Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
ordre-des-experts-comptables-de-bourgogne-franche-comte.jpg
Région Bourgogne France-Comté
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Lycée Saint-Joseph de la Salle
chambre des métiers et de l'artisanat
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
Criquet Magazine
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-2.jpg
logo-atelier-de-l-immo-auxerre-1.jpg
Ordre des experts comptables de Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

L’orage gronde : la retraite par répartition demeure le système premier pour financer notre retraite. Or, la capitalisation est aussi une possibilité d’améliorer l’ordinaire et de bien préparer sa retraite. Dans le labyrinthe des placements possibles, essayons de nous orienter. Je vous invite d’abord à méditer une pensée de Sénèque : « la vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie… ».

 

TRIBUNE : Les agences bancaires proposent de multiples produits et des solutions financières à nos projets de placements et assurances. Nos conseillers ne possèdent pas toutefois la triple compétence de banquier, d’assureur et de financier. Ce n’est pas leur faire injure, mais face aux centaines de produits dont ils disposent, ils ont parfois du mal à s’y retrouver eux-mêmes ! N’oublions jamais que la plus grande carence des réseaux bancaires, c’est le droit !

Quand on veut placer de l’argent, il y a une question essentielle à se poser : quel est l’objectif central que je poursuis ? Pour ma future retraite, il faut des placements qui ne rapportent rien, ou peu, mais qui maintiennent le pouvoir d’achat de mon capital. Quand je suis en retraite, il faut des placements qui rapportent un maximum, mais en contrepartie, le capital s’érode. De plus, n’oublions jamais que la rentabilité est proportionnelle au risque… On peut ajouter la protection des enfants en simplifiant la succession. De toute façon, il sera indispensable de consulter son notaire : l’incontournable en matière de transmission du patrimoine. Il aura un avis éclairé sur les placements que vous envisagez, compte tenu de vos objectifs.

 

L'assurance-vie : un placement adapté…

 

Les contrats d’assurance-vie offrent une grande souplesse pendant la phase de constitution de l’épargne et sur les modalités de sortie. Vous pouvez récupérer vos sommes épargnées, soit sous forme de capital, soit sous forme de rente et vous constituer ainsi des revenus supplémentaires à vie. Elle offre également des avantages fiscaux importants, notamment une fiscalité privilégiée en cas de retrait après huit ans d’ancienneté du contrat. Par ailleurs, en cas de retrait plus tôt, l'impôt s'applique uniquement sur la quote-part de plus-value comprise dans le retrait. En outre, en cas de décès, l'épargne est transmise aux bénéficiaires librement désignés, dans la majeure partie des cas sans droits de succession. Un conseil : vous n’êtes pas tenu de donner le nom du ou des bénéficiaires en cas de décès. Il suffit simplement d’indiquer que le nom est déposé chez le notaire. C’est plus simple lorsque l’on souhaite changer le nom des bénéficiaires en cours de route.

 

 

Le PER (Plan d’Épargne Retraite)…

 

L’assurance-vie est concurrencée par le PER (Plan d’Épargne Retraite). Cette enveloppe juridique et fiscale permet de se constituer un complément de retraite, en plus des régimes obligatoires. Vous pouvez transférer l'épargne des anciens plans (Perp, contrats Madelin…) déjà ouverts sur votre nouveau PER. Le PER est très avantageux fiscalement, puisque les versements volontaires sont déductibles de l’assiette de l’impôt sur le revenu à hauteur de 10 % de vos revenus d’activité de l’année précédente, avec un plafond maximum de 32 909 euros pour 2021.

 

Le PEA : un placement boosté par la loi Pacte…

 

Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) permet d'investir à long terme, majoritairement dans des actions d'entreprises françaises ou européennes, et de générer, après un minimum de 5 ans, une rente viagère exonérée d'impôt sur le revenu. Le PEA bancaire permet d'investir en bourse. Il prend la forme d'un compte titres associé à un compte espèces. C’est plus intéressant pour la préparation de la retraite car le PEA Assurance permet de bénéficier à la fois des avantages du PEA, mais aussi des atouts des contrats de capitalisation en unités de compte. Les conditions de fonctionnement de ce compte sont fiscalement plus avantageuses qu'un compte titres standard. En outre, un peu d’or ne nuit pas. Au début de l'année 2023, la valeur du métal jaune a dépassé le seuil de 2 000 dollars l'once. Investir dans l'or en 2023 semble donc être une bonne idée, surtout compte tenu du taux d'inflation estimé à 6,1 % en juillet 2022.

 

 

 

L’immobilier, un placement toujours à la pointe…

 

Le premier placement immobilier, c’est l’achat de sa résidence principale. Il permet de capitaliser pour sa retraite. Au moment de la retraite, la vente du bien en viager permet un complément de ressources non négligeable. Viennent ensuite les placements individuels et collectifs. Banquiers, assureurs et notaires proposent des placements sous forme de SCPI (Société Civile de Placement Immobilier). L’achat de parts de SCPI offre quelques avantages. Depuis la transformation de l’ISF (Impôt de Solidarité sur la Fortune) en IFI (Impôt sur la Fortune Immobilière), les patrimoines immobiliers supérieurs à 1,3 million d’euros sont imposables à l’IFI. Les parts de SCPI investies dans des parcs de biens immobiliers entrent ainsi dans ce calcul.

Le démembrement des parts de SCPI peut permettre de réduire sa facture fiscale. Concrètement, il s’agit de séparer la nue-propriété des parts et leur usufruit. L’épargnant achète la nue-propriété et possède les parts de SCPI mais ne perçoit pas les revenus. Il récupérera la pleine propriété des parts à la fin de l’usufruit. L’usufruitier, de son côté, perçoit les loyers pendant toute la durée du démembrement. Cette technique permet d’investir à moindre coût et de ne pas alourdir sa fiscalité (impôt sur le revenu et IFI) pendant la durée du démembrement. Dans le cadre de la préparation de la retraite, il suffit de bien caler la durée du démembrement pour la faire coïncider avec la période de vie active où la fiscalité peut être parfois lourde. Au moment de la retraite, les revenus issus des parts pallient alors la baisse des revenus.

L’achat d’appartement présente des risques : loyers impayés, dégradations, squats… On peut envisager des placements orientés vers l’acquisition de studios pour étudiants : bon turnover des locataires, meilleure actualisation des loyers, et caution des parents. Le LPMP, Loueur en Meublé non Professionnel, est un statut permettant d’investir dans un bien immobilier afin de le louer meublé et de percevoir des revenus peu ou pas fiscalisés. Il s’agit de résidence étudiante est destinée à accueillir pendant plusieurs mois au moins 70 % d’étudiants. Ce qui veut dire qu’elle peut également accueillir 30 % d’autres types de locataires, en priorité des jeunes travailleurs ou des touristes. Le taux d’occupation avoisine donc souvent les 100 %. Les résidences sont exploitées par un gestionnaire exploitant unique qui assure le remplissage de la résidence, son entretien, et assure le paiement des loyers aux investisseurs dans le cadre d'un bail commercial.

Investir dans une résidence étudiante est un placement qui offre des perspectives sur un marché en plein essor : la population étudiante ne cesse d'augmenter, alors que l'offre de logements en résidences couvre à peine un tiers de la demande. C'est, surtout en période d'incertitude économique, un investissement sur une valeur refuge. Avec un ticket d'entrée autour de 70 000 euros, c'est aussi l'opportunité pour les personnes désirant investir dans la pierre avec un budget limité. Le rendement annuel moyen va de 3,5 % à 4 % nets de charges. Sans risque de vacances, d'impayé ni de souci de gestion ou d'entretien. Grâce au bail commercial signé avec la société gestionnaire, c'est un investissement sécurisé et sans imprévu.

 

 

Investir dans des « éco-parking » en profitant des rendements…

 

L’investissement dans des box de voiture ou des places de parking correspond à un placement pour de petits budgets et permet de se constituer un patrimoine progressivement. Les charges sont limitées et pour les box, les dégradations se limitent à la porte. Une nouvelle forme de placement  émerge : l’éco-parking ou la place de parking avec borne électrique. Il s’agit d’un placement immobilier éco responsable et cohérent avec le développement des véhicules électriques. La rentabilité annoncée est de l’ordre de 10 à 12 %. On peut trouver des places de parking à 10 000 euros, mais il faut compter 50 000 euros à Paris et 3 400 euros à Oissel en Normandie…

En tant que propriétaire d’un investissement locatif, vous devez déclarer les loyers perçus sur vos revenus locatifs, et vous acquitter de la taxe foncière. L'emplacement entre dans le calcul de votre impôt sur la fortune immobilière (IFI) à hauteur de sa valeur patrimoniale (prix de l'emplacement moins le montant de la dette immobilière). A Auxerre, nous avons noté une place de parking à 7 500 euros et un box à 12 600 euros.

Précisons que les investissements immobiliers sont soumis à l’IFI. Si vous êtes concernés, il est possible d’y échapper par des montages juridico financiers en intégrant  des SCI familiales : dans ce cadre il est impératif de prendre conseil auprès du notaire.

Il existe un Fonds de Garantie des Dépôts et de Résolution (FGDR) qui protège les titulaires de comptes en cas de défaillance de la banque. Toutes les banques établies en France adhèrent à ce fonds. Les avoirs sont couverts jusqu'à 100 000 euros par personne et par établissement. Votre épargne placée sur un Livret A, un Livret de développement durable (LDD), un Livret d’épargne populaire (LEP) est garantie en totalité par l’Etat, et non par le mécanisme de garantie des dépôts.

Les sommes placées sur ces livrets d’épargne ne sont donc pas décomptées du plafond de 100 000 euros. Il existe aussi une garantie des titres, plafonnée à 70 000 euros par détenteur de compte titres.

En matière de constitution d’un patrimoine, la diversification est vitale. Il ne faut pas oublier l’adage : « ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ». Et penser à la carte « chance » du jeu de Monopoly : « faites des travaux dans vos maisons » ! En conséquence, tout investissement immobilier doit générer 10 à 15 % de liquidités disponibles sur des livrets par exemple.

Les solutions pour préparer sa retraite par capitalisation sont multiples et peuvent correspondre à tous les cas de ressources et de projets. Il faut s’entourer d’un banquier, d’un assureur, d’un notaire et éventuellement de son avocat. Les consultations sont gratuites. Après, il faut choisir son camp : cigale ou fourmi !

En dernier recours, Voltaire nous propose un ultime conseil : « Si vous voyez un banquier sauter par la fenêtre, suivez-le, c’est qu’il y a de l’argent à prendre »…

 

Jean-Paul ALLOU

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Un an déjà, un an seulement… Après des mois de tension entre les deux pays, Ukraine et Russie, le monde sidéré assistait à l’envahissement de l’Ukraine par son voisin russe aux premières heures d’un 24 février gravé dans les mémoires. Premières images d’un « président courage » en treillis kaki dans la nuit de Kiev sous les bombes et du visage dur d’un autocrate enfermé dans son palais du Kremlin, annonçant le début d’une « opération militaire spéciale ». Premières frappes, premiers morts dans les rues, premiers massacres…

 

TRIBUNE : Et l’heure pour certaines figures de l’échiquier politique hexagonal à l’âme russophile, d’acheter en urgence une veste réversible pour tenter de faire oublier le passé et la complaisance manifestée jusqu’alors envers le « tovaritch » Vladimir !

Trois cent soixante-cinq jours après, alors que les combats font toujours rage et qu’une sortie de crise diplomatique apparaît de plus en plus improbable, l’on se dit que cette invasion de l’Ukraine était tout sauf une surprise. Point d’orgue d’une guerre déclenchée en 2014 avec l’annexion de la Crimée, et la mise sous tutelle de la région du Donbass, auxquelles la communauté internationale n’a pas réagi assez fermement, laissant toutes latitudes à Vladimir POUTINE pour parachever son œuvre mortifère. Boutcha, Marioupol, Kramatorsk, Kherson…, autant de villes martyres dont le nom résonne douloureusement, qui ne sont pas sans rappeler les crimes de guerre commis en Syrie par le maître du Kremlin, sept ans auparavant, en soutien au régime de son ami Bachar Al-ASSAD.

 

Une politique différentialiste de l’Etat entre réfugiés afghans et réfugiés ukrainiens…

 

Depuis le début du conflit, 115 000 Ukrainiens ont trouvé refuge en France, dont 630 pour le seul département de l’Yonne. Une population composée majoritairement de femmes et enfants, accueillis avec un aval populaire sans précédent, pas toujours couronné de succès au demeurant. On se souvient de ces familles prévues séjourner à Saint-Georges-sur-Baulche qui, moins d’une heure après leur arrivée, reprirent leur route, direction les Pays-Bas, au grand dam du collectif local d’aide aux réfugiés.

 

 

Un élan de solidarité nationale salutaire et réconfortant, qui résonne toutefois cruellement avec le traitement manifesté quelques mois plus tôt à l’égard des réfugiés Afghans fuyant les talibans après la chute de Kaboul. D’un côté, un dispositif d’aides sans précédents, de l’autre, un discours axé sur la « gestion des flux migratoires » et le « contrôle des frontières ». Une politique différentialiste de l’Etat révélatrice d’une règle bien connue du monde journalistique, appelée « loi de proximité » : moins la distance culturelle est importante, plus grande est l’empathie. Le fait de voir la guerre revenir à nos portes réveille les traumatismes de l’Histoire, nous conduisant à nous identifier chaque jour davantage au peuple Ukrainien.

 

 

Même l’expression « guerre nucléaire » n’est plus taboue…

 

Ce que Moscou imaginait être une guerre éclair ressemble plus au fil des semaines au siège de Verdun ou de Stalingrad et les bombardements restent quotidiens. Une guerre des positions dont le sinistre compteur totalise plus de 100 000 morts dans chacun des deux camps et à l’avenir incertain. Comment y mettre fin ? Les risques d’escalade sont-ils réels ? Se dirige-t-on vers une Troisième Guerre mondiale… ? Une équation à plusieurs inconnues dont personne n’a la clé et aujourd’hui, plus rien n’est tabou, même la formule de « guerre nucléaire » ! Qu’en sera-t-il dans un an, dans deux ans, dans cinq ans, si le conflit perdurait ? Le formidable élan de solidarité manifesté jusqu’alors vis-à-vis de l’Ukraine sera-t-il encore de mise ? Sommes-nous prêts longtemps encore à affronter une inflation annuelle à deux chiffres qui plombe le moral des Français et à voir le prix de l’énergie s’envoler chaque jour un peu plus… ?

On le dit « fou », « esseulé », « parano », « malade », mais comment dessiner, l’après-POUTINE ? Et surtout, par qui le remplacer, tant la liste des prétendants fait froid dans le dos, à commencer par le fondateur du groupe Wagner, Evgueny PRIGOJINE, auprès de qui, POUTINE fait office de « Bisounours » !

Faudra-t-il, pour déloger l’actuel président russe, aller « le buter jusque dans les chiottes », pour reprendre les mots qu’il utilisait à l’encontre des Tchétchènes en 2003 ? A peine plus de 1 500 kilomètres séparent Kiev de Dantzig (aujourd’hui Gdansk), ville polonaise rattachée symboliquement au début de la Seconde Guerre mondiale. C’est à la fois si loin et tellement près…

 

Dominique BERNERD

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il a écouté attentivement la prise de parole du patron de « TPMS », le volubile et toujours enthousiaste Fernando DIAS GONCALVES. Un chef d’entreprise s’illustrant depuis plusieurs années sur le registre de la tôlerie et qui fut même l’un des industriels les plus prompts à réagir positivement lors de la COVID. Du petit lait dont s’est délecté le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, Thierry CADEVILLE, qui avait quelques messages forts à faire passer lors du brunch des Positives Entreprises…

 

MONTHOLON: Profitant de son déplacement dans l’Aillantais, à la découverte de l’unité de production de « TPMS » - la CCI de l’Yonne y organisait la trente-quatrième édition du brunch mensuel des Positives Entreprises dans les locaux du site industriel spécialisé dans la tôlerie -, Thierry CADEVILLE, président de la vénérable institution, a salué la capacité d’adaptation et de réactivité du chef d’entreprise, Fernando DIAS GONCALVES, un personnage atypique et volontariste dans la manière de gérer ses affaires.

Il est vrai qu’à l’époque cruciale de la crise sanitaire – celle de 2020 qui allait, et pour un moment paralyser l’activité économique de l’Hexagone – « TPMS » aura su se distinguer en imaginant la conception de bornes de gel hydro-alcoolique permettant ainsi de répondre dans l’urgence et de manière sanitaire aux inconvénients majeurs engendrés par cette pandémie se transmettant par simple poignée de mains.

Une initiative, jugée à l’époque comme une première pour l’entrepreneur de Montholon qui devait également s’illustrer au cours de ces dernières semaines au sujet de la crise occasionnée par la hausse mirifique du coût de l’électricité. Fernando DIAS GONCALVES a en effet été l’un des tout premiers industriels de l’Yonne à tirer la sonnette d’alarme au sujet de l’envolée prohibitive des tarifs de la fée électricité, transformant le monde féérique et illuminé habituel en un véritable cauchemar s’étant révélé depuis pour bon nombre d’entrepreneurs et artisans du sérail.

 

Une date que tout le monde attend, celle du 14 mars et la réunion de la commission européenne…

 

Evoquant ce thème pertinent, Thierry CADEVILLE devait livrer à voix haute le fond de ses pensées et le sens de son analyse à ce propos : « la résolution de la crise énergétique est politique. Nous disposons dans l’Hexagone de 56 réacteurs nucléaires ; soit de quoi produire l’énergie nécessaire à notre pays. D’ailleurs, le 14 mars, la commission européenne doit proposer un certain nombre de solutions, notamment sur le découplage des prix du gaz et de l’électricité. Nous attendons cela avec impatience car cela pourrait peut-être représenter une solution à laquelle les entreprises doivent faire face… ».

Il y a urgence en la matière, effectivement. Car, malgré les aides de l’Etat, des entreprises ont vu leurs factures énergétiques s’envoler pour tutoyer le firmament avec des hausses tarifaires multipliées par cinq, mais aussi dix-sept (!) comme le confirmera le porte-étendard de la chambre consulaire départementale, citant des exemples très précis.

 

 

Une étude diligentée par la CCI, s’appuyant sur les témoignages de cent-cinquante entrepreneurs, a révélé que 70 % des contacts initiés par la chambre consulaire étaient sensibles à la question de cette augmentation de l’énergie et pensaient faire appel aux aides existantes. Soit sept entreprises sur dix dans le département.

Toutefois, près de 25 % de ces entreprises sondées ne sont pas sensibles aux effets induits de cette crise pour diverses raisons.    

 

 

Pas de ralentissement sur le marché de l’emploi dans l’Yonne…

 

Au niveau du recrutement et des difficultés rencontrées par les entreprises (60% du tissu départemental), Thierry CADEVILLE a délivré quelques informations complémentaires intéressantes avant de clore sa prise de parole, « les augmentations d’offres d’emploi dans l’industrie s’élèvent à plus 25 % à l’heure actuelle selon des sources fournies par Pôle Emploi, par rapport à l’année dernière…

Autre bonne nouvelle, le ralentissement de l’activité économique ne s’observe pas dans les faits au niveau du marché de l’emploi… ».

Un déplacement du président de la CCI qui aura sans doute remis un peu de baume au cœur à des chefs d’entreprise confrontés à une succession de crises depuis bientôt trois ans.

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

« Nous n’avons pas peur de nous opposer aux idées reçues… ». Ainsi s’exprime Emmanuel BERTHELIN, délégué départemental de « VIA ». « VIA » ? Traduisez l’acronyme par « La Voie du Peuple ». Anciennement connu sous le vocable du « PCD » (Parti Chrétien-Démocrate), le mouvement présidé par Jean-Frédéric POISSON possède aussi ses partisans dans l’Yonne. Ces derniers se sont retrouvés lors d’une conférence sur l’euthanasie et le suicide assisté…

 

ROUVRAY: Même pas peur de mourir chez les fervents supporters de l’ex-Parti des Chrétiens-démocrates de l’Yonne ? En tout cas, c’est une épreuve ultime à vivre dans le respect et la dignité, en faisant abstraction de manière catégorique de l’un des thèmes d’actualité, cher au Président de la République Emmanuel MACRON, à savoir l’euthanasie.

Un item, parmi tant d’autres, au centre des sujets de préoccupation de la gouvernance étatique, entre crise économique, réforme des retraites et conflit à portée de fusil à l’est de l’Europe.

Il y a quelques jours, l’antenne départementale de « VIA La Voie du Peuple » – la nouvelle incarnation sémantique du PCD – a donc proposé une rencontre des plus enrichissantes sur cette thématique, guère souriante à vrai dire, à la salle des fêtes de Rouvray.

Une première conférence publique qui en appellera d’autres, conformément à la volonté du représentant de ce mouvement politique conservateur et d’influence chrétienne – rappelons que son chef de file hexagonal n’est autre que Jean-Frédéric POISSON qui s’était porté candidat à la primaire de la droite lors des Présidentielles 2017, lui-même ayant succédé à Christine BOUTIN – sur le territoire de l’Yonne, Emmanuel BERTHELIN.

 

 

Replacer le mot « dignité » - trop souvent galvaudé – dans le contexte…

 

Pour se faire, associé au Mouvement Conservateur de l’Yonne représenté par la Sénonaise Laurence TROCHU, le patron de VIA 89 avait choisi comme premier thème de ces retrouvailles publiques en ce début de Carême un sujet brûlant de l’actualité : l’euthanasie et le suicide assisté. Une trentaine de personnes devaient se manifester positivement en assistant à la causerie menée par Philippe DESMOULINS-LEBEAULT, personnalité reconnue au sein de l’ONG « Europe for Family ».

Ancien administrateur de l’UDAF Val-de-Marne, le conférencier compte parmi son panégyrique quelques références sur le sujet en sa qualité d’intervenant régulier, entre 2014 et 2019, au Parlement européen afin d’y promouvoir la défense des droits de la famille et comme membre militant de la « Manif pour tous ».

 

 

Il s’agissait lors de ces échanges interactifs de procéder à quelques mises au point, notamment sur les différenciations existantes entre l’euthanasie et le suicide assisté, à travers des exemples parfois durs à entendre. Les soins palliatifs furent aussi au centre des discussions. Le terme « dignité » - trop souvent galvaudé par les temps qui courent selon Emmanuel BERTHELIN- eut droit lui aussi à ses explications de texte détaillé. L’amour de l’autre et la souffrance complétèrent ce tableau pédagogique.

 

 

Le fonctionnement de l’Europe, une autre thématique à aborder…

 

Précisons que « VIA La Voie du Peuple », à l’instar du « Mouvement Conservateur », sont hostiles à la pratique de l’euthanasie en France et s’opposent à toute initiative politique pouvant la légiférer et l’autoriser.

D’autres conférences devraient ponctuer l’année 2023 dans l’Yonne. Une réflexion sur le fonctionnement de l’Europe et ses institutions est précisément à l’étude et servira de tremplin à l’échelle départementale pour promouvoir les idées et actions de ce mouvement politique, jusque-là très confidentiel et à l’ombre des projecteurs médiatiques, de sortir désormais de sa réserve…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

De l’avis de l’un de ses présidents, Mahfoud AOMAR – il gère la destinée de l’association « Yonne Développement » depuis deux ans -, sa structure et son corollaire naturel, spécialisé dans la construction de bâtiments et la logistique industrielle, la SEM (Société anonyme d’Economie Mixte) « Yonne Equipement », sont indissociables l’une de l’autre. Une force spéciale en petite unité  au service de l’Yonne qui, malgré sa grande discrétion, est opérationnelle avec succès depuis près de trois décennies sur le terrain…

 

MONTHOLON : Ce jour-là, il aura été touché par la grâce divine, le président du Conseil général de l’époque, l’ancien secrétaire d’Etat en charge de la Coopération internationale, Henri de RAINCOURT ! De son passage remarqué aux manettes décisionnelles du département, grâce à de multiples mandats, on lui doit, entre autres, la constitution d’un outil d’aide à l’essor économique, toujours d’actualité et efficace dans le landerneau, « Yonne Développement ».

Une structure associative qui est devenue experte incontournable en la matière pour détecter les velléités d’implantation de nouveaux acteurs entrepreneuriaux désireux de s’installer en Bourgogne septentrionale. A ses côtés, la Société anonyme d’Economie Mixte (SEM), « Yonne Equipement », une entité qui est spécialiste de l’accompagnement de projets immobiliers économiques sur mesure ! Les deux font la paire, ou presque !

Mais, une chose est sûre, ces deux organes au service de l’attractivité territoriale de l’Yonne se complètent à merveille et ne font qu’une, au niveau de leurs objectifs finaux. Entre études de faisabilité, prospective, matière grise et…concrétisation de projets avec à la clé de l’emploi et des affaires professionnelles évolutives !

 

L’essence même de l’entrepreneuriat retrouvé avec ces deux entités…

 

Le président de l’antenne icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), président de la Communauté de communes de l’Aillantais, Mahfoud AOMAR pourrait en parler durant des heures. En effet, ces deux instruments institutionnels qui offrent un système gagnant/gagnant pour les collectivités et les entrepreneurs voulant  poser leurs jalons dans ce secteur géographique bien précis ne lui sont pas étrangers. Et pour cause, Mahfoud AOMAR possède une autre casquette qu’il a rivée sur sa tête au nom de l’éclectisme et de la curiosité : celle de président de l’association, « Yonne Développement ».

« Avec ces deux structures, souligne-t-il avec son expertise d’ancien entrepreneur, j’ai retrouvé l’essence même de l’entreprise. Elles facilitent le bon fonctionnement de l’économie territoriale, ce qui est de loin très profitable à l’Yonne… ».

En filigrane, et dans la pensée de l’ancien conseiller départemental, il y a aussi les retombées économiques par capillarité, imputables à la venue de nouvelles entreprises parfois en provenance de l’Ile-de-France voisine avec leurs contributions fiscales et taxes foncières. Un sacré plus !

 

 

Etre fier de ces outils qui confèrent une réelle plus-value à notre territoire…

 

Plongeant dans ses lointains souvenirs, le président de l’EPCI salue l’idée ayant germé dans les neurones stimulés d’Henri de RAINCOURT pour imposer un modèle économique novateur, original, générant de nouvelles richesses au bénéfice du territoire. Sans compter les emplois induits qui se sont ajoutés depuis dans la case des profits !

« Ce qui est formidable avec ces outils, renchérit Mahfoud AOMAR, c’est qu’ils exercent leurs activités en parfaite symbiose ! ».

Un enthousiasme qui fait plaisir à voir pour celui qui précise qu’au cours de la seule année 2022, ce sont 95 dossiers qui ont ainsi été traités par les équipes des deux organismes, dirigées par Clarisse MARTIN.

Yonne Développement n’hésite pas, par ailleurs, à sortir des frontières départementales et à s’éloigner de sa zone de confort (Auxerre) où sont accueillis ses bureaux administratifs pour assurer la promotion de ce territoire, idéalement bien placé au sud de Paris. Dans cet axe, autrefois inéluctable de la voie du progrès : le PLM, Paris Lyon Marseille !

Entre les notions de l’outil idéal et le volet nécessaire servant à optimiser les relations entre les différents acteurs de la chose économique et celle des collectivités, ce tandem structurel, très complémentaire, obtient de sérieux résultats. En toute discrétion médiatique et en prenant le pouls au plus près de la réalité du terrain.

« Nous entraînons dans notre sillage toutes les grandes banques qui agissent sur le territoire de l’Yonne dans l’intérêt de son essor économique, précise Mahfoud AOMAR, celles qui sont devenues de facto nos partenaires inconditionnels… ».  

Yonne Développement et son binôme, Yonne Equipement, travaillent main dans la main à l’aménagement de nouveaux bâtiments sur des zones constructibles mais également à partir d’édifices déjà existants pouvant accueillir des entreprises dans les meilleurs délais.

« Je pense que les Icaunais devraient être fiers de ces outils qui confèrent une réelle dynamique à notre territoire, ajoute le président communautaire, mon rôle est d’être le gardien du temple de l’un de ses deux outils, avec le concours des cinq salariés qui y exercent leur savoir-faire. On devrait avancer avec l’aide de tous les élus à l’avenir car ces instruments sont très pertinents… ».

Toujours est-il que les responsables des deux organismes – François BOUCHER, maire de Migennes et président de la communauté de communes locale, est le président de la SEM Yonne Equipement – envisagent avec la direction des deux organismes davantage de communication en 2023. Une péréquation intelligente qui doit être comprise de tous, et par tous, en somme…

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil