La Poste en novembre lors de la réunion des présidents de CDPPT : on devrait voir grossir le nombre de ces points contact dans les prochains mois… ».

A ce jour, le chiffre n’a pas encore été officialisé par les instances suprêmes de l’entreprise. Mais, l’initiative s’avère rassurante pour celles et ceux qui émettaient encore des doutes de voir s’éloigner cette présence postale, indispensable à la pérennité d’un territoire. La CDPPT et son président veillent au grain.

 

Thierry BRET

 


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Bien sûr, il y aura sur scène ce piano, probablement un Steinway de couleur noire tamisé par la lumière des projecteurs. Naturellement, le public vibrera en son for intérieur à l’idée de « la » voir enfin se produire à Auxerre. Même si elle fait abstraction des grands succès résumant quarante années de carrière avec les RITA MITSOUKO. Pour autant, la prestation de son égérie, la troublante et sensuelle Catherine RINGER, n’en sera que plus émouvante. Et épurée. Au service de la seule poésie et des textes oniriques, écrits par Alice MENDELSON.

 

AUXERRE : C’est sans doute l’évènement culturel de l’année. Même si le programme du théâtre d’Auxerre foisonne de rendez-vous riches et éclectiques jusqu’au terme de cette saison, tronquée par les soubresauts imprévisibles de la crise sanitaire. Plantons le décor ! Déjà, il y a ces textes et leur flamboyance. Ils ont été rédigés avec l’émerveillement de son autrice, à l’aube de sa vie puisque âgée de 95 ans, la surprenante Alice MENDELSON.

Une révélation littéraire sur le tard ? Sans doute ! Une personnalité unique, avec laquelle on aimerait discuter à bâton rompu des heures durant au côté de l’âtre de la cheminée. Elle jette sur le papier toutes ses impressions. Celles qui lui taraudent l’esprit, comme autant de témoignages sur tout ce qu’elle a vécu et traversé avant de quitter ce monde pour d’autres cieux.

 

Une histoire d’amitié et rien d’autre à la genèse du projet…

 

Pourtant, c’est son premier recueil de poèmes. De belles strophes écrites à fleur de peau, vivifiantes, toniques, osées qui narrent les sentiments et les passions d’une femme amoureuse de l’existence depuis les années 1950 jusqu’à aujourd’hui. Alice MENDELSON possède cet indéniable don de narratrice, de conteuse, de poétesse. Le talent scriptural s’en trouve magnifié. Des textes à forte musicalité qui pourraient même être interprétés sur scène…

Secundo, puisqu’ils seront lus face au public, celui d’Auxerre dont ce sera une première inédite dans cette configuration, il fallait des valeurs sûres dans l’expression orale et vocale pour assurer cet exercice sans filet. En transmettant la moindre parcelle d’émotion au public. En titillant les consciences de la plus infime des réflexions sur l’état de notre monde qui part à vau l’eau.

Le dénominateur commun de ces personnes qui se chargeront de faire vivre ces textes au grand jour ne sont autres que des amis de l’écrivaine. La poétesse Violaine BONEU que les amoureux de la programmation du théâtre auxerrois connaissent bien. Le conteur Pascal QUERE, qui même s’il a apporté sa complicité à l’accomplissement de ce travail, ne sera pas physiquement présent aux côtés du duo. Et…cerise juteuse sur le gâteau, Catherine RINGER ! La moitié des RITA MITSOUKO que l’on ne présente plus. Une star de ce rock tricolore décalé qui fit le beau jour des eighties.

Cette fois-ci, ce n’est pas en qualité de chanteuse de ce groupe mythique qui a éclairé plusieurs décennies de mélomanes qu’elle se présentera à nous mais bel et bien en récitante de poésies et de lectures.

 

 

Retrouver le public sur un registre inhabituel : la poésie…

 

Mais, pour celles et ceux qui seraient néophytes sur le sujet, qu’on se le dise : l’artiste possède différentes cordes à son arc et s’est déjà exercée par le passé à jouer la comédie.  

A son répertoire, il y a des films. Même pornographiques qui ont été tournés bien avant ses débuts de chanteuse en 1985. Le théâtre tient aussi une place prépondérante non excusable. Dont « Concha Bonita » où entre 2002 et 2005, Catherine RINGER occupera le devant de la scène dans une comédie musicale originaire d’Afrique du Sud, pétillante. Mais, de représentations scéniques uniquement articulées autour de la poésie, jamais.    

« J’aborde ce travail de manière très différente, confie l’artiste, jointe par téléphone, c’est une opportunité de retrouver le public sous un tout autre registre que celui de la chanson… ».

S’imprégner de textes qui célèbrent l’érotisme au féminin sous la plume d’Alice MENDELSON est une vraie partie de plaisir pour l’interprète du tube « Andy ». Des écrits pleins de générosité et de puissance qui ont été testés au Théâtre de la Huchette à Paris, antre des pièces du dramaturge Eugène IONESCO, au mois de décembre. Un avant-goût de ce qui attend les spectateurs icaunais. L’instant sera rare. Voire peut-être unique.

« On ne sait pas encore ce que l’on va faire de ce spectacle, précise Catherine RINGER, est-ce qu’il provoquera de l’enthousiasme parmi les spectateurs ? Rencontrera-t-il le succès ? ».

 

 

« Une belle parenthèse avant de me mettre en jachère… »...

 

Cette vision explicite de l’autre facette de la chanteuse, ce côté immergé et entouré d’un halo de mystère de l’iceberg, sera-t-elle suivie d’une suite, à l’aide d’une tournée en 2022 ? Pas si sûr ! L’artiste désire souffler un peu après une harassante série de récitals, consacrés au répertoire des RITA MITSOUKO durant plus de deux années et demie à travers l’Hexagone.

« Ce spectacle de poésie représente une belle parenthèse dans ma carrière alors que je souhaite me mettre en jachère pendant quelques temps. J’ai la chance de pouvoir décider et de le faire sans contrainte. C’est l’incertitude de l’aventure… ».

Disponible, agréable, accessible, la musicienne prend le temps de répondre aux interrogations. Et d’évoquer en quelques mots le lien d’amitié indéfectible qui l’unit à la plus emblématique nonagénaire de ce début d’année, Alice MENDELSON. Une amie de son père.

« C’est une grande dame, elle est formidable. Un personnage unique. Ses poèmes sont d’une rare beauté. Ils sont profonds, tendres et sensuels à la fois. Leur donner vie sur une scène est le plus des cadeaux que nous pouvons lui faire… ».

Le « nous » englobe d’autres amis. Connu pour ses travaux réalisés pour le cinéma, Grégoire HETZEL est aussi de l’aventure. Les œuvres d’Arnaud DESPLECHIN, Julie BERTUCELLI ou Mathieu AMALRIC ont bénéficié de ces lumineuses compositions. Quant à Mauro GIOLA, il assure la mise en scène d’une représentation qui ne devrait laisser personne indifférent.

 

 

En savoir plus :

L’érotisme de vivre

Samedi 05 février à 20h30.

Performance poétique avec Catherine RINGER et Violaine BONEU.

Théâtre d’Auxerre

 

Thierry BRET

 

 


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