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Courte mais pertinente intervention dans l’hémicycle du Palais Bourbon, il y a quelques jours à Paris, du député de la première circonscription de l’Yonne. Ce dernier a pris la parole à propos des problématiques environnementales se rapportant à la gestion et au tri des déchets. Selon lui, « ne serait-il pas plus efficace de faire confiance aux Français sur la façon de gérer leurs détritus plutôt que de le faire la morale sur les gestes citoyens ? »…

 

PARIS : Prendrait-on les Français pour des enfants à peine mature ?! Notamment dans leur manière de gérer la question du recyclage de leurs déchets ménagers. C’est ce que pense, en filigrane, le député de la première circonscription de l’Yonne, le Rassemblement National Daniel GRENON qui est intervenu la semaine dernière à l’Assemblée Nationale afin de remettre les points sur les « i » sur un dossier qui lui tient particulièrement à cœur, en vertu des principes du bon sens.

La question du recyclage des détritus figurait parmi les items inscrits à l’ordre du jour de la séance à débatte à l’hémicycle. Une opportunité pour l’élu de l’Yonne de s’exprimer sur le sujet et de poser un jalon fondamental à la discussion : « Ne faut-il pas commencer par harmoniser les règles de tri et les couleurs de poubelles sur toute la France afin que nos concitoyens y voient un peu plus clair ? ».

 

 

 

« Les instructions de tri sont mal comprises par les Français… »…

 

Une prise de parole brève mais incisive où l’ex-retraité, redevenu hyper actif à 73 ans en endossant la vêture de parlementaire, demande au gouvernement d’accorder davantage de confiance aux Français plutôt que de les seriner continuellement autour de la récurrente rhétorique des « gestes citoyens » à adopter.

« Il serait judicieux de leur expliquer les contraintes techniques du recyclage qui justifient, d’une part la nécessité du tri et d’autre part, le regroupement de certains types de déchets entre eux, explique-t-il, je vous rappelle que la première loi sur la valorisation et le recyclage des déchets date de 1992. Pourtant, aujourd’hui encore et malgré le nombre de poubelles de tri, les couleurs desdites poubelles et les instructions de tri, rien n’est harmonisé au niveau national – ne parlons même pas du niveau européen – et que les instructions sur le sujet semblent plutôt fluctuantes aux yeux des citoyens, voire très mal comprises car les contraintes de tri en aval ne sont pas connues… ».

Le parlementaire de l’Yonne se veut à la fois pédagogue mais aussi favorable à accorder plus de responsabilités et de confiance aux Français – en l’occurrence aux Icaunais par le fait – dans cette approche environnementale fondamentale : la gestion de nos déchets.

 

Thierry BRET

 

 


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Elle martèle le message avec insistance, la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT. Relayant de fait les propos similaires, tenus auparavant par le représentant de l’Etat, Pascal JAN. La haute fonctionnaire n’a qu’une expression à la bouche à destination des collectivités : « dépêchez-vous ! ». N’y aurait-il donc pas assez d’argent pour servir tout le monde ?! L’Yonne vient pourtant d’obtenir 8,9 millions d’euros dans le cadre du « Fonds vert ». Un nouveau dispositif devant booster la transition écologique dans les territoires…

 

CHENY : Il est cumulable avec d’autres aides institutionnelles, il est renouvelable pour les années à venir, il est destiné aux collectivités territoriales qui en effectuent la simple demande, il concerne neuf domaines d’application et il est un accélérateur farouche de la transition écologique ! De qui s’agit-il, précisément ? Du nouvel outil déployé à travers l’Hexagone depuis le mois de janvier qui possède d’honorables vertus en matière de préconisations environnementales.

Le « Fonds Vert », une appellation résumée à sa plus simple expression en matière de sémantique, frappe désormais à la porte de notre département, soutenu par la représentation étatique qu’est la préfecture de l’Yonne. Un dispositif voulu par la Première ministre Elisabeth BORNE et annoncé dès le mois d’août 2022 afin de donner un sérieux coup d’accélérateur à notre pays, via ses collectivités, au niveau de la transition écologique.

Au plan hexagonal, l’enveloppe dévolue à ce mode opératoire est dotée d’une rondelette somme de deux milliards d’euros de crédits pour l’année 2023. Une manne financière qui incombe aux préfectures devant ensuite la répartir au vu des projets présentés par les collectivités territoriales de leur zone d’influence mais aussi les partenaires publics ou privés intervenant dans trois domaines précis : la performance environnementale, l’adaptation du territoire au changement climatique et l’amélioration du cadre de vie.

 

Tout doit être dépensé d’ici le terme de 2023 !

 

L’Yonne bénéficie ainsi d’une réserve monétaire de près de 9 millions d’euros, issus de ce fonds national devant « verdir » davantage notre territoire. Plus exactement pour cette année de lancement de la somme de 8,9 millions d’euros. Si l’on sait d’ores et déjà que ce fonds va marquer de son empreinte les futurs projets instruits par les collectivités, on ne connaît pas en revanche quel en sera le montant exact dès l’année prochaine et ainsi de suite.

Mais, une chose est certaine dans l’esprit des soutiens à ce dispositif que sont les représentants du corps préfectoral, l’objectif est bel et bien d’utiliser cette somme qui n’a rien d’anodine dans sa globalité d’ici le terme de l’année. Soit un premier engagement de 50 % d’ici la fin du mois de juin, 95 % de ladite enveloppe à la fin octobre et le reliquat avant le 31 décembre.

D’où l’enthousiasme contagieux de la secrétaire générale de la préfecture, Pauline GIRARDOT, qui invite les collectivités à constituer et à déposer tous leurs projets dans les meilleurs délais afin d’être bénéficiaires de ce nouveau fonds.

Toutefois, pour pouvoir y prétendre, il est nécessaire que les dossiers intègrent l’une des neuf cases de cette préconisation environnementale ayant pour vocation de réduire de 40 % la consommation énergétique des collectivités icaunaises ciblées. Celles de moins de dix mille habitants, en substance, puisque ce sont elles qui sont visées en priorité par ce dispositif.

 

 

Neuf domaines d’application pour prétendre aux subsides du Fonds vert…

 

Citons parmi les neuf champs d’application de ce Fonds vert : la rénovation énergétique des bâtiments publics, le renforcement du tri à la source des bio-déchets, la rénovation des parcs d’éclairage public – une initiative qui devrait plaire aux représentants du Syndicat départemental d’Energies de l’Yonne (SDEY) très investi sur le sujet -, la prévention des inondations, la prévention des incendies de forêt, la renaturation des villes, la promotion de la biodiversité, le recyclage des friches et même l’incitation en l’encourageant du covoiturage. Un aspect, beaucoup plus complexe à résoudre qu’il n’y paraît, somme toute.

Aux côtés du maire de Cheny, localité accueillant la conférence de presse préfectorale afin de dévoiler avec moult détails les arcanes de ce dossier, Pascal JAN illustrera ses propos en citant l’exemple de cette commune, très proche de Migennes qui profitera de ces subsides étatiques.

Didier JACQUEMAIN, le premier élu, évoquera le projet de rénovation thermique de l’école élémentaire, projet de 900 000 euros hors taxes ayant reçu le coup de pouce salvateur de l’Etat évalué à un peu plus de 365 000 euros de financement. Un projet couplé avec la pose de 345 luminaires LED afin de renouveler son parc d’éclairage, dans le pur respect de la transition énergétique.

Bref, l’illustration idoine de montrer que l’Etat soutient les collectivités dans cette accélération au verdissement de notre territoire. Nécessaire à la sauvegarde de la planète…

 

 

En savoir plus :

Toutes les informations concernant le déploiement du Fonds Vert et les cahiers d'accompagnement de chaque mesure sont disponibles sur le site : https://www.ecologie.gouv.fr/fonds-vert

Et sur la plateforme https://aides-territoires.beta.gouv.fr/programmes/fonds-vert/

Le dépôt des dossiers est ouvert sur la plateforme démarches-simplifiées depuis la fin du mois de janvier.

 

Thierry BRET

 

 


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En parler. Toujours et encore en remettant sans cesse l’ouvrage sur le métier. Jusque dans les salons feutrés de la préfecture. En y provoquant, démarche judicieuse à l’appui, un colloque où celui-ci réunirait tous les acteurs concernés par un tel sujet qui vrille dans la profondeur notre société. Nul ne peut plus ignorer le tragique dossier de ces violences intrafamiliales, aux relents nauséabonds qui sévissent autour de nous. La sénatrice Dominique VERIEN l’a fait, au détour d’une table ronde anticipatrice…

 

AUXERRE: Placés en demi-cercle dans l’un des salons de réception de la préfecture de l’Yonne, les suiveurs de ce colloque, premier du genre sur cette épineuse question de société, ne pouvaient décemment pas occulter ce rendez-vous. Représentants de la magistrature, de structures associatives venant en aide aux victimes, des forces de l’ordre devant gérer en amont de délicates interventions, élus… : tous avaient nécessairement des choses à dire sur la thématique du jour qui ne prêtait nullement à sourire.

Même si le cadre d’accueil de cette rencontre à l’atmosphère décorative et onirique était bel et bien là au rendez-vous, il ne fallait pas s’y méprendre sur les réelles intentions des participants à ce colloque peu ordinaire consacré aux violences intrafamiliales et à celles faites aux femmes.

Rien que l’an passé, plus de mille cas ont été identifiés sur le seul territoire de l’Yonne. Mille cas de trop, assurément. Des violences qui n’ont de cesse de croître à l’échelle hexagonale…

 

 

Un colloque servant à alimenter un rapport commandé par Matignon…

 

Les périodes successives de confinement, l’individualisme accru de la société, les problèmes de couple imputables à la crise économique, au chômage et à la précarité, la gestion des enfants et ses incertitudes, la part de l’alcoolisme et l’absorption de stupéfiants – là-aussi un dossier en croissance exponentielle dans bon nombre de strates de la population française -, le contexte délétère à l’international et son lot journalier de violences gratuites, les méfaits des réseaux sociaux impactent peu ou prou le comportement des Français de toutes les castes sociales dans leur sphère privative. Ceci est devenu malheureusement une évidence.

Face à l’impossible sur le papier, il y a le possible sur le terrain. L’examen de solutions et de pistes qui permettent en les anticipant de juguler ces faits, voire de les éradiquer. Totalement ?

Pourtant, des questions se posent. Elles concernent l’accompagnement de la manière la plus optimale des victimes desdites violences. Ces femmes qui n’osent plus lever les yeux vers un interlocuteur de peur de trahir l’indicible frayeur qui les habite. L’éveil des consciences a eu lieu il y a quelques années, à la suite de mémorables affaires de grande ampleur médiatique nourrissant les faits divers dans leur forme absolue de sordide et de graveleux.

Pour l’heure, l’Yonne n’échappe malheureusement pas à cette tendance névrotique de la société. Où la femme représente l’être expiatoire de leurs bourreaux. Sans parfois que les victimes en connaissent les véritables raisons…

 

 

Sénatrice de notre département, très investie à la cause des femmes et à ses multiples combats égalitaires, Dominique VERIEN s’est vue récemment chargée d’une mission spécifique sur le traitement judiciaire des violences intrafamiliales par la Première ministre Elisabeth BORNE.

L’élue du centre droit – elle reste inféodée à sa famille politique de l’UDI malgré son départ de la présidence départementale en 2022 – en battante très motivée qu’elle est, a su relever le challenge. Sachant qu’elle devra impérativement rendre sa copie – un rapport étayé d’exemples et d’illustrations de ce qui s’applique déjà sur le terrain – d’ici le mois de mars à Matignon.

D’ailleurs, elle n’était pas la seule à porter haut le sujet du jour sur le devant de la scène, son homologue parlementaire du Val d’Oise, la députée Renaissance Emilie CHANDLER, avocate de profession, l’accompagnait dans cette démarche de sensibilisation au plus près du terrain icaunais.

 

 

Des outils adaptés pour informer et traiter le cœur du problème…

 

Un terrain qui supposait cet accueil officiel à la préfecture de l’Yonne en présence de l’hôte des lieux, le préfet Pascal JAN.

Ce dernier rappela que le sujet était très sensible car l’Yonne est particulièrement touchée par ces faits de société.

« Il est important que l’ensemble des acteurs qui agissent sur ce dossier soient plus coordonnés dans la lutte de ces violences intrafamiliales… ».

Il y a urgence à gérer au mieux ce dossier. Dans l’Hexagone, une femme meurt tous les trois jours sous les coups d’hommes en proie à la violence, selon les dernières analyses du ministère de l’Intérieur. A l’échelle de l’Yonne, 550 faits de violences conjugales ont ainsi été observés l’année dernière.

« Un chiffre extrêmement important, souligna le représentant de l’Etat, trop important qui affecte tous les acteurs du territoire qui sont mobilisés pour la prévention et le traitement de cette problématique… ».

Entretenir les synergies entre les acteurs afin de trouver les solutions les plus adaptées au problème s’inscrit parmi les priorités du préfet de l’Yonne qui travaille en concertation étroite avec le Département et ses instances représentatives. Il existe ainsi de nombreux dispositifs sur le territoire icaunais visant à informer et à suivre la population qui serait confrontée à ces violences, sans omettre les outils nécessaires à leur traitement.

« Il existe des équipements adaptés, poursuivit Pascal JAN, afin de recueillir les témoignages des enfants victimes de violence dans leur cercle familial, à la Maison de Protection des enfants à Migennes ou au commissariat d’Auxerre. Je salue aussi le travail fourni sur le terrain par les intervenants sociaux entre commissariat et gendarmerie. Les élus sont également mobilisés… ».

Le plan départemental de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes fut largement commenté par la suite par Juliette ROME, déléguée aux droits des femmes et à l’égalité dans l’Yonne. Une fois fait, les échanges entre tous les participants pouvaient débuter en connaissance de cause…

 

Thierry BRET

 

 


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Concevoir une épreuve culinaire dont le nom de baptême se référerait au célèbre personnage auxerrois devait tôt ou tard s’inscrire dans le calendrier des réjouissances gastronomiques de l’Yonne. La première édition du concours « Cadet Roussel » s’est donc tenue au lycée des métiers Vauban vendredi. Un challenge réunissant trois équipes de l’Hexagone : Colmar, Gérardmer et La Rochelle. La victoire est revenue aux Alsaciens…

 

AUXERRE: La joie est à peine dissimulée à l’annonce des résultats. On se congratule entre co-équipiers, on se donne l’accolade entre représentants de la délégation alsacienne, on s’embrasse parmi les plus jeunes. Les couleurs du CFA de l’hôtellerie et de la restauration de Colmar flottent dans le vent icaunais, de manière très symbolique bien sûr.

Celui de la réussite puisque le team alsacien vient d’empocher la première édition de ce nouveau concours « Cadet Roussel » que l’on doit au niveau de sa conception à deux esthètes des arts de la table auxerrois : François HENNARD, professeur de sciences et technologies culinaires et Serge GOULAIEFF, un des « Meilleurs Ouvriers de France » (MOF) que l’on ne présente plus, lui-même professeur de sciences et technologies des services de l’hôtellerie et de la restauration.

Un habitué fidèle dans l’organisation des grands évènementiels : n’était-il pas à l’origine des championnats nationaux des maîtres d’hôtel, accueillis avant la COVID au lycée des métiers Vauban ?!

Si l’établissement bourguignon ne pouvait pas, pour cause de stricte déontologie tout à fait légitime présenter une équipe lors de cette première édition – il n’en sera rien la saison prochaine lorsque ce « Cadet Roussel » seconde mouture posera ses jalons en terre d’Alsace après le succès initial obtenu -, ce sont trois autres villes participantes qui tinrent les membres du jury en haleine au moment du verdict.  

 

 

Un binôme original formé d’un enseignant et d’un enseigné…

 

Et, à ce petit jeu, entre Colmar, Gérardmer et La Rochelle, ce sont les Alsaciens qui tirèrent finalement les marrons du feu. Accompagnés de leurs formateurs, René WERLEN et Jonathan GROSHENS, les deux apprentis du CFA alsacien, Valentine JENN et Clément LAMBERT surent convaincre les membres du jury de leur dextérité à maîtriser les épreuves de ce concours relevé.

Ouvert aux élèves des classes de Terminale Bac Pro, Terminale Bac STHR, mais aussi aux classes de MAN et aux BTS MHR de première ou de deuxième année des lycées d’enseignement public et privé, le concours « Cadet Roussel » offrait l’opportunité de faciliter la relation entre enseignant et enseigné, et bien au-delà de partager le savoir-faire et les connaissances entre les deux membres de cet étonnant binôme, réuni en compétition officielle.

Concourant dans deux catégories (la cuisine et le service, indissociables l’une de l’autre dans le métier), élèves et enseignants se sont livrés à ce défi singulier mais ô combien révélateur permettant de renforcer les liens entre l’apprenant et celui qui y puise le savoir. Une véritable transmission du partage en quelque sorte.

Du côté de la cuisine, les candidats devaient proposer à la sagacité du jury une entrée à base d’escargots pour six personnes ainsi qu’un plat à base de plat de côte et queue de bœuf agrémenté de sa garniture légumière. Pour le service, il s’agissait pour le concurrent de créer un cocktail pour deux personnes à base de ratafia, boisson emblématique de Bourgogne ! Une épreuve complétée par un flambage d’escargots en salle avant que cette entrée n’arrive sur la table des dégustateurs agréés.

Une édition qui trouvait son terme de la plus belle des manières par la remise des prix, notamment le magnifique trophée transmis par le président du jury, le chef Jean-François GIRARDIN, président de la Société nationale des Meilleurs Ouvriers de France et MOF lui-même à l’équipe lauréate.

Une édition qui fut aussi saluée très positivement par Capucine VIGEL, proviseure du lycée des métiers Vauban, satisfaite d’une telle initiative en ses murs…

 

Thierry BRET

 

 


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Des classes surchargées avec des effectifs se situant au-delà de trente-cinq élèves, des options linguistiques supprimées à l’heure de l’internationalisation des savoirs, des réductions drastiques au niveau des heures d’enseignement… : il n’en fallait pas plus pour que les élues de l’Auxerrois montent au créneau et réclament davantage de moyens au rectorat. Parents d’élèves et enseignants étaient eux-aussi de la partie devant les grilles du lycée Jacques Amyot à l’aube de ce vendredi 03 février…

 

AUXERRE : Mobilisées pour la bonne cause, Céline BAHR, Isabelle JOAQUINA et Emmanuelle MIREDIN ? Les trois élues communautaires de l’Auxerrois – elles occupent aussi des mandats électifs à la Région et au Conseil départemental – se sont rendues dès potron-minet devant les grilles du lycée Jacques Amyot afin de marquer leur désapprobation contre les agissements réducteurs du rectorat et soutenir ainsi parents d’élèves et représentants du corps enseignant, ayant décidé de pratiquer une opération « lycée mort », ce vendredi matin.

Si elles ne sont que trois à avoir effectué le déplacement au centre-ville de la capitale de l’Yonne pour y faire entendre leurs voix, d’autres élus (et non des moindres avec le président du Département Patrick GENDRAUD et le président-maire de l’Auxerrois Crescent MARAULT) vont se manifester ainsi que ceux de l’opposition, pour faire part de leur mécontentement dans la gestion de la communauté éducative locale. Un courrier commun sera adressé par ailleurs au rectorat à Dijon pour faire part de cette insatisfaction alors que la vie scolaire vit déjà un certain nombre de turbulences depuis quelques temps.

 

 

Des options en langues étrangères supprimées, voire menacées…

 

Seul établissement pédagogique à proposer jusqu’alors l’enseignement du russe – la matière a été tout bonnement supprimée -, le lycée Jacques Amyot perd ainsi de sa superbe et de sa renommée avec l’option grec qui y est menacée, la suppression de la langue vivante deux pour les CPGE, mais aussi la réduction en seconde à une heure de la section européenne.

Quant aux dédoublements de classe en langue vivante et en sciences, ils se réduisent à peau de chagrin depuis plusieurs années alors que les effectifs des classes n’en peuvent plus d’être saturées d’élèves ! A la rentrée, c’est simple : les classes de seconde comprendraient 35 élèves, tandis que celles de première et de terminale en accueilleraient 36 ! Inqualifiable pour espérer étudier convenablement dans de bonnes conditions…

Des faits qui font dire à Céline BAHR les choses suivantes : « On déplore parfois le manque d’ambition des jeunes de l’Yonne, écrit-elle sur les réseaux sociaux, mais ce n’est pas en supprimant les options qui leur permettent de viser les filières d’excellence ou en les réduisant à peau de chagrin que cela va les inciter à oser davantage… ».

Il est donc grand temps que la voix du bon sens reprenne ses droits au rectorat et qu’il accorde enfin des dotations qui soient conformes aux ambitions d’excellence visées par les établissements de l’Auxerrois…

 

Thierry BRET

 

 


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