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Le nom de sa société, elle le doit à sa grand-mère, Mireille. Du côté de sa maman. Une contraction réfléchie du mot qui lui a permis de créer « MEILLE ». Un prénom qu’elle porte aussi en seconde position après celui, nettement plus dans le vent, de Louanne. Très tendance dans sa version musicale, comme chacun le sait ! On ne peut d’ailleurs souhaiter que la même réussite à ce petit bout de fille souriante et dynamique, portant fièrement ses 26 printemps, qui s’est lancée en 2023 dans une folle aventure : le stylisme et la mode. En développant sa propre gamme de vêtements.

 

SAINT-GEORGES-SUR-BAULCHE : Elle a de la suite dans les idées, la demoiselle ! Et surtout, elle sait parfaitement où elle va. Et là où elle veut aller par rapport à l’avenir professionnel qui se présente à elle. Une « gamine » qui veut en découdre avec les codes traditionnels du monde du travail où la jeunesse n’aurait pas trop sa place pour entreprendre. Qu’on se le dise mais Louanne CHENET a bien les pieds sur terre. Même si elle s’aventure dans un univers, celui du stylisme et de la mode, parfois parsemé d’embûches, qui peut l’amener à vivre ses rêves ; tout éveillée !

 

 

A 26 ans, la jeune femme est déjà à la tête de son entreprise, baptisée sobrement « MEILLE ». Un jeu de mot obtenu avec le prénom « Mireille ». Celui de sa grand-mère maternelle, qu’elle porte en seconde identification. Réalisant son chiffre d’affaires uniquement par l’intermédiaire du numérique et de sa référence sacralisée : Internet. Ses clientes, de tout horizon et de tout âge, vivent à Paris. Ou ailleurs, selon les cas. Paris où elle se rend très régulièrement pour y accroître son business lors d’opérations de vente éphémères au Carreau du Temple, dans le troisième arrondissement.

2024 pourrait correspondre à une extension de sa zone d’influence. Côté vente et distribution, il va de soi ! Car, elle le reconnaît bien volontiers ; pour l’heure la souriante Louanne n’est encore guère connue dans le landerneau originel. Pourtant, elle est une adepte des circuits courts et de la production locale. Déjà, les tissus avec lesquels elle réalise toute une garde-robe, y compris les accessoires, proviennent de matières « upcyclées ». Sa marque de fabrique, en quelque sorte, pour celle qui ne désire pas encombrer davantage la planète.

 

 

« Le must, pour moi, dit-elle, c’est de réaliser mes confections avec des produits made in France, tout en étant proche de Paris... ».

Concevoir librement ses « vêtements de la bonne humeur », comme elle se plaît à dire. Sa gamme chromatique n’engendre pas la mélancolie et se veut éclectique selon les tissus travaillés ; elle aime jouer avec les formes, les volumes, la longueur, les jeux de texture, les carreaux, les rayures, offrant ainsi une palette complète et insolite de ses propres visions géométriques.

Petite, elle aimait s’habiller toute seule, comme une grande. Sa passion créative la gagne alors qu’elle est encore lycéenne. S’arcboutant sur des pièces uniques dont elle seule se vêtirait. Des pièces issues de son imaginaire fécond et créatif. C’est d’ailleurs cette quête de l’unicité qui la pousse dans ses ultimes retranchements : créer sa propre marque de produits. Scolairement parlant, elle évolue dans le milieu du stylisme où elle fait ses gammes en emmagasinant techniques et savoirs, Le modélisme lui convient aussi. Grand bien lui fasse ! L’expérience s’accumule au détour des différents univers de la mode qu’elle côtoie dans la capitale. Elle s’essaie même dans l’image et le shooting. On connaît la suite et le résultat.

Le monde de l’enfant et de l’homme l’interpelle aussi. Pour laisser libre cours à son imaginaire débordant de réalisations à venir…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Décor dans son jus et plats en sauce ! C'est l'équation gagnante de ces institutions bourgeoises ou populaires, mais toujours sincères : bienvenue au « Bon Georges », au cœur de la capitale hexagonale, dans le IXème arrondissement, surnommé le « quartier des assurances » ! Meilleurs vœux gourmands pour cette année nouvelle qui débute…

 

PARIS : Direction « Paname » ! C’est si facile d'accès en chemin de fer, comme il se disait antan ! Pas à dire, mais « Le Bon Georges » possède une vraie âme. Les tarifs, malgré une formule-déjeuner à 26 euros, sont plutôt parisiens. Mais, les produits servis sont d'une qualité extrême. Autour de nous, c'est le monde reconstitué en quelque sorte, avec des touristes venus du Brésil, des Etats-Unis ou encore de la plus proche Espagne ! Tous lorgnent sur les œufs mayo qui sont proposés à 9 euros à l'ardoise.

Quant à la carte des vins, elle est opulente et parfois inattendue. Comme avec ce Côte d'Auvergne de Boudes (un vin de Boudes, rien ne boude comme l'atteste le dicton local) qui constitue une agréable surprise en bouche. Mais, aussi un bon rapport qualité-prix.

 

 

 

Le pavé de foie de veau : le classique de la maison

 


L'apéritif est servi sans aucun accompagnement à grignoter. Ce qui au regard des tarifs pratiqués semble un geste aussi peu commercial que mesquin. Cela n'honore pas vraiment nos restaurateurs. L'assiette d'œuf poché arrive impeccablement chaude. Cette entrée est très généreusement servie, entre gros lardons et champignons, et l'on se régale en ce jour humide de fin d'automne. Le genre de plat qui revigore le convive, si besoin était.

En plat, l'un des classiques de la maison, c'est le pavé de foie de veau, agrémenté de sa purée, bien dressée dans de jolies assiettes, qui changent des trop sempiternelles assiettes blanchâtres. C’est un plat qui donne envie d'y planter généreusement sa fourchette. Ici les cuisiniers proposent aussi du gibier en saison (ça aussi, cela se raréfie, dommage car c'est plutôt bon, si l'on est amateur !).

 

 

 

 

Vive les légumes de saison comme les choux de Bruxelles

 

Dans cette maison où l'on mijote, rissole et rôtit, le pavé de biche n'échappe pas à la règle. Il est servi avec une sauce onctueuse, un rien acide (cela facilite la digestion) et accompagné de légumes de saison, dont châtaignes et verdoyants choux de Bruxelles (délicieux légume de saison, un brin laissé pour compte désormais...).

On aimerait en saison, goûter dans cette bonne table, le lièvre à la royale, sûrement LE mets le plus abouti de la Gastronomie française. Ce sera pour l'automne prochain.

En dessert, le marron a droit de cité. Il est à côté du plus classique moelleux au chocolat, qui ici, cohabite avec le dessert emblématique et reconnu de la maison : la mousse au chocolat.

La prune de Souillac (alcool fin et délicat) accompagne ici le café, comme un réconfort ultime,  d'avant la pluie extérieure ! Finalement,  « Le Bon Georges », c'est un « p'tit » coin de la France gourmande, ni plus, ni moins...

 

 

 

En savoir plus

 

Les - : c'est un peu mesquin de ne rien offrir avec l'apéritif ! Une rondelle de saucisson, une gougère, que sais-je encore ? Et surtout, que l'on ne nous évoque pas un surcoût engendré...

Les + : la savoureuse cuisine est emmenée par un service aimable et professionnel. Bravo pour la maîtrise de l'anglais : nos touristes étrangers apprécient.

 

 

Contact :

 

Le Bon Georges

45, rue Saint-Georges

75009 PARIS

Ouverture 7/7, terrasse aux beaux jours

Tel : 01.48.78.40.30.

La formule-déjeuner est proposée à 26 euros.

Métro : station Saint-Georges (ligne 12).

 

Gauthier PAJONA

 

 


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Question à se poser en préambule de cet entretien : est-il heureux le président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne ? En tout cas, il le semble, affichant un large sourire au moment d’immortaliser cette rencontre sur le smartphone, faisant office d’appareil photographique ! Lui qui cumule plusieurs mandats à responsabilités, entre la chambre consulaire et la CAPEB, la Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment. Entretien à bâtons rompus…

 

AUGY : Tuant le temps comme il le peut, installé à l’une des tables de l’Auberge locale (d’agréable facture au niveau de l’assiette), en attendant que l’autre convive – votre serviteur – n’arrive sur le lieu de ce rendez-vous déjeuner, il vapote tranquille, Monsieur le président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat de l’Yonne.

C’est donc là, le premier scoop de cet entretien médiatique : Jean-Pierre RICHARD a finalement troqué sa sempiternelle cigarette pour ce nouvel auxiliaire mécanique, envoyant de la fumée dans l’air qui lui permet de se détendre sans trop regarder sa montre !

La poignée de main est ferme, le regard est malicieux. L’entrepreneur icaunais sait accueillir ses invités en leur proposant l’apéritif d’usage ! Histoire de réchauffer un brin l’atmosphère ?

Celle-ci est bonne, par ailleurs. Le patron de la CAPEB 89 attaque bille en tête ses sujets de prédilection, avec le dynamisme qui lui est coutumier : « la « bataille » de la représentativité est satisfaisante, avec plus de 600 adhérents au terme de cette année 2023 ! ».

A la question qui lui est posée ensuite (« mais comment expliquer un tel résultat ? »), l’interlocuteur de répondre tout de go : « nous maintenons nos effectifs cette année encore parce que nous savons fidéliser nos adhérents… ». Via les services rendus par l’organisme, doit-il ajouter.

 

Un excellent cru que cette année 2023 pour la CAPEB 89

 

En fait de progression, il s’agit plutôt d’un maintien du nombre des adhésions. La barre des six cents signataires a été effacée cette année encore, ce qui n’est pas si mal vu du contexte économique actuel.

A l’analyse de ces renouvellements, Jean-Pierre RICHARD se dit très surpris des adhésions des jeunes entrepreneurs de la filière du bâtiment. Un état de fait qu’il qualifie de très positif. Peut-être pour en obtenir davantage, la CAPEB de l’Yonne devrait-elle instaurer un système de parrainage à la France Loisirs ? « Avec la cafetière offerte en prime !, plaisante-t-il facétieux.

Lorsqu’il s’agit de commenter le bilan de l’année écoulée, le président de la confédération artisanale dit que « la CAPEB 89 s’en sort très bien au bout du compte ».

 

 

L’organisme propose des formations à ses membres (exemple : dans le domaine du travail sur échafaudage), intéressant ainsi les entrepreneurs qui ne connaissent pas toujours les subtilités administratives et techniques qui régissent l’emploi de ces matériels.

« Vis-à-vis de la formation, notre credo est simple, se plaît à dire Jean-Pierre RICHARD, le plus de formations, c’est le plus de compétences, de concurrence, mais aussi de liberté pour nos adhérents… ».

Quant à la filière, elle ne se comporte pas trop mal pour l’interviewé. « Dans l’Yonne, le secteur du bâtiment se situe plutôt bien. C’est encourageant…. ».

 

Surtout que le gouvernement n’attaque pas les petits artisans…

 

Une source de motivation supplémentaire pour l’homme à responsabilité. A contrario, JPR se veut très critique sur les intentions du gouvernement qui travaille à la réforme de la rénovation énergétique. Un avertissement sans frais si l’exécutif venait à toucher au « petit » artisanat. « Si la gouvernance souhaite que l’on ne vote pas pour elle, il vaudrait mieux qu’elle s’abstienne de viser les petits artisans avec cette réforme, lâche-t-il, le sourire en moins.

Reste un autre item qui fait toujours figure d’écharde douloureuse dans le pied pour les professionnels de ce secteur : les autoentrepreneurs. « Il faut les convaincre de changer de statuts juridiques au bout de dix-huit à vingt-quatre mois pour se transformer en EURL, SASU ou SARL, souligne-t-il, sinon, gare à la retraite pour celles et ceux qui persistent en ce sens… ».

Perfectionniste dans l’âme, Jean-Pierre RICHARD n’en oubliera pas de signaler le futur rendez-vous de l’assemblée générale 2024 (une date qui n’a pas encore été fixée sur le mois de juin) où les adhérents auront la faculté de poser toutes leurs questions à différentes personnalités politiques, invitées à les rencontrer. L’an passé, la sénatrice Dominique VERIEN, la conseillère départementale Sonia PATOURET et le président de l’Association des Maires de France 89, Mahfoud AOMAR s’étaient rompus à l’exercice en y consacrant du temps, sans l’avoir regretté. A qui le tour cette année ?

 

Thierry BRET

 

 


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Il va nous manquer. Son indéfectible sourire. Sa gentillesse, aussi. Celles et ceux qui le côtoyaient lors de rendez-vous ponctuels organisés avec la presse dans ce lieu magique ayant pour vocation de ressusciter l’esprit de ces Gaulois si réfractaires à l’idée de se faire envahir par Jules CESAR (MuséoParc) ont eu beaucoup de peine à l’annonce de la terrible nouvelle. Triste manière de débuter l’année. Sébastien PITOIZET, diplômé du Master EUROMEDIAS de l’Université de Bourgogne à Dijon, et pro de l’image a rejoint Vercingétorix et les fiers combattants d’Alésia, de manière si brutale que l’on ne peut qu’en pleurer…

 

ALISE-SAINTE-REINE : La date restera gravée dans les mémoires. Celle du 04 janvier 2024. Alors que les mails qui s’amoncellent sur les ordinateurs ne contiennent que des messages de vœux et de souhaits éclectiques auxquels il faudra répondre, un communiqué de presse, émanant de Christine MULLER-WILLE, la responsable des relations presse du « MuséoParc » d’Alésia capte l’intérêt. Il y est question d’hommage de toute l’équipe à…Sébastien PITOIZET. Un joli portrait de ce dernier, réalisé par Sonia BLANC, ornemente le document. Etrange. En effet, c’est plutôt Sébastien qui propose d’ordinaire des clichés. Notamment ceux de ce site touristique très prisé des passionnés d’histoire, de Romains, de Gaulois. Depuis 2011, déjà. Epoque à laquelle le garçon a souhaité rejoindre la structure de Côte d’Or qui a aujourd’hui le vent en poupe en termes de fréquentation et d’attractivité. Lui, le natif de l’Auxois.

Sébastien PITOIZET nous a donc quittés. De manière soudaine, juste au sortir des fêtes. C’est brutal. A 35 ans et dans un tragique accident de la circulation. Président du site touristique de Côte d’Or, Marc FROT n’a pas de mots. Laurent BOURDEREAU, directeur des lieux, non plus. Toute l’équipe de ce musée pas comme les autres qui draine petits et grands dans l’univers de nos racines hexagonales est consternée.

 

 

Une récompense en 2018 pour une vidéo…

 

Chargé de communication et webmaster, le garçon a travaillé aux côtés de sa responsable, Stéphanie FOCE, à l’évolution de la stratégie de communication de cet établissement depuis son ouverture. Un collègue, forcément très apprécié de tous. Cool dans son attitude, amateur de rock option métal, d’histoire (nécessairement dans un tel lieu), Sébastien prenait à cœur chacun des projets sur lesquels il intervenait. Une implication qui fut récompensée en 2018 en remportant le trophée « Cerclecom » de la meilleure vidéo diffusée sur les réseaux sociaux avec l’équipe de communication du MuséoParc d’Alésia.

Soucieux de transmettre son savoir-faire et de rester au plus proche des évolutions de son métier, Sébastien PITOIZET assurait des cours au sein du Master Communication numérique des organisations de l’Université de Bourgogne à Dijon. Douze années de son existence à accueillir stagiaires et apprentis au sein du musée côte d’orien, au service de la notoriété du site.

C’est sûr : son sourire et sa faconde nous manqueront. Son travail photographique, aussi. Une année 2024 qui ne pouvait pas aussi mal débuter…

 

Thierry BRET

 


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Vu le temps glacial et le froid qui mordent cruellement les joues, ils ne chôment pas les salariés de BERNER ! Trop affairés à apporter la couche de peinture nécessaire pour embellir les petits cabanons, ceux qui ont pour pensionnaires une cohorte de chats domestiques qui observe avec curiosité toute cette agitation humaine. « Le Secours Félin », refuge perdu au milieu de nulle part mais havre de paix royale pour les animaux en attente de maîtres, est le grand bénéficiaire de cette opération altruiste concoctée par l’entreprise allemande implantée à Saint-Julien-du-Sault. Le Noël des chats, en somme ?!

 

CHAUMOT : Les doigts sont gourds, et il n’est pas si simple d’immortaliser via l’appareil photographique tenu tant bien que mal dans les mains gelées le chantier en cours, assuré par les collaborateurs volontaristes du groupe BERNER ! Un premier cabanon présente une flamboyante physionomie rouge qui dénote avec le décorum ambiant du refuge, géré par l’association « Le Secours Félin ». Un second où s’active l’équipe en place se teinte de vert. De manière progressive, à grands coups de pinceaux et de rouleaux. Que du matériel et des produits à l’estampille de BERNER, c’est logique ! D’ailleurs, on est jamais aussi bien servis que par soi-même, non ?

Depuis 2017, c’est la même en couleur ! Avec un plaisir identique et une bonne humeur communicative entre les membres de cette opération qui apprennent aussi à mieux se connaître. En matière de cohésion de groupe, ce dont rêvent tous les dirigeants d’entreprise et spécialistes des ressources humaines, c’est plutôt réussi. Vêtus de leurs combinaisons blanches qui se tâchent petit à petit de peinture verte, les acteurs de cette animation à vocation sociétale et environnementale se détendent tout en effectuant leur labeur. On rigole, on plaisante, on s’entraide, on mutualise les efforts, on abat la carte de la solidarité : bref, on est dans la fierté de réaliser quelque chose de bien !

 

Des travaux tous azimuts pour le confort des chats

 

Aujourd’hui, et malgré ce froid de canard (cela aurait plu aux félins maintenus dans leurs enclos d’en avoir quelques-uns avec eux, histoire de s’amuser !), une quinzaine de salariés sont à pied d’œuvre. Certains verdissent l’extérieur de la cabane – une chatterie – de leurs coups de pinceaux experts ; d’autres sont à l’intérieur afin d’isoler au maximum le toit du petit bâtiment, chauffé d’ordinaire. Les chats du refuge, même s’ils ont été abandonnés ou en quête de maîtres gentils avec eux, méritent bien un peu de chaleur ambiante. Avant de recevoir celle des humains.

 

 

Bénévoles, les participants de cette belle opération digne d’un conte animalier de Noël ont réalisé lors de ces derniers jours des travaux de ponçage, d’isolation thermique, de peinture, d’aménagement extérieur en créant des espaces de suspension et de jeux pour leurs amis à quatre pattes. De velours, de surcroît !

 

 

Un don de 6 000 euros à toutes fins utiles

 

Outre le geste symbolique – celui de retrousser les manches via ses salariés pour améliorer le site -, BERNER s’est également mobilisé en proposant le don de matériel indispensable à la réalisation des travaux et à la redistribution d’une collecte comprenant nourriture et litière. Collecte qui fut organisée au siège social de Saint-Julien-du-Sault en amont.

La cerise sur le gâteau, elle se présentait sous la forme d’un fac-similé de chèque en version grand format pour annoter la somme offerte par le spécialiste de la distribution de matériels et outillages industriels : soit la coquette enveloppe de 6 000 euros ! Et pour parodier le célébrissime film de saison du SPLENDID, une note d'humour de circonstance : « Joyeux Noël, Félix ! ». Le chat, bien entendu !

 

Thierry BRET

 

 


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