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C’est une mauvaise nouvelle pour l’ensemble du territoire. Un revers aux conséquences funestes dont se serait bien passée la communauté scientifique et universitaire de Bourgogne Franche-Comté. En concédant la perte de son label « I-Site », l’Université régionale accuse le coup d’une perte irréversible sur son enveloppe budgétaire. Des fonds indispensables qui permettaient de mener à bien des travaux de recherche dans différents domaines…

 

DIJON (Côte d’Or) : Depuis 2016, date de son attribution, le site universitaire de notre territoire profitait de subsides importants offerts par ce label pour financer ses opérations de recherche dans plusieurs domaines.

Or, le non-renouvellement de ce label, prononcé début juillet, fait office de douche froide pour l’établissement d’enseignement supérieur.     

Promu par un jury international, ce label a pour vocation de valoriser des atouts scientifiques thématisés. Tout en y adjoignant de généreuses subventions.

Alors que les universités Côte d’Azur et Grenoble-Alpes ont vu leurs certifications se renouveler, il n’en a rien été pour l’Université Bourgogne Franche-Comté qui est resté en cale sèche.

Le label I-Site (Initiatives sciences innovation territoire économie) est donc devenu lettre morte pour l’établissement universitaire régional. Sachant que trois items majeurs avaient permis son attribution initiale : les matériaux avancés, systèmes intelligents et énergie propre, les transitions socio-écologiques et alimentaires assorties des innovations à réaliser dans les domaines de l’agriculture et l’industrie agroalimentaire ou encore sur le volet sanitaire les traitements innovants des maladies chroniques et inflammatoires.

Soit un potentiel global de 8,5 millions d’euros annuels dans la balance si le label était à nouveau attribué par ce jury.

 

La présidente de Région déplore la perte de ce label…

 

Une fois l’information connue, la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY a fait connaître sa position par le biais d’un communiqué de presse.

« Depuis la création d’UBFC, ses équipes ont remporté de nombreux appels à projets nationaux et internationaux. Cette reconnaissance scientifique est un atout majeur pour la Bourgogne-Franche-Comté. Elle a d’ailleurs été saluée récemment par Antoine PETIT, PDG du CNRS, lors d’une visite dans notre contrée.

Mais le label ISITE, qui représentait un accompagnement financier du Programme d’Investissement d’Avenir (PIA) de l’ordre de 11 M€/an, était conditionné à des objectifs en termes d’intégration et de gouvernance des sept établissements, membres de l’UBFC.

Malgré une première alerte donnée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation en novembre 2018, malgré le soutien financier et institutionnel des collectivités, les établissements membres n’ont pas convaincu le jury international du degré d’intégration de leurs établissements au sein d’UBFC.

Cette nouvelle est un coup dur pour les communautés de l’enseignement supérieur et de la recherche de notre région, notamment pour celles qui sont le plus engagées et reconnues dans les projets portés par UBFC.

La perte de l’I-Site signifie la disparition de leviers financiers mais aussi un risque de recul en termes de visibilité nationale et internationale.

C’est un coup dur aussi pour les collectivités qui se sont toujours mobilisées pour soutenir cette recherche d’excellence et ses formations associées, vitrines de notre attractivité.

Partenaire de l’enseignement supérieur et de la recherche, la Région prend acte de cette décision et souhaite apporter tout son soutien aux équipes impliquées dans les projets I-Site.

Face à l’enjeu du développement d’une recherche d’excellence pour notre région, nous resterons, comme nous l’avons toujours été, à l’écoute des établissements et en soutien à l’Université Bourgogne-Franche-Comté pour aborder cette période post-I-Site… ».

Notre territoire pouvait en effet se passer de cette mauvaise nouvelle…

 

Thierry BRET

 

 


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Renforcer les échanges afin de développer des collaborations communes tant au plan territorial que régional correspond à la nouvelle stratégie bipartite entérinée par une convention entre ces deux mouvements. L’opportunité de nouvelles opportunités de projets mutualisés pour les années à venir en Bourgogne Franche-Comté se concrétise…

 

AUXERRE : Le ciel est azuréen entre les représentants de la JCE et ceux du CJD de notre territoire régional. Le contraire eut été étonnant. Tant les deux structures aux fondamentaux toutefois bien distincts se situent sur la même longueur d’onde depuis plusieurs années.

La récente signature d’une convention de partenariat entre ces deux acteurs clé de la vie sociétale et économique française ne pouvait être autrement.

Le Centre des Jeunes Dirigeants et la Jeune Chambre Economique ont donc décidé de franchir le cap d’un rapprochement, conceptualisé sous la forme d’un accord leur permettant de collaborer sur des projets communs dans un proche avenir.

 

 

La convention a été paraphée le 21 juin dernier.

Déjà en mai, Valentin MARTIN, président de la JCE Auxerre, avait organisé une première manifestation (un webinaire de prise de contact) qu’il devait animer avec son homologue du CJD 89, Marc BESANCENEZ.  

On devrait en connaître davantage sur les opportunités potentielles nées de ce mariage en justes noces à la rentrée…

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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La structure ressemble à s’y méprendre à une association. Fédérant aujourd’hui 109 communes de l’Hexagone, « Les Plus Beaux Détours de France » tenaient leurs rencontres régionales ce lundi 05 juillet à l’hôtel de ville de Joigny. L’intérêt de cette réunion prenait sa source dans le partage des expériences et des initiatives dont chacun des participants pouvait abondamment s’inspirer…

 

JOIGNY : Joigny, la plus belle ville de France comme aimait le dire à satiété l’ancien édile de la commune, Bernard MORAINE, lors de ses discours non dénués d’humour ! Toujours est-il que la cité du Centre Yonne a brillé de mille feux ce lundi 05 juillet parmi les acteurs du tourisme du cru, en accueillant les rencontres régionales du label « Les Plus Beaux Détours de France ».

Des représentants de plusieurs des 19 communes labellisées, composant la région Centre-Est participèrent à une journée de travail très studieuse, autour de Xavier LOUY, délégué général de l’entité. Ce dernier connaît le pays par cœur pour avoir dirigé jadis l’emblématique Tour de France.

Recevant en son sein des localités comprenant entre deux mille et vingt mille habitants, « Les Plus Beaux Détours de France » trouvent écho de plus en plus aux oreilles des touristes, aimant sortir des sentiers battus et des grands axes habituels. La crise sanitaire et ses conséquences sont passées par là. L’intérêt touristique pour les communes de taille moyenne s’est amplifié au fil des mois. Les touristes recherchant moins les lieux où se font jour les effets de masse. Quant aux destinations lointaines, elles ne sont plus à l’ordre du jour…

Deux fois par an, ces réunions accueillent les villes labellisées pour de fructueux échanges autour du retour d’expériences et d’initiatives. A Joigny, les délégations de Châteaudun, Mehun-sur-Yèvre, Loches, Montargis, Moret-sur-Loing et Avallon étaient présentes.

Les sujets émanent des préoccupations coutumières dans l’air du temps : l’accessibilité, le fleurissement, la signalétique, les hébergements, la revitalisation des centres anciens, le poids du commerce et de l’artisanat.

Membre de ce réseau influent depuis 2000, Joigny était représenté par Frédérique COLAS, conseillère départementale et première adjointe de la Ville et Béatrice KERFA, directrice de l’Office de tourisme de Joigny et du JOVINIEN.

Signalons qu’un guide est édité chaque année en partenariat avec Michelin. Plus de 200 000 exemplaires sont ainsi écoulés vers les touristes soucieux d’en savoir davantage sur ces 109 communes.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Innovation pédagogique à tous les étages au sein de l’établissement à vocation agricole de l’Auxerrois ! L’apport de simulateurs de conduite d’engins devrait être un sérieux plus éducatif pour les élèves qui fréquentent la filière. D’autant que sept de ces appareils aux multiples options y seraient fonctionnels pour assurer une découverte des risques inhérents aux métiers, mêlant aspects ludiques et modernistes. Qui a dit que l’enseignement agricole n’était pas à la pointe de la technologie ?!

 

VENOY : C’est presque une révolution de palais au sein de l’institution agricole de l’Auxerrois. Appréhender toutes les subtilités techniques propres aux différents métiers de la filière par le prisme de la simulation électronique représente un sérieux avantage pour celles et ceux des apprenants qui s’y exercent.

Testés par plusieurs élèves, trop heureux de vivre cette expérience unique, les simulateurs de conduite d’engins offrent une kyrielle de possibilités, devenant une étude de cas grandeur nature où le conducteur doit savoir manier les manettes de ce pseudo engin virtuel avec dextérité et prudence.

Muni de diverses options (enjambeur, véhicule agricole, transport animalier, van, tractation d’une remorque…), l’appareil plaçait dans un contexte proche du réel ces jeunes gens encore inexpérimentés à la conduite qui souhaitaient en découdre avec lui, histoire de se mesurer aux vertus du digital !

 

Le volet sécuritaire examiné en priorité…

 

Naturellement, du fait du confort usuel de cet appareil issu du made in France, les apprentis conducteurs d’engins agricoles purent aborder le volet sécuritaire et la découverte des dangers existants à leur mauvaise maniabilité. Avec en filigrane, le souci de l’optimisation économique des engins, bien réels ceux-là, que ces jeunes apprenants seraient amenés à piloter ultérieurement lors d’exercices sur le terrain. En maîtriser avec plénitude les gestes serait un gage supplémentaire pour en éviter la casse ! Donc, les coûts inutiles à leur réparation !

Conscient de cette prodigieuse avancée pédagogique favorisant la confiance et l’engouement des élèves, le CFA La Brosse, associé au lycée et au CFPPA éponymes, envisagent très sérieusement de se doter de sept de ces appareils révolutionnaires, fortement usités dans le milieu des travaux publics et du bâtiment.

Grâce au concours du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté qui supporterait 80 % de l’achat, l’établissement disposerait d’un reste à charge plus que correct pour en financer l’octroi.

Une enveloppe budgétaire de 700 000 euros TTC serait nécessaire pour acquérir sept de ces simulateurs de dernier cri, gavés de multiples options. Il n’est pas exclu que d’autres partenaires économiques inféodés à la cause agricole participent au projet.

 

 

Une sélection entre deux prestataires basée sur le coût et les options…

 

Selon Hélène DECULTOT, directrice du CFA agricole, le choix entre les deux prestataires français (ACREOS et TENSTAR) n’est pas encore définitivement entériné.  L’heure est toujours à la phase des essais entre les deux concepts.

Si tout se déroule comme prévu dans le cahier des charges, ces simulateurs de conduite d’engins pourraient être opérationnels au printemps 2022.

Juste avant les futures portes ouvertes du site où ils deviendront les vedettes américaines de ce rendez-vous. Près de 450 élèves ainsi que des personnes en formation continue y auraient accès par la suite.

La décision définitive sera prise en septembre quant au prestataire retenu. Le coût ne sera pas le seul critère de sélection ; l’établissement aura une préférence pour le concept le plus éclectique en termes de possibilités d’options.

La filière de l’enseignement agricole s’inscrit désormais sous le sceau de la modernité avec l’apport de ces outils numériques. A l’instar du lycée viticole de Beaune qui dispose déjà de ce dispositif d’enseignement virtuel dans ses locaux.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Un air de rentrée a soufflé bien avant l’heure dans l’hémicycle du Conseil régional ce vendredi après-midi. Les « élèves », aussi studieux qu’ils puissent le paraître avant que ne soit donné le coup d’envoi de la séance officielle aux alentours de 15 heures, n’étaient autres que les nouveaux élus de cette assemblée, forte de sa centaine de composantes. Premier devoir à accomplir pour l’assistance : élire parmi trois candidatures le nouveau président.     

 

DIJON (Côte d’Or) : Ultime travail de fin de saison ou prémices d’une rentrée démarrant plutôt que prévu ? L’image renvoyée par cet hémicycle, abondamment garni dans ses travées, en ce vendredi 02 juillet faisait incliner la balance pour la seconde hypothèse. Avant que ne survienne la très attendue période estivale, il restait un dernier acte à graver dans le marbre pour les élus du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté après deux tours de scrutin : désigner par un vote à bulletin secret celle ou celui qui allait en prendre les rênes sous cette nouvelle mandature.

 

 

 

Une fois l’appel nominatif de chacun des cent pensionnaires de la « grande maison » effectué, ce qui permettait d’identifier et de repérer qui était bel et bien présents en ce jour de vote capital, les deux élues en charge du processus électoral procédèrent à l’enregistrement des candidatures.

Pour l’anecdote, la mission incomba à la doyenne de l’assemblée, la communiste Jacqueline BRAMANT, élue de Saône-et-Loire, associée (ce sera sans aucun doute la seule et unique fois ces six prochaines années à la plus jeune des élues, la représentante du Rassemblement National Mélanie FORTIER, de Côte d’Or !).

 

 

 

Observant le protocole à la lettre, les prétendants au poste de président furent connus par la voix du porte-parole de leurs groupes. Sans surprise, on retrouvait trois des quatre ténors de cette élection 2021 en piste, soit la sortante du Parti socialiste Marie-Guite DUFAY, le Républicain Gilles PLATRET et le leader du Rassemblement National, Julien ODOUL. Seul Denis THURIOT (LREM) manquait à l’appel en ne se portant pas candidat au perchoir.

Cette absence de l’édile de Nevers dans la course augure-t-il déjà d’une certaine manière d’appréhender le positionnement des élus de la majorité présidentielle ? Entre alliance et complaisance, voire rejet selon les dossiers à traiter ? L’avenir nous le dira.

 

 

Le plein des voix pour Marie-Guite DUFAY avec 57 votes favorables…

 

Une fois connu le nom de tous les acteurs de ce dernier round, l’acte III de ces régionales pouvait enfin débuter. Un à un, répondant à l’appel de l’ordre alphabétique, les conseillers régionaux quittèrent leur siège afin de déposer dans l’urne de plexiglas la précieuse enveloppe. Contenant soit l’un des trois noms, soit rien du tout !

Le long processus s’éternisa près de quarante-cinq minutes, durant lesquelles l’on papotait dans les travées, les médias mitraillèrent les élus les plus représentatifs accomplissant leurs gestes devant l’urne, les caméras immortalisaient ces instants qui ne pouvaient qu’accoucher sur une vérité connue de chacun : la réélection de la présidente sortante.

Mathématiquement, il fallait 51 voix dès le premier tour de scrutin pour asseoir confortablement l’élue de Franche-Comté dans son fauteuil de présidente. Marie-Guite DUFAY en obtint 57 ! Un chiffre qui ne dénotait pas avec celui du nombre de représentants de sa nouvelle majorité, unissant les forces de gauche, socialistes, écologistes, radicaux et communistes.

 

 

Son dauphin n’est autre que le patron du RN régional, Julien ODOUL. Il a fait le plein des voix parmi ses partisans avec 18 bulletins acquis à sa cause. Le maire de Chalon-sur-Saône Gilles PLATRET termine bon dernier avec un total de 16 voix alors que son groupe en recense dix-huit ! Ces deux voix manquantes se sont traduites en bulletins nuls à la suite d’une erreur de vote. Les sept élus de LREM se sont prononcés en optant pour le vote blanc.

Précisons que 66 nouveaux élus ont fait leur apparition dans l’hémicycle et ont goûté aux joies de l’installation avec ces retrouvailles en présentiel.

Outre le vote du nouvel exécutif avec la désignation des quinze vice-présidents et de la commission permanente, l’assemblée régionale a prévu de nommer les conseillers délégués lors de la prochaine assemblée plénière le vendredi 23 juillet à Dijon. Une nouvelle étape qui favorisera la mise en route définitive de cette structure aux multiples appétences…

 

 

 

 

Les 15 vice-présidentes et vice-présidents

  • Michel Neugnot, 1er vice-président en charge des mobilités, des transports scolaires, de l’intermodalité et des infrastructures
  • Laëtitia Martinez, 2ème vice-présidente en charge de l’enseignement supérieur, la recherche, l’égalité réelle et la laïcité
  • Nicolas Soret, 3ème vice-président en charge des finances, du développement économique, de l’économie sociale et solidaire et de l’emploi
  • Sandra Iannicelli, 4ème vice-présidente en charge des formations sanitaires et sociales et de l’accompagnement des personnes handicapées
  • Patrick Molinoz,5ème vice-président en charge des transitions numériques, de l’innovation, des politiques européennes, des actions internationales et de l’export
  • Océane Charret-Godard, 6ème vice-présidente en charge des lycées, de l’offre de formation, de l’apprentissage et de l’orientation
  • Éric Houlley, 7ème vice-président en charge de la cohésion territoriale, de la politique de la ville, des ruralités, des parcs naturels et des contrats de plan (CPER, CPIER)
  • Isabelle Liron, 8ème vice-présidente en charge de la formation professionnelle des demandeurs d’emploi, des mutations économiques et du dialogue social territorial
  • Patrick Ayache, 9ème vice-président en charge du tourisme et de l’attractivité de la région
  • Stéphanie Modde, 10ème vice-présidente en charge de la transition écologique : énergie, biodiversité, alimentation, économie circulaire, eau
  • Willy Bourgeois,11ème vice-président en charge du sport et de la communication de la collectivité
  • Sarah Persil, 12ème vice-présidente en charge de la jeunesse, de la vie associative, de la citoyenneté et de la démocratie participative
  • Christian Morel, 13ème vice-président en charge de l’agriculture, de la viticulture et de l’agroalimentaire
  • Nathalie Leblanc, 14ème vice-présidente en charge de la culture et du patrimoine
  • Hicham Boujlilat, 15ème vice-président en charge des ressources humaines, de l’évaluation des politiques publiques, médiateur régional

 

Thierry BRET

 

 


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