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Ce jeudi 09 avril, la vie de l’assemblée départementale reprendra ses droits. Ou presque. Compte tenu de la crise sanitaire que traverse actuellement le pays. Ainsi, conformément au respect de la législation et des ordonnances qui en découlent, le Département de l’Yonne  utilisera un dispositif exceptionnel, à distance et grâce à la technologie, pour l’organisation de sa future session. Celle-ci, importante, se rapportant au vote du budget primitif 2020…

AUXERRE : Le test électronique essayé ce mardi 07 avril s’est avéré probant. Les élus de l’hémicycle départemental ne pourront donc se soustraire à leurs obligations régaliennes, ce jeudi, pour remplir leurs devoirs.

D’autant que cette session printanière du Conseil départemental malgré son aspect insolite sous sa forme revêt de la plus haute importance : il s’agira en effet pour les élus de voter les délibérations présentées dont celles relatives au budget 2020.

 

 

 

 

Dès 9 heures, l’ensemble des élus départementaux pourront participer à un débat public par le prisme d’une audioconférence. Le contenu sera capté et diffusé en direct sur la page Facebook de la structure institutionnelle : https://www.facebook.com/FildelYonne/live/

La procédure technologique favorisera ensuite le vote des différentes délibérations exposées. Quant aux résultats, ils seront rendus publics dès que possible, selon la formule consacrée, après la clôture des votes.

 

 

 


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Alors que le secteur est sévèrement touché par la propagation inexorable de l’épidémie de coronavirus, le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, Jean-Baptiste LEMOYNE, tenait un point presse depuis Paris ce mardi. Parmi les annonces, celle-ci qui est d’importance : le montant de prêts garantis accordés à la filière s’élève déjà à 552 millions d’euros. Une bouffée d’oxygène pour les TPE et PME d’un segment économique en proie à une crise sans précédent…

PARIS : L’épisode du COVID 19 laissera d’indélébiles traces dans l’activité économique mondiale. C’est indéniable. A l’image de ce que peuvent vivre et endurer les professionnels de la filière touristique (hôtellerie/restauration, bars, loisirs, voyagistes, transporteurs…) pour qui cette infection virologique est devenue un véritable cauchemar perturbant leurs nuits.

Hier, lors d’une conférence de presse téléphonique, Jean-Baptiste LEMOYNE, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de l’Europe, a rappelé que « le gouvernement était réactif face aux problématiques actuelles observées par les entreprises du secteur tourisme ».

Le conseiller départemental de l’Yonne a ainsi précisé qu’au total, 552 millions d’euros de prêts garantis avaient été accordés au niveau hexagonal à la filière en souffrance.

D’ailleurs, 11,5 % de ces sollicitations faites dans le cadre de l’obtention de ces prêts se rapportaient au secteur du tourisme.

Le secrétaire d’Etat a détaillé quelque peu la répartition de cette enveloppe budgétaire importante consentie à la filière : les entreprises franciliennes étant celles qui ont perçu le plus avec 145 millions d’euros devant celles implantées en région Nouvelle Aquitaine (69 millions), Grand-Est (48 millions) et le Sud (35 millions).

Il n’a pas été mentionné ce que vont percevoir les structures de Bourgogne Franche-Comté, elles-aussi impactées par la fermeture de leur établissement.

Quant à la reprise de l’activité, elle n’est malheureusement pas inscrite à l’ordre du jour. La priorité demeurant la gestion de la crise sanitaire qui sévit toujours avec vigueur.

Un G 20 du Tourisme, initialement prévu le 09 avril en visioconférence, a été décalé au 25 avril.

Son but sera de coordonner les différents aspects de la relance et de la reprise en évitant un phénomène de dumping qui pourrait s’avérer fatal à la filière…

Avec l’AFP.

 


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Une première machine découpe-laser devrait arriver du nord de l’Italie ces jours-ci. A condition que l’autorisation préfectorale soit suffisante pour faciliter la traversée de la frontière transalpine à cet appareil indispensable à la production. Mais, le dirigeant de la start-up industrielle de l’Yonne Frédéric ROURE est formel. D’autres de ces systèmes seraient nécessaires pour espérer fabriquer jusqu’à 300 000 masques de protection au quotidien. A partir de la fibre naturelle du chanvre…

LEZINNES: Il ne s’agit que d’une simple question de jours. Mais, d’ici peu, sans doute avant la fin de la semaine, le fabricant de géotextiles, toiles de paillages biodégradables et de textile végétal à base de fibres naturelles cultivées dans l’Hexagone sera en capacité de produire en quantité importante des masques de protection pour lutter contre la propagation du coronavirus.

Comme d’autres secteurs de cette filière dans le pays, GEOCHANVRE se mobilise à son tour dans cette quête effrénée à la conceptualisation du précieux ustensile protecteur.    

La PME aux dix salariés travaille activement à la modélisation d’un masque à partir d’intissé en fibres naturelles. L’enjeu est de répondre aux besoins de sécurité dans un cadre non médical.

L’entreprise s’appuie sur une technologie novatrice qu’elle a brevetée dans 140 pays. Celle-ci consiste à lier des fibres végétales par projection d’eau sous haute pression sans avoir recours à des adjuvants. On appelle ce procédé : l’hydroliage. Il favorise la production de manière industrielle des géotextiles intissés 100 % biodégradables.

Pour réaliser ce challenge, l’ingénieur à la tête de la structure entrepreneuriale, Frédéric ROURE, s’est appuyé sur les services de l’Etat et de la Région. Au terme de sa dernière conférence de presse vendredi 03 avril, la présidente de l’organe institutionnel régional Marie-Guite DUFAY devait tresser des lauriers élogieux à l’endroit de l’entrepreneur icaunais pour cette prise d’initiative.

« D’ici une huitaine de jours, avait déclaré l’élue franc-comtoise, GEOCHANVRE sera en mesure de concevoir des masques qui seront destinés à la protection des salariés dans les entreprises… ».

 

 

Les prototypes de masques ont reçu l’aval de la DGA…

 

D’autres partenaires sont entrés dans la danse. La société SO BAG, implantée à Blanzy en Saône-et-Loire et LASERTEC, basée à Arceau en Côte d’Or.

La première est devenue le référent sur la fabrication de « big bag » en France. La seconde est spécialisée dans le marquage, la gravure et la découpe au laser en sous-traitance depuis une vingtaine d’année sur le marché national.

Pour couronner le tout, le dirigeant de GEOCHANVRE a fait également appel aux bonnes volontés des élèves du Lycée professionnel Eugène Guillaume de Montbard (Côte d’Or).

Des tests conduits sous l’égide de la DGA (Direction générale de l’armement) ont conclu à la validation le 30 mars du prototype suggéré par la PME de Lézinnes le positionnant de facto dans la catégorie 2 des masques à usage non sanitaire.

Quinze mille de ces ustensiles jetables 100 % en matière végétale pourraient être conçus dès les premières semaines d’avril. Avant que ne survienne la montée en puissance progressive et logique liée à l’installation du nouvel équipement.

 

 

 

Interrogé par téléphone, Frédéric ROURE confirme que l’entreprise est dans sa phase de réorganisation afin de pouvoir répondre au mieux aux demandes urgentes des entreprises et des collectivités (la Communauté de communes du Tonnerrois en phase de test).

Si elle réussit son pari, GEOCHANVRE qui a déjà acquis une sérieuse notoriété depuis le lancement de sa gamme de paillage en vendant plusieurs centaines de milliers de mètres carrés à des maraîchers, vignerons, paysagistes ou services techniques de collectivités (Paris, Dijon…) remplirait à la perfection son rôle d’entreprise citoyenne. Au moment où on a le plus besoin de ce type d’initiatives dans l’Hexagone.

Mais, pour mieux optimiser son plan de bataille contre le coronavirus, Frédéric ROURE aimerait acquérir d’autres machines de découpe laser à son fournisseur italien. Histoire de renforcer encore plus le potentiel productif de son unité industrielle au quotidien. Mais, il est impératif qu’il obtienne les subsides adéquats.

Au-delà des soutiens de principe de la part des institutionnels, les aides financières sont en revanche toujours à l’étude auprès des organismes ad hoc. Or, Frédéric ROURE sait que chaque minute compte aujourd’hui dans cette guerre sans merci qu’il faut livrer contre la progression de l’épidémie.

Le temps presse alors que les masques de protection sont presque à porter de mains…

 

 


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Deux réquisitions de masques en moins d’une semaine par l’Etat : c’est trop pour le président du Conseil départemental de l’Yonne. Regrettant ce nouveau loupé avec beaucoup d’amertume, l’élu de l’Yonne s’insurge contre de telles méthodes et en appelle à une meilleure unité dans la gestion de ces répartitions…

AUXERRE: Une fois encore, la cargaison de masques protecteurs devant être distribués par les services du Département aux EHPAD et aux professionnels de santé nous passe sous le nez ! Les services de l’Etat se sont servis dès que les produits expédiés de Chine sont arrivés sur le tarmac de l’aéroport de Bâle Mulhouse dimanche. Au simple motif, mais après coup, de la réquisition.

De facto, ce nouvel épisode dans la guerre de tranchées que se livre depuis plusieurs jours l’ensemble des nations de la planète et leurs organismes institutionnels pour se procurer la précieuse matière protectrice gagne en intensité. Y compris par chez nous !

Intervenant deux semaines après une première commande effectuée par la Région qui a connu un sort identique, cette nouvelle réquisition est mal vécue par le président du Conseil départemental de l’Yonne.

 

 

« Je suis profondément indigné de la situation relative à l’acheminement de ces masques, confie-t-il. On peut comprendre certaines priorités du gouvernement pour faire face à l’épidémie du coronavirus. Mais, il est aujourd’hui urgent d’organiser au mieux les différentes commandes et leurs bonnes réceptions à qui de droit. Sans qu’il y ait de nouveaux loupés ! ».

S’insurgeant contre ce temps perdu pour la collectivité, Patrick GENDRAUD rappelle son désir de protéger au mieux la population.

A l’instar de ses homologues, présidents des huit départements de Bourgogne Franche-Comté, le président de l’assemblée départementale de l’Yonne se rallie à l’initiative de la responsable de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY.

Celle va saisir le ministre des Solidarités et de la Santé Olivier VERAN pour faire le point sur la situation. En espérant qu’une meilleure régulation soit enfin adoptée dans cette lutte solidaire contre l’infection virale.

 

 


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S’il existe un secteur économique qui vit actuellement sous une tension extrême du fait de ses activités, c’est bien celui des pompes funèbres. Pourtant, en cette délicate période de pandémie imputable à l’agressivité du coronavirus et de son taux de mortalité exponentiel, le flou n’existe pas dans la filière. Les règles y sont actualisées de manière régulière par l’Agence régionale de santé (ARS) et le Haut Comité de Santé publique. Permettant ainsi aux professionnels de s’adapter en temps réel…

AVALLON : Le flou artistique n’est pas de mise dans le secteur du funéraire à l’heure actuelle. Y compris dans l’organisation des obsèques de nombreux défunts qui ont été malheureusement impactés par la propagation galopante du coronavirus.

Les règles sont claires et connues. Elles émanent de l’Agence régionale de Santé qui a publié un certain nombre de recommandations dans le cadre de la gestion de décès imputables au COVID 19. Ou pour celles et ceux des personnes qui sont suspectés d’être en lien direct avec l’infection virale. Elles proviennent également d’un autre organisme qui fait référence en la matière : son Haut Comité national de santé publique. Celui-ci fait connaître aux professionnels du secteur ses recommandations et les décrets régulièrement adoptés par l’Etat.

Publiés et diffusés immédiatement, les professionnels peuvent ainsi s’adapter en temps sans qu’il n’y ait la moindre interprétation possible. Ces données informatives qui prônent la prudence sont nécessaires afin de limiter le risque de propagation du virus. Elles ont adapté la rédaction des certificats de décès à cette situation sanitaire tragique et hors du commun.

« Quand nous prenons en charge le corps d’un défunt, nous savons ce qu’il en est par la présence de ce certificat obligatoirement délivré par un médecin… ».

Directeur associé de la société « AEF » (Avallonnaise Espace Funéraire) depuis seize ans, l’interlocuteur du jour, Yves SENNEQUIER, qui nous livre son témoignage, sait de quoi il parle. Il possède une très longue et sérieuse expérience des pompes funèbres.

Alors que l’inquiétude gagne les Français, alors que beaucoup de choses ont été dites autour des obsèques, le professionnel d’Avallon apporte des précisions qui lui sont apparues nécessaires pour éviter le flou et les imprécisions.

 

 

 

 

Respecter du mieux possible les volontés du défunt…

 

« Chacun d’entre nous a besoin d’être parfaitement informé sur la situation, concède-t-il, il faut éviter de dire des contre-vérités. La période de crise que nous connaissons impose que les professionnels soient précis, sérieux et qu’ils ne créent pas plus d’anxiété que la légitime anxiété ambiante. Certes, les règles d’inhumation sont devenues plus rigoureuses pour lutter contre la propagation du COVID19. C’est évidemment une bonne chose… ».

Toutefois, Yves SENNEQUIER insiste sur le fait que ces recommandations utiles ne visent pas à interdire l’extraction des prothèses qui fonctionnent avec une pile.  

« Les professionnels, s’ils le sont, le savent. Cela veut dire que le choix de la crémation par les familles pourra être respecté. Chez « AEF », nous avons pris les dispositions imposées par la réglementation pour respecter le mieux possible leur choix… ».

Il va de soi, également, que pendant cette période épidémique, si la cause du décès n’a pas été provoquée par le COVID 19 après un diagnostic avéré, la réglementation des obsèques n’est pas modifiée.

Concrètement, et dans ce cas précis, la visite des familles et des proches de la personne décédée est toujours envisageable si les mesures et gestes barrières sont respectés.

L’entité funéraire, grâce à ses installations et à son organisation veille que tout soit mis en œuvre à cet effet

Commentaires d’Yves SENNEQUIER : « Chez « AEF », la visite du défunt se déroule avec une ou deux personnes seulement en même temps dans notre chambre funéraire. Notre volonté est d’accompagner les familles et les proches dans les meilleures conditions, dans le respect de leurs volontés et des règles sanitaires… ».

On l’aura compris : l’expérience professionnelle et le respect stricto-sensu des règles officielles permettent aux familles endeuillées de bénéficier d’un service empreint de respect et de dignité. Malgré l’aspect dramatique de la période…

 

 

 

 


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