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La période du « en même temps » serait-elle désormais révolue pour le chef de l’Etat Emmanuel MACRON ? Comme le disait si bien l’amuseur de RTL, Philippe CAVERIVIERE, dans l’une de ses chroniques humoristiques matinales dont il a le secret à l’annonce, cette semaine, du nouveau gouvernement, « la France est gouvernée par huit ministres de droite, deux de gauche et les autres… de droite ! ».

Preuve que le nouveau chef du gouvernement qui lui vient plutôt de la gauche (anciennement parti socialiste) aurait choisi une équipe en concertation avec le palais élyséen qui pencherait significativement plus vers la droite que l’inverse. Une question de déséquilibre, en somme, que le fanfaron du matin n’aura donc pas manqué de railler sur les ondes hertziennes.

Et ce n’est pas l’arrivée de deux poids lourds ayant déjà officié sous l’ère de Nicolas SARKOZY et de Jacques CHIRAC qui vont infléchir ce sentiment de droitisation de la politique actuelle. A trois ans du terme du second mandat du plus jeune Président de la République élu (39 ans), non seulement le locataire de l’Elysée se paie le luxe de nommer un « gamin » de 34 ans à la tête du gouvernement, Gabriel ATTAL, et de muscler ainsi l’aile droite de son exécutif, peut-être en prévision des futures joutes présidentielles de 2027, élections décisives pour l’avenir du pays, présentes déjà dans toutes les têtes.

 

La nomination de Rachida DATI créée plus que de la surprise !

 

Serait-ce la « botte de Nevers » astucieuse à la D’Artagnan – c’est plutôt d’actualité avec la nouvelle adaptation cinématographique du roman fleuve d’Alexandre DUMAS – qu’aura choisie Emmanuel MACRON pour couper l’herbe sous les pieds du Rassemblement National et des Républicains, avant de se lancer dans la course à l’Elysée ?

Peut-être. Ou peut-être pas. Mais, le Président de la République est suffisamment un fin renard de tacticien pour ne pas l’avoir envisagé !

Face à la jeunesse incarnée par les jeunes loups aux dents acérées du RN (Jordan BARDELLA, Laurent JACOBELLI, Sébastien CHENU, Julien ODOUL…), le dirigeant de l’Etat français a donc opté pour un choix stratégique qui lui permet d’occuper le terrain, avec des ministres de droite, tout acquis à sa cause. Dont d’anciennes figures gouvernementales ayant déjà connu les ors du pouvoir grâce à un maroquin sous la présidence de Nicolas SARKOZY et de Jacques CHIRAC : Rachida DATI, ancienne Garde des Sceaux et Catherine VAUTRIN, ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale et à l’Egalité des chances, entre autres.

Certains poussent déjà des cris d’orfraie en s’étranglant à moitié ! Notamment envers la première des susnommées. Surtout, François BAYROU du MoDem qui ne doit plus trouver le sommeil depuis cette nomination surprise et pour le moins inattendue.

 

 

Rachida DATI entre dans un gouvernement de l’ère MACRON ! Elle qui a tellement vilipendé sur les ondes et dans les meetings l’action présidentielle et gouvernementale depuis 2007 se retrouve donc en première ligne, certes avec le portefeuille du ministère de la Culture. Il ne faudrait pas exagérer tout de même ! Il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis, dit-on !

Il paraît que dans les soupentes de la chose politique, tous les observateurs s’accordent à le dire que d’une part François BAYROU – de moins en moins influent auprès de la présidence hexagonale – ne décolère pas à la suite de cette nomination des moins surprenantes. Il pourrait même lancer sa propre liste aux Européennes tellement le garçon semble dépité ! Pire, Rachida DATI personnifie la détestation suprême pour le maire de Pau et leader du mouvement centriste car c’était l’ennemie jurée de feu Marielle de SARNEZ, son égérie, aujourd’hui disparue.

D’autre part, confier la culture à l’élue de l’opposition parisienne équivaut à une sinistre plaisanterie, selon les sbires de la grande prêtresse de la capitale, Anne HIDALGO ! Une autre de ces ennemies jurées. Elle l’accuse ouvertement de ne rien connaître à la cause des artistes ! Bing, ça mitraille à tout va !

Du côté des leaders des Républicains, cette prise de guerre réalisée face au camp adverse par Emmanuel MACRON fait également grincer des dents auprès des instances supérieures du parti de droite, toujours englué dans l’opposition à la recherche d’un véritable chef charismatique en vue des présidentielles 2027. L’excommunication n’est pas très loin ! A défaut, la radiation ou le bannissement, alors que l’intéressée se défend de quitter sa famille politique dont elle incarne une incontestable force.

 

Les inquiétudes des mouvements LGBT avec le retour de Catherine VAUTRIN

 

Ancienne présidente de l’ANRU (Agence nationale pour la Rénovation Urbaine) – à ce titre, Crescent MARAULT, maire de droite d’Auxerre et président de l’Agglomération de l’Auxerrois, l’avait reçue en juin dernier en grande pompe dans sa ville de prédilection lors d’une signature de partenariat -, Catherine VAUTRIN, adoubée entre-temps par l’Elysée pour s’installer au ministère du Travail, de la Santé et des Solidarités, suscite bon nombre d’interrogations également.

Réputée ultra conservatrice et bien empreinte dans l’idéologie d’un catholicisme pur jus, les prises de position de l’intéressée, jadis, contre les mouvements LGBT et le mariage pour tous, font couiner aujourd’hui les sphères homosexuelles de l’Hexagone. Un non-sens pour les libertés, clament déjà ses plus farouches opposants même si l’ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale et à l’Egalité des chances (de toutes les chances ?!) a fait depuis son mea culpa sur le sujet. Sait-on jamais : et si un jour on lui avait proposé de gérer à nouveau un  portefeuille ministériel !

A l’énoncé de son patronyme, certains ont carrément parlé de « douche froide » ! Un comble, que cette nomination quand on sait que le nouveau Premier ministre de notre pays est le premier chef de gouvernement à avoir effectué publiquement son « coming out » et à affirmer ainsi son homosexualité !

Mais, au-delà de ces différentes désignations et du resserrement millimétré de la liste ministérielle où l’on prend in fine du vieux pour tenter de nous vendre du neuf, on retiendra tout de même une belle note de positivisme, prononcée lors de la première intervention audiovisuelle du très jeune Gabriel ATTAL : « je veux de l’action, de l’action, de l’action pour obtenir des résultats, des résultats, des résultats… ».

Enfin de belles paroles, audibles à nos oreilles et que l’on aimerait tellement croire dans les faits !

 

Thierry BRET

 


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Le découpage actuel des régions risque de diluer les spécificités historiques de chacune. Par exemple, les Hauts-de-France ne correspondent à rien pour les habitants et à aucune identité spécifique. Nos régions, comme l’Alsace, la Bretagne, la Corse ou l’Auvergne, ont marqué l’histoire de France d’une empreinte indélébile. Leurs particularismes imprègnent notre culture depuis près de deux milles ans pour beaucoup ! La France, c’est une mosaïque de territoires, riches de leurs spécificités agricoles, vinicoles, forestières, industrielles, artisanales…

 

TRIBUNE : On reconnaît telle ou telle région au style architectural comme en Alsace ou en Béarn, idem pour le mobilier comme les lits clos bretons. On identifie aisément l’origine culturelle d’une choucroute, d’une potée, d’un coq au vin et d’un kig ar farz ! La France est multiple, et riche de son ouverture au monde. Les régions de l’Hexagone sont aussi ouvertes vers celles de l’outre-mer et enrichies de leurs traditions, culture spécifique, nous offrant des destinations de vacances de rêve… Merveilleux paradoxe national que celui-ci : la France est morcelée en petits territoires, mais demeure une et indivisible !

 

Peut-on parler de civilisation française ?

 

Regardons ce qui caractérise une civilisation. Si on croit SAINTE-BEUVE, le but de la civilisation, c’est de faire prévaloir la douceur et les sentiments sur les appétits sauvages. L’histoire se prolonge aujourd’hui : quand on n’a pas les mots, il reste les poings pour communiquer ! Dans « Les deux sources de la mort et de la religion », BERGSON affirme que toutes les acquisitions de l’humanité sont déposées dans la science, dans les institutions, dans les usages, dans la syntaxe et le vocabulaire de la langue et « jusque dans la gesticulation des hommes ». Une civilisation, c’est aussi une culture qu’on applique et qui régit nos actions les plus subtiles.

De nombreux pays d’Europe revendiquent d’être à l’origine de la civilisation occidentale. L’Espagne est bien placée car la civilisation d’El Agar a rayonné sur la péninsule ibérique de 2 500 à 1 500 avant notre ère. L’Espagne joue un rôle déterminant entre l’Europe et le monde musulman, puis entre le Vieux continent et le nouveau monde. Certains considèrent qu’elle fut l’une des fondations de la civilisation occidentale.

 

 

L’Hexagone, le carrefour des peuples…

 

La France souhaite maintenir sa primauté et se présente, à juste titre, comme le carrefour des peuples, et le creuset des mondes. Notre territoire fait le lien entre la péninsule ibérique et l’Italie, entre le monde rhénan et les îles britanniques. L’empire de Charlemagne avait pour capital Aix-la-Chapelle (ou Aachen). La France s’enorgueillit de son « Grand Siècle » (le XVIème), avec un Louis XIV qui nous a conté Versailles… Le « Siècle des Lumières » berce la nostalgie des futurs révolutionnaires, et enfin la Révolution qui façonna des cultures, des langues, des modes de pensées, des littératures, des artistes dans tous les domaines des arts majeurs…

Victor HUGO rendit visite à la statue de la Liberté dans l’atelier de BARTHOLDI  le 29 novembre 1884. Son discours en dit long sur la fierté d’être français et un témoin rapporte la scène et le discours : « La mer, cette grande agitée, constate l’union des deux grandes terres, apaisées ! »(…) « Oui, cette belle œuvre tend à ce que j’ai toujours aimé, appelé : la paix. Entre l’Amérique et la France – la France qui est l’Europe – ce gage de paix demeurera permanent. Il était bon que cela fût fait. ». Telle était la perception de la grandeur de la France !

 

Et le rôle de l’Allemagne dans tout ça ?

 

Nein, disent nos amis d’outre-Rhin, la civilisation occidentale, c’est nous ! Ils revendiquent de représenter l’Europe centrale. Dès la fin du Xème siècle, c’est le monde germanique qui endosse la mission de refonder l’Empire Romain. Durant les siècles suivants, tout ce que l’Europe compte d’artistes, se retrouvent au château de Wartburg, dans l’actuelle Thuringe, et en fera un centre culturel européen majeur.

L’Allemagne fut une interface naturelle entre le monde Roma(i)n et le monde slave, entre la Scandinavie et l’Adriatique. Les fameuses invasions « barbares » germaniques peuvent aussi être comprises comme éléments précurseurs de la civilisation occidentale. En effet, que serait la France sans les invasions des Francs, et l’Espagne sans les Wisigoths ?

Au XIXème siècle, la civilisation occidentale, c’est d’abord la révolution industrielle, la domination des mers, l’expansion coloniale et le capitalisme. Selon cette approche, il est certain que Londres est dominant et que l’Angleterre deviendra le centre de cette civilisation.

 

Fin de la première partie

 

Paul GUILLON

 

 


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Il n’y a pas d’âge pour entreprendre. Ni réaliser le rêve de son existence. Encore moins de vouloir prendre sa destinée en main ! A 34 ans, Jimmy GONDET se lance un défi de taille. Mais, pas de quoi l’affoler, lui qui pratique le football depuis bientôt deux décennies. Tout juste, est-il lucide quant à la pérennité de son projet : « j’ai misé gros et je joue ma carrière sur cette entreprise ». Un show-room de belle facture, 300 mètres carrés idéalement situé en zone commerciale à Monéteau où il propose ameublement et agencement de l’habitat sous la marque « ECOCUISINE ». C’est tout frais : les portes se sont ouvertes pour la première fois ce mercredi…

 

MONETEAU: Le vrombissement d’une perceuse altère quelque peu la qualité de la discussion avec notre interlocuteur. Logique : deux ouvriers s’affairent prestement afin de terminer la pose d’un ensemble cuisine, situé près de la porte d’entrée. Certes, tout n’est pas encore installé dans la nouvelle enseigne qui a ouvert ses portes ce mercredi à 10 heures. Mais, cela ne saurait tarder.

D’autant que d’autres corners présentent, eux, une configuration bien différente de la cuisine modèle, avec ses tiroirs offrant le rangement de nombreuses victuailles, son plan travail prêt à l’emploi et de lumineux éclairages qui donnent cette impression d’être chez soi, juste avant de se mettre à table !

Un peu plus loin, le regard se pose sur une cuisine au décorum si british et cosy. On en sentirait presque les effluves d’un breakfast éclectique à la londonienne qui viendrait titiller les narines des plus gourmands.

Prolixe dans ses explications, Jimmy GONDET, hôte de cet endroit, nous propose le tour du propriétaire, histoire de se faire une idée du concept ! Disons, une vision plus approfondie de ce nouveau show-room, terminé après quatre mois de réhabilitation avec des artisans du cru – le bâtiment accueillait à l’origine un revendeur de piscines -, aujourd’hui entièrement consacré à l’ameublement de la cuisine et à l’agencement de la maison.

 

 

Un maillage de plus de 110 vitrines commerciales à l’échelle nationale…

 

Nom de baptême de la boutique, implantée en zone commerciale près de Cora : « ECOCUISINE ». Un patronyme sobre mais explicite qui allie à la fois la double notion sémantique d’écologie et d’économie. Pas si bête ! Une marque nouvelle ? Oui à l’échelle de l’Yonne mais pas au niveau de l’Hexagone puisque cette licence de marque, apparue dans l’Est de la France en 2005, compte à date plus de cent dix vitrines de la sorte réparties aux quatre coins de notre territoire de cocagne. Jusque-là, les aficionados de ce concept novateur – des cuisines innovantes à base d’un design haut de gamme proposées à des tarifs hyper concurrentiels – devaient se rendre à Troyes ou à Dijon pour y découvrir sa philosophie.

Désormais, c’est chose faite, l’Yonne dispose d’un magasin à l’estampille de cette enseigne fondée par la famille FRANCOIS.

Ici, un terme est à soustraire d’office du vocabulaire à utiliser dans les conversations : « low cost » ! Comme s’en explique Jimmy GONDET, gérant de la boutique, à la tête d’une petite équipe de trois collaborateurs (Charlène FLEURY, chargée de la communication et du marketing, Eva BENTO, commerciale et spécialiste de la gestion et Alban LECOQ, commercial), tous férus de la vente de cuisines et d’ameublement.

« Le terme « éco » est employé pour traduire la parfaite alliance qui existe entre la notion écologique que l’enseigne est fière de mettre en avant et la notion d’économie qui permet de proposer des solutions d’aménagement à moindre coût pour les clients ».

 

 

Proposer des cuisines de qualité au juste prix…

 

Dans les faits, l’enseigne adopte une attitude plus responsable envers sa clientèle. S’intéressant à la fréquence et au panier moyen de ses courses alimentaires effectuées et au retour de la découverte client. Comme autrefois, semble-t-il.

« Notre credo est simple, ajoute Jimmy GONDET, nous souhaitons refaire des cuisines au juste prix, respectueux du budget initial des clients… ».

Des budgets qui peuvent osciller en moyenne entre 8 à 10 000 euros. Bref, de la cuisine et de l’ameublement accessibles à tous.

Pourvue d’une centrale d’achat, « ECOCUISINE » négocie ainsi ses commandes au meilleur prix auprès du principal fournisseur allemand, le groupe NOBILIA. Une structure industrielle qui sort près de 4 000 modèles de cuisine par jour de ses cinq unités de productions outre-Rhin. Précisions : l’industriel germanique va rentrer au capital du distributeur national, preuve de la confiance que le groupe accorde à son partenaire.

Quant au chiffre d’affaires prévisionnel espéré au terme de 2024, il s’élève à 1,1 million d’euros. Un sacré challenge pour Jimmy GONDET et son équipe, mais pas impossible à réaliser selon le patron de cette nouvelle structure qui veut se démarquer de la palette concurrentielle locale, opérant sur ce marché. D’ici six mois, il sera temps de tirer les premiers enseignements de cette nouvelle aventure et si possible d’accroître l’équipe avec une collaboratrice supplémentaire qui ferait aussi de gestionnaire de l’administratif.

Pour l’heure, l’équipe se réjouit de recevoir ses premiers visiteurs dans ce show-room aux allures modernistes, parfois original – il suffit d’admirer les tableaux des quatre singes aux allures rock’n’roll et humoristique pour s’en convaincre accrochés aux cimaises - et dans un univers recherché (c’est l’œuvre d’Eva et de Jimmy) et de préparer la phase inaugurale officielle de cette enseigne, prévue avec moult invités le jeudi 08 février prochain. Un esprit sain dans un corps sain : une maxime qui pourrait s’appliquer à la perfection à cette équipe…

 

Thierry BRET

 

 


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La liberté d’expression est l’une des ultimes libertés qui existe encore dans les démocraties. Ce qui en fait une profonde différence avec les régimes autoritaires qui gangrènent progressivement bon nombre de pays de la planète. Sans que cela ne perturbe nullement les Occidentaux, aveugles, que nous sommes ! A l’aune de 2024, nous vivons sur une planète à feu et à sang qui ne demande qu’à imploser devant tous les coups de boutoir sordides et impérialistes des tyrans et autres dictateurs de tout poil. Quand ce ne sont pas les terroristes qui s’y collent. Alors neuf ans après le drame de 2015, demeurons à jamais « Charlie » pour mieux défendre notre liberté…  

 

Lundi 

L’évènement est devenu un rituel pour le plus grand plaisir des mélomanes, épris de musique classique et autres amateurs d’une « sieste canapé », après les excès du réveillon. Chaque année, ce sont plus de 50 millions de personnes à travers le monde, qui regardent et écoutent le concert du Nouvel An de l'orchestre philharmonique de Vienne en Autriche. Un évènement retransmit en direct dans plus de 90 pays. Dirigé cette année par le chef d’orchestre allemand Christian THIELEMANN, il s’est appuyé une fois encore sur ses fondamentaux. A savoir la dynastie STRAUSS et ses valses bleutées. Mais dans l’enceinte de la salle dorée du « Musikverein », l’on est bien loin du célèbre slogan BENETTON et de ses « couleurs du monde ». Que ce soit parmi les musiciens ou dans le public, le type caucasien semble être la seule règle, hormis de-ci de-là quelques silhouettes asiatiques. La distinguée société viennoise se veut « white is white ». Et moi qui croyais qu’en musique deux noires valaient une blanche ! 

 

 

Mardi

Un détenu a été retrouvé pendu le matin de Noël dans sa cellule de la prison départementale. Un drame presque « ordinaire » au regard des chiffres, avec en moyenne, un suicide tous les trois jours en milieu carcéral (125 en 2022), qui fait de la France l’un des pays « champions » en la matière au sein de l’Europe. Ce quarantenaire auxerrois qui avait été condamné à une peine de 14 mois d’emprisonnement après l’agression de sa mère en mai 2023 était libérable dans quelques jours. Diagnostiqué bipolaire, de quel suivi médical bénéficiait-il ? Sa place était-elle derrière les barreaux ou dans un centre spécialisé ? Avec cette question en suspens : serait-il ressorti moins ou plus dangereux pour lui-même et pour la société une fois sa peine purgée… ?

 

 

Mercredi

Partira…? Ne partira pas…? Sur fond de rumeurs et d’incertitudes, l’avenir d’Elisabeth BORNE à Matignon est en suspens depuis les vœux présidentiels du 31 décembre et les « remerciements » qui lui furent décernés par Emmanuel MACRON. Un mot dont le redoutable double sens semble sceller le sort de celle qui le 16 mai prochain, aurait fêté ses deux ans au poste de Première ministre. Quel dommage ! Il ne lui restait plus que cinq séances pour égaler le record d’articles 49.3 déposés, toujours détenu par feu Michel ROCARD, champion toutes catégories qui y eu recours à 28 reprises !

 

  

Jeudi

Une figure historique de la construction européenne s’est éteinte. Jacques DELORS s’en est allé à l’âge respectable de 98 ans, après avoir occupé la scène politique quatre décennies durant. Mais de l’homme, l’on gardera surtout le souvenir de ce dimanche 11 décembre 1994, lorsqu’interrogé par Anne SINCLAIR dans son émission culte « 7 sur 7 », il renonça en direct devant des millions de téléspectateurs à se présenter aux futures élections présidentielles. Un rendez-vous manqué avec le destin, lui qui était donné favori dans les sondages et le seul, alors à gauche, à prétendre pouvoir endosser un jour le costume présidentiel. Une décision intime qui provoquât la surprise et fit débat, mais tout à l’honneur de celui qui sut placer sa vie personnelle et sa famille avant toute autre chose. A l’heure où les prétendants à la fonction suprême sont légion et pour certains déjà dans les starting-blocks, son exemple est peut-être à méditer…

 

Vendredi     

Marées noires et galettes de blé noir d’accord, mais pas d’enfant noir ! Il aura suffi d’une photo d’un enfant de couleur en habit traditionnel pour que la une du nouvel opus du « Peuple Breton », mensuel progressiste publié par l’Union Démocratique Bretonne (UDB) qui fêtera cette année ses 60 ans, déclenche une avalanche de commentaires racistes et mette le feu à la « facho-sphère ». Pour ces nostalgiques de la « race pure », hors de question qu’un enfant métis vienne « souiller » le Gwenn Ha Du, drapeau symbole de la Bretagne créé il y a près d’un siècle qui, comme chacun sait, comporte neuf bandes horizontales, quatre blanches et… cinq noires ! « À chacun, l’âge venu, la découverte ou l’ignorance » écrivait en 1970 l’essayiste breton Morvan LEBESQUE dans son pamphlet, « Comment peut-on être breton ? » .Certains ont déjà fait leur choix…

 

 

Samedi

C’est Dallas à Douchy ! Le paisible village du Loiret auréolé du prestige de compter parmi ses habitants l’un des plus grands acteurs du cinéma français n’en finit pas de servir de scène aux déchirements de la famille « DELON-Ewing »… Alain, le patriarche, en passe de porter plainte contre son fils Anthony, après que celui-ci ait effectué la même démarche à l’encontre d’Hiromi ROLLIN qui, se présentant comme la « compagne d’Alain, a elle-même porté plainte contre toute la fratrie. Sans oublier la fille, Anouchka, dénonçant dans le même registre les deux précités… Même un « Samouraï » n’y retrouverait pas ses petits ! Il est toujours triste de voir un clan se déchirer ainsi, en privé comme en public. Pauvre « Clan des Siciliens » !

 

Dimanche

 

Neuf ans après, la douleur est toujours aussi présente et le combat contre toutes les formes d’obscurantisme plus que jamais d’actualité… Neuf ans jour pour jour, que les frères KOUACHI décimaient la rédaction du journal « Charlie Hebdo », laissant derrière eux douze cadavres et un traumatisme aux accents d’éternité. Son directeur et rescapé du massacre, RISS, le confesse douloureusement : « Je crois qu’on ne guérit pas vraiment… ». Rien n’est jamais acquis sur le terrain de la liberté d’expression. Le combat ne fait que commencer, n’en déplaise à certains élus qui ont fait d’un prétendu « religieusement correct » un cheval de bataille mettant à mal la liberté d’informer et de rire. A jamais Charlie !

 

Dominique BERNERD

 

 

 


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Le nom de sa société, elle le doit à sa grand-mère, Mireille. Du côté de sa maman. Une contraction réfléchie du mot qui lui a permis de créer « MEILLE ». Un prénom qu’elle porte aussi en seconde position après celui, nettement plus dans le vent, de Louanne. Très tendance dans sa version musicale, comme chacun le sait ! On ne peut d’ailleurs souhaiter que la même réussite à ce petit bout de fille souriante et dynamique, portant fièrement ses 26 printemps, qui s’est lancée en 2023 dans une folle aventure : le stylisme et la mode. En développant sa propre gamme de vêtements.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Elle a de la suite dans les idées, la demoiselle ! Et surtout, elle sait parfaitement où elle va. Et là où elle veut aller par rapport à l’avenir professionnel qui se présente à elle. Une « gamine » qui veut en découdre avec les codes traditionnels du monde du travail où la jeunesse n’aurait pas trop sa place pour entreprendre. Qu’on se le dise mais Louanne CHENET a bien les pieds sur terre. Même si elle s’aventure dans un univers, celui du stylisme et de la mode, parfois parsemé d’embûches, qui peut l’amener à vivre ses rêves ; tout éveillée !

 

 

A 26 ans, la jeune femme est déjà à la tête de son entreprise, baptisée sobrement « MEILLE ». Un jeu de mot obtenu avec le prénom « Mireille ». Celui de sa grand-mère maternelle, qu’elle porte en seconde identification. Réalisant son chiffre d’affaires uniquement par l’intermédiaire du numérique et de sa référence sacralisée : Internet. Ses clientes, de tout horizon et de tout âge, vivent à Paris. Ou ailleurs, selon les cas. Paris où elle se rend très régulièrement pour y accroître son business lors d’opérations de vente éphémères au Carreau du Temple, dans le troisième arrondissement.

2024 pourrait correspondre à une extension de sa zone d’influence. Côté vente et distribution, il va de soi ! Car, elle le reconnaît bien volontiers ; pour l’heure la souriante Louanne n’est encore guère connue dans le landerneau originel. Pourtant, elle est une adepte des circuits courts et de la production locale. Déjà, les tissus avec lesquels elle réalise toute une garde-robe, y compris les accessoires, proviennent de matières « upcyclées ». Sa marque de fabrique, en quelque sorte, pour celle qui ne désire pas encombrer davantage la planète.

 

 

« Le must, pour moi, dit-elle, c’est de réaliser mes confections avec des produits made in France, tout en étant proche de Paris... ».

Concevoir librement ses « vêtements de la bonne humeur », comme elle se plaît à dire. Sa gamme chromatique n’engendre pas la mélancolie et se veut éclectique selon les tissus travaillés ; elle aime jouer avec les formes, les volumes, la longueur, les jeux de texture, les carreaux, les rayures, offrant ainsi une palette complète et insolite de ses propres visions géométriques.

Petite, elle aimait s’habiller toute seule, comme une grande. Sa passion créative la gagne alors qu’elle est encore lycéenne. S’arcboutant sur des pièces uniques dont elle seule se vêtirait. Des pièces issues de son imaginaire fécond et créatif. C’est d’ailleurs cette quête de l’unicité qui la pousse dans ses ultimes retranchements : créer sa propre marque de produits. Scolairement parlant, elle évolue dans le milieu du stylisme où elle fait ses gammes en emmagasinant techniques et savoirs, Le modélisme lui convient aussi. Grand bien lui fasse ! L’expérience s’accumule au détour des différents univers de la mode qu’elle côtoie dans la capitale. Elle s’essaie même dans l’image et le shooting. On connaît la suite et le résultat.

Le monde de l’enfant et de l’homme l’interpelle aussi. Pour laisser libre cours à son imaginaire débordant de réalisations à venir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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