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Deux mille postes sont à pourvoir dans l’intervalle de ces vingt-quatre prochains mois sur notre contrée. La Fédération des Travaux Publics de Bourgogne-Franche-Comté entend profiter de la tenue d’un futur évènementiel, la semaine spécifique consacrée à cette filière en novembre, pour inciter les jeunes et le public en insertion vers la vie active à s’intéresser à la kyrielle de métiers proposés.

 

VENOY : Le spectre du choix des futurs visiteurs ne se cantonnera pas à quelques cibles. Bien au contraire ! Etudiants, scolaires, jeunes suivant un apprentissage ou pratiquant l’alternance mais également demandeurs d’emploi seront tous les bienvenus lors de cette future manifestation qu’ils soient filles ou garçons.

Si les conditions sanitaires l’autorisent, celle-ci se déroulera cet automne. Entre le 15 et le 19 novembre puisque sa structure instigatrice a déjà posé ses jalons opérationnels en validant les lieux d’accueil de l’évènement.

Les centres de formation professionnels et de promotion agricole à l’instar du CFPPA Auxerre La Brosse seront placés en première ligne de cet organigramme.

Logique puisqu’ils y assurent déjà abondamment par le biais de leurs cursus la promotion de ces métiers si porteurs en matière de débouchés professionnels.

Qu’on se le dise avec la sortie progressive de ce mauvais pas sociétal dans lequel le monde s’est fourvoyé depuis plusieurs mois : le secteur des travaux publics recrute à tout va !

Ne serait-ce que sur le seul territoire de Bourgogne-Franche-Comté, ce sont deux mille postes à pourvoir dans un court laps de temps de deux années. Autant dire une paille à l’échelle temporelle !

Et celles et ceux qui peuvent décemment en bénéficier ne pourront manquer ce rendez-vous que la FRTP BFC (Fédération régionale des Travaux Publics) leur concocte à cette période de petits frimas de novembre.  

 

 

Visite de chantiers et découverte des usages technologiques…

 

Cette semaine sera le vaste reflet des innombrables possibilités que le secteur corporatiste déploie pour optimiser son modernisme et l’usage de nouvelles technicités dans le cadre de ses chantiers.

Présence de drones très utiles pour les géomètres, de simulateurs afin de découvrir la maniabilité virtuelle d’une pelleteuse face à un écran ou d’exosquelettes favorisant la limite de charges trop lourdes qui développent les TMS (troubles musculo-squelettiques) seront autant d’artéfacts devenus indispensables à l’éradication de la pénibilité, notion qui effrayait autrefois les jeunes recrues.

 

 

Les travaux publics vivent leur mutation technologique et le font savoir par l’entremise de ce type de rendez-vous attrayant. Où des visites de chantiers seront également programmées.

Le fil d’Ariane de cette édition 2021 prendra sa source dans le développement durable et les vertus de la transition énergétique ; ce qui n’est pas une surprise en soi.

 

 

Des jobs d’été à foison pour les étudiants : à vos CV !

 

Employant plus de onze mille salariés répartis dans environ 1 100 entreprises, la filière en Bourgogne-Franche-Comté pèse aujourd’hui 1,3 milliard d’euros de chiffre d’affaires.

Récemment, son président, l’entrepreneur Vincent MARTIN, profitait d’une rencontre avec le nouveau responsable de Pôle Emploi BFC, Michel SWIETON, pour évoquer les besoins importants du secteur au niveau des embauches.

Sans omettre de surcroît les opportunités éphémères existantes avec l’approche de la période estivale où de nombreux jobs d’été seront ouverts aux étudiants. A vos CV, jeunes gens !

 

Thierry BRET

 


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Il n’est pas encore élu à la tête de la Région mais cela n’empêche nullement le chef de file des Républicains de prendre des engagements. Ils sont de taille. Même si ils sont favorables à l’agglomération auxerroise que l’édile de Chalon-sur-Saône a pu visiter lors de son déplacement consacré à la mobilité. Une réelle problématique avec le contournement de la capitale de l’Yonne. En manque de réelle visibilité sur le sempiternel projet de la déviation sud…

 

AUXERRE : Le chiffre est lâché. Il traduit la volonté participative du candidat aux échéances régionales de résoudre enfin une véritable arlésienne qui indispose les esprits auxerrois depuis si longtemps. Le contournement sud de l’agglomération et surtout son mode de financement !

Trente-cinq millions d’euros. Voilà la somme rondelette que la tête de gondole des Républicains engagé dans ce scrutin régional souhaite injecter dans le financement de ce projet s’il décroche le Graal suprême le plaçant en orbite  au sommet du perchoir le 27 juin.

Le montant annoncé par le candidat de la droite n’est pas resté dans l’oreille d’un sourd. Provoquant moult réactions de la part des médias, présents à la conférence de presse concoctée dans l’une des salles de l’abbaye Saint-Germain ce lundi 03 mai. Un site patrimonial de belle envergure pour accueillir une déclaration intentionnelle aussi importante… 

Certes, en esthète de la communication qu’il est, Gilles PLATRET ne pouvait faire l’impasse lors de sa visite de campagne auxerroise sur l’un des dossiers brûlants qui perturbe les habitants de l’agglomération depuis tant d’années. Ce fameux contournement de la ville par sa zone méridionale que beaucoup ont promis et aucun n’a tenu.

 

 

D’infernal, le triangle est devenu apocalyptique…

 

 

La qualité première de tout élu digne de cette appellation est d’être sur le terrain au plus près des citoyens. Un adage que l’élu de Saône-et-Loire sait visiblement s’appliquer à lui-même puisqu’il a profité de son court séjour auxerrois pour se rendre sur le fameux « triangle infernal » du sud d’Auxerre. Là où se constatent les immanquables problèmes dues à l’absence pesante de cette fameuse déviation, serpent de mer dont on ne voit jamais la queue !

D’infernal, cet enfer serait presque gardé par une cohorte de Cerbère prenant la forme de poids lourds, le fameux triangle de la zone sud est devenu « apocalyptique » dans la bouche du candidat LR.

 

 

 

 

Gilles PLATRET qui soutient mordicus le développement des transports ferroviaires et fluviaux dans nos modes de locomotion, s’est ému de cette agglomération auxerroise « balafrée par le passage de milliers de véhicules et de camions au quotidien ».

Il n’est pas le seul, évidemment, à partager ce constat amer. Celui qui lui a servi de guide dans cette balade matinale aux abords du carrefour de l’avenue Pierre-Larousse et de la rue du 24 août, le député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE est aussi vent debout contre cette situation qui ne cesse de perdurer depuis une bonne décennie. Un Guillaume LARRIVE courroucé par ce gâchis (voire article à paraître) de la non-résolution de problème.

 

 

 

Plus qu’une simple promesse, un véritable engagement…

 

 

Puis, viendra le moment inattendu de l’annonce chiffrée. De ce montant à l’état brut que le leader régional des Républicains évoquera dans la clarté blafarde de la salle de conférence du monument historique dans un silence de plomb. Quasi monacal.

S’il est élu à la présidence de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Gilles PLATRET prendra un engagement : celui de débloquer une enveloppe budgétaire de 35 millions d’euros destinée à la réalisation de ce chantier.  

« Il s’agit de couper court avec celles et ceux qui cultivent l’art de l’ambiguïté et la Région qui chipote, souligna le personnage politique avec véhémence, j’ai trop d’humilité et de respect pour l’institution pour dire si je serai président au soir du 27 juin. Mais, si c’est le cas, je prends l’engagement de sortir ce dossier de son actuelle ornière. Il est impensable de considérer que la Région ne puisse pas mettre les millions d’euros nécessaires pour achever un tel projet… ».

Se refusant de parler de pourcentage, le maire de Chalon-sur-Saône préfère raisonner à partir de chiffres bruts d’où cette prise d’engagement très ferme avec l’avenir.

Un futur où il se projette déjà et ce, dès le mois de juillet, période où en cas de réussite électorale il poserait de sérieux jalons avec l’Etat, le Département et la Ville pour borner financièrement le dossier. En le faisant enfin progresser et faire disparaître à jamais dans les limbes de trop vieilles couleuvres que les Auxerrois ne veulent plus avaler…  

 

Thierry BRET

 


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Le poste ne sera pas resté vacant très longtemps. Quelques jours après l’envol de son prédécesseur Tristan RIQUELME vers les Antilles, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne, Marion AOUSTIN-ROTH, a pris ses fonctions le 26 avril. Elle arrive de la préfecture du Doubs où elle officiait en qualité de cheffe du bureau de la sécurité intérieure et de l’ordre public. 

AUXERRE: Il n’est pas si courant pour la préfecture de l’Yonne d’accueillir en son sein une personne passée successivement par le Centre pénitentiaire de Fresne, la Maison d’arrêt de Bois-d’Arcy et celle de Besançon ! Un parcours pourtant des plus classiques si l’on se réfère au cursus de Marion AOUSTIN-ROTH.

De formation juridique, la nouvelle directrice de cabinet du préfet de l’Yonne a en effet par la suite intégré l’Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire (ENAP) et fait ses classes dans le Val-de-Marne, puis dans les Yvelines, avant de diriger pendant quatre ans la Maison d’arrêt de Besançon. Depuis septembre 2018, elle avait en charge le pôle sécurité intérieure et ordre public de la préfecture du Doubs, en qualité d’attachée de liaison Intérieur/Justice.

Sa nomination dans le département ne relève pas d’un « choix subit », mais bien de la volonté de parfaire un parcours entamé en Franche-Comté : « j’aurai ainsi une vision globale de la nouvelle région en continuant à la découvrir… ».

 

Dans l’Yonne, le premier poste dans l’administration préfectorale…

 

« Plus qu’une fierté, c’est surtout une grande responsabilité ! ». Bien décidée à trouver un équilibre entre la gestion des dossiers, les urgences et la proximité avec les gens sur le terrain : « si vous n’aimez pas le contact, si vous n’aimez pas aller vers autrui, avec l’envie de comprendre, d’écouter, vous ne parvenez pas en deux ans, à vous imprégner d’un département… Vous ne pouvez pas donner des décisions et conduire des stratégies d’ordre public si vous ne visualisez pas les lieux ».

Sa feuille de route est déjà tracée : s’articulant sur des enjeux de sécurité publique au premier rang desquels bien sûr, la gestion de la pandémie et la perspective de sortie de crise, comme annoncée par Emmanuel MACRON, mais aussi la préparation des prochaines élections en juin ou la mise en œuvre de la période estivale en matière d’ordre public.

Si les derniers chiffres concernant l’accidentologie routière dans le département sont encourageants, en lien avec le confinement et le couvre-feu en vigueur, faut-il s’attendre à un retour à la hausse une fois les restrictions levées ?

Marion AOUSTIN-ROTH se refuse à une telle éventualité : « alcool, vitesse, comportements infractionnels sont une réalité pour ce département et nous resterons vigilants… ».

Cette jeune sportive de 33 ans, passionnée de trails et autres courses nature se dit par ailleurs bien décidée à en perpétuer la discipline le temps de son séjour icaunais. Nul doute que les coteaux du Chablisien ou les forêts morvandelles lui en offriront la redoutable opportunité !     

 

Dominique BERNERD

 

 


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D’après l’établissement bancaire régional, notre pays mettrait quatre longues années avant de guérir de cette crise sanitaire inattendue commencée depuis plus d’un an maintenant. Des emplois détruits, un PIB en net recul, un chômage en augmentation : la crise aura un réel impact sur nos  lendemains économiques.

 

QUETIGNY (Côte d’Or) : Du 17 mars jusqu’au 11 mai 2020, les Français ont vécu leur premier confinement du fait de la présence du virus de la COVID-19. C’était avec un visage tendu que le Président de la République Emmanuel MACRON annonça cette décision.

À la suite de cela, la plupart des citoyens et des entreprises ont été impactés. Les bars, les restaurants, les musées, toute la vie culturelle et de loisirs que connaissait la population, étaient à l’arrêt pour une durée indéterminée. D’autres entreprises ont perdu beaucoup de clients ; ce qui entraînera une perte d’argent et des licenciements.

Selon l’INSEE, au deuxième trimestre de 2020, il y a eu 215 200 destructions nettes d’emploi, soit 158 000 dans le secteur privé et 57 100 dans le secteur public.[1]

Malgré de nombreuses aides fournies par l’État pour soutenir les professionnels, beaucoup ont été contraints de se retirer.

Pour le directeur général de la Banque Populaire de Bourgogne-Franche-Comté, Bruno DUCHESNE, en comparant les autres pays et la France, celle-ci mettrait alors plus de temps à se relever. Le grand gagnant de cette situation si atypique qui a réussi à augmenter son produit intérieur brut (PIB) : la Chine.

Celui-ci est 5 % plus élevé en 2021 par rapport à 2020. Ensuite, ce sont les États-Unis. Bruno DUCHESNE est affirmatif dans sa démonstration de macro-économie : les Américains s’en sortiraient au bout de deux ans. La France, quant à elle, serait malheureusement plus en retard.

 

 

 

La crise sanitaire met la France à l’épreuve...

 

Le PIB de l’Hexagone reculerait de 8,6 % sur l’année 2020, selon l’INSEE.[2] Ce chiffre est le plus bas que le produit intérieur brut a connu depuis le début des évaluations trimestrielles, les premières datant de 1949.

La crise de la COVID-19 engendre beaucoup de coûts pour l’État, avec la commande de masques, de gels hydro-alcooliques et de vaccins.

La secrétaire d’État belge au budget de la protection des consommateurs avait publié le 17 décembre 2020 les prix négociés de ces vaccins sur son compte Twitter. Ces prix ont été débattus par la Commission européenne auprès de six entreprises ayant développé différents vaccins contre la pandémie.

Son tweet avait été supprimé dans la demi-heure suivante pour faute d’appréciation politique sans doute imputable à la confidentialité des données.

Or, celui-ci a eu le temps d’être repris par les médias belges et les internautes. Avec ce tableau, nous apprenons que le vaccin le plus cher serait l’américain MODERNA suscitant un coût de 14,87 euros par dose. Le vaccin britannique/suédois ASTRAZENECA est lui le moins coûteux : 1,78 € par dose.[3] Rappelons que chaque vaccin nécessite deux injections.

Ces différents coûts ont une influence sur la dette publique, mesurée selon les critères de Maastricht.

Celle-ci s’est comptabilisée à près de 115,7 % du PIB avec un déficit de 9,2 % soit 211,5 milliards d’euro pour 2020.[4] Or avant la crise sanitaire, la dette s’élevait à 97,6 % au premier trimestre de 2018 selon l’INSEE.[5]

Le gouvernement français a été contraint de faire des choix pour protéger la santé de ses citoyens au détriment de l’économie. Le fameux « quoi qu’il en coûte ».

C’est d’ailleurs ce qu’avait répété le président de la République français à maintes reprises dans sa promesse de ne laisser aucun de ses concitoyens de côté.

 

Jordane DESCHAMPS

 

[1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4653055

[2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5018361

[3] https://twitter.com/Calimer30438496/status/1339824766778281984

[4] https://www.insee.fr/fr/statistiques/5347882#titre-bloc-12

[5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3578202


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La crise devrait marquer durablement la filière automobile et ses nombreux acteurs. Avec une chute de la production qui impacte par les marchés. Conséquence : la sous-traitance industrielle est à la peine, côté carnet de commandes. C’est le cas de la société de Saint-Claude dont l’avenir des 284 salariés est désormais conditionné à une offre de reprise. La Région, elle, vient d’apporter une bouffée d’air pur de 500 000 euros...

 

SAINT-CLAUDE (Jura) : Empêcher coûte que coûte la fermeture du premier employeur privé de la sous-préfecture du Jura : c’est l’objectif de la Région Bourgogne-Franche-Comté. L’organe institutionnel tente de maintenir à flot l’une des PME historiques implantée depuis soixante-dix ans dans la ville dont la notoriété a été établie sur la base du tourisme.

MBF Aluminium fait malheureusement la une de l’actualité régionale aujourd’hui du fait de la pénibilité de sa situation.

Le sauvetage de la fonderie est devenu impérieux afin de préserver le labeur des 284 personnes qui y travaillent. Mais, la marge de manœuvre est extrêmement étroite. Pour ne pas dire impossible.

La gestion financière et administrative de l’actuel propriétaire a conduit à l’assèchement de la trésorerie de la société. Celle-ci vient d’échapper de justesse à la liquidation judiciaire. Le tribunal de commerce de Dijon n’y a pas été favorable. Offrant un sursis supplémentaire pour favoriser une solution de reprise. Mais, pour combien de temps ?

 

 

Face à ce contexte pour le moins tendu, Marie-Guite DUFAY, présidente de la Bourgogne-Franche-Comté, est montée au créneau.

Elle a proposé la tenue d’une commission permanente exceptionnelle ce lundi 26 avril en visioconférence. La séance aboutira in fine au vote d’une précieuse aide financière de 500 000 euros. Un coup de pouce salvateur qui est destiné uniquement au paiement des salariés.

Une bouffée d’oxygène substantielle donnant droit à un délai supplémentaire pour permettre à un repreneur de déposer une offre sérieuse ? On croise les doigts dans le département du Jura, qui n’a pas besoin de cela…

 

Thierry BRET

 

 

 


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