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La procédure se voulait inédite. Et elle le fut. Sans qu’il n’y ait trop d’anicroches à redire au plan technique. Si ce n’est parfois une qualité sonore déficiente et perturbée par de sympathiques gazouillis d’oiseaux pour celles et ceux des élus qui avaient choisi de travailler depuis leur jardin !  Sans surprise, et malgré le refus de quatre conseillers d’y prendre part, le budget primitif 2020 a été entériné par trente-deux voix positives contre trois oppositions et deux abstentions. Un élu n’a pas souhaité prendre part au vote. Toutefois, des adaptations significatives seront nécessaires, compte tenu du contexte actuel…

AUXERRE : Au terme de cette séance de travail insolite, longue de quatre heures de débats et d’objections, le président de l’hémicycle départemental Patrick GENDRAUD se montrait satisfait de la tournure des opérations.

« Il n’y a pas eu de fausses notes, déclara-t-il soulagé à ses interlocuteurs dont il n’aura entendu que le timbre de la voix à distance téléphonique.

L’organisation d’une audioconférence qui devait réunir trente-huit conseillers départementaux sur les quarante-deux membres de l’assemblée dans les conditions du direct aura nécessité son lot de prouesses technologiques pour mener à bien ce rendez-vous qualifié d’important.

C’était un pari audacieux pour le patron de l’exécutif départemental. Il s’en était expliqué en préambule dès le début de la session : « En tant que démocrate, je tenais à faire voter le budget de l’institution départementale, COVID 19 ou pas, sur la base des orientations initiales préconisées le 07 février dernier… ». Et poursuivre ainsi le travail de la vie institutionnelle et politique de notre territoire.

Certes, ce choix des retrouvailles électroniques n’aura pas fait l’objet d’un consensus unanime. Trente-trois conseillers départementaux avaient choisi de se prêter à l’exercice même si l’un d’entre eux qui restera sous le couvert de l’anonymat (?!) décida de ne pas prendre part finalement au scrutin. Néanmoins, quatre autres noms manquaient à l’appel sur le registre des présences. Dont ceux, entre autres, de plusieurs éléments du groupe des indépendants.

 

Un budget prématuré dont les orientations vont voler en éclats ?

 

Patrick GENDRAUD y fit allusion après coup : « J’espère que les quelques-uns qui ont adopté une posture de boycott comprendront l’impérieuse nécessité de s’adapter aux circonstances et qu’il est nécessaire de travailler davantage pour l’Yonne et ses habitants pendant la crise actuelle… ». Dont acte.

Sans doute, ces élus réfractaires à la tenue de ce dispositif numérique exceptionnel n’ont-ils pas estimé nécessaire de trancher en faveur d’un budget primitif qui ne prenait pas en compte la réalité de l’instant ? Ce fut en tout cas l’un des arguments avancés par l’élu socialiste, Nicolas SORET, bien présent quant à lui  lors de ces échanges qui ne vota pas favorablement ce budget.

« Le véritable débat aura lieu plus tard, précisa le nouveau maire de Joigny, avec de telles incertitudes auxquelles nous sommes confrontées à l’heure actuelle, il est difficile de parler de recettes et de dépenses… ».

Et l’élu du Jovinien de conclure : « Ces orientations budgétaires vont voler en éclats, car il nous faudra travailler au moment opportun sur les choix réels que nous devrons prendre… ».

Pour autant, et malgré ces rares voix discordantes (il y eut également celles de Françoise ROURE et de Delphine GREMY qui votèrent contre le budget), le président du Conseil départemental ne put que se féliciter du résultat positif obtenu en fin de séance. Au moment de clore le chapitre, une très large majorité se dégageait de ce choix démocratique. Analyse de l’intéressé :

« Je l’ai toujours dit : la majorité, ce sont les élus qui votent le budget. Les expressions négatives sont légitimes. Mais s’il ne faut pas les ignorer, il ne faut pas non plus les promouvoir à l’excès et les considérer comme partagées… ».

 

Un plan d’action départemental arrêté avant juillet…

 

Ayant obtenu gain de cause, Patrick GENDRAUD se projette désormais vers l’étape suivante de ce processus budgétaire à finaliser. Car, comme beaucoup l’ont dit durant les échanges téléphoniques, il sera indispensable d’adapter la copie à la réalité du terrain qui est en proie aux affres du doute et de l’incertitude.

Un plan d’action départemental au profit de l’Yonne et de ses habitants est en phase d’ébauche. Sa substance pourrait être connue avant le 15 juillet. D’ici là, les présidents de commissions mobiliseront leurs troupes afin d’étudier toutes les propositions qui s’imposent. Selon les besoins du terrain et des capacités d’intervention de l’organe institutionnel.

On prévoit déjà l’achat d’équipements de protection et de décliner différentes voies de soutien auprès des entreprises qui en feraient la demande.

Bref : le plus dur commence pour le Département de l’Yonne qui doit poursuivre ses missions régaliennes puisées sous le sceau de la démocratie tout en demeurant au service des habitants de son territoire…

 

 


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Les consignes sont, on ne peut plus claires. Il est illusoire de croire que le week-end de Pâques servira de fallacieux prétexte pour quelques-uns d’entre nous qui auraient des fourmis dans les jambes et l’irrésistible envie de se carapater à la campagne dans sa résidence secondaire. Le confinement doit s’effectuer stricto sensu sur le lieu initial où il a été commencé…Ce ne sont pas les représentants des forces de l’ordre qui diront le contraire !

AUXERRE: Dans le département de l’Yonne comme sur l’ensemble de l’Hexagone, la mobilisation est quasi générale chez les forces de l’ordre. Surtout à la veille du week-end de Pâques, l’un des plus animés côté fréquentation routière en temps normal.

Le contexte si particulier de ces fêtes pascales 2020 engendre des mesures d’exception sur les autoroutes et routes de France. Les contrôles vont se renforcer en cette période propice aux vacances, d’ordinaire.

Le préfet de l’Yonne Henri PREVOST l’a rappelé lors de son dernier point presse de jeudi : il y aura une très forte présence implicative de la part des gendarmes et des policiers durant cette période, synonyme de départs. Mais, là, il s’agira de faire respecter l’application des mesures du confinement.

Du côté de la gendarmerie, ce sont trente patrouilles qui suivront l’évolution en temps réel de la circulation routière. De manière dynamique avec les forces motorisées mais aussi sur des points fixes.  

Si le ruban d’asphalte que forme l’A 6 Paris Lyon restera l’axe de communication à privilégier en priorité, il n’empêche que les hommes du responsable du groupement de la gendarmerie de l’Yonne, le colonel Rénald BOISMOREAU, surveilleront avec la dextérité qu’on leur connaît le réseau routier national et départemental ainsi que les zones touristiques et sites de résidences secondaires.

 

 

Contrôler les points stratégiques de jour comme de nuit…

 

Toute infraction au dernier arrêté préfectoral signé hier est passible de sanctions selon les lois et règlements en vigueur, à savoir une amende de 135 euros (contravention de 4ème classe). La note s’alourdit en cas de récidive (200 euros) et lorsqu’une personne est verbalisée à plus de trois reprises dans les trente jours, elle encourt six mois de prison et de 3 750 euros d’amende  ainsi que deux peines complémentaires, l’exécution d’un travail d’intérêt général et la suspension du permis de conduire pour trois ans maximum…

Le préfet a également demandé aux forces de l’ordre de renforcer les contrôles, de jour comme de nuit, de points névralgiques tels que les péages, les gares, les entrées de villes.    

Directeur départemental de la sécurité publique, le commissaire divisionnaire Raphaël JUGE a, quant à lui, rappelé qu’une dizaine de patrouilles de la police nationale assuraient une surveillance stricte à Auxerre comme à Sens. Trois objectifs définissent leurs missions : le respect des mesures de confinement à l’aide de contrôles fixes et mobiles (piétons), la sécurité routière et les services de police secours, notamment dans le cadre de tapages et violences. A ce titre, 120 appels ont ainsi été recensés au cours des dernières vingt-quatre heures.

 

 


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L’esprit de solidarité prévaut. Afin de garantir une alimentation de qualité et en quantité suffisante. Le challenge est d’importance en pareilles circonstances. Mais, il s’applique dans le respect des règles sécuritaires telles qu’elles ont été définies. Les dirigeants du groupe coopératif 110 Bourgogne s’y emploient via l’ensemble de leurs collaborateurs pour préserver la continuité alimentaire.

AUXERRE : En cette période de crise sanitaire aigüe, le monde agricole est en première ligne. Grâce au maintien de ses activités qui sont indispensables à la vie quotidienne du pays. Nourrir l’ensemble de nos concitoyens, mais pas seulement puisque la filière doit assurer la sécurisation du processus de fabrication et d’approvisionnement des denrées alimentaires.

Aussi, il n’est pas surprenant d’observer la mobilisation totale des coopératives qui représentent l’un des maillons forts de ces rouages incontournables à la vie sociale et économique de notre pays.

Les dirigeants de 110 Bourgogne ont parfaitement assimilé ce positionnement. Encourageant la poursuite des activités. Aujourd’hui, tous les salariés sont à leur poste pour répondre à une tâche prépondérante : préserver ce fil d’Ariane vital entre la structure et sa clientèle. Mais, uniquement dans le respect des gestes barrières qui avaient été instaurés dès le 28 février. Bien avant le confinement généralisé à l’Hexagone. A l’époque, cela prêtait à sourire…

 

 

 

Des mesures de sécurité pour préserver la santé de tous…

 

Respectueux de la démarche RSE, les dirigeants du groupe coopératif Gérard DELAGNEAU, président, et le directeur général, Jean-Marc KREBS, ont défini avec l’avis des membres du CSE, des salariés et des représentants du Conseil d’administration plusieurs mesures concrètes afin d’optimiser ce plan d’action réactif.

Ainsi, la distribution d’équipements de protections individuels tout comme l’encouragement à la pratique du télétravail ont été privilégiés. Sur les sites fermés, la distanciation est devenue une réalité tangible. Quant aux rencontres et autres rassemblements non obligatoires à la vie de l’entreprise, ils ont été placés dans la case des pertes et profits. Jusqu’à nouvel ordre.

Les magasins, GAMM VERT et La VIE CLAIRE, même s’ils demeurent opérationnels afin d’assurer l’alimentation humaine et animale, ont été pourvus de système de commande drive par téléphone avec retrait en caisse. Ce processus garantie une réduction des risques de propagation de l’infection virale avec une présence réduite du personnel in situ et une manipulation des produits limitée à la portion congrue.

D’ailleurs, il est possible de connaître les horaires adaptés de ces commerces en consultant le site www.gammvert.fr

Comme le souligne en substance Gérard DELAGNEAU : « l’agriculture est élevée au rang de secteur stratégique prioritaire : nous nous devons de participer à cet effort national ! ».

 


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C’est la résultante d’un vrai travail de mobilisation et de coopération mis en place avec le département francilien limitrophe. Et de l’entraide qui se doit d’exister entre partenaires institutionnels lorsque l’on est dans la panade face à une crise sanitaire hors normes. Le président de l’exécutif départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD n’a pas hésité à se rendre ce mercredi après-midi à Melun afin d’y réceptionner 70 000 masques de protection, ces indispensables ustensiles pour équiper les personnels soignants e les associations ad hoc qui luttent d’arrache-pied contre l’épidémie de coronavirus.

AUXERRE : Il était 13h50 ce mercredi 08 avril lorsque la fourgonnette à bord de laquelle avait pris place le président du Conseil départemental de l’Yonne Patrick GENDRAUD quittait l’esplanade du Département de Seine-et-Marne à Melun. Avec dans son coffre, les trente-cinq cartons qui renfermaient la dotation totale de soixante-dix mille masques de type chirurgical.

Deux heures plus tard, la précieuse cargaison était débarquée par une équipe restreinte du Conseil départemental dans la capitale de l’Yonne. A la grande joie de l’élu icaunais !

Car, cette fois-ci, la commande est arrivée à bon port. Et ne sera pas réquisitionnée par les services de l’Etat comme les deux précédentes fois. Provoquant l’indignation légitime du président de l’assemblée départementale qui s’en est montré fort mari.

Aimant privilégier l’action à la démonstration, Patrick GENDRAUD s’était rapproché il y a quelques jours de l’un de ses élus de l’hémicycle, le maire de Saint-Clément Gilles PIRMAN.

 

 

 

L’élu du Sénonais a ce particularisme de siéger dans l’Yonne au sein de l’institution départementale et de travailler au quotidien en Seine-et-Marne, en qualité de directeur de cabinet du président départemental, l’UDI Patrick SEPTIERS.

Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice dans cette course contre la montre pour trouver coûte que coûte ces fameuses protections en tissu, et de répondre ainsi aux besoins de Patrick GENDRAUD, Gilles PIRMAN lui a donc proposé de participer à une commande de masques initiée par Conseil départemental de Seine-et-Marne auprès d’un importateur chinois. Patrick GENDRAUD accepte avec enthousiasme et passe commande de cent mille unités.

« Aujourd’hui, j’en réceptionne 70 000 exemplaires, concède l’ancien maire de Chablis, d’autres sont à venir : je vous tiendrai informé… ».

D’autant que cette livraison précède sans doute de quelques jours un autre arrivage de cent mille pièces de type FFP2 correspondant à la commande réalisée par la Région Bourgogne Franche-Comté il y a peu. Estimation possible pour en prendre possession : autour du 10 avril.  

 

 

 

Une distribution priorisée vers les acteurs de la santé…

 

 

Comme devait le confirmer le directeur général adjoint des pôles Solidarités départementales dans l’Yonne, Guillaume MARION, à réception des premiers cartons, ces masques seront prioritairement acheminés vers les opérateurs de la protection de l’enfance (foyers, équipes d’intervention à domicile, maisons d’enfants à caractère social…) et aux assistants familiaux.

Sont également concernés les établissements accueillant des personnes handicapées (foyers de vie et d’hébergement), les EHPAD qui auraient des besoins de réassort (le renfort des stocks en cours de distribution s’effectue par l’Agence régionale de santé) et les services d’aide à domicile et services de soins infirmiers. Les auxiliaires de vie qui accompagnent journellement les personnes âgées et celles en situation de handicap intègrent cette liste de bénéficiaires.

D’ores et déjà, Patrick GENDRAUD a confirmé lors d’un point presse spécial réalisé au pied du chargement sur le parking du Conseil départemental que « d’autres pistes d’approvisionnement étaient à l’étude pour subvenir aux besoins de l’Yonne ».

Il semblerait que la passerelle établie avec la Seine-et-Marne se poursuive selon les opportunités offertes.

Mais, aujourd’hui, le manque criant de consommables se fait surtout ressentir sur d’autres produits tels que les charlottes, les sur-blouses et les sur-chaussons.

En revanche, la pénurie de gel hydro-alcoolique n’est plus à l’ordre du jour des observations grâce à la fabrication constante de ce liquide protecteur assurée par les services du SDIS et les officines de pharmacie.

 

 


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L’épidémie de coronavirus frappe durement les Etats-Unis, faisant de ce poids lourd de l’économie mondiale le nouvel épicentre de la pandémie planétaire. La liste des décès s’allonge un peu plus chaque jour (une moyenne de deux mille morts au quotidien) faisant de l’Union des cinquante états la nation qui présente le pire bilan sanitaire aujourd’hui. Il n’en fallait pas davantage pour stopper nette la production industrielle. Y compris celle du secteur automobile qui a arrêté toutes ses activités. A l’image du groupe TESLA…

PARIS : Les chiffres les plus récents communiqués par le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) ne sont pas bons. Le nombre d’immatriculations s’est effondré de plus de 70 % en l’espace d’un mois, du fait de la propagation du coronavirus. Toutes les enseignes sont ainsi impactées par ce phénomène sanitaire sans précédent de l’ère moderne. Qu’elles soient nationales, comme étrangères.

Mais, aujourd’hui, tous les regards convergent vers les Etats-Unis d’Amérique, devenus la nouvelle zone rouge de la progression de l’épidémie dans le monde. La demande américaine en matière de consommation de véhicules s’est réduite comme peau de chagrin. Contraignant de facto la plupart des constructeurs à réduire la voilure : ils ont été obligés de laisser leurs unités de production à l’arrêt.

C’est le cas de TESLA. Le groupe a mis un terme à ses activités dans ses usines depuis le mois dernier. Notamment celle de San Francisco qui conçoit les fameuses automobiles.

Ce site emploie plus de 10 000 salariés pour une production annuelle  de plus de 415 000 unités. Conséquence directe de cette suspension d’activité : les travailleurs qualifiés de non-essentiels ont été mis en disponibilité avec des réductions de salaire.        

La baisse de la rémunération sera effective au 13 avril. Et ce jusqu’à la fin du second trimestre a fait savoir la direction générale du groupe à l’agence REUTERS (sources).

Elle sera de 10 % pour les ouvriers, de 20 % pour les postes de direction et de 30 % pour les vice-présidents. Des réductions similaires seront applicables dans les filières internationales de la marque.

 

 

Ses bons résultats et des liquidités suffisantes devraient permettre à TESLA de faire face…

 

Ce coup de frein survient au plus mauvais moment pour TESLA. Avec le lancement du modèle Y, le constructeur américain tablait sur une excellente commercialisation au cours de ces prochaines semaines. Toutefois, l’avenir du groupe n’est pas mis en danger.

L’entreprise d’Elon MUSK a réalisé de bons chiffres de livraison au premier trimestre à l’échelle américaine malgré le début de l’épidémie de coronavirus. En outre, le groupe peut faire face à une longue crise, disposant de 6,3 milliards de dollars de liquidités.  

Si tout se déroule pour le mieux au vu du contexte sanitaire, TESLA prévoit un redémarrage des activités le lundi 04 mai. Sauf modification importante.

D’ici là, le géant américain prend son mal en patience en se consolant de sa bonne tenue sur le marché français. Il s’est vendu en effet près de 6 500 exemplaires de son modèle 3 en 2019.

Plaçant ce véhicule sur le podium des meilleures ventes, juste derrière la Renault Zoe qui caracole toujours en tête et de très loin avec ses 19 000 automobiles commercialisées…

 

 


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