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Le premier réseau social communal à mission citoyenne, dédié au bien-être des personnes âgées et isolées, est prêt à jaillir des starting-blocks afin de rentrer dans la compétition des projets à vocation entrepreneuriale, pérenne et viable économiquement. Il est créé sur l’Yonne. Sa créatrice à l’imaginaire fécond, Sabrina HOHENGARTEN, bénéficiera du dispositif initié par ORANGE, « Femmes Entrepreneuses » profitant d’un judicieux accompagnement pour l’amener à bon port…

 

AUXERRE: « J’ai pris conscience du chemin parcouru, ce sont des émotions assez folles… ». La jeune Icaunaise, Sabrina HOHENGARTEN, n’en finit pas de découvrir le monde de l’entrepreneuriat, avec ses multiples doutes et chausse-trappes mais aussi ses joies profondes.

La conceptrice du futur réseau social communal (Les Rebelles France), synonyme de sérieuse plus-value afin de sortir les seniors et les personnes handicapées de leur isolement,  avance à petits pas vers l’officialisation de ce modèle économique auquel elle croit tant.

Nouvelle étape importante de ce parcours du combattant complexe et chronophage qui mène tout droit au portage d’un projet : la promotion de celui-ci auprès de spécialistes afin de les convaincre du bien-fondé et de la pertinence du dossier.

La cible idéale de ces influenceurs de la chose économique se composait de représentants de la French Tech Lille, French Tech Est, Hauts-de-France Innovation, BFC Numérique, Femmes et Numériques BFC et Grand E-NOV +. Autant dire du très lourd face à soi pour dévoiler sur une courte vidéo et une évaluation orale l’essence même de son projet.

 

 

Rejoindre le groupe de « super woman » de l’entrepreneuriat régional…

 

Il faut croire que la jeune femme a su trouver les mots justes et les arguments nécessaires pour séduire ce jury invité par ORANGE, dans le cadre de la cinquième saison du dispositif d’accompagnement « Femmes Entrepreneuses » en Bourgogne Franche-Comté, promu par l’opérateur.

Résultat des courses : Sabrina HOHENGARTEN se retrouve ainsi en première ligne pour rejoindre ledit programme initié par l’opérateur des télécommunications visant à soutenir durant dix mois un projet d’entrepreneuriat de la région.

La future cheffe d’entreprise y sera intégrée en compagnie d’une vingtaine de « super woman » de la décision économique qui, comme elle, bénéficieront de ce soutien personnalisé pour faire progresser leur concept. Moralité : la persévérance et la pugnacité paient toujours en bout de course !

 

Thierry BRET

 


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Transfuges de Debout La France (DLF), celles et ceux des adhérents du parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN qui n’arrivaient plus à accorder leurs violons avec le leader souverainiste, ont choisi de prendre le large et de créer un mouvement de droite gaulliste, baptisé « L’Avenir Français ». Ralliés aux théories idéologiques exprimées par le Rassemblement National dont ils sont partenaires dans la vie élective, les membres de la fédération de l’Yonne tenaient leur assemblée générale il y a peu…

 

CHEVANNES : Un arbre aux racines puissantes, solidement implanté dans le sol de…France ? L’emblème du mouvement de la droite gaulliste « L’Avenir Français » illustre sans l’ombre d’une ambiguïté les valeurs intrinsèques défendues par les militants et adhérents de ce parti souverainiste qui s’est accouplé avec le Rassemblement National pour faire cause commune jusqu’aux fonds des urnes lors des dernières échéances électorales.

Pourtant, cette jeune formation née du départ de bon nombre de cadres de Debout La France (DLF) – « les meilleurs d’entre nous ! » comme en plaisantera avec allégresse le conseiller régional Pascal BLAISE, désigné par la base nouveau coordinateur départemental sur l’Yonne – sait également jouer sa carte publique en solo, lors de ses assemblées générales.

La dernière eut lieu il y a quelques jours dans une salle communale de la localité périphérique de l’Auxerrois, rassemblant une trentaine de personnes avides d’écouter les propos incisifs et critiques du chef de file icaunais de ce parti envers le gouvernement, appelant à la « France libre ». Un clin d’œil sémantique fait au célèbre personnage inhumé à Colombey-les-Deux-Eglises ?

 

Un jeune loup issu des néo-députés du RN et de ses alliés…

 

Comme invité surprise : le néo-député du groupe RN et Alliés de la quatrième circonscription du Loiret, Thomas MENAGE. Un jeune loup de la politique aux dents acérées qui est membre de la Commission des Territoires, de l’Agriculture et de l’Alimentation au Palais Bourbon. L’une des surprises des législatives chez nos voisins occidentaux.

« Il nous faut démontrer par nos actions et notre implication sur le terrain que nous ne sommes pas qu’un parti protestataire mais bel et bien un parti de gouvernement, devait-il asséner dès sa prise de parole à un auditoire conquis par le dynamisme de l’orateur. Du petit lait à boire à volonté pour étancher la soif de ce public inféodé aux propos de l’intéressé qui évoquera les problématiques du moment, de l’insécurité à la baisse du pouvoir d’achat, des difficultés de la ruralité à la désertification des services de l’Etat.

Mais, auparavant, l’auditoire fut accueilli par les explications de texte fournies par un Pascal BLAISE très en verve, désireux de recréer dans l’Yonne ce qui fut fait jadis avec Debout La France en reprenant à 98 % les idées et les convictions de la formation qui fut fondée initialement par Nicolas DUPONT-AIGNAN.

 

 

« Pour faire plaisir aux Allemands, on porte des cols roulés ! »…

 

Anticipant sur d’éventuelles questions journalistiques se rapportant à l’étroite osmose existante entre le RN et L’Avenir Français, Pascal BLAISE balaiera d’un revers de la main avec malice la légitimité de l’interrogation en rappelant que « c’est bien le Rassemblement National qui a légèrement varié ses positions par rapport aux nôtres ».

Affirmant tout de go, dans la continuité de ses dires, que « le RN est aujourd’hui un parti gaulliste et souverainiste ». Bien loin, donc, des propos extrémistes tenus jadis par son fondateur, Jean-Marie LE PEN. Un parti aseptisé ?

« Celles et ceux qui pensent cela aujourd’hui du Rassemblement National fonctionnent avec un logiciel Windows 3 dans la tête, ironisera l’interlocuteur, parce que si vous n’êtes pas d’accord avec la bien-pensance, on vous targe d’être populiste ! Et si vous n’êtes toujours pas d’accord avec cette même bien-pensance, parce que l’on insiste, vous êtes cette fois-ci complotiste ! ».

Remonté à bloc tel un coucou suisse paré à sonner toutes les heures et les minutes de l’horloge, Pascal BLAISE évoqua ensuite la crise de l’énergie et les incohérences de l’Etat sous l’ère de Lionel JOSPIN – « c’était le roi des privatisations ! » - qui amène désormais aux problèmes funestes observés au quotidien par les artisans et les commerçants.

Prolixe dans ses arguments, l’élu régional enchaîne sur le prix de l’électricité, indexé sur le prix du gaz : « il faut être un technocrate sans aucun bon sens pour arriver à ce résultat en France ! ». Avant de décocher, toujours sur le même item, quelques flèches ravageuses destinées aux Républicains de l’époque Nicolas SARKOZY !

« Ils avaient tous le choix de faire autrement ! Nous avions une souveraineté énergétique en France. Pour faire plaisir aux Allemands, nous en sommes réduits aujourd’hui à porter des cols roulés ! ».

Quant à l’alliance avec le Rassemblement National, elle sera reconduite plus que jamais dans le sillage de Jordan BARDELLA, le nouveau numéro un national. Un jeune plein d’avenir et talentueux, selon Pascal BLAISE. « Nous serons des alliés fidèles mais…des alliés ! ». Une manière d’affirmer davantage l’indépendance d’esprit du mouvement de la droite gaulliste et souveraine qui veut avoir son mot à dire dans le paysage politique hexagonal…

 

En savoir plus :

Le bureau départemental

Pascal BLAISE, coordinateur départemental de l’Yonne,

Jean-Guy BEGUE, coordinateur départemental adjoint,

Pascal ROY, organisateur en charge de l’action militante,

 

Thierry BRET

 


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Signée de la plume d’Alphonse DAUDET – elle en composait d’ailleurs la neuvième des « Lettres de mon moulin » -, la ballade en  prose du « Sous-préfet aux champs », publiée en octobre 1866, narrait les péripéties bucoliques d’un représentant de l’Etat, trouvant sa source d’inspiration pour un futur discours au beau milieu d’un bois. Rien à voir, à dire vrai, avec la visite bien réelle et plus terre à terre que le préfet de l’Yonne Pascal JAN a accordée à l’EARL de la Jaunière, à l’invitation de la chambre consulaire agricole…

 

MOULINS-SUR-OUANNE : C’était une immersion au cœur de la campagne de Puisaye pour le représentant de l’Etat dans l’Yonne, Pascal JAN. Un évènement préparé de longue date par les services de la Chambre départementale d’Agriculture qui servait avant toute chose à valoriser le savoir-faire et le professionnalisme des hôtes de ce lieu si tranquille et si calme, perdu au beau milieu de nulle part, sous un froid soleil d’hiver et un air d’une pureté à couper le souffle.

Voilà en guise de préambule, le décorum champêtre qui attendait la petite délégation de personnalités entre la visite des étables, celle du laboratoire dernier cri autorisant la métamorphose du lait en autant de succulentes boules de glace aux parfums très disparates et originaux, et la rencontre avec les maîtres des lieux, un couple ambitieux et entreprenant, Coralie et Sébastien FOUQUET, que rien n’arrête visiblement dans leurs projets.

Membres du réseau « Bienvenue à la Ferme » - un concept très choyé par des milliers de touristes l’été venu qui aiment s’accommoder avec l’authenticité et le naturel de celles et ceux qui travaillent la terre -, les exploitants de ce domaine de belle facture avec son cheptel de 300 têtes ont su trouver les mots justes pour disséquer dans le moindre détail ce qui fait la richesse de leur métier.

Le déroulé de ce programme de plus de deux heures en terre de Puisaye avait été ciselé aux petits oignons par les services de la Chambre d’agriculture que préside un Arnaud DELESTRE, fier de dévoiler la réussite de ce beau projet.

Un succès auquel son organisme n’est pas étranger puisque l’accompagnement du couple d’exploitants aura été déterminant pour arriver à cette stratégie de diversification aboutie.

 

 

« L’Amour est dans le lait » : la marque de glaces et sorbets fait maison à découvrir…

 

Pour mémoire, pour celles et ceux qui ne le sauraient pas encore, l’EARL de la Jaunière renferme en son sein l’excellente initiative de la promotion de la « glace à la ferme », inféodée à une fameuse marque popularisée sur le territoire de l’Yonne, « L’Amour est dans le Lait ».

Qui n’a jamais goûté dès le premier rayon salvateur de l’astre diurne réchauffant l’atmosphère ces délicieuses créations (glaces et sorbets) conçues à base de parfums redonnant ses lettres de noblesse aux fruits des bois, à la pomme, à la poire, aux cerises, aux fraises et autres succulences sucrées !

Paraît-il, de l’avis même du conseiller régional et élu de proximité Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI dans un excès de gourmandise affirmé en public, que la glace au caramel n’a pas son pareil au palais !

Bref, joindre l’utile à l’agréable en somme représentait un peu le credo de cette visite préfectorale où l’accent fut mis prioritairement sur ce besoin immodéré de diversification des activités agricoles. Excusez du peu, mais une ferme qui produit du lait et le transforme sur place en glaces savoureuses tout en proposant de la vente directe au public, cela n’est guère commun dans le landerneau. Ah si, il y a bien les fromages de chèvres qui peuvent tenir sur un tout autre registre la comparaison côté sensibilisation auprès d’un public à composante citadine !

 

 

Des subventions des acteurs institutionnels pour financer le projet…

 

Un projet qui aura été soutenu financièrement par l’Etat, dans le cadre du plan de Relance économique, ayant permis l’acquisition d’une deuxième point de vente en forme de boule de glace mobile, l’achat d’un véhicule et une chambre froide négative de 20 mètres carrés assurant le stockage de ces fameux produits glacés. Le Conseil régional, représenté par un Gilles DEMERSSEMAN tout aussi intéressé de déguster l’une des dernières créations imaginées par Coralie FOUQUET, qui aura mis également des subsides dans le cadre de l’investissement dans la transformation et commercialisation dans les exploitations agricoles – à elles deux, ces subventions se seront élevées à 40 000 euros – alors que le coût global du concept revenait à 180 000 euros, comprenant l’achat de la licence « Glace à la Ferme », le laboratoire de transformation ultra moderne, le matériel ad hoc devant l’équiper, la formation nécessaire, etc.

Bref, une mobilisation généralisée de tous les acteurs institutionnels qui permet aujourd’hui à cette exploitation d’avoir le vent en poupe et une activité multisectorielle bien identifiée. Connue et reconnue au-delà de sa Puisaye originelle…

 

Thierry BRET

 

 

 


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C’est l’un des papes de la critique gastronomique en France. Il livre ses chroniques incisives et pertinentes de manière hebdomadaire sur le magazine « Marianne », à la façon d’un Jean-Pierre COFFE que les puristes des arts culinaires regrettent encore aujourd’hui. Cette semaine, c’est l’ex-couple Icaunais, installé depuis l’été 2021 en Saône-et-Loire, Bénédicte et Fabien PECHERY (« Une table dans le Verger »), qui a servi de source d’inspiration au « maître »…

 

MARCHAMPT : On ne peut que féliciter sincèrement le couple PECHERY, Fabien en cuisine et Bénédicte en salle, que l’on a connu antan à « L’Auberge du Pot Etain », sise à L’Isle- sur-Serein.

Depuis l’été 2021, ces restaurateurs ont quitté l’Yonne pour s’établir à Marchampt, au cœur du Beaujolais, au sud-ouest de Mâcon où ils font vivre de belle manière leur « Table du Verger ».

 

 

Ce bon petit restaurant vient d’être évoqué de manière enthousiaste, dans les colonnes de l’hebdomadaire « Marianne » par l’exigeant Périco  LEGASSE, défenseur  éternel de la bonne cuisine française. Cela méritait bien un petit clin d’œil de notre part !

Alors, comme l’on dit dans les monts du Beaujolais, bon appétit et large soif !

 

Gauthier PAJONA et Thierry BRET

 

 


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Le premier février est une date clé en France puisqu’elle correspond à pléthore de changements se rapportant à notre quotidien que l’on soit actif ou retraité. Voici un panorama non exhaustif des particularismes de ce mois qui, avec ses journées en moins, n’est décidément pas comme les autres !

 

TRIBUNE : Commençons par l’indemnisation chômage : la réforme de l'assurance-chômage inscrite dans la loi relative au « fonctionnement du marché du travail en vue du plein-emploi » est donc entrée en vigueur le 01er février. Toute nouvelle personne inscrite à Pôle Emploi verra désormais sa durée d'indemnisation réduite de 25 %.

A propos de la COVID, les arrêts de travail sans jour de carence sont supprimés. Quant aux arrêts de travail dérogatoires, sans jour de carence pour les personnes testées positives au coronavirus, ils ne sont plus possible, selon un décret publié au Journal Officiel. Ce texte met un terme à « la délivrance d'arrêts de travail dérogatoires aux assurés se trouvant dans l'impossibilité de continuer à travailler, y compris à distance ».

Du côté des transports, les tarifs de courses de taxi sont revalorisés. Cette hausse s'applique de manière différenciée selon les départements et les arrêtés préfectoraux, mais ne doit pas être supérieure à 4 %. Le prix maximum du kilomètre parcouru est porté à 1,21 euro. Le tarif minimum d'une course reste fixé à 7,30 euros pour tous les taxis, parisiens comme non parisiens. L'accord conclu en janvier sur la rémunération des chauffeurs de VTC entre également en vigueur. Il instaure un minimum de course à environ 10,20 euros sur une application comme Uber.

 

 

Des péages aux masters…

 

Quant aux péages, ils augmentent en moyenne de 4,75 %. Cette hausse est le résultat d'une formule automatique liée au taux d'inflation. En 2022, les tarifs n'avaient augmenté que de 2 %. Les automobilistes qui utilisent un véhicule électrique en sont toutefois exonérés, puisque l'Etat leur accorde une réduction de 5 % sur les tarifs des péages en 2023 afin d'accélérer « la décarbonation » du parc automobile. La réduction appliquée aux automobilistes disposant d'un badge « Télépéage » et qui parcourent le même trajet au moins dix fois par mois augmente également. Elle passe de 30 à 40 %.

Les conditions pour échanger et rembourser son billet de train vont être plus strictes. À partir d'une semaine avant le départ, échanger son billet de train coûtera 19 euros alors que l'opération était gratuite jusqu'à J-3 depuis 2020.

Le site monmaster.gouv.fr est officiellement lancé par le ministère de l'Enseignement supérieur, qui cherche à garantir une place en master à tous les diplômés de bac+3. Plus de 3 500 formations et 8 000 parcours de master seront proposés par les établissements d'enseignement supérieur publics ou privés en convention avec un établissement public. La plateforme permettra de déposer sa candidature à partir du 22 mars et jusqu'au 18 avril. L'admission des candidats se fera du 23 juin au 21 juillet.

 

 

La date de validité des permis de conduire en question…

 

Nous sommes nombreux à avoir oublié ces dispositions : suivant la réforme de septembre 2013, le permis de conduire est délivré au format carte de crédit en plastique. Un format jugé plus sécurisé grâce à la biométrie. Autre conséquence de cette réforme : le permis de conduire n’est désormais plus valable à vie. En effet, le nouveau titre comporte une date de fin de validité allant de 1 à 15 ans selon le cas. Une fois le délai passé, il faudra alors demander un nouveau titre. La réforme du permis de 2013 a été initiée pour se conformer à la directive européenne 200-126. Cette dernière a pour objectif d’harmoniser la législation relative aux règles de la route dans toute l’Europe. Dans les faits, cette réforme vise à uniformiser le permis de conduire sur le territoire européen pour faciliter la circulation des conducteurs dans tous les états membres et faciliter le contrôle par les forces de l’ordre. En définitive, la durée de validité intégrée sur les nouveaux permis de conduire permet d’actualiser la photo et l’adresse du titulaire. 

Les permis de conduire au format traditionnel ou au format F9 délivrés avant 2013 sont valables jusqu’au 19 janvier 2033. Leurs titulaires ont jusqu’à cette date pour demander la production d’un nouveau titre. Cette démarche s’effectue directement en ligne sur le site de l’ANTS (Agence nationale des titres sécurisés). La durée de validité des nouveaux permis de conduire varie en fonction de la catégorie du véhicule.

Le permis A (moto), B (voiture) et E (véhicule attelé d’une remorque) sont valables quinze ans à partir de la date de délivrance. Passé cette date, il faudra renouveler le titre. Les permis de la catégorie C, CE, C1 et C1E aussi appelés permis « poids lourd » sont valables pour une durée de 1 à 5 ans en fonction de l’âge du conducteur. Ainsi, pour les conducteurs de moins de 60 ans, le permis de conduire est valable 5 ans. Contre 2 ans pour les conducteurs de 60 à 76 ans et 1 an pour les plus de 76 ans. Dans tous les cas, la date de validité de votre permis de conduire est inscrite à la ligne 4 b sur le recto de votre titre. À l’instar du permis C, le permis D, attribué aux conducteurs de véhicules dédiés au transport de personnes, est valable entre 1 et 5 ans en fonction de l’âge du conducteur. Pour les moins de 60 ans, la durée de validité du permis de conduire est de 5 ans tandis que le permis de conduire des plus de 60 ans est valable 1 an. Le renouvellement de votre permis de conduire pour fin de validité se fait par simple demande sur le site de l’ANTS. En revanche, pour les catégories C, D et E, cette démarche peut s’accompagner d’une visite médicale qui vise à vérifier votre aptitude à la conduite.

 

Nouveaux plafonds pour MaPrimeRenov'...

 

Pour MaPrimeRénov sérénité, qui concerne les travaux de rénovations permettant un gain énergétique d'au moins 35 %, les plafonds seront revalorisés de 30 000 à 35 000 euros pour les ménages les plus modestes. Le dispositif MaPrimeRénov Copropriétés est pérennisé et renforcé. Les plafonds de travaux finançables passent de 15 000 euros à 25 000 euros.

Plus de 55 millions de personnes devraient bénéficier de la hausse du taux du livret A qui passe de 2 % à 3 %. La même hausse s'applique au livret de développement durable et solidaire (LDDS) et au livret d’épargne populaire (LEP). Destinée à compenser en partie l'inflation, cette évolution « représente déjà une hausse significative », se félicite la Banque de France. Les spécialistes précisent qu’avec 2 % d’inflation et un livret rémunéré 0,5 %, tout le monde râle. Alors qu’avec une inflation à 6 ou 10 % et un livret à 3 %, on respire mieux…Quoi qu’il en soit, réjouissons-nous des bonnes nouvelles et pour les mauvaises, faisons contre mauvaise fortune bon cœur…

« La bonne et la mauvaise nouvelle sont que les politiciens font rarement ce qu'ils disent qu'ils vont faire lorsqu'ils font campagne. » Charles G. KOCH.

 

Jean-Paul ALLOU

 


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