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Rutilant et massif, l’appareil trône en bonne place, près du bureau du président de l’association caritative. Il imprime, il scanne et il adresse des mails. Un don qui va s’avérer très utile dans les travaux du quotidien. Certes, comme le confiera avec un zeste d’humour Jean-François FINANCE, « cela ne développera pas la Banque Alimentaire, mais cela va nous rendre d’immenses services ». Un geste altruiste à l’apanage de la société LAYER, encline à encourager les bonnes initiatives. Surtout lorsqu’elles émanent du cœur…

 

MONETEAU : Patron de la société éponyme, Hervé LAYER justifie sa présence dans les locaux, un brin vétuste et à l’étroit de la Banque Alimentaire de l’Yonne, conditionnée à deux axes de développement solidaire : une urgence dans la gestion administrative des documents de ladite association en pouvant les imprimer et les scanner, et le développement d’une station de travail, articulée autour d’une offre numérique.

Acteur de proximité et social, LAYER n’en est pas à son coup d’essai dans ses interventions solidaires dans l’Yonne. La société de services informatiques auxerroise qui a fait de la lutte contre les nuisances du cyber et de la sécurisation des entreprises son cheval de bataille, soutient sans réserve la Banque Alimentaire, généreuse en collectes et en dons de victuailles mais pas seulement. La vie sportive et la cause de l’enfance parlent aussi au dirigeant de la PME.

« Nous aimons semer des petites graines grâce à nos actions pour que le monde soit bienveillant et propose plus de préconisations d’entraide, confie Hervé LAYER.

 

 

Un monde de l’entreprise à l’écoute de la Banque Alimentaire. Celle-ci a distribuée en 2023 plus de 300 tonnes de denrées à une trentaine d’associations, grâce au travail d’une trentaine de bénévoles. La symbolique du chiffre trois, dans toute sa splendeur, visiblement !

Structurellement, l’entité est en quête de nouveaux locaux de manière active. Ceux occupés à l’heure actuelle ne sont plus du tout adaptés à l’actualité. L’idéal serait de récupérer environ 500 mètres carrés d’entrepôts, servant au stockage, et un peu de place pour accueillir des bureaux.

Tous les matins, du lundi au vendredi, les bénévoles apportent leur contribution pour assurer les distributions de ces salvatrices marchandises auprès des associations caritatives. Mais, un peu de plus de main d’œuvre ne serait pas mal non plus côté effectifs !

  

Thierry BRET

 


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C’est la der des ders. Une légère pointe d’émotion apparaît sur le visage juvénile de la patronne du MEDEF de l’Yonne. Un ultime tour de piste, à la tribune officielle face à un auditoire à l’écoute, en sa qualité de présidente de l’un des syndicats patronaux du territoire. Au mois de juin, Emmanuèle BONNEAU tirera donc un trait définitif sur un mandat institutionnel qu’elle aura incarné avec passion et engagement. Au service des adhérents de la structure…

 

AUXERRE : Malgré le sourire affiché sur son visage, on la sent empreinte d’émotivité, la cheffe d’entreprise de Saint-Florentin et présidente de la section icaunaise du MEDEF.

On peut le comprendre, la partition qu’elle est amenée à jouer d’ici peu, sera donc la dernière. Face au public, devant un micro, à la tribune de l’estrade de la Maison de l’Entreprise de la Nièvre et de l’Yonne qui accueille en son sein les antennes départementales de l’UIMM et du MEDEF, entre autres.

Mettant en exergue le fonctionnement harmonieux, efficace et reconnu de tous, entre les acteurs économiques qui se côtoient au sein de la Maison de l’Entreprise, Emmanuèle BONNEAU espère que son successeur – à date, il n’est pas encore désigné – poursuive la noble tâche qui était la sienne. Celle d’apporter une réelle dynamique au mouvement patronal icaunais.

 

Un MEDEF au service des entrepreneurs…

 

En terme clair, l’hyménée est resplendissant entre l’UIMM (Union des Industries de la Métallurgie) et le MEDEF.

« Je vais d’ailleurs en rester là sur le sujet, glissera l’oratrice avec un petit sourire, je ne voudrais pas que mes propos prennent la forme d’un testament ! ».

Fière du travail qui a été accompli au cours de ces quatre dernières années, l’entrepreneuse ne manquera pas de saluer les équipes.

« Elles ont œuvré en faveur d’un MEDEF de service, d’un MEDEF au service, d’un MEDEF attentif aux besoins de ses adhérents et qui s’est rendu indispensable dans le microcosme économique icaunais… ».

Un seul regret fut exprimé par la dame : ne pas avoir su trouver le temps nécessaire pour faire davantage encore !

 

 

La moitié du ciel est soutenue par les femmes !

 

Puis, se référant à la plume poétique de Jean COCTEAU, Emmanuèle BONNEAU revient sur cet aspect des regrets, « dans la vie, on ne doit regretter ce que l’on a pas fait ! ».  

L’interlocutrice aborda ensuite l’élection du président national du MEDEF, incarné par Patrick MARTIN. « Moi, précisa-t-elle un brin espiègle, je n’ai jamais caché le petit faible pour la candidature de Dominique CARLAC’H, éliminée de la course à la présidence. Nous avons pu tisser des liens d’une grande richesse avec elle depuis plusieurs années : dois-je le rappeler elle est la marraine de notre club Femmes du MEDEF 89 depuis le 07 septembre dernier… ».

Ce club fait preuve d’un beau dynamisme, à la grande joie de la présidente. « Il nous faut désormais l’étoffer ! ».

Féminine, Emmanuèle BONNEAU tressa des lauriers à ces cheffes d’entreprises et entrepreneuses qui « apportent un vent nouveau tant au MEDEF qu’à l’économie », voire de la fraîcheur dans le monde des affaires. Et de se référer à un auteur chinois qui écrivit jadis que « les femmes soutenaient la moitié du ciel… ».

 

De LINDBERGH à BAUDELAIRE : et poète avec ça !

 

Une allusion à peine voilée au fait qu’elles devraient porter la moitié des entreprises. De surcroît, adhérentes au MEDEF ! Un syndicat patronal qui devrait se retrouver en première ligne dans les négociations nationales interprofessionnelles pour faire valoir et défendre les intérêts des entreprises.

Une légitimité due en partie aux antennes territoriales, au plus près du terrain. Grâce à un élan qui n’est pourtant pas acquis et qui est essentiel de cultiver chaque jour.

« Plongeons dans l’inconnu de 2024 avec force et détermination, nous y trouverons les réponses, conclut avec sagesse une Emmanuèle BONNEAU qui quittera le plateau sous une salve d’applaudissements en citant une dernière fois les écrits de Charles LINDBERGH et de Charles BAUDELAIRE. Et poète avec ça !

 

Thierry BRET

 

 


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Faire avancer l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes tout en montrant que d’autres métiers sont possibles par l’exemple : c’est l’objectif de l’association régionale « Femmes Egalité Emploi » (FETE), au travers d’actions pérennes comme le Carrefour des Carrières au Féminin de l’Yonne, dont la 26ème édition s’est tenue avec succès à Appoigny. Les allées de l’Espace culturel n’ont pas désempli de la matinée. Il y avait parfois de « l’embouteillage au carrefour » devant certains stands. A l’image de celui de la gendarmerie nationale, toujours très prisé des jeunes en quête d’avenir professionnel…

 

APPOIGNY : Barmaid, opticienne, tractoriste, soudeuse, notaire, grutière, commissaire aux comptes… Le champ des possibles s’est élargi au fil des années et tous ces métiers sont désormais accessibles au public féminin. Autant d’exemples de réussite aussi, à travers les témoignages de la soixantaine de professionnelles, présentes à Appoigny, qui ont toutes pour dénominateur commun, la passion de ce qu’elles font au quotidien.

Si le travail en viticulture s’est beaucoup féminisé ces dernières années, notamment en ce qui concerne la taille de la vigne, qui compte près de 40 % de femmes dans ses effectifs, le métier de tractoriste l’est encore beaucoup moins. Mais la passion et la volonté aidant, Lydia a su s’affranchir des obstacles et travaille aujourd’hui en qualité de chef d’équipe sur un domaine du Chablisien. Obligée de lutter parfois pour s’imposer : « j’ai eu des personnes en intérim qui ne m’acceptaient pas parce que j’étais une femme estimant qu’en tant que telle, je n’avais pas à donner d’ordres ! ».

Si le métier reste physique, la technique a su faire évoluer les outils pour l’adapter au plus grand nombre. Lydia voit même dans le fait d’être une femme, un atout supplémentaire recherché par nombre de domaines viticoles : « peut-être sommes-nous plus minutieuses que certains hommes, moins « brut de décoffrage » ! (Rires).

 

 

Sexisme et machisme ne sont pas morts !

 

Si le notariat a longtemps été l’apanage de la gent masculine, il s’est fortement féminisé ces vingt dernières années, au point que 60 % des études icaunaises sont désormais tenues par une notaire. Un chiffre dont s’amuse celle qui débuta dans le métier il y a une dizaine d’années, mais à qui la déontologie interdit de préciser son nom, pour éviter toute forme de publicité : « il faudra peut-être un jour inventer un Carrefour des carrières au masculin, de sorte de faire revenir un peu plus d’hommes dans la profession… ». Elle aussi voit le fait d’être une femme comme un atout professionnel : « plus de rigueur, plus de mémoire, plus d’ordre… Il y a des hommes qui peuvent aussi en avoir, mais ce n’est pas la majorité de l’espèce ! ». (Rires).

Autre vocation, autre métier, celui de barmaid, jusque-là peu féminisé reconnaît dans un sourire Andréa dont la détermination lui a permis de s’imposer en dépit des préjugés : « il faut savoir se faire respecter face à cette forme de sexisme, pas forcément malveillant, mais que l’on ressent au quotidien, avec l’image de la petite minette derrière son bar… ».

Un stéréotype devenu un atout : « il est plus rassurant pour une femme dans un bar, de s’adresser à son homologue ». A ses côtés, Mélanie, entrée toute jeune dans l’univers de la cuisine, a dû elle aussi batailler pour trouver sa place : « c’était normal à l’époque pour une femme d’être dans sa cuisine à la maison, mais pas dans un restaurant ».

Avec la difficulté supplémentaire de commander à seulement 22 ans une brigade : « cela a été très dur au début, les collègues ne me prenaient pas au sérieux, avec ce double handicap d’être à la fois jeune et une femme. Il faut aussi supporter beaucoup de petites réflexions au quotidien. J’ai fait au total trois entreprises et de ce que j’ai pu voir, considère que le sexisme et le machisme ne sont pas morts… ».

 

 

La tactique féminine des gendarmes dans le recrutement !

 

S’il est un domaine où l’on ne s’attend pas forcément à rencontrer une femme, c’est bien celui des grues et engins de chantier ! Ancienne aide-soignante, Hatika CHEMLALI a dû, suite à un accident de travail, se reconvertir à l’âge de 42 ans. Fascinée depuis toujours par cet univers ô combien masculin, c’est tout naturellement qu’elle s’est dirigée vers le métier de grutière, où l’accueil, passée la première surprise, fut des meilleurs : « contrairement à ce que l’on pense, les hommes ne sont pas forcément des brutes. J’ai trouvé en arrivant, beaucoup de bienveillance, d’esprit d’équipe, que je n’avais jamais rencontrés du côté des femmes, dans le monde du soin et de la santé… ».

Un métier physique bien sûr, reconnaît-elle d’un sourire, mais sa détermination est sans faille et la passion aidant, elle pourrait bien faire des émules, à voir le nombre de visiteuses faisant une halte à son stand. Autre métier plébiscité, celui de gendarme, avec comme chaque année, un stand pris d’assaut tout au long de la matinée. Référente recrutement en poste à Joigny, la cheffe REVENU ne s’en étonne même plus : « depuis une dizaine d’années, le métier s’est énormément féminisé. A Joigny, nous sommes neuf femmes pour vingt gendarmes et avant, à Migennes, près du tiers des effectifs… ».

Il n’en a pas toujours été de même : « il est vrai qu’il y a treize ans, quand je suis arrivé dans le métier, c’était beaucoup plus compliqué, c’était la vieille époque, la vieille gendarmerie… ». (Rires).

Là encore, une vie professionnelle guidée par une passion apparue lorsqu’elle était encore une enfant : « à douze ans, je savais déjà vouloir devenir gendarme, mais surtout pas policière car je ne voulais pas travailler en ville, mais être plus en contact avec la population … ».

Un sens de l’humain qui n’est pas sans effet sur le quotidien : « même si c’est avant tout une question de personne et pas de sexe, le fait d’être une femme apporte auprès du public un côté un peu plus rassurant… ».


Chargée de mission et coordonnatrice de l’association FETE, Claire DUCHET a salué à l’heure des discours, les intervenantes présentes tout au long de la matinée : « grâce à votre parcours, à votre expérience, vous avez pu faire comprendre aux jeunes filles, aux femmes, que toutes les voies sont possibles, qu’il faut qu’elles s’ouvrent vers d’autres choix que ceux vers lesquels elles se dirigent massivement… ».

Un travail de longue haleine à mener le plus en amont possible ponctue la sénatrice Dominique VERIEN, présidente de la Délégation aux Droits des femmes « des actions sont menées en ce sens au sein des collèges mais il est parfois déjà trop tard, quand on sait que la rupture en maths entre filles et garçons commence à se dessiner entre le CP et le CE1… ».

 

Dominique BERNERD

 

 


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Premier rendez-vous de l’année pour le club des Positives Entreprises, porté par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne. Une immersion insolite au cœur du vignoble de Chablis, chez l’une des…brasseries les plus en vogue du moment : MADDAM ! Une 41ème rencontre, goûteuse et savoureuse tant dans la chope de bière que dans les explications fournies par Alexis MADELIN, maître des lieux qui a conquis cet auditoire d’entrepreneurs…

 

CHABLIS : Le principe des Positives Entreprises est vertueux. Chaque mois, les décideurs économiques de notre département, guidés par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, ont la faculté de pouvoir s’immerger dans l’antre d’une TPE/PME et grande industrie de notre paysage. Un concept qui dure déjà depuis une quarantaine de rendez-vous !

Le quarante-et-unième s’est donc déroulé en fin de semaine dernière. Du côté de Chablis, le temple du vin reconnu aux quatre coins de la planète. Curieusement, c’est dans une brasserie qu’eurent lieu ces échanges. Comme quoi, au pays des Saint-Vincent, il n’y a pas que le vin qui compte : la bière a aussi sa place !

Fines, aromatiques, blondes ou brunes, ambrées, MADDAM a su petit à petit se faire une place dans ce nouveau monde de la bière locale où une quinzaine de références existe désormais dans l’Yonne.

Depuis 2017, date de son ouverture initiée par les deux cousins, Alexis et Vianney MADELIN – un patronyme reconnu dans le milieu viticole ! -, la brasserie tourne à plein régime, en élaborant des bières artisanales et biologiques dans la plus pure des traditions. On ne compte plus le nombre de prix, parfois prestigieux, obtenus depuis et qui récompensent la qualité indéniable du produit.

Lors de la visite, segmentée en deux groupes – plus de quarante personnes prirent part à cette séance synonyme de retrouvailles 2024 -, Alexis MADELIN apporta moult explications sur le procédé de brassage unique de soixante jours qui garantit un style authentique de bulles délicates et une saveur inimitable.

 

 

 

25 % des produits s’écoulent à l’export mais aussi en Bourgogne

 

Distribuant la production vers la filière des CHR (cafés, hôtels et restaurants), la Brasserie de Chablis – le véritable nom de la société qui commercialise les bières de la marque MADDAM – alimente bon nombre de circuits dans l’Hexagone mais aussi à l’export. Cible prioritaire, aujourd’hui, pour la PME icaunaise : Paris et l’Ile-de-France mais aussi bon nombre de grossistes qui interviennent dans l’Hexagone.

« Nous avons choisi de nous calquer au circuit vin pour distribuer de la bière plutôt que de s’engouffrer dans le circuit bière, explique Alexis MADELIN, très pédagogue dans ses explications.

Quant à l’export (25 % des ventes de l’entreprise), l’inverse s’applique avec une dizaine de pays européens et asiatiques. Les bières MADDAM se dégustent dans des contrées aussi éloignées que l’Australie et le Canada. Mais, la crise sanitaire est passée par là, ralentissant les velléités de l’exportation. Du moins, pour le moment !

25 % des produits s’écoulent en Bourgogne, dans un rayon de proximité autour de la brasserie. La GMS est bien présente dans la stratégie marketing de la société.

« On a créé une autre gamme spécifique, souligne le chef d’entreprise, pour différencier les canaux de distribution… ».

1 300 hectolitres de bières sont ainsi commercialisés chaque année en 75 cl, 33 cl, voire en fûts selon les contenants. Aujourd’hui, il existe plus de 2 500 brasseries dans l’Hexagone. Un gros boom dans les années 2010, mais la tendance se stabilise avec des fermetures de sociétés qui sont à observer.

Une visite qui ne laissera pas sur la soif pour les membres des Positives Entreprises, encadrés par Thierry CADEVILLE, président de la CCI 89, Jérôme MAYEL, directeur de la chambre consulaire départementale et Christine JAN, en parfaite maîtresse de cérémonie de la manifestation.

 

Thierry BRET

 

 


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L’an passé, le succès fut au rendez-vous. Une première qui en appelait forcément d’autres pour les organisateurs ! Cette année, on espère dépasser les 500 visiteurs du côté d’AUXERREXPO et les trente intervenants officiels qui auront su distiller tout leur savoir sur le monde de la crypto-monnaie. Un univers que l’on imagine en pleine évolution avec le temps. CRYPTO XR donnera ce week-end toutes les clés d’accès à sa compréhension…

 

AUXERRE : La barre sera plus haute. Logique, en cette période préolympique ? Deux journées de programmation tous azimuts, plus de cinquante spécialistes de la question dont de véritables références, plus de quinze ateliers, tous réunis sur un espace de quatre mille mètres carrés afin d’y accueillir une audience diverse et passionnée : le Salon CRYPTO XR devrait réserver son lot de surprises à toutes celles et à tous ceux qui sont interpellés par l’écosystème WEB3 hexagonal. Sans omettre les conférences, devant éclairer les neurones !

Parmi celles-ci, quelques-unes méritent d’être citées afin de mettre l’eau à la bouche des aficionados de la spécialité numérique : « dynamique française et européenne de la régulation », « importance de la formation dans la maîtrise de l’écosystème WEB 3 ».

Nouveauté notoire, afin de favoriser l’inclusion féminine dans cet univers encore trop masculinisé, les organisateurs de ce salon unique en France (et de facto accueilli à Auxerre !) feront la part à la gent féminine en ouvrant gracieusement les portes de cet évènement ; une table ronde leur sera même consacrée : « WEB3 au féminin : comment briser les barrières et renforcer la présence féminine ? ». Un échange animé par des femmes leaders en ce domaine !

De nombreuses personnalités influentes des milieux économiques et financiers ont confirmé leur présence à cette version newlook du CRYPTO XR : citons Owen SIMONIN, entrepreneur en blockchain et crypto-monnaie, David YU, co-fondateur et PDG de la société VEVE ECOMI, Thibaut BOUTROU, co-fondateur de MERIA ou Ulysse PARTOUCHE, fondateur de PARTOUCHE Multiverse. Djibril CISSE, l’emblématique footballeur de l’AJ Auxerre (entre autres) devrait faire une apparition remarquée tout comme le spécialiste de la crypto-monnaie sur « You Tube », Monsieur TK !

 

 

En savoir plus :

 

CRYPTO XR

Du 25 au 27 janvier 2024 à AUXERREXPO

Sur la journée

 

Thierry BRET

 

 

 


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