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Pas tendre le Rassemblement national après l’adoption du Plan d’accélération de l’investissement régional voté par la Région Bourgogne Franche-Comté ce vendredi 09 octobre ! Le président du groupe RN Julien ODOUL n’aura pas tardé à réagir en rejetant d’un revers de la main les cent-deux mesures proposées par l’exécutif en faveur de la relance économique. Un recyclage de projets anciens sans inspiration… d’après lui.

DIJON (Côte d’Or) : Au lendemain du vote positif en faveur de la déclinaison du Plan de relance économique pour la Bourgogne Franche-Comté, Julien ODOUL a décidé de remettre les pendules à l’heure, en montrant son total désaveu à cette initiative défendue par la présidente de la Région Marie-Guite DUFAY.

Selon le leader politique régional, « aucune réponse n’a été apportée parmi les cent-deux mesures » contenues dans ce plan, jugées à ses yeux comme « idéologiques, électoralistes, hors sol et hors sujet » !

Des qualificatifs incisifs qui prouvent que le porte-étendard du Rassemblement national n’a pas été convaincu par l’ensemble de ces dispositions.

Bien au contraire, l’élu de l’Yonne critique l’affectation des 435 millions d’euros mis sur la table jusqu’en 2023. Il s’offusque à l’idée que 294 millions d’euros ne soient seulement accordés à de nouvelles mesures s’avérant plus ambitieuses que les anciens projets qui remontent à la surface.

« Plus de 60 % de cette enveloppe sont consacrés à l’idéologie verte et à la lutte contre la déforestation en Amazonie, précise-t-il dans un communiqué de presse, le reste n’est que du recyclage d’idées piteuses et anciennes… ».

 

 

Quid du plan de sauvetage pour aider les victimes de la crise ?

 

Que demandait l’élu bleu marine exactement ? Le mentor du groupe RN aurait préféré la mise en exergue d’un plan d’investissement qui soit à la fois protecteur des emplois, des salariés et des entreprises. Un programme, davantage orienté vers le local afin de défendre les agriculteurs dans la tourmente et les industriels à la peine côté carnet de commandes.

Bref, c’est un véritable plan de sauvetage à vocation sociale pour sortir hors de l’eau toutes les victimes de cette crise sanitaire sans précédent que souhaitait voir approuver le représentant de l’opposition.

Désavouant le plan de relance en l’état, Julien ODOUL observe que les réponses n’ont pas été apportées par le pouvoir régional. Selon lui, rien n’est fait pour la santé avec seulement cinq millions d’euros injectés pour faire face à la crise. L’emploi et la formation sont les grands oubliés de ce programme à forte connotation écologique (« une écologie érigée en religion obligatoire et punitive ! ») alors que les plans sociaux ne cessent de s’accumuler partout dans la région.

S’insurgeant que « seules quelques miettes ont été jetées à la face des agriculteurs pour les contenter », le chef de file RN s’interroge sur les mesures mises en œuvre pour les familles et la lutte contre la précarité.

Reste l’épineux sujet de l’environnement. « Aucune réponse concrète n’a été donnée pour soutenir la sauvegarde de la nature et le tourisme impactés par la poursuite de la politique d’implantation d’éoliennes qui bétonne nos sols, défigure nos paysages et dégrade notre patrimoine tout en détruisant la biodiversité… ».

Boutade finale à cette diatribe acerbe contre la politique de l’équipe en place : le seul plan de relance, acceptable aux yeux du responsable du groupe RN, n’est autre que le « plan d’alternance » que l’élu appelle de tous ses vœux en mars 2021 avec l’élection d’une majorité RN ! Bienvenue dans la future campagne électorale qui se profile !

 

 


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Favoriser la reprise de l’activité et préserver la création d’emplois. C’est la réponse sans équivoque apportée par la Région Bourgogne Franche-Comté aux conséquences dommageables de la pandémie virale sur notre territoire. En adoptant un Plan d’accélération de l’investissement régional, l’organe institutionnel entend bien jouer un rôle majeur dans la gestion de cette crise sanitaire. Autour des trois thèmes que sont l’emploi, l’écologie et la solidarité…

DIJON (Côte d’Or) : C’est l’heure du deuxième acte pour la Région Bourgogne Franche-Comté pour relancer favorablement l’activité économique après la première initiative prise au début de la crise. Une réponse qui semble être appropriée à la situation actuelle, complexe et si délicate à appréhender pour des centaines d’entreprises en proie aux doutes et difficultés.    

Doté d’une enveloppe globale de 540 millions d’euros dont 435 millions d’euros de financement régional et d’un reliquat constitué de fonds européens, le Plan d’accélération de l’investissement régional a été adopté lors de la séance plénière ce vendredi 09 octobre dans l’hémicycle du boulevard de la Trémouille.

Après avoir injecté cent millions d’euros au printemps, le pouvoir exécutif de notre contrée démontre ainsi qu’il entend mobiliser tous les moyens financiers disponibles pour participer au rebond de l’économie. Dès à présent, puisque le plan est devenu effectif dès son adoption par les élus, et ce, jusqu’au terme de 2023.

Elaboré à l’issue d’un cycle de concertations avec les différentes filières économiques, les branches professionnelles et les partenaires institutionnels, ce plan traduit la volonté de la présidente Marie-Guite DUFAY de mettre tout en œuvre pour sortir de l’ornière le monde de l’entrepreneuriat de l’abîme.

 

 

Un plan devant générer 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises

 

« Proposer un plan à trois ans aux dimensions ambitieuses afin de soutenir l’activité économique en Bourgogne Franche-Comté est l’une des premières responsabilités de notre collectivité, devait-elle préciser lors de sa prise de parole introductive.

Ce plan s’inscrit dans la droite ligne de l’action nationale déclinée sous le vocable de « France Relance » et des actions mises en exergue au niveau européen.

Articulé en trois éléments (emploi, écologie, territoires et solidarité), l’outil qui devrait permettre de générer deux milliards d’euros de chiffre d’affaires pour les entreprises régionales préconise cent-deux mesures spécifiques. Certaines d’entre elles à hauteur de 30 % existent déjà : leurs financements en seront élargis. Pour les autres, elles ne sont que le reflet de véritables nouveautés.

 

 

La répartition entre les trois axes privilégiés est la suivante : 237 millions d’euros se destineront à l’écologie, 113,5 millions iront vers le volet pur économie et emploi. L’aide attribuée au pôle Territoires et Solidarité s’élèvera à 84,5 millions d’euros.

Précisons que ce plan d’accélération s’adosse au pacte régional en faveur de l’économie de proximité qui a vu le jour en juin dernier. Conçu avec le concours des intercommunalités, il se destine pour les artisans, les commerçants et les entreprises de moins de dix salariés, pour une enveloppe globale de 27 millions d’euros.

 

Une coloration écologique forte insufflée à ce plan…

 

Parmi les mesures qui ont été votées par la Région dans le cadre de ce plan de reconquête économique, environ la moitié (soit 47 sur 102) se rapporte directement à la transition écologique et énergétique. Dans le concret, une enveloppe de 70 millions d’euros est consacrée aux projets de rénovation énergétique. C’est-à-dire ceux qui ont des effets positifs pour le climat, l’emploi et le pouvoir d’achat des ménages.

L’angle pédagogique n’a pas été occulté de cette vision stratégique globale. La présidente Marie-Guite DUFAY désirait promouvoir la formation professionnelle avec l’adaptation des compétences aux besoins émergents : ce sera fait via une dimension sociale forte.

A ce titre, une charte, en cours de négociation avec les structures patronales et les syndicats, pourrait déboucher pour que ces aides régionales aux entreprises soient assorties de contreparties en matière de dialogue social et de sécurisation des emplois.

Face à « des situations que nous n’avions jamais connues […], nous avons su faire face, résister, créer,  collectivement, a tenu à rappeler la présidente. Nous avons aussi beaucoup appris. Aujourd’hui, il nous faut rester très dans l’humilité, attentifs et vigilants ». 

Face à la situation, la Région a décidé d’agir vite en prenant le taureau par les cornes. Une première enveloppe sera débloquée avant le 01er décembre 2020 avec vingt-cinq millions d’euros à la clé. Pas de doute, il n’y a plus une minute à perdre pour sauver le « soldat » économie de ce bourbier dans lequel il s’enlise…

Thierry BRET

 

 


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Ils sont aux sapeurs-pompiers ce que peut être le « GIGN » aux forces de la gendarmerie nationale. Loin d’être des casse-cou aventureux gorgés d’adrénaline au contact du danger et des risques, les membres du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux (GRIMP) effectuent des interventions hautement sécurisés là où les moyens traditionnels des soldats du feu sont inappropriés…

AUXERRE : Les cinéphiles se souviennent certainement du long métrage américain fleurant bon la période de Noël dans lequel évoluait un bien virevoltant personnage, grimé de vert et réfractaire à l’esprit des fêtes : le « Grinch ». C’est le comédien humoristique Jim CARREY et ses célèbres mimiques produites par son visage élastique qui incarnait ce drôle de luron. Un personnage à la limite de l’anti-héros qui n’hésitait pas à gravir la cime des arbres ou le sommet d’un édifice pour prouver au monde entier qu’il existait. Tout en détestant copieusement la fête de la Nativité...

Chez les sapeurs-pompiers du SDIS 89 (Service Départemental d’Incendie et de Secours), point de besoin de faire des pitreries, tout de vert vêtu, à une certaine hauteur pour se rappeler à notre bon souvenir ! Il y a mieux en effet en matière de présence physique. Grâce à un ersatz de « GIGN », comparativement à la gendarmerie nationale, qui s’est spécialisé dans les interventions peu ordinaires et comprenant une évidente prise de risque à surmonter : le « GRIMP » !

Un acronyme qui rappelle que l’on a affaire aux représentants émérites du Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux. Des femmes et des hommes qui possèdent du cran, une sacrée dose de courage et surtout la dextérité dans le moindre des gestes accomplis pour le démontrer lors d’un exercice un peu particulier. Celui-ci fut concocté dans les charpentes séculaires de l’Abbaye Saint-Germain à Auxerre.

 

 

Un exercice de sauvetage dans un théâtre grandeur nature…

 

Le GRIMP en action, mérite amplement le coup d’œil ! C’est ce que devait proposer l’état-major des sapeurs-pompiers de l’Yonne à la presse de notre territoire lors de cette séance de formation de maintien et de perfectionnement des acquis.

Sur le papier, un titre, somme toute très protocolaire et un peu ronflant. Mais sur le théâtre des opérations, ce fut une séance de travail digne de ces « funambules adorateurs de l’altitude » qui exercent leur métier à l’aide de baudriers et de cordages. Haut dans les airs : vertige s’abstenir !

Bref, bienvenue dans une toute autre dimension que l’image que l’on pouvait se faire des traditionnels sapeurs-pompiers en exercice aux côtés du camion-citerne rouge.

 

 

 

Dans le cas présent, il était question d’évacuer par l’extérieur et auparavant depuis la soupente de l’édifice un ouvrier pris d’un malaise sur son lieu de travail. Un véritable rôle de composition pour le soldat du feu vêtu en civil qui endossa la vêture de la victime. Allongé et sanglé dans une civière suspendue dans le vide à dix mètres du sol, le courageux garçon demeura stoïque en espérant que ses collègues maîtrisent bien les gestes de secours devant le ramener sur la terre ferme.

La difficulté de l’épreuve résidait au déplacement de la civière de manière horizontale d’un étage à l’autre. Avant qu’elle ne bascule avec la maîtrise du savoir-faire des forces en présence (une demi-douzaine de sauveteurs) dans le grand vide le long de la façade de ce monument patrimonial.

 

 

Une douzaine d’interventions chaque année sur le département…

 

Tout cela se déroula sous les regards très intéressés de Tristan RIQUELME, directeur de cabinet du préfet de l’Yonne, du vice-président du Conseil départemental et de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, Christophe BONNEFOND, pour mémoire président du SDIS 89 et du Colonel Pierre BEPOIX, directeur départemental adjoint du SDIS 89.

Sous la houlette du Lieutenant Gilles PREUX, l’exercice – une simple formalité de routine pour la jeune femme et ses collègues masculins constituant l’équipe de choc investie sur le lieu de l’opération -, se déclina tranquillement. Comme à la parade, pourrait-on dire dans d’autres domaines !

Il est vrai que le GRIMP répète inlassablement les mêmes gestes techniques qui peuvent rappeler ceux effectués par les alpinistes du fait des cordages et de baudriers, à raison de deux entraînements par mois. En faisant tourner ses équipes puisque la cellule se compose de vingt-cinq personnels d’intervention en milieu périlleux. Ils sont répartis dans les centres mixtes, au centre de formation départemental et à la direction départementale.

 

 

Annuellement, le GRIMP procède à une douzaine d’interventions en situation réelle sur notre territoire. Quant aux lieux lui permettant d’acquérir davantage de maîtrise dans les gestes, ils se nomment la basilique Marie-Madeleine de Vézelay, la cathédrale Saint-Etienne d’Auxerre, celle de Sens ou l’abbaye Saint-Germain.

Sont considérés comme des milieux périlleux des espaces artificiels ou naturels où, en raison de la hauteur ou de la profondeur, et des risques divers liés au cheminement ne peuvent être traités par les moyens des sapeurs-pompiers traditionnels.

 

 


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La mobilisation demeure le mot d’ordre prioritaire dans la bataille livrée au coronavirus pour la Caisse Primaire de l’Assurance Maladie. L’institution ne s’est jamais départie de sa mission première durant la longue période de confinement. Ainsi, elle a évité les interruptions de paiement des prestations versées aux assurés sociaux. Le télétravail a été préconisé en obtenant de réelles satisfactions quant à ses effets…

AUXERRE : Pas l’ombre d’un retard dans le traitement des innombrables dossiers gérés par la CPAM de l’Yonne. La caisse départementale a poursuivi ses activités comme si de rien n’était durant la période critique de la pandémie de la COVID-19. Privilégiant au passage la mise en place du télétravail pour une majeure partie de son personnel. Celui qui occupe des tâches facilement localisables, y compris à domicile.    

La direction de l’établissement a tenu à remercier lors d’un point avec la presse ses collaborateurs. Ces derniers ont su faire preuve d’abnégation durant la phase optimale de la crise. Ils n’ont pas rechigné à effectuer des heures supplémentaires qui auront permis de résorber le trop plein de travail.

Preuve que l’initiative du télétravail a convaincu les forces vives de l’organisme, il est aujourd’hui question de prolonger le dispositif. Au vu du contexte actuel avec l’amorce d’une seconde vague qui accentue la présence de l’infection virale dans l’Yonne.

 

Une dotation de 180 micro-ordinateurs à venir…

 

Une réflexion est menée à l’heure actuelle en concertation avec la CNAM, la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie. Un nouvel accord pourrait être signifié à l’issue de ces discussions. Sachant qu’en l’état actuel des choses, ce sont de 40 à 50 agents qui bénéficient encore de ces mesures sécuritaires au lieu de cent-trente personnes au plus fort de la crise.

La CPAM de l’Yonne se prépare à obtenir une dotation de 180 micro-ordinateurs. Ces appareils seront affectés aux collaborateurs pouvant faire l’objet de ces mesures. Précisons que la structure emploie localement 270 salariés.

Toutefois, le besoin du personnel de se retrouver en présentiel s’est également fait ressentir. D’une part pour optimiser les attentes liées à de la formation, et d’autre part, pour développer ce nécessaire lien social, qui représente le ciment utile à toute relation professionnelle pérenne.

L'application de cette stratégie est en attente de la signature d'un nouveau protocole...


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Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne était l’invité du réseau Entreprendre Bourgogne pour les premières retrouvailles en présentiel du réseau de décideurs après de longs mois d’abstinence relationnelle. L’occasion pour le représentant consulaire de dresser un panorama réaliste de la situation économique de l’Yonne telle qu’il la perçoit…

APPOIGNY : Convier à prendre la parole devant un aéropage de chefs d’entreprise masqués et respectueux de la distanciation physique, le président de la CCI de l’Yonne Alain PEREZ a salué les mesures gouvernementales prises avec le plan de relance pour accompagner les acteurs de la sphère économique. Dans un contexte très endommagé par une crise sanitaire qui demeure, et il le regrette, toujours d’actualité.

Et même si on ne connaît pas encore toutes les applications de ce plan, certains éléments à l’instar du PGE (prêt garanti par l’Etat) prouvent que les entrepreneurs sont réactifs à en faire la demande pour bénéficier de ces soutiens. Avec le concours des partenaires institutionnels et financiers.

Le président de la chambre consulaire aura profité de sa prise de parole devant les membres du réseau Entreprendre Bourgogne pour évoquer le travail en parfaite symbiose qui est mené depuis le début de la crise sanitaire avec la cellule économique ad hoc, supervisée par le préfet de l’Yonne.

Puis, détaillant secteur par secteur, Alain PEREZ observa que les professionnels de la filière artisanale et du bâtiment tiraient plutôt bien leur épingle du jeu. Même si une zone d’inquiétude perdurait avec le cruel manque de visibilité quant au carnet de commandes en 2021.

La filière commerce, notamment alimentaire, n’a pas trop souffert, quant à elle, de cette transition conjoncturelle très spéciale. Un constat qui ne se révèle pas du tout de la même facture pour le secteur vestimentaire et les métiers de services, plus à la peine selon le président.

 

 

Une chance pour notre industrie : la taille de ses entreprises et leur diversité…

 

Du côté de la filière industrielle, Alain PEREZ indiqua que « la diversité de notre industrie et l’absence de réelle filière trop spécialisée représentaient une réelle chance pour la sauvegarde de ce secteur sur notre territoire ».

Toutefois, point d’angélisme dans les propos de l’ancien responsable d’industrie sénonais. Alain PEREZ estime que les effets de la crise économique en termes d’emplois pourraient se faire ressentir dès les premiers mois de l’année 2021 lors du remboursement des charges.

Pour autant, les tribunaux de commerce d’Auxerre et de Sens ne présentent pas une activité débordante au niveau des dépôts de bilan et autres redressements judiciaires. Ce qui a l’heur de rassurer pleinement le président de la chambre.

En revanche, Alain PEREZ s’alarme d’une toute autre crise plus pernicieuse qui pourrait anéantir les espérances de celles et de ceux qui tentent de redresser la tête au quotidien : la cyber-attaque.

Les services de l’Etat craignent en effet des attaques informatiques de grande ampleur contre les systèmes numériques des entreprises. Un acte irresponsable s’avérant dramatique si cela venait à se confirmer.

Dans cette optique, la CCI de l’Yonne proposera dans les semaines à venir des webinaires afin d’informer le plus grand nombre d’entreprises sur les risques potentiels pouvant être encourus en cas d’infections virales numériques.

 

 


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