Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

La nouvelle année débutera au théâtre d’Auxerre avec la représentation assurée par les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O Cirque » le dimanche 14 janvier en matinée. Précisément à 11 heures, un horaire peu commun pour jouer un spectacle. Celui-ci prendra d’ailleurs ses marques dès la semaine suivante sur le site culturel avec plusieurs sessions destinées aux scolaires…

AUXERRE : Du 14 au 18 janvier, les Compagnies « FLYING FISH » et « A&O » poseront leurs valises dans la capitale de l’Yonne afin d’y présenter leur dernière création, « Love Box ». Ces séances, une petite dizaine au total, se répartiront entre les accès à la culture orientée plus spécifiquement vers le public scolaire et le tout public.

Quant à la thématique du spectacle, elle narre les tribulations de deux êtres qui s’aiment à la folie. Malgré certaines contradictions.

Il est clown, elle est équilibriste et acrobate. Est-ce une raison pour se mettre en boîte ? Oui et plutôt cent fois qu'une !

Partenaires dans la vie comme dans le travail, Joël COLAS et Miriam de SELA ont créé « Love Box » pour nous faire partager le sel de la vie à deux. Ce qui les rassemble ? Le langage du cirque, de la pantomime et de l'objet.

Quant au reste, il diverge : elle aime les courbes, lui préfère les angles. Elle est à son aise sur quelques centimètres carrés quand lui se trouve à l'étroit. Elle aime l'espace libre alors qu'il cherche désespérément à combler les vides.

Dix-huit briques de bois manipulées avec agilité dressent entre eux des murs ou des passages, des îlots et des emboîtements. De tableau en saynète, on voit l'un se mettre à la hauteur de l'autre, épouser son corps ou sa volonté, faire semblant pour lui faire plaisir, quêter son attention...

Au fond, il existe mille et une manières d'habiter un espace si petit soit-il et autant de façons de s'aimer, pourvu que les esprits soient aussi agiles que les corps.

Cette comédie si fine et attachante est aussi un condensé de malice et d'ironie, un petit bijou muet comme le cinématographe d'antan, mais coloré et ô combien parlant ! Bref, une quête ordinaire de l’amour imaginée avec beaucoup de fantaisie autour de deux personnages qui rêvent de filer la parfaite harmonie…

Une programmation à noter sur les agendas : le dimanche 14 janvier à 11 h, le lundi 15 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mardi 16 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, le mercredi 17 janvier à 10 h / séance scolaire et 18 h 30, le jeudi 18 janvier à 10 h et 14 h / séances scolaires, studio / à partir de 5 ans.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Profitant d’une visite il y a quelques années d’un sanctuaire de la faune animale à Prétoria, le chef d’entreprise de Sens, co-gérant de la société de communication « NET.COM », a eu l’immense privilège de rencontrer Kevin RICHARDSON, le plus grand spécialiste au monde de l’étude comportementale des lions. Depuis, Thomas ne cesse de se rendre régulièrement en Afrique du Sud afin de défendre la cause du roi des animaux, élevé dans des parcs spécifiques avant d’être livré en pâture lors de safaris où le félin est impitoyablement abattu par des chasseurs nord-américains et asiatiques qui n’hésitent pas à débourser près de 60 000 dollars pour obtenir un trophée. Un ouvrage, paru en février 2017, « Tsavo le résilient » aux Editions du Net, tiré de la plume incisive de l’entrepreneur sénonais, témoigne de cette triste réalité…que chacun doit découvrir avant qu’il ne soit trop tard…

SENS : Disponible depuis l’hiver dernier sur toutes les plateformes numériques ainsi que chez les libraires de l’Yonne, « Tsavo le résilient » se présente sous la forme d’un gros pavé, très agréable à la lecture. Derechef, sa couverture surprend le curieux avide de connaissances. Une magnifique tête de lion au regard profond orne celle-ci et sensibilise le futur acquéreur à poursuivre sa quête. Elle sera exhaussée : son contenu ne peut laisser indifférent. Il nous fait prendre conscience que notre monde ne tourne plus vraiment bien rond en ce début de XXIème siècle et que la cupidité et l’argent maîtrisent les idéaux des sociétés dites modernes et bien pensantes. Au détriment de la nature, de l’environnement, du climat, de la cause animalière…et en bout de chaîne de l’humain lui-même…

Une première œuvre qui induit beaucoup de réflexions…

Et s’il n’est guère facile aujourd’hui de pouvoir se faire éditer, le comité de sélection de cet ouvrage, les Editions du Net, n’a pas tergiversé une seule minute en acceptant de publier la première œuvre de ce chef d’entreprise, inféodé à l’essor de la communication digitale et de haute technologie.   

Sensible à la cause écologique et animale, le comité éditeur a eu raison de soutenir l’initiative de l’entrepreneur Sénonais, âgé de 41 ans qui a pris fait et cause depuis plusieurs années pour la sauvegarde du roi de la savane. Parfois d’une grande brutalité mais avec tellement de réalisme, l’auteur nous entraîne à travers les lignes de cet opus remarquable dans un monde à faire froid dans le dos sur les intentions réelles de l’homme envers les animaux.

L’histoire se résume ainsi : depuis des millénaires, l’homme se répand sur toute la surface de la Terre, de manière incontrôlée et sans un regard pour les autres formes de vie qu’il massacre, le sourire aux lèvres. Aujourd’hui, la planète identifie ce comportement comme celui d’un parasite qui colonise et détruit son hôte, et face à sa mort prochaine elle décide d’éradiquer ce fléau. L’antidote s’appelle « Tsavo ». C’est un lion aux proportions démesurées et aux capacités tout à fait singulières. A ses côtés, un immense groupe d’êtres humains que la vie et les hommes eux-mêmes ont broyé de leur violence sans limite : les résilients. Tapis dans l’ombre de nos civilisations depuis une éternité, ils sont en attente de l’appel de « Tsavo » : prêts au sacrifice de cette incontrôlable humanité pour sauver la planète et toutes les autres espèces.

Pour la première fois depuis son apparition, l’humain devra s’adapter à une vie sans violence ou mourir. Pour la première fois, il n’aura plus le choix et devra respecter cette Terre qui lui a donné la vie. Ou disparaître, des griffes et des crocs de « Tsavo » et de son armée. C’est la résilience même de l’humanité qui sera sondée…

Ce cheminement initiatique est en fait le prélude à un second volume plus criant de vérité encore que Thomas DA ROVARE a déjà partiellement écrit. « CANNED HUNTING », traduisible par la locution suivante « Chasse en boîte » paraîtra d’ici quelques semaines.

Le sanctuaire de Kevin RICHARSON a valeur de refuge animalier…

« Récemment, le film « Blood Lions » a dénoncé la pratique de la chasse en boîte, précise Thomas DA ROVARE, aux côtés de « L’homme qui murmurait à l’oreille des lions », Kevin RICHARDSON, je me suis personnellement très investi dans cette lutte contre ce fléau. L’idée me concernant n’est plus d’en parler autour de moi mais de m’engager véritablement sur le terrain en étant davantage dans l’action pour faire quelque chose. S’investir différemment, c’est aussi créer cette pierre à ajouter à l’édifice à travers l’écriture... ».

Tous les ans, à raison d’un séjour automnal en Afrique du Sud, Thomas se ressource au gré de ses visites dans le sanctuaire tenu par son ami Kevin RICHARDSON. Trente-sept lions y coulent des jours heureux. Originaires des parcs spéciaux destinés à la chasse, ils ont été accueillis par l’équipe du comportementaliste sud-africain, leur sauvant la vie par ce geste généreux. Aux côtés de 47 hyènes et de quatre léopards voués à une mort certaine : celle donnée par les chasseurs de fauves.

« Ce parc n’est naturellement pas ouvert au public, confie Thomas, mais attention, il ne recueille pas de lions d’ordinaire ; sauf deux spécimens qui ont été remis par un cirque espagnol (dont un animal handicapé et rendu aveugle à cause des flashes des appareils photographiques) parce que condamnés à l’euthanasie il y a trois ans… ».

Une vingtaine de personnes exercent leur talent professionnel dans ce sanctuaire animalier. Une centaine de personnes, membres de l’association CATCH, suivent de très près l’évolution des espèces animales qui y vivent.

« L’objectif de ce sanctuaire est d’assurer des actes permanents de prévention et d’avoir une approche éducative auprès des scolaires et surtout des adultes, explique Thomas DA ROVARE, la sensibilisation est le plus important. C’est expliquer que l’animal issu de la faune sauvage doit le rester. Et que les objets en ivoire sont à rejeter et non pas lieu d’être commercialisés… ».

Le massacre inutile et par plaisir de la faune sauvage en Afrique…

Dans les enclos des parcs spécifiques où les lions sont enfermés, les animaux subissent les effets pernicieux d’une drogue qui leur est administrée. Elle annihile leur volonté de se mouvoir. Relâchés ensuite dans un cadre naturel, très étroitement surveillés par les organisateurs de safaris, les animaux sont alors massacrés en règle. Une poudre fabriquée à partir du corps de l’animal s’expédie en Chine à prix d’or, engendrant plusieurs centaines de millions de dollars pour les industries qui travaillent à cette basse besogne.

« Kevin RICHARDSON dénonce ce massacre perpétré depuis des années contre les lions alors que la population mondiale diminue chaque année. 80 % de l’espèce a été détruite. Dans vingt ans, il n’y aura plus aucun lion vivant dans la nature… ».

Dès lors, avec son ouvrage, l’entrepreneur de l’Yonne souhaite que la société réagisse face à cette extinction programmée. Tout comme celle qui concerne les girafes, les éléphants ou les hippopotames.

« La plupart des dirigeants de la planète se voilent la face dès que l’on évoque ce dossier brûlant, ajoute l’écrivain entrepreneur, comment la première nation du monde, les Etats-Unis, peut être contre l’amélioration écologique et défendre les valeurs intrinsèques de cette chasse destructrice sur le continent africain ? Il existe près de 200 fermes d’élevage de lions en Afrique du Sud qui fonctionnent en parfaite légalité car ce sont des établissements privés, tenus par les blancs de l’Afrique du Sud. Huit mille félins y sont enfermés, prêts à être abattus. L'objectif est clair : proposer aux chasseurs (souvent étrangers) des lions et des lionnes sur catalogue, au nom d’un « sport » qui consiste en fait à abattre un animal drogué, enfermé dans un enclos minuscule sans la moindre chance de survie. Les tarifs varient en fonction du sexe, de l’âge et de quelques autres critères, mais la vie d’un félin s’achète de 7 000 dollars (la lionne) à 40 000 dollars (le mâle de huit ans). Il est à noter que de telles industries existent aussi pour les éléphants, les girafes et les rhinocéros. Près de 1000 lions sont abattus chaque année lors de ces chasses. Sous couvert de développement économique et de création d’emplois, ils bénéficient des soutiens en haut lieu, voire ceux de la communauté internationale… ».

D’ailleurs, la tête de Kevin RICHARDSON est mise à prix depuis plusieurs années. Il vit reclus dans son sanctuaire et le fréquenter n’est pas sans risque.

Quelques pays, à l’instar du Zimbabwe et du Kenya, agissent en faveur de CATCH et d’autres associations de la protection animale. L’ancienne Rhodésie à interdit temporairement la chasse aux lions durant…trois jours ! Tandis que le Kenya devait brûler l’ensemble de son stock d’ivoire.

Thomas DA ROVARE a pris des contacts avec la représentante française de CATCH à Paris pour intercéder en faveur de Kevin RICHARDSON et de sa lutte contre les tueurs de lions. Il aimerait aussi se rapprocher du ministre de l’Environnement Nicolas HULOT afin de le sensibiliser à la connaissance de ce problème qui concerne l’extinction de ces espèces sauvages dont la Terre ne peut se passer.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

A l’occasion de la neuvième édition de la séquence culturelle « Auxerre fait son Angoulême », consacrée à l’univers imaginatif de la bande dessinée, le théâtre de la capitale de l’Yonne proposera un coup d’envoi officiel de cette manifestation populaire au foyer bar le samedi 13 janvier. Un programme riche et éclectique y sera présenté jusqu’au 08 février. Le vernissage se déroulera à partir de 18 heures : il permettra d’accueillir un public de plus en plus inféodé aux bulles concoctées par des dessinateurs talentueux de notre territoire et à leurs fabuleux personnages…

AUXERRE : Ce premier temps fort de la nouvelle année pour le théâtre municipal d’Auxerre débutera en matinée du samedi 13 janvier dès 9h30 avec des séances de dessin réalisées en direct face au public.

Les amateurs de BD auront la possibilité d’apprécier les planches originales du nouveau fanzine « Tirédussix » du collectif auxerrois, « DRAW’ID » dont le premier numéro est sorti au mois de septembre 2017.

S’en suivra la réalisation d’une grande fresque murale, à laquelle chacun est invité à participer, avant une séance de dédicaces et du vernissage officiel, accompagné par les élèves du Conservatoire de Musique d’Auxerre.

Cette année, l’association AUX’ID reprend le flambeau de cette manifestation autour de la bande dessinée, toujours en association avec la Maison de quartier des Piedalloues, MOUV’ART, la Bibliothèque municipale Jacques LACARRIERE, la MJC d’Auxerre, le Théâtre et l’Espace des arts visuels de la Ville d’Auxerre.

Rappelons que la volonté de cette manifestation est de provoquer des rencontres constructives et nourries entre les dessinateurs confirmés de la région et les jeunes ou futurs dessinateurs.

De nombreuses expositions, manifestations et ateliers se dérouleront dans différents lieux de la ville, avec en point d’orgue, les maintenant bien connues, « Vingt-quatre heures de la BD ».

« Auxerre fait son Angoulême » se découvre du samedi 13 janvier au jeudi 8 février, avec séances de dessin en direct le samedi 13 janvier de 9 h 30 à 17 h, le vernissage est prévu le samedi 13 janvier à 18 heures. Entrée libre.


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Après un amorçage réussi en 2017, le réseau des MFR de Bourgogne Franche-Comté renouvelle pour la seconde année consécutive cette initiative expliquant le parcours pédagogique qui conduit aux grandes filières de la vie professionnelle. A travers quatre forums, accueillis dans les principales villes du territoire, la fédération régionale des Maisons familiales rurales apportera des réponses précises aux collégiens et lycéens, mais également aux étudiants, enseignants et demandeurs d’emploi désireux d’en savoir davantage sur les formations par l’alternance ou par apprentissage, après les classes de 4ème et 3ème, du CAP au Brevet de technicien supérieur (BTS).

DIJON : Tenue en janvier 2017, la précédente édition avait enthousiasmé les élèves de nombreux établissements scolaires de Besançon et sa périphérie. Il devrait en être de même en cette période de janvier aux quatre coins du territoire régional.

Un panel éclectique de métiers présent sur les forums

S’inscrivant parmi les axes majeurs de la communication de ce réseau de centres de formation, les Forums des métiers offriront gracieusement la possibilité aux jeunes générations et aux équipes enseignantes d’obtenir des réponses concrètes aux multiples questions liées à l’orientation.

Concoctées sous forme d’animations, ces journées donneront la possibilité aux visiteurs de pouvoir assister à des séances démonstratives et d’échanger en direct avec des partenaires professionnels. Quelques jeunes, très motivés, apporteront leur témoignage par rapport au bien-fondé de cet événement, permettant aussi de vérifier un projet de formation.

Parmi les filières présentes lors de ces quatre événementiels, citons l’agriculture, les services aux personnes, le tourisme, la restauration, le commerce et la vente, les aménagements paysagers et espaces forêts, la maintenance des matériels, la métallerie soudure, la prévention et sécurité, l’informatique ou les métiers de la vigne.

Touche de particularisme non dénué d’intérêt : les milieux animaliers seront dignement représentés avec des spécialistes d’élevages canin et félin ou ceux de la filière équestre.

Une foultitude de dates et de rendez-vous à biffer sur les agendas…

Parallèlement à ces manifestations, l’ensemble des MFR de Bourgogne Franche-Comté ouvriront leurs portes les 03 février et 03 mars 2018 pour accueillir et orienter les jeunes.

A noter que le 03 mars, 47 centres de formation par l’alternance de Bourgogne Franche-Comté procéderont à l’accueil du public lors de portes ouvertes, et dans ce contexte, toutes les Maisons Familiales Rurales de la région qui appartiennent aux CFA des MFR de Bourgogne et aux CFA des MFR de Franche-Comté participeront à cette manifestation.

Les forums des métiers se dérouleront le samedi 13 janvier de 9h30 à 17h00  à Dijon, salle de la Grande Orangerie au Parc de l’Arquebuse ; le mercredi 17 janvier de 9h30 à 17h00 à Besançon, salle de la Malcombe, avenue François Mitterrand ; le samedi 20 janvier de 9h30 à 17h00 à Auxerre, Bâtiment le 89, 16-18 Boulevard de la Marne et le samedi 27 janvier de 9h30 à 17h00 au Creusot, salle de l’Alto, Avenue François Mitterrand…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Depuis 1992, chaque année au soir du 24 décembre, l’association des Lumières de DRUYES célèbre à sa manière l’avènement de la Nativité, profitant des effets de miroir et des reflets dans l’eau, d’une multitude de bougies qui illuminent de façon insolite un cadre naturel d’exception. Cette vingt-cinquième édition des « Lumières de Noël » ne dérogera pas à la règle et au respect de cette tradition devenue l’incomparable distinction identitaire d’un petit village de l’Yonne qui renoue, entre féérie et poésie, avec la magie authentique de cette fête inoubliable…

DRUYES LES BELLES FONTAINES : Qui se souvient du premier allumage de cette désormais traditionnelle manifestation fleurant bon l’authenticité et les mystères des veillées d’antan ? En 1992, il n’était alors question que d’une trentaine de bougies fichées dans de petits pots de confiture disposés au gré des appétences de chacun dans les rues de la bourgade.

Unique, le spectacle se vit avec un regard d’enfant…

Un quart de siècle plus tard, les choses ont bien changé à l’évocation de la fête de Noël. Sous l’impulsion des membres de l’association des Lumières de DRUYES et de leur volonté farouche de créer un événement quasi incontournable dans le département. Ce sont aujourd’hui plus de 600 bougies multicolores qui constituent l’ossature magnifique et ô combien originale de ce moment de communion partagée entre les habitants de la localité. Mais aussi, avec les nombreux suiveurs qui ne manqueraient pour rien au monde ce rendez-vous presque magique, digne d’un rituel de temps séculaires et immémoriaux.

Déposées à la surface limpide de la retenue d’eau où prennent vie les sources de la DRUYES, dérivant au gré d’un léger zéphyr ou poussées par le courant en s’éloignant de la rive vers la pénombre insondable de la nuit environnante, ces petites lucioles colorées virevoltent tranquilles, accompagnées de belles chansons de Noël anciens. Le spectacle est unique. Et plonge l’observateur adulte vers les réminiscences profondes de sa mémoire d’enfant. Avec un parfum de nostalgie qui le nimbe et ce plaisir d’être là qui, avec la contemplation manifeste de toute cette beauté lumineuse, inonde son âme…

Cette année, la mise à l'eau des premières bougies sera accompagnée par un groupe de folk dirigé par Dominique ROBERT, une figure reconnue dans le sérail artistique.

Musiques sacrées et profanes se mêlent à l’unisson à la fête…

Auparavant, et ce dès 17 heures, un concert proposé dans l’église Saint-Romain, récemment rénovée, mettra en scène une harpiste talentueuse : Anne OROZCO. Dans ce décor surréaliste, éclairée à la chandelle, la musicienne interprètera sur son instrument aux origines ibériques des pièces musicales issues du répertoire des XIIème, XIIIème et XVIème siècles. Des textes de ces lointaines époques seront lus par le lecteur-auteur Jean-Raphaël PRIETO. Le récital se conclura par des extraits emplis de lyrisme, couvrant le XIXème siècle…

Cinquante minutes après ces copieuses réjouissances musicales ouvertes à tous les mélomanes, les traditionnels breuvages de l’hiver (chocolat et vin chauds) se dégusteront aux abords du plan d’eau, agrémentés de ces airs du folklore local joués par la formation de Dominique ROBERT.

Les fameuses illuminations sur le lac graveront ces instants de plénitude absolue dans le temps et l’espace, avant un retour à l'église pour y assister à une célébration œcuménique, à partir de 19 heures, conduite par les ministres des cultes catholiques, protestants et orthodoxes.

Certes, ce Noël 2017 ne sera pas blanc en termes de conditions météorologiques cette année encore. Mais, grâce à l’association des Amis des Lumières de DRUYES et son sens traditionnel de l’évènement, il illuminera longtemps les souvenirs et les cœurs de celles et ceux qui y participeront…


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil