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« Je suis un « marcheur » de la première heure ! Au début, nous n’étions qu’une petite dizaine dans l’Yonne… ». Avec son baccalauréat Sciences Économiques et Sociales obtenu au lycée de Joigny en poche, ce jeune homme, âgé de 21 ans, jongle entre sa vie d’étudiant en Sciences Politiques à Lille et sa toute jeune expérience aux côtés des « Jeunes avec MACRON » et des ténors pilotés par Denis THURIOT aux régionales…

 

JOIGNY : Engagé depuis 2016 pour soutenir la candidature à la présidentielle d’Emmanuel MACRON, Nathan DOS SANTOS a assisté depuis cette échéance nationale avec grand intérêt aux joutes offertes par les législatives et par la campagne des européennes.

« Je ne pensais pas du tout que j’allais être mordu par la chose politique aussi longtemps ! C’était un soir à la suite du discours du président à la Mutualité je crois où Emmanuel MACRON a évoqué « notre projet ». Par la suite, j’ai adhéré sur le site « En marche » car il y avait un comité à Joigny. Le virus m’a pris, j’ai donc voulu assister à une réunion... ».

Militant au sein du mouvement « Les Jeunes avec Macron » (JAM), Nathan a été nommé référent départemental en 2018 puis coordinateur régional en 2020. Ce rôle a été davantage axé sur le management et la coordination entre les autres référents d’autres départements. Nathan, lui, s’est centralisé sur sa région de prédilection, la Bourgogne-Franche-Comté.

Les JAM représentent les jeunes citoyens du territoire français. Aujourd’hui, ils sont 27 500 adhérents répartis dans toute la France.

 

Des gammes réalisées dans les hautes sphères de la République…

 

 

Avec plusieurs stages à son actif, Nathan possède ce profil d’étudiant engagé au service des autres citoyens. Stagiaire à l’état-major des Armées en 2015 durant un mois, puis à l’Assemblée nationale au sein du cabinet de la présidente de la Commission de la Défense nationale et des forces armées de mai 2020 à juillet 2020, le jeune étudiant décide alors de franchir le pas : et de rouler finalement pour Emmanuel MACRON.

« Je pense véritablement que c’est quelqu’un qui peut porter des idées progressistes… ». De plus, il aime l’aspect juvénile de ce candidat et sa volonté d’être « au-dessus du clivage gauche-droite ».

Selon lui, les jeunes devraient davantage s’immerger en politique. « Je m’engage pour que la jeunesse prenne enfin son destin en main ! ».

Il est peut-être parfois difficile de prendre des initiatives dans un monde où peu de gens reconnaissent la crédibilité de la future génération. A 16 ans, alors qu’il était encore qu’au lycée, le garçon assume pourtant ses responsabilités.

 

 

Le meeting de Bercy 2017 : des souvenirs incroyables…

 

« Les gens faisaient les gros yeux quand je disais que j’allais tracter. Ils me disaient : « tu es un peu fou ! », « pourquoi fais-tu ça ? » ou encore « seras-tu payé pour le faire ? ». Cela montre aussi que la jeunesse n’est pas trop politisée en France... ».

S’être engagé dans la politique est pour Nathan la plus belle expérience qu’il ait pu vivre jusqu’alors.

D’une part, cela lui a permis de construire ses idées, de se faire une opinion réelle de tout qui l’entoure mais aussi de le faire grandir.

Lors de la campagne pour Emmanuel MACRON, Nathan faisait partie des « helpers » qui ont été associés aux « petites souris » de la présidentielle. Les « helpers » forment une petite équipe qui a pour rôle de participer à la logistique des meetings.

« L’un des plus beaux que j’ai vécu est celui de Bercy en 2017. C’était juste avant le premier  tour de la présidentielle. Il y avait environ 20 000 personnes dans la salle. A la fin, je suis monté sur scène. Cela reste un souvenir incroyable pour moi… ».

La politique, en elle-même, possède un aspect noble, selon lui. Mais, celui-ci n’est pas assez mis en avant, d’où son engagement pour la représenter.

« Je pense véritablement que si les jeunes ont des idées à porter, il faut s'engager en politique, quel ce soit le candidat… ».

 

 

Promis à un bel avenir politique ?

 

Aujourd’hui, Nathan DOS SANTOS RISCADO se présente aux côtés du maire de Nevers, Denis THURIOT, tête de liste aux régionales jouant la carte de la majorité présidentielle.

Il a choisi de rallier cette liste car pour lui, c’est la personne (Denis THURIOT) qui rassemble le plus, à la tête d’une équipe de femmes et d’hommes possédant, d’après lui, des « valeurs de compétences investies dans leur territoire…C’est une véritable alliance… ».

Tout ce que cette équipe nous renvoie, c’est ce que soutient le jeune Nathan. Promis à un bel avenir en politique ?

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Deux jours en immersion en Bourgogne Franche-Comté, ou plus exactement dans le Jura et en Saône-et-Loire, pour le président national de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat ne peuvent être qualifiés d’ordinaire. Découverte d’un CFA  ou visite d’une entreprise constituait le gros du programme. Mais, le plus significatif de ce séjour restera la convention régionale signée avec Pôle Emploi afin de promouvoir la filière artisanale…

 

LONS-LE-SAUNIER (Jura) : Difficile de faire un choix, le plus souvent celui-ci est cornélien, quand il s’agit de définir une destination et un but précis de rencontre de travail. Surtout lorsque les sollicitations se multiplient et que l’on est à la tête de la puissante chambre consulaire qui défend les intérêts de la filière artisanale.

En déplacement cette semaine dans deux des huit départements que compte notre contrée, Joël FOURNY, président national de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, a pu être accueilli par Emmanuel POYEN, président de la région Bourgogne Franche-Comté, lors de cette courte visite, au demeurant très dense côté contenu.

C’est par la découverte du CFA du Jura que le responsable national de la branche artisanale débuta son périple en rencontrant des apprentis et les équipes enseignantes/administratives de l’établissement localisé à proximité de Lons-le-Saunier, à GEVINGEY. Le président eut le plaisir de pouvoir échanger le temps d’une discussion nourrie avec un meilleur apprenti de France et un candidat aux fameuses épreuves du « Worldskills ».

 

 

Puis, toujours dans le chef-lieu du Jura, ce fut un rendez-vous constructif avec le dirigeant de la société PAGNIER, structure spécialisée dans la fabrication de siège de salle de spectacles. Une manière concrète et appréciable de comprendre les enjeux d’un artisanat qui n’a rien de virtuel.

Le 27 mai, c’est en Saône-et-Loire que Joël FOURNY achèvera ce parcours de découverte bourguignon en assistant à la signature d’une convention régionale entre Pôle Emploi et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté.

Un document sur lequel nous reviendrons afin de vous expliquer les quatre axes retenus dans cet accord valable pour trois ans sur la promotion des métiers, l’accès à l’apprentissage, l’initiative entrepreneuriale et la réponse aux besoins de compétences des entreprises…

 

Thierry BRET

 


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La France aurait-elle atteint un point de non-retour en matière de sécurité et de liberté profanée ? C’est ce que pense sans ambiguïté le leader du Rassemblement National qui, profitant de la présentation de ses partenaires icaunais engagés à ses côtés pour les échéances régionales, a pointé du doigt l’état de non-droit actuel. Bénéficiant du soutien inconditionnel des militants de l’Avenir Français, transfuges de Debout La France, le membre du bureau national de la formation bleu marine a placé sur le curseur des priorités les arguments sécuritaires en pôle-position…

 

AUXERRE : La France est-elle en état de déliquescence absolue en matière de sécurité ? Sans fioritures, la réponse formulée par le très médiatique porte-parole du Rassemblement National est plus que positive ! D’ailleurs, l’essentiel de ses propos, tenus lors de la présentation de ses colistiers icaunais lors d’une récente conférence de presse, ne laisse nullement la place aux doutes. L’Hexagone traverse une situation de crise aigüe et qui risque de perdurer longtemps si des mesures drastiques ne sont pas appliquées avec force et immédiateté.

Déplorant la perte de deux fonctionnaires dans l’exercice de leurs métiers, Julien ODOUL a eu une pensée et un temps de recueillement en mémoire du gardien de la paix Eric MASSON, abattu froidement dans une rue en Avignon.

Une tragique interpellation d’un dealer qui a viré au drame, provoquant l’ire du porte-étendard du RN en Bourgogne Franche-Comté : « La France doit mener un combat impitoyable contre ces trafiquants… ». Une véritable déclaration de guerre pour le conseiller municipal d’opposition de Sens qui s’insurge contre les perpétuelles incantations d’un gouvernement, laxiste à ses yeux parce que ne prenant pas les bonnes mesures coercitives.

 

Deux leitmotivs prioritaires : la sécurité et la protection des citoyens…

 

Au-delà de ces mots introductifs sans ambages, on l’aura compris : la tête de liste du Rassemblement National qui brigue un nouveau mandat d’élu à la Région tout en convoitant le fauteuil suprême de président de l’institution, place la sécurité et la protection de ses concitoyens parmi ses leitmotivs prioritaires.

Un choix stratégique dont il ne dérogera pas jusqu’au terme de son intervention puisque pour lui, « aucun organisme ne peut se dédouaner de cette mission ». Balayant d’un revers de la main ses nombreux détracteurs qui préfèrent être obnubilés sur d’autres thèmes de campagne que sont la santé ou l’éducation. Toutefois, le volet de la sécurité n’entre pas dans le domaine de compétence de l’organe régional. Il n’est de ce fait l’apanage que de l’Etat et de lui seul.

Qu’à cela ne tienne en vérité pour le communicant Julien ODOUL qui égrène ensuite une panoplie de mesures visant à renforcer la sécurité dans le territoire. Depuis le recrutement de compétences armées devant officier dans les gares routières et ferroviaires, y compris dans les moyens de transport, mais aussi d’agents assermentés qui viendraient grossir les rangs des effectifs de la police municipale.

Certes, elle n’est pas la panacée absolue mais la vidéo-protection gagnerait également les entreprises, soumises à de nombreux cambriolages depuis plusieurs mois. Les « bandes des pays de l’Est », visées par l’orateur du jour, n’auront plus qu’à pointer à Pôle Emploi !

Mais, au-delà de ces dispositifs anti-empêcheurs de tourner en rond, le chef de file de la formation bleu marine n’en oublie pas les victimes de ces actes d’incivisme et de non-respect d’autrui.

Ainsi, une enveloppe de 5 millions d’euros serait attribuée aux personnes ayant subi des violences conjugales et autres méfaits du même acabit qui paraissent à la une des pages faits divers des médias.

 

 

Des flèches acerbes adressées à ses adversaires…

 

Soucieux d’apporter du concret et du réalisme dans les réponses que souhaitent entendre son électorat, Julien ODOUL, s’il est aux commandes de la région, coupera les vivres à celles des structures et autres organisations associatives qui alimentent la délinquance. Un vivons ensemble à reconstruire qui passerait immanquablement par le haro sur le gaspillage public dont il dénonce avec véhémence la pratique quotidienne depuis des lustres.

Voulant un moratoire sur la politique des villes et les cinq quartiers réputés les plus dangereux de ces mêmes agglomérations qui paradoxalement sont les plus riches du territoire, le candidat trentenaire veut mettre le paquet en termes de subventions pour aider les secteurs ruraux.

Dans le viseur, on s’en doutait : le département de l’Yonne, qui à l’instar de la Nièvre ou de la Haute-Saône, demeure l’un des parents pauvres côtés retombées financières avantageuses.

Se fendant d’une formule toute faite (« Rien n’est possible sans la sécurité que ce soit l’économie, le développement des transports et la protection environnementale…), le trublion de l’hémicycle régional fustige les « magouilles de tout poil » qui se vivent chez ses adversaires durant cette campagne, précisant, quant à lui, avancer sans masque.

Maniant le verbe et la gestuelle à son habitude, l’élu de l’Yonne n’épargne personne dans cette succession de reproches et de petites piques acérées qu’il adresse à ses opposants.

La première de ces cibles n’est autre que la présidente de l’exécutif. Une Marie-Guite DUFAY qui « aurait pu avoir d’autres ambitions compte tenu de son cursus que de ne faire barrage qu’au RN ». « C’est la candidate du passé et du passif, inodore et incolore… ».

Traité de « Tartuffe », le patron des Républicains Gilles PLATRET se voit qualifier de spécialiste des « tambouilles politiques » avec à la clé le débauchage d’anciens frontistes convertis entre-temps à la cause de Debout La France. Sans omettre des écologistes issus d’un « nébuleux mouvement » dont le « gourou » n’est autre qu’Antoine WAECHTER !

Bref : pour Julien ODOUL, cette cuisine politicienne a le goût au palais d’un « mauvais bœuf bourguignon indigeste ! ».

 

 

Quant au troisième personnage marquant de ces régionales, le maire de Nevers Didier THURIOT, à l’estampille de la République en Marche, il ne serait « qu’un adepte du recyclage de grumeaux comprenant un assemblage hétéroclite qui est la marque de fabrique de LREM, avec tout et le contraire de tout ! ». La messe des critiques est dite !

Désireux réduire la fracture sociale et économique observée entre les grandes villes du territoire et les zones rurales, Julien ODOUL a trouvé avec les représentants de l’Avenir Français des alliés de circonstance. Unis pour la même idéologie, en tentant de remporter le gain de la victoire.

« Nous possédons les mêmes valeurs, a rappelé le responsable politique RN, la commission d’investiture nationale a validé cette liste, la plus représentative de nos convictions… ».

A noter parmi celle-ci, les patronymes de Pascal BLAISE, ancien responsable de Debout La France dans l’Yonne et aujourd’hui membre fondateur de l’Avenir Français qui occupe la troisième position ou encore Annick VILBOIS, de la même mouvance politique à la quatorzième place ; mais également Audrey LOPEZ, conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne, Xavier ROSALIE, premier adjoint de la commune de Piffonds ou encore Alexandre BROCHIER, ancienne figure du mouvement des « Gilets Jaunes ».

Avec ce groupe, Julien ODOUL entend bien jouer un rôle plus que de favori au soir du 27 juin, adoubé par Marine LE PEN qui est venue lui apporter son soutien lors d’un déplacement ce mardi à Chalon-sur-Saône. Dans le fief de Gilles PLATRET, comme c’est étrange !

 

 

Liste des candidats :

 

Julien ODOUL, président du groupe RN à la Région BFC,

Audrey LOPEZ, conseillère municipale à Villeneuve-sur-Yonne,

Pascal BLAISE, Avenir Français, membre fondateur,

Anissa BEERRAHO,

Alexandre BROCHIER,

Patricia GRASSET,

Romain LUBOUE, conseiller municipal de Pont-sur-Yonne,  

Elodie REBILLON,

Daniel GRENON,

Vanessa HERNANDEZ,

Léandre CROENNE,

Karine CHICANNE,

Xavier ROSALIE, premier adjoint à Piffonds,

Annick VILBOIS, Avenir Français.

 

Thierry BRET

 


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La valorisation des déchets de la déconstruction est à l’ordre du jour des spécialistes de la filière du bâtiment. En diminuant leur empreinte carbone, les entreprises positionnées sur ce secteur veulent ainsi économiser les ressources naturelles. Une décision salutaire pour préserver la planète et faire progresser l’économie circulaire. Ce sera le thème de la visite de la présidente de la Région, conviée sur l’un des sites de la SAS MICHEL ce vendredi…

 

AUXERRE : A quoi peuvent donc servir des déchets issus de la démolition ? C’est une question que bon nombre d’entre nous peuvent légitimement se poser à l’heure du développement de l’économie circulaire et de la sauvegarde de la planète.

Une interrogation que, peut-être un jour au détour de l’inauguration d’un chantier traditionnel, est venue titiller l’esprit avisé de la présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté Marie-Guite DUFAY ! Si cela n’a été fait, la représentante de l’exécutif régional recevra nécessairement les réponses adéquates lors de sa visite en terre de l’Yonne, vendredi 28 mai, sur l’un des sites de la SAS MICHEL à Auxerre.

Elle y découvrira, aux côtés de l’entrepreneur et président de la Fédération départementale du bâtiment Didier MICHEL, une paroi en gabions édifiée en matériaux de démolition concassée. Cette surface remplace un mur de soutènement en béton.

De manière générale, la gestion des déchets de la filière varie selon de nombreux critères : nature du bâtiment démoli, composants utilisés. Les traiter s’impose comme une priorité absolue pour la corporation car le secteur du bâtiment représente 19 % de la production de déchets issus du BTP. Soit 46 millions de tonnes par an ! Pour mémoire, les déchets ménagers correspondent à un volume annuel de seulement trente millions de tonnes…

 

 

 

Or, il s’avère dans le détail que 49 % de ces détritus sont issues de la seule démolition. Leur revalorisation oscille entre 48 et 64 % selon la typologie des matériaux à recycler. Dont 60 à 80 % pour la spécificité de la démolition.

Aujourd’hui, l’ADEME s’est engagée sur un projet baptisé « DEMOCLES », une démarche collaborative fédérant une quarantaine d’acteurs, qui vise à développer le tri et le recyclage de ces déchets particuliers : plâtres, moquettes, produits ouvrants, etc.

Sensibilisée par cet item propre au développement durable, l’un de ses chevaux de bataille, la présidente de la Région devrait être tout ouïe à l’écoute des professionnels de la filière.

 

Thierry BRET

 

 


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Que ce soit dans la capitale de l’Aube ou sur les anciennes terres des ducs de Bourgogne, l’exercice s’est répété par deux fois, à quelques jours d’intervalle. Il est vrai que cette pratique oratoire, coutumière pour le staff de l’établissement financier, a du bon. Non seulement, elle satisfait les journalistes qui peuvent apprécier dans leurs moindres détails les arcanes fonctionnelles de ce poids lourd de l’économie régionale. Mais, en outre, elle offre l’opportunité de tâter le pouls côtés tendances et innovations…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’exercice sied à ravir à l’héritier intellectuel de Jacques KERMARREC. Dans les pas de son prédécesseur qui savait le manier avec une similaire dextérité, Emmanuel VEY, directeur général du Crédit agricole Champagne-Bourgogne, sait trouver les mots justes pour expliquer le contexte dans lequel se meut aujourd’hui son établissement.

Une situation qui n’a rien de sibylline à ses yeux tant le devenir économique semble plutôt probant à bien des égards, après cette crise sans précédent vécue par l’humanité.

2020 met en exergue ce sentiment de mission accomplie pour le responsable de l’entité financière mutualiste. Malgré le profil en dents de scie de la sphère économique et de tous ses acteurs. Un terme linguistique pourrait résumer cela à lui tout seul : la présence.

Présent le Crédit agricole au  plus près de son territoire de prédilection ? Au-delà des mots, ce sont des images défilant à rythme soutenu lors de la diffusion d’un clip vidéo qui l’attesteront à travers moult exemples. Le tout servi par un générique qui en dit long sur la question, introduit par la voix du regretté Charles AZNAVOUR : « You are the one for me, for me, formidable ! ».

Alors sont-ils si formidables ces fameux professionnels de la banque au presque sortir de la crise sanitaire ? Au vu des séquences visuelles proposées, le premier financeur de l’économie territoriale n’a, certes, pas à se voiler la face à l’énoncé de son bilan.

Douze mille exploitations agricoles, installées en Champagne-Bourgogne, ont bénéficié de la pléthorique offre de services de la structure bancaire à l’identique des collectivités, entreprises et autres particuliers. La solidarité a été poussée à son paroxysme, entre altruisme et générosité, puisque des aides se sont concentrées en faveur des EPHAD mais aussi de deux cent cinq associations qui ont pu profiter pleinement de subsides accordés dans un souci solidaire par l’établissement.

« On ne s’est jamais senti plus utile durant cette période en soutien des activités économiques de notre clientèle, lâche Emmanuel VEY, bien conscient que le premier « bancassureur » de la région a assuré grave, comme le dirait la jeune génération. Et justement, puisqu’il faut évoquer la jeunesse, parlons-en ! Celle-ci n’aura pas été oubliée par le staff décisionnel du groupe. Entre recrutements en nette progression, malgré l’atonie de la situation, et l’accueil de jeunes entrepreneurs, à la tête de start-ups aux contours dynamiques au sein du fameux concept iconoclaste, « Village by Crédit Agricole », un réseau d’accélérateurs de compétences et d’initiatives qui booste les talents : que dire de plus ?

 

 

Des mesures d’accompagnement répondant aux réels enjeux…

 

Si ce n’est, comme le réaffirmera le quinquagénaire directeur général, doublement diplômé d’un MBA obtenu à la Chicago Booth GSB et d’un DEA en économie internationale à Paris Sorbonne, que le Crédit agricole a su démontrer son appétence à l’adaptabilité et à la transformation afin de pouvoir réagir au mieux face à un contexte si spécifique.

Renforçant ainsi la méthodologie inhérente à cette banque qui puise ses ressources dans le sens de la relation à l’autre. Ainsi, dans les faits, plus de trois mille prêts garantis par l’Etat (PGE) ont été consentis par l’organisme financier pour un montant de plus de 400 millions d’euros. Des mesures d’accompagnement répondant à la hauteur des véritables enjeux.

Reports d’échéances de crédits aux entreprises, mise en œuvre de dispositif contractuel inédit de soutien (le geste mutualiste assurance), aides apportées aux métiers de la viticulture et de l’agriculture : le Crédit agricole Champagne-Bourgogne n’a pas ergoté sur les moyens.

8 800 clients professionnels ont pu en bénéficier au moment le plus opportun de leur existence. Près de 2,6 millions d’euros ont répondu aux attentes de plus de 630 clients pour le dispositif de soutien mutualiste.

L’accélération de la digitalisation aura été effective parmi les priorités avec un global de soixante millions de connexions enregistrées sur le site de la banque !  

« Le monde ne s’est pas arrêté du fait de la pandémie, souligne Jean-Yves REMILLET, président de l’établissement régional, nous avons proposé des solutions clefs en main et un accompagnement personnalisé aux artisans, commerçants et professionnels des quatre départements où nous agissons au quotidien : l’Aube, la Côte d’Or, la Haute-Marne et l’Yonne… ».

 

 

Une performance économique réussie malgré un contexte hors normes…

 

Autre preuve relative à ces propos : l’enveloppe de 617 000 euros qui aura été débloquée au profit de 74 structures accueillant un public de seniors. Un fonds de solidarité de 20 millions d’euros, porté par la Fondation Crédit Agricole Solidarité et Développement (CASD) au plan national, a favorisé la lutte contre l’isolement des personnes âgées.

Dans l’arborescence des résultats financiers de cette année écoulée, le Crédit agricole Champagne-Bourgogne tire incontestablement son épingle du jeu.

Sa solidité financière s’est confirmée. Quant à la continuité de service, rien n’a pu l’en empêcher. Pas même ce satané virus, sorti de nulle part. Les équipes, mobilisées à distance (1,4 million d’euros investis pour équiper l’ensemble des collaborateurs en ordinateurs portables et en téléphone) ont été fonctionnelles jusqu’au bout pour répondre aux attentes et besoins des 600 000 clients.

L’indice de recommandation client est en nette hausse. Près de 23 000 prospects se sont mués en une véritable clientèle nouvelle au terme de cette année si exécrable pour le moral et la joie de vivre.

Avec un résultat net s’élevant à 74,1 millions d’euros, la Banque verte peut donc envisager l’avenir avec sérénité. Le produit net bancaire conforté à 329,1 millions d’euros rappelle que la performance économique a été solide en dépit d’un environnement hors normes.

Reste l’avenir et les perspectives évolutives, tant en 2021 que pour les exercices suivants. Ce sera l’objet du second volet de cette introspection journalistique au cœur de la Banque verte, celle qui dit « agir chaque jour dans l’intérêt de ses clients et de la société »…Ce qui ressemblerait à la vérité, au vu des chiffres avancés !  

 

Thierry BRET

 


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