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Le secteur de l’agriculture, malmené durant la longue période de crise sanitaire, ne sera pas omis du plan de relance soutenu par la Région Bourgogne Franche-Comté. Une enveloppe de soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, devrait être attribuée très prochainement pour soutenir les professionnels de la filière…

 

DIJON (Côte d’Or) : C’est une excellente nouvelle pour l’un des secteurs économiques en proie à de sérieuses difficultés. L’univers de l’agriculture devrait bénéficier d’ici peu d’une conséquente enveloppe budgétaire, évaluée à soixante-dix millions d’euros, engagée au titre du FEADER, le Fonds européen agricole pour le développement rural.

La nouvelle a été confirmée par l’envoi aux rédactions d’un communiqué de presse, à l’estampille du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté ce mardi 15 juin.

Suite à l’accord du Parlement et du Conseil européen, obtenu en novembre dernier, les professionnels de la filière agricole, à la peine au plan économique entre les effets de la crise sanitaire et la situation climatique délicate, devraient profiter de ces subsides européens d’ici peu. La date de l’attribution de cette aide n’a toutefois pas été précisée dans le document destiné aux relations avec la presse.

L’objectif de cette manne financière sera de soutenir la compétitivité de la filière agricole régionale mais aussi l’adaptation des exploitations, l’encouragement à la diversification ainsi que l’aide aux industries agro-alimentaires.

Le secteur forestier est également concerné par cette attribution. Quant aux programmes de développement rural FEADER Bourgogne et Franche-Comté 2014/2020, ils sont à l’heure actuelle en phase de modification à la Commission européenne…

 

Thierry BRET

 

 


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Ces deux échéances électorales, départementales et régionales, ont lieu le même jour cette année. Malgré cela, elles risquent d’être une fois de plus délaissées. 50,9 % des Français se sont abstenus de voter lors des élections régionales en 2015 selon le Ministère de l’Intérieur[1]. Souvent perdus, à cause des listes pléthoriques de candidats, nos compatriotes ne se rendent pas aux urnes à ces élections ; or, elles prônent la proximité avec les citoyens.

 

AUXERRE : Prévues à l’initial en mars 2021, les élections départementales et régionales ont été reportées de début juin à la fin de ce même mois du fait de la crise sanitaire.

Les premières permettent d’élire les conseillers départementaux pour un mandat de six années. Celles-ci se font par canton avec au total 2 054 cantons en France, où il y a 4 108 sièges de candidats. Les prétendants se constituent en binômes, composés d’une femme et d’un homme. Chacun des candidats a un remplaçant où il doit y avoir également un homme et une femme.

Pour être élu au premier tour, le binôme doit avoir obtenu la majorité absolue des suffrages exprimés ainsi qu’un nombre des suffrages qui se doit d’être égal au quart des électeurs inscrits. Dans le cas contraire, un second tour se présente où seuls les binômes ayant obtenu au moins 12,5 % des voix au premier tour peuvent y participer. Dès lors de celui-ci, il leur suffit alors la majorité relative pour l’emporter.

Une fois élu, ce binôme va alors s’assurer du bon fonctionnement du département avec différentes missions. La solidarité, l’action sociale et la santé avec les maisons de retraites, le RSA par exemple. Les conseillers s’occupent aussi de l’aménagement durable du territoire avec l’amélioration des routes ainsi que de l’éducation, de la culture et des sports où ils prennent en charge les collèges ou encore les bibliothèques.

Les élections départementales ne sont pas organisées partout en France. Chaque département possède ses élections à l’exception de la ville de Paris, la métropole de Lyon, la Guyane et la Martinique, la Corse, les collectivités d’Outre-Mer ainsi que la Nouvelle-Calédonie.

En revanche, quelques-unes participent aux élections régionales. En effet, la Corse, la Martinique et la Guyane étant placées comme des collectivités uniques, possèdent des élections territoriales qui sont basées sur les mêmes règles que les régionales.

 

La représentation proportionnelle des élections régionales

 

Le scrutin pour les élections régionales est une liste à deux tours où il y a une représentation proportionnelle à la plus forte moyenne avec une prime majoritaire. Pour se présenter, les candidats rejoignent par sections départementales une liste où ils sont inscrits. Celles-ci sont constituées d’autant de sections qu’il y a de département dans la région. Le nombre de région et de département a été modifié par la loi du 16 janvier 2015.

Le déroulement des élections se fait de manière différente. Si au premier tour, une liste obtient la majorité absolue des suffrages déposés, elle reçoit un quart des sièges. C’est-à-dire des places pour les conseils régionaux. Dans ce cas-là, il n’y a alors qu’un seul tour. Les sièges restants sont attribués entre toutes les autres listes qui se sont présentées et qui ont obtenues au moins 5 % des suffrages.

En cas de non-majorité, il y a un second tour. Pour y accéder, les listes doivent avoir acquis au moins 10 % des voix au niveau de la région.

C’est ensuite la répartition à la proportionnelle qui décide du nombre d’attribution des sièges. De même que les élections départementales, les conseillers sont renouvelés tous les six ans.

Le but d’être élu au conseil régional est d’avoir part au développement économique, social et culturel. Leurs missions prennent en compte les transports non-urbains, la formation professionnelle, l’aménagement du territoire mais aussi les lycées etc.

 

Des missions de proximité bien identifiées…

 

Bien que les élections présidentielles soient importantes, les élections départementales et régionales le sont tout autant. En se rendant au bureau de vote, les citoyens peuvent alors faire entendre leurs idées en votant pour les candidats qu’ils souhaitent.

A contrario des élections présidentielles, les élus aux conseils régionaux et départementaux sont présents pour aider leurs concitoyens sur un des problèmes qu’ils pourraient rencontrer. Leur but étant de rapprocher et créer un lien avec les habitants des différentes zones.

Pour cette raison, il est nécessaire de déposer son bulletin de vote les 20 et 27 juin prochains !

 

Jordane DESCHAMPS

[1] https://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-des-communiques-de-presse/2015-Communiques/Resultats-du-premier-tour-des-elections-regionales-2015

 


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Elle se sent un peu comme chez elle, la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté. Lorsqu’elle se déplace dans le Tonnerrois, cela lui procure toujours beaucoup de fierté. Celle d’avoir pu agir, au nom de la collectivité dont elle possède les rênes depuis bientôt six ans, en faveur de l’entrepreneuriat et de l’emploi. Accueilli par le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, Cédric PIRES, Marie-Guite DUFAY a pu découvrir les multiples facettes du leader haut de gamme de la literie de luxe, made in France…

TONNERRE: Affichant un large sourire à la descente de son véhicule, la présidente socialiste de la Région Bourgogne Franche-Comté aime se rendre dans la ville de la fosse Dionne.

C’est avec réel plaisir qu’elle y fait étape dès qu’elle le peut lors de pérégrinations officielles la menant dans la partie septentrionale de la contrée dont elle brigue un nouveau mandat.

Provenant de Sens où elle aura concentré son intérêt sur le club de La Patriote Sénonaise (une référence nationale dans la discipline du tir sportif qui est susceptible d’accueillir les entraînements d’athlètes qualifiés aux Jeux de Paris en 2024), la présidente ne pouvait se soustraire de faire étape à Tonnerre lors de cette mini-tournée dans l’Yonne. Tournée qui ne concernera pas Auxerre, soit dit en passant…

Avant de poursuivre la route jusqu’à Avallon pour d’autres réjouissances du même acabit (la visite du complexe aquatique entièrement rénové et la rencontre avec des associations sportives), Marie-Guite DUFAY a pris soin de s’immerger dans l’univers de la literie de luxe telle qu’elle se définit au sein de la Compagnie DUMAS.

La structure familiale aujourd’hui dirigée par Edouard DUMAS règne depuis 1910 sur les grandes maisons privées et les hôtels de la capitale en matière de literie et autres couettes.

 

 

Des processus de fabrication judicieusement préservés…

 

Traversant d’une foulée dynamique la grande cour centrale devant la conduire vers les bureaux de la société, la présidente de la Région était accompagnée de Nicolas SORET, président de la communauté du JOVINIEN et édile de Joigny, de Gilles DEMERSSEMAN, conseiller régional en phase de renouvellement de bail et de Jamilah HABSAOUI, première élue d’Avallon.

La présidente fut accueillie à l’entrée des ateliers par le nouveau maire de Tonnerre, Cédric CLECH, et le secrétaire général de la Compagnie DUMAS, un autre Cédric, dont le patronyme était fort naturellement différent de son voisin, soit PIRES.

Ce dernier expliqua durant de longues minutes sous le chaud soleil estival les fondements mêmes de cette société industrielle de renom, véritable pépite du made in France à l’international.

Employant 45 salariés, DUMAS conçoit des oreillers et des couettes de grand standing dont les processus de fabrication sont secrètement gardés. D’ailleurs, toutes prises de vues photographiques sont formellement interdites une fois pénétré dans le saint des saints de ce paradis des nuitées hôtelières réussies !

Annuellement, il sort plus de deux millions d’oreillers de cette unité de production qui tourne à plein régime ; il y est également produit plus de deux cent mille couettes et vingt mille sur-matelas.

 

 

Un soutien de la Région par le passé d’environ 300 000 euros…

 

Sur un rythme rapide (respect du timing oblige !), le petit cortège se focalisera sur les points principaux de cette fabrication, slalomant entre les machines dont la plus récente (et la plus impressionnante) a été financée avec le soutien de la Région, soit un subside de près de 300 000 euros.

Ce qui fera dire, un peu plus tard, à Marie-Guite DUFAY que « la puissance publique était en capacité de faciliter les investissements des entreprises… ».

Le savoir-faire séculaire de DUMAS n’est d’ailleurs pas prêt de se tarir ; la direction générale a fait savoir que plusieurs projets tant au niveau du développement durable que de la production allaient pouvoir se concrétiser dans un avenir proche.

Précisons que durant la crise sanitaire, la Région a acheté à la société tonnerroise ainsi qu’au spécialiste du chanvre, le voisin GEOCHANVRE à Lézinnes, plus de trente mille masques de protection.

Satisfaites de cette petite heure instructive vécue dans le milieu de la literie de qualité, Marie-Guite DUFAY et sa délégation pouvaient continuer leur programme tonnerrois qui comprenait d’autres rendez-vous.

 

Thierry BRET

 

 


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Malgré la crise sanitaire, la Bourgogne Franche-Comté se positionne à la sixième place des régions françaises en termes d’investissements venant de l’international et à la huitième place au niveau de l’échelle européenne. Malgré la crise sanitaire présente depuis plus d’un an dans l’Hexagone, notre territoire ne s’est pas laissé abattre…

 

DIJON (Côte d’Or) : Selon le dernier bilan annuel publié par « Business France », la Bourgogne Franche-Comté se classe à la sixième place au niveau des régions françaises qui accueillent le plus d’investissements directs en provenance de l’étranger. A l’échelle européenne, celle-ci occupe une méritoire huitième place.

En ayant validé l’accueil de 91 projets en 2020, notre contrée a permis d’entreprendre la création mais aussi le maintien de 1 459 emplois, là où la préservation de ceux-ci était très compliqué du fait de la crise sanitaire.

L’épidémie de la COVID-19 a engendré de la perte d’emploi mais aussi une crise économique et sociale internationale. A contrario, la Bourgogne-Franche-Comté a réussi à garder les chiffres stables.

 

La Région jouit d'une excellente notoriété aux yeux de l’étranger…

 

Grâce à un bond de + 115 % de projets d’investisseurs étrangers qui ont été concrétisés, la Bourgogne Franche-Comté s’était classée à la cinquième place en 2020. Au total, ce sont 48 000 salariés qui sont employés au sein de 800 entreprises internationales dans la région. 

Ces principaux investisseurs proviennent principalement d’Allemagne avec 29 % des projets et 25 % des emplois ainsi que des États-Unis avec 21 % des projets et 36 % des emplois.

Ces investissements internationaux se concentrent notamment au sein de la production où il y a au total 36 % des projets et 38 % des emplois avec également le secteur des points de vente avec 34 % des projets et 36 % des emplois. De plus, les fonctions de la recherche et du développement ainsi que l’ingénierie se joignent aux investissements internationaux en Bourgogne Franche-Comté en comptant 15 % des projets et 11 % des emplois. [1]

Selon l’ORBIS, plus de deux cents dépôts de stockage de ces entreprises étrangères sont situés dans le département de Côte-d’Or. Pour les autres départements tels que l’Yonne, la Saône-et-Loire et le Doubs, c’est entre 100 et 200 entreprises étrangères qui possèdent ce type de structures. Elles concernent de 50 à 100 entreprises étrangères dans la Nièvre et le Jura ; moins de 50 à l’intérieur du département des Haute-Saône et celui du Territoire-de-Belfort.

 

 

La région de Bourgogne Franche-Comté a réussi à évoluer au fil des années aussi bien sur le plan de l’emploi et des projets. En effet, selon le bilan « France 2014-2020 », elle est passée de 31 projets en 2014 à 114 en 2019 puis en 2020, ils sont redescendus à 91 projets.

Selon la présidente de la Région Bourgogne Franche-Comté, Marie-Guite DUFAY : « Parce qu’il y aura une après-crise, il nous apparaît indispensable de maintenir le cap pour être prêts à faire face aux grandes mutations économiques et écologiques de notre époque… ». Du moment que cela soit profitable à la Bourgogne Franche-Comté, bien sûr !

Jordane DESCHAMPS

 

 

[1] https://aer-bfc.com/wp-content/uploads/2021/03/bourgogne-franche-comte_investissements-internationaux-2020.pdf


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Le Pôle environnemental d’Auxerre ne possède plus de secrets pour la tête de liste de la majorité présidentielle, le maire de Nevers La République en Marche Denis THURIOT. En compagnie d’une petite délégation, il en a visité les moindres recoins il y a peu. Convaincu par la pertinence novatrice de cet outil, sujet par le passé à bon nombre de commentaires versatiles de la part du microcosme politique…

 

AUXERRE : Il questionne beaucoup, le candidat de la liste « La Région partout et pour tous ». Se forgeant sa propre opinion sur le bien-fondé d’une réalisation à l’architecture si inédite qui est posée là dans un décor très verdoyant à deux pas de l’Yonne.

Même si la construction et surtout ses finalités fonctionnelles ont pu faire couler beaucoup d’encre dans le landerneau par le passé. Voire secouer le cocotier de certaines séances plénières de la communauté d’agglo !

Pourtant, il n’y a pas de critiques manifestes à l’encontre de l’édifice tel qu’il lui a été présenté par l’hôte de ces lieux, Emmanuel JOBARD. Le référent officiel du Pôle environnemental assume avec professionnalisme son rôle de « guide » durant cette visite d’environ une heure.

 

 

Le Pôle environnemental ? Un très bel endroit…

 

Bien au contraire, Denis THURIOT qualifie le site de « très bel endroit ». Un espace qui représente, selon lui, « une véritable attente pour celles de ces entreprises qui veulent jouer plein pot la carte de la transition écologique et du  développement durable… ».

Alors s’il est élu au terme de cette courte campagne au poste suprême de président de Région, consentira-t-il à débloquer des subsides pour encourager au développement de ce site encore très peu exploité au plan économique ?

La réponse ne se fait pas attendre, une fois la question posée. Elle est favorable à 100 % et sans renâcler !

 

 

L’élu de la Nièvre qui s’invite dans la bataille de ces régionales 2021 avec des prétentions de victoire considère ce type d’équipement dans l’air du temps. Une réelle aubaine pour celles et ceux qui placent le digital durable parmi leur cible de développement. « Un tel édifice devrait exister dans la plupart des grandes villes que compte notre contrée… »

Tiens, tiens, ce n’était pourtant pas l’avis de tout le monde au moment de sa sortie de terre dans l’Auxerrois !

 

 

Pas de favoritisme territorial en cas de succès le 27 juin au soir !

 

D’une pièce à l’autre, d’une déambulation proposée depuis le rez-de-chaussée jusqu’aux étages supérieurs après un sympathique tour sur la terrasse ensoleillée, Denis THURIOT aura eu le loisir, en présence de Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président de la Communauté de communes de Puisaye-Forterre qui roule à ses côtés, de découvrir les diverses subtilités stratégiques et architecturales de ce bâtiment conçu sur…pilotis.

Le point d’orgue idéologique du candidat en campagne demeure la proximité. Il ne cesse de le marteler. Comme peut l’être ce pôle environnemental. Il s’inscrit dans cette veine identique pour choisir ses futures orientations occupationnelles.

Une proximité que le candidat fédérant LREM, le Mouvement démocrate (MoDem), AGIR et Territoires de Progrès partage avec l’édile d’Auxerre Crescent MARAULT.

Avant que ne se déroule cette visite, les deux hommes ont eu le privilège de s’entretenir quelques instants à l’hôtel de ville. Bien loin des regards indiscrets des médias ! Dommage !

Opposer à tout favoritisme territorial, l’élu du département qui paraît être le moins favorisé de la Bourgogne entend bien trouver le juste équilibre entre zones urbaines et secteurs champêtres parmi les huit départements dont il aurait à assurer l’essor économique en cas de réussite au soir du 27 juin.

Sans doute une réminiscence de son corpus intellectuel, lui l’avocat qui aime avant tout autre chose que la justice règne…

 

Thierry BRET

 

 


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