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Dans un courrier qui leur a été adressé par le président de la structure associative d’Auxerre, Claude ROUSSEAU-ANDRE, les parlementaires de l’Yonne, à savoir les sénatrices Dominique VERIEN et Noëlle RAUSCENT, ainsi que leurs homologues siégeant au Palais Bourbon, les députés Guillaume LARRIVE et André VILLIERS, ont été alerté sur les réels dangers en terme de liberté publique qu’il y aurait à voter en faveur de l’application de suivi de contacts « StopCovid ». Voici l’intégralité de cette missive…

TRIBUNE : En principe, le 28 avril à l’Assemblée nationale, vous serez appelé à un débat suivi d’un vote sur l’éventuelle mise en œuvre de l’application de suivi de contacts « StopCovid », destinée à lutter contre la pandémie Covid-19 et présentée comme une application de déconfinement. Installée sur les smartphones, cette application serait capable d’alerter son propriétaire s’il a « croisé », dans les jours qui précèdent, une personne atteinte de la maladie afin qu’elle prenne les précautions d’usage pour d’arrêter la propagation de la maladie. Un service d’attribution de pseudonymes permettrait à « StopCovid » de ne pas révéler l’identité de la personne infectée croisée, et le Bluetooth ne permettrait pas la géolocalisation.

Annoncée comme conforme, notamment aux principes du Règlement général sur la protection des données (RGPD), elle respecterait la vie privée dans la mesure où l’anonymat des alertes serait garanti, et où l’utilisation du Bluetooth ne permettrait pas de géolocaliser les personnes. Elle ne serait installée que sur la base du volontariat. Présentée comme étant d’une grande simplicité, « StopCovid » comporte pourtant de nombreux paramètres qui posent problème, qu’ils soient d’ordre technologiques, médicaux, scientifiques ou éthiques.

Si le Bluetooth ne permet pas de géolocaliser les personnes, il ne permet pas non plus d’évaluer avec précision la distance entre celles-ci, ni même de détecter si elles étaient séparées par un plexiglas, une vitre ou un mur. Comme il permet d’accéder aux données du téléphone, y compris contre la volonté de son propriétaire, son activation est généralement déconseillée et doit donc être volontaire mais il peut être désactivé par certaines fonctions du téléphone, comme la lecture de sa messagerie ou autre, ce qui rendra « StopCovid » inopérant.

 

Vers un signalement de « faux positifs »…

 

Entre les deux principaux systèmes opérationnels sur les smartphones, (IoS pour les Iphones d’Apple et Android de Google pour la plupart des autres marques), les connexions Bluetooth passent mal. C’est pourquoi les deux entreprises proposent exceptionnellement un protocole de communication entre leurs deux systèmes, protocole dont on peut craindre qu’il permette aux deux « géants » d’avoir accès à quelques données du téléphone.

C’est aussi la raison pour laquelle le secrétaire d’Etat au numérique a demandé à Apple de modifier cette désactivation du Bluetooth par défaut, allant ainsi à l’encontre des principes du RGPD alors qu’il devrait en être l’un des garants. Par ailleurs quelles que soient les promesses d’anonymat, il n’est techniquement pas possible de le garantir. Même si l’on nous affirme qu’un serveur central qui distribuerait des pseudonymes sera « honnête et sécurisé ».

Les connaissances sur les modes de transmission du virus sont encore incertaines, et comme le Bluetooth ne permet pas de mesurer la distance entre les personnes ni la durée du « contact », les alertes de l’application pourraient signaler de nombreux « faux positifs ».

D’un autre côté, se déclarer atteint du Covid-19 (ou être déclaré par une autorité non encore définie) nécessite d’avoir été testé. Or, les tests manquent et sont pratiqués avec parcimonie. Par ailleurs, selon les projections mathématiques, il serait nécessaire pour que « StopCovid » soit efficace qu’au moins 60 % de la population l’installe, or même dans un Etat comme Singapour, pourtant donné en exemple, moins de 20 % de la population a installé l’application équivalente (et le confinement a dû être rétabli).

 

De la discrimination envers les populations les plus concernées…

 

Le choix d’utiliser les smartphones est un facteur de discrimination qui mettra toute une partie de la population à l’écart. En effet seulement 44 % des « plus de 70 ans » possèdent un téléphone portable tandis qu’au moins 14 % des Français ne sont pas à l’aise avec les manipulations comme l’activation du Bluetooth ou l’installation d’une application. Pourtant, ce sont souvent les populations considérées comme les plus « à risques ».

Les problèmes techniques relevés pourraient, a contrario, mettre en danger les individus trop confiants dans l’application qui ne pourra pas signaler qu’un malade qu’ils n’ont jamais croisé a touché la poignée de porte de leur boutique préférée. L’installation de « StopCovid » sur la base du volontariat traduirait le consentement des individus, mais le caractère libre et éclairé de celui-ci n’est pas avéré. En effet la pression sociale et patronale, l’éventuel refus d’accès à certains services, la stigmatisation des « réfractaires » risque d’obliger un grand nombre de personnes à l’installer.

Enfin la solution technologique que l’on vous propose de voter pour mettre fin à la pandémie porte en elle le risque d’une habituation à une surveillance généralisée, banalisée et pérenne. La fin de la pandémie étant tout à fait incertaine, la suppression de l’application, que l’on nous promet à la fin de la crise sanitaire, risque de ne jamais intervenir, d’autant plus qu’elle pourrait bien servir pour prévenir d’autres risques à venir.

Les risques d’atteinte au respect de la vie privée et au secret médical, les risques de surveillance généralisée au regard d’une efficacité tout à fait incertaine conduisent la Ligue des droits de l’Homme (LDH) à vous demander instamment de vous opposer au projet « StopCovid ». Vous comprendrez que cette démarche soit rendue publique…

Claude ROUSSEAU-ANDRE

 


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C’est une constatation flagrante depuis plusieurs semaines : il y a une recrudescence d’intérêt de la part des entrepreneurs pour la communication digitale. Alors qu’en période de crise, le premier budget impacté durablement est celui de la communication, il s’avère qu’il n’en est rien aujourd’hui. Du moins pour tout ce qui a attrait à l’outil technologique qui permet de transmettre les informations sur les réseaux sociaux…

AUXERRE : C’est ce que vit au quotidien l’agence de communication « COMMUNIK & VOUS » depuis plus d’un mois déjà. Les quatre personnes embarquées dans cette aventure professionnelle au sein de cette structure ont fort à faire pour répondre aux besoins en cascade des TPE/PME de notre territoire.

Toutes n’ont qu’une seule envie : faire savoir qu’elles existent encore par la voie des réseaux sociaux.

Connexions via Facebook, vers Instagram ou sur Twitter se multiplient. A l’instar des grandes métropoles de l’Hexagone, l’Yonne n’est pas en reste pour alimenter ces puissants réseaux devenus au fil des ans de véritables influenceurs. Tant au niveau de l’opinion et des débats d’idées que de la consommation et du développement des affaires.

Qu’il s’agisse de Cédric, informaticien de profil, Marina experte dans l’art du graphisme et de la valeur ajoutée apportée aux outils papier ou Cyrielle, spécialiste en community management, tous ont à cœur d’apporter leur savoir-faire à leur chef d’entreprise qui pilote ce navire avec maestria, Fanny VIAUT.

 

Gérer l’urgence des entrepreneurs qui veulent être présents sur la toile…

 

L’équipe, même en état de confinement, n’aborde pas la crise sanitaire en dilettante. Il faut gérer l’urgence des besoins. En particulier l’animation des réseaux sociaux de la clientèle qui profite de l’outil pour communiquer à loisir vers sa cible.

Aspect positif : l’agence de communication auxerroise a même pu développer son portefeuille avec l’apport de nouveaux clients durant cette période complexe. Mais, revers de la médaille : le flux d’activité restreint sur d’autres postes n’a pas permis d’honorer toutes les priorités évènementielles des entreprises ayant dû annuler leurs opérations au cours de ce printemps.

L’amorce de la reprise du 11 mai incite donc les entreprises à multiplier les messages vers les réseaux sociaux. Créant un vent d’optimisme, certes encore mesuré, dans le microcosme entrepreneurial de l’Yonne…

 


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Une nouvelle cargaison arrivera de Chine pour alimenter les besoins de la Bourgogne Franche-Comté ce dimanche 26 avril. Les masques chirurgicaux si recherchés seront répartis entre Dijon Métropole, le Grand Besançon et l’Agence régionale de santé. Les scolaires et les petites communes recevront eux des masques en tissu, dits alternatifs, pour préparer la reprise des cours le 11 mai…

DIJON : Une nouvelle livraison de masques chirurgicaux est attendue pour la journée dominicale de ce 26 avril. En provenance d’Asie, cette marchandise complétera ainsi les quatre millions d’exemplaires qui ont été déjà acheminés en Bourgogne Franche-Comté grâce à l’intervention de l’institution régionale.

Les produits perçus ce dimanche dans la capitale territoriale seront ensuite dispatchés entre Dijon Métropole, le Grand Besançon et l’Agence régionale de Santé qui ne manqueront pas de les distribuer vers les professionnels de la filière sanitaire.

En parallèle, et afin d’anticiper de manière optimale le retour des élèves dans les établissements scolaires à partir du 11 mai, la Région a choisi d’équiper l’ensemble de la population en masques dits alternatifs. Conçus en tissu, ces masques lavables pourront servir à plusieurs reprises.

« Dans un souci de protection et de précaution, nous allons engager des concertations avec les associations d’élus, devait déclarer à ce propos la présidente Marie-Guite DUFAY lors de l’assemblée plénière de ce vendredi, pour passer de nouvelles commandes groupées afin de doter les élèves usagers de nos transports scolaires… ».

Un choix stratégique qui permettra à l’organisme régional de venir en appui des communes de moins de 10 000 habitants qui rencontreraient des difficultés à s’approvisionner.

Ce sont in fine 2,5 millions de masques en tissu qui ont été commandés par le Conseil régional auprès d’entreprises françaises pour pouvoir honorer le plus vite possible ce besoin en équipement.

La réception est envisageable aux alentours du 04 mai. Naturellement, des commandes complémentaires pourront être réalisées si nécessaire…

 


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Frustrés par l’entrée en vigueur des mesures de confinement, les amateurs de ventes adjudicataires ne peuvent plus fréquenter leurs lieux de prédilection. Les hôtels des ventes sont désormais portes closes depuis la mi-mars. Mais, cela ne les empêchera pas de surfer sur la toile à la recherche de bonnes affaires. A l’instar de celles qu’ils pourraient réaliser avec la vente mobilière d’Auxerre Enchères ce lundi 27 avril…

AUXERRE : Des tableaux anciens, une collection de bijoux, des objets d’art, du mobilier classique et contemporain, des toiles modernes…lundi 27 avril, Me Frédéric LEFRANC renoue avec les bonnes vieilles habitudes de la vente par adjudication en proposant un rendez-vous qui ne devrait pas déplaire aux aficionados de la spécialité.

Même si cette animation n’aura ni le goût ni la saveur d’une véritable vente réalisée dans les règles de l’art de manière physique, ces retrouvailles avec l’univers spécifique des enchères devrait attirer son lot de partisans.

Car, évidemment, compte tenu des mesures sanitaires liées au coronavirus, l’opération animée par le commissaire-priseur auxerrois se déroulera sans public.

 

 

Une vente possible uniquement par la plateforme dédiée…

 

La vente s’effectuera exclusivement en direct via la plateforme Interenchères. Concrètement, les ordres d’achat ne se feront pas par téléphone mais ils devront parvenir à l’étude avant le lundi 27 avril à 11 heures.

De même, précise Me LEFRANC, « la vente sera proposée sans exposition préalable des lots. Les photos de chacune des pièces étant diffusées sur le site et la plateforme Interenchères… ».

Quant à l’enlèvement des lots, il aura lieu à la fin du confinement et uniquement sur rendez-vous, et ce quel que soit le mode d’enlèvement choisi.

Et Frédéric LEFRANC d’ajouter que « le gardiennage restera gratuit jusqu’à l’enlèvement des lots… ».

Le numérique permet donc d’organiser des enchères ce qui ne peut que satisfaire le commissaire-priseur d’Auxerre. L’étude demeurant fermée au public jusqu’à la levée des mesures de confinement.

Précisions : les estimations gratuites des biens se poursuivent par mail sur la référence suivante, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 


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La Communauté d’agglomération a décidé de répondre favorablement à la requête du Département. L’organe institutionnel souhaitait procéder à l’achat groupé de masques jetables. La communauté de l’Auxerrois ayant validé cette option passera donc commande de cinq masques jetables par habitant (soit un total de 355 000 exemplaires) qui seront remis ensuite aux résidents de sa zone géographique…

AUXERRE : Pour sa seconde réunion de crise, la cellule organisationnelle préparant la sortie du confinement réunie autour de Guy FEREZ a abordé parmi les différents sujets traités ce jour la gestion des masques.

Le groupe de travail a ainsi étudié les différentes hypothèses qui permettront d’assurer rapidement et efficacement la distribution de ces ustensiles précieux à la population. Chaque commune devra assurer la distribution de ses auxiliaires à la sécurité à ses habitants.

Dans le cas de la ville d’Auxerre, le choix a été fait d’aller à la rencontre de tous les habitants dans une vaste opération de porte-à-porte qui sera menée par les agents de la ville en lien avec ceux de l’Office Auxerrois de l’Habitat.

Si les fournisseurs tiennent les délais qui sont inscrits dans les contrats signés, l’opération pourrait débuter dès le 11 mai.

 

 

Un centre de distribution sera ouvert en parallèle de cette opération pour que les habitants absents de leur logement au moment du passage des agents municipaux puissent venir chercher le précieux masque.

Un guide de bonne utilisation du masque et de rappel des consignes pour faire barrage à la propagation du virus sera également distribué.

Par ailleurs, la Communauté de l’Auxerrois a commandé à trois entreprises différentes un total de 71 000 masques réutilisables. Ils sont lavables entre vingt et quarante fois. Soit un masque pour chaque habitant du territoire.

 


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