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Exit les escapades professionnelles sous le ciel de Charente du côté de Cognac ! C’est une nouvelle immersion dans la sphère pédagogique icaunaise qu’a décidé de vivre désormais la jeune femme originaire d’Auxerre en assurant la direction du centre de formation par apprentissage dans le milieu agricole.

VENOY : L’aventure professionnelle vécue au beau milieu du vignoble de Cognac n’aura duré qu’un certain laps de temps pour la professionnelle icaunaise.

En Charente, la jeune femme aura acquis de l’expérience dans un tout autre registre que l’univers pédagogique usuel, exerçant des activités de chef comptable au sein d’une société industrielle qui fabrique des étiquettes. La plupart étant destinées à identifier les bouteilles du fameux breuvage local !

Depuis quelques semaines, Hélène DECULTOT a effectué son grand retour dans l’Yonne. Après l’avoir quittée lorsque s’est achevée sa mission au sein du CIFA où elle officiait en qualité de responsable du Pôle commerce et gestion des entreprises.

Munie d’une solide expérience dans la communication initiée dans sa vie antérieure, cette touche-à-tout de talent est aujourd’hui ravie de reprendre les rênes du CFA agricole de La Brosse, accueillie en ces murs depuis le premier septembre. Après son transfert de Champignelles à Venoy…

A 33 ans, Hélène DECULTOT s’offre un challenge excitant dans un univers qu’elle découvre en remplacement de Valérie ROSSI, l’ancienne directrice du CFA. Prometteur…

 


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Avec ce nouveau reconfinement, le gouvernement doit donc forger l’avenir des entreprises françaises. Ainsi, entre l’enclume de l’économique et le marteau du sanitaire, il lui appartient de réaliser la forme aussi parfaite que possible qui permettra à notre économie de survivre à cette nouvelle épreuve. Une tribune de Claude VAUCOULOUX, délégué général du MEDEF et de l’UIMM dans l’Yonne…

TRIBUNE : Je dis qu’il lui appartiendra de, car en la matière, et malgré les déclarations répétées d’une volonté de concertation sensée enrichir la réflexion et, pourquoi pas participer à la prise de décision (on peut toujours rêver), on voit bien que tout semble finalement se concentrer dans les sous-sols de l’Elysée.

Dans une telle situation, il ne faut pas alors s’étonner que des interrogations émergent çà et là, et plus encore, des mécontentements. Lesquels se fondent sur l’incompréhension des mesures qui sont prises.

Prenons l’exemple de la fermeture des petits commerces. En voilà une affaire ! Dans sa volonté louable de limiter au maximum les déplacements et les interactions sociales, le gouvernement a donc décidé que les petits commerces non indispensables fermeraient.

Dans le même temps, les grandes surfaces qui peuvent rester ouvertes, continuent à vendre y compris les articles que les petits commerces, qui ont dû fermer, ne peuvent donc plus vendre.

Rupture d’égalité de traitement manifeste qui fait justement s’indigner les petits commerçants qui menacent d’organiser une fronde. Ils sont d’ailleurs de plus en plus souvent soutenus par leurs élus locaux. Le gouvernement mesurant le risque, prend alors une mesure de rééquilibrage, en interdisant aux grandes surfaces de vendre autre chose que des produits indispensables. Faut-il d’ailleurs s’entendre sur ce qui est indispensable et sur ce qui ne l’est pas !

Ainsi, saisissant le marteau du sanitaire, il se met à frapper sur l’enclume de l’économique. Résultat, tout le monde finit par être perdant ! Le petit commerçant est certes rétablit dans une égalité de traitement vis-à-vis de la grande distribution. Mais, ce n’est pas pour autant qu’il va pouvoir reprendre ses activités.

 

 

Vers la paralysie complète de notre économie…

 

La grande distribution, quant à elle, va perdre des pans entiers de ses ventes pour se retrouver fragilisée en fin de compte. On semble oublier ici, que l’économie fonctionne suivant un principe de mécanique des fluides, dont on sait bien que lorsque l’on empêche la sortie, c’est tout le circuit que l’on bloque !

Ainsi, en empêchant l’écoulement des produits et marchandises, nous allons provoquer à terme la paralysie complète de notre économie ! A quoi bon alors

continuer de faire tourner les usines, si aucun commerçant n’est en mesure de vendre les productions ?

D’ailleurs, les commandes vont très vite se raréfier et les industriels vont une fois encore se retrouver face à des carnets vides, alors que sans doute, il aurait été possible de l’éviter.

 

 

Si l’on avait voulu prendre une mauvaise décision, on n’aurait pas fait autrement ! En tout cas, s’il y en a qui se frottent les mains, ce sont bien les géants du « net » qui eux, vont une nouvelle fois rafler la mise !

Pourtant, dès les annonces du reconfinement prononcées, le président du MEDEF Geoffroy ROUX DE BEZIEUX a alerté les pouvoirs publics sur les risques engendrés par ce nouveau confinement, notamment pour les plus petites de nos entreprises, et plus largement aussi pour toute l’économie nationale.

La réponse de l’Etat fut alors une nouvelle fois le « quoiqu’il en coûte nous allons les sauver » ! Entre nous, qui aujourd’hui peut bien encore croire que l’Etat sera en capacité de creuser ad vitam aeternam des déficits déjà abyssaux ? Mais malheureusement, dans son souci de ne pas se déjuger, il préfère placer des cautères, fussent-ils sur une jambe de bois ! Le tapis des générations futures ressemble pourtant dès à présent à une espèce d’Himalaya, tant le volume des dettes que nous avons glissé dessous depuis des décennies est considérable !

Et nous voudrions encore aggraver la situation au-delà de ce qui déjà est totalement déraisonnable ? On voit bien que la solution n’est pas là. L’Etat doit absolument changer de paradigme.

 

L’Etat doit absolument changer son logiciel…

 

Le MEDEF et les branches professionnelles vont formuler des propositions pour que l’économie puisse reprendre à minima une marche nous permettant de sauver l’essentiel, par des moyens non artificiels.

Bien sûr que les entreprises et les salariés qui y travaillent ont besoin de l’accompagnement de l’Etat. Mais plus que de cela, elles ont besoin pour vivre, de pouvoir travailler et vendre leurs productions ou services ! Et si pour une fois, on les écoutait ?

Plus jamais, nos vies ne seront celles que nous avons connues avant cette pandémie, car il va nous falloir apprendre à vivre avec le virus. Alors si nos vies doivent changer, nous devons dès à présent aussi changer nos logiciels. En premier lieu, l’Etat doit changer le sien.

Ce changement dans nos existences, qui nous est imposé par une situation exogène, ne doit pas se traduire par une avalanche de règlements tombés du haut !

Nul doute cependant que la tentation est, et restera grande en la matière, puisque c’est toujours comme ça qu’il a pratiqué. Le changement doit au contraire donner l’occasion à nos dirigeants de faire enfin confiance à la population et de faire le pari de l’associer à ces changements.

Comment pouvons-nous espérer que les Français se sentent redevables d’une confiance envers l’Etat, si celui-ci ne la lui accorde pas ? Il ne nous est pas permis d’attendre que l’autre commence. Cette fois, seul l’Etat peut donner l’impulsion.

 

 

La réflexion utile plutôt que la sanction inutile !

 

On le voit bien avec le sujet des attestations. Gare à celui qui n’aura pas coché la bonne case, ou bien qui aura oublié sa carte d’identité en changeant de veste ! On ira alors au bout de la logique du règlement et invariablement on collera la prune au dangereux contrevenant qui ainsi, aura mis la race humaine en danger !

Remarquez, si sauver l’humanité ne coûte que 135 euros, ce serait dommage de s’en priver, n’est-ce pas ! Aller au bout de la logique du règlement mène toujours quelque part à s’interdire de réfléchir.

Eh bien en ce moment, je pense qu’il est ô combien préférable de réfléchir, tant la situation est inédite et complexe, que d’appliquer des règlements à la lettre et d’ailleurs pas toujours dans l’esprit !

Et puis réfléchir, ça veut dire aussi se donner des chances de comprendre, donc d’apprendre et par conséquent de se mettre en mesure d’anticiper. En la matière, les entreprises ont appris du premier confinement et elles sont en capacité de fonctionner (lorsqu’elles ne sont pas administrativement fermées bien sûr), y compris dans le mode dégradé que nous connaissons.

Mais le moins que l’on puisse dire, à tort ou à raison, c’est que nous n’avons pas vraiment l’impression que l’Etat ait quant à lui beaucoup appris de la première période !

En tout cas, il n’en fait pas toujours la démonstration. Je ne prendrai qu’un seul exemple, dont je veux bien admettre qu’il est un peu anecdotique, mais que je considère néanmoins comme révélateur.

Qui ne s’est pas étonné lors de la dernière intervention du Président de la République, de la piètre qualité persistante du sous-titrage de son allocution ? Comment voulez-vous alors donner une impression de maîtrise de la situation, si vous n’êtes même pas capable de régler un si petit détail !

 

Laisser travailler les entrepreneurs en leur accordant de la confiance…

 

Les chefs d’entreprises, notamment des petites et moyennes, c’est-à-dire celles qui constituent 90 % du tissu icaunais, vont donc une nouvelle fois se débattre pour essayer de survivre.

Eux aussi attendent qu’on leur fasse confiance. Ils ont d’ailleurs démontré toute leur capacité à mettre en œuvre les mesures et les organisations du travail permettant de conjuguer à la fois raison sanitaire et nécessité économique.

Ils n’ont pas besoin qu’on leur impose des règles supplémentaires, mais au contraire, qu’on leur facilite la tâche, alors que celle-ci est devenue aujourd’hui incroyablement compliquée. Ils n’ont pas besoin des menaces de contrôles et de sanctions, si d’aventure par exemple, le télétravail ne se trouverait pas universellement déployé.

Pourtant chacun le sait bien, le télétravail n’est qu’un outil, certes très intéressant lorsqu’il correspond à la résolution de certaines problématiques, mais il ne peut bien évidemment pas être érigé en solution unique et universelle ! 

Non ! Ils ont besoin qu’on les laisse travailler, en ayant confiance dans leur sens des responsabilités, pour que vive leur entreprise et leurs salariés. Il en va de l’avenir de notre économie et donc de la France !

Je terminerai d’ailleurs cette tribune sur une petite pirouette. A quoi bon faire le choix de préserver la santé des gens, s’il s’agit dans le même temps de les faire mourir économiquement ?

Entre nous, mourir en bonne santé ; c’est tout de même ce qui pourrait nous arriver de plus stupide ! Ne croyez-vous pas ?

Claude VAUCOULOUX

Délégué général du MEDEF et de l’IUMM de l’Yonne

 


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Entre 2007 et 2019, le groupe suédois, leader incontesté sur le marché des roulements, a injecté 56 millions d’euros pour maintenir à flot son site dans l’Yonne afin de compenser ses pertes. Aujourd’hui, l’insuffisance des volumes de production lui est désormais fatale. L’industriel scandinave opte donc pour une nouvelle réorganisation. La fabrication des couronnes d’orientation devrait être transférée vers l’unité de Saint-Cyr-sur-Loire. Engendrant de facto l’arrêt définitif de l’usine locale en 2022…

AVALLON: Exportant 96 % de ses produits, à la volumétrie parfois exceptionnelle, vers l’Asie du Sud-Est, l’unité de fabrication du scandinave SKF opérationnelle dans l’Yonne ne devrait plus fonctionner à horizon 2023. C’est la date qui a été arrêtée par le groupe suédois pour clore de manière définitive le chapitre évoquant sa présence en terre icaunaise. Au grand dam des 141 collaborateurs qui y exercent toujours leur savoir-faire professionnel.

C’est au terme d’un Comité Social et Economique (CSE) qualifié d’extraordinaire se déroulant ce lundi 02 novembre que le directeur général du site, Frédéric BOUILLY, a fait part de la décision stratégique du groupe. Soit la réorganisation de son empreinte industrielle dans l’Hexagone.

Dans un communiqué de presse, publié le 03 novembre, le président de Bearing Operations, Kent VIITANEN, explique « qu’un certain nombre de réorganisations a été annoncé cette année ». Des décisions difficiles mais nécessaires pour pouvoir continuer à répondre aux attentes de ses clients en termes de compétitivité, de flexibilité et de qualité.

« Nous travaillerons en concertation avec les représentants du personnel pour proposer la meilleure transition possible aux salariés concernés, notamment grâce à des programmes de formation et la recherche de nouvelles opportunités professionnelles… ».

 

 

Création de 63 nouveaux postes à Saint-Cyr-sur-Loire…

 

Dans l’absolu, l’arrêt de l’activité interviendrait d’ici la fin de l’année 2022, avant que ne soit définitivement fermé le site la saison suivante.   

L’unité de production de SKF (Slewing Bearings) à Avallon emploie cent-quarante-une personnes. Certaines avaient manifesté leur réprobation devant les grilles du site lundi matin en faisant grève. Elles ne connaissaient pas encore la décision prise par leur employeur même si elles la redoutaient.

SKF dispose de six filiales et huit sites répartis en majorité dans le nord de la France. Celui de Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire) distant de 335 kilomètres de la ville méridionale de l’Yonne est implanté non loin de Tours. Il devrait accueillir la production de couronnes d’orientation jusque-là conçues dans les ateliers icaunais.

A ce titre, soixante-trois nouveaux postes y seront créés. Destinés à la promotion interne, il va s’en dire, et aux reclassements potentiels du personnel avallonnais.

Ce transfert de production favorisera l’éclosion d’une offre plus compétitive et plus flexible pour les clients de SKF, selon le communiqué de presse. Et de bénéficier, par effet gigogne, de synergies avec le centre de services et un certain nombre de ressources comme la logistique, la qualité, et d’autres fonctions support déjà existantes en Indre-et-Loire.

Pour l’heure, et alors qu’aucun autre site du groupe n’est menacé de fermeture dans l’Hexagone, SKF prévoit de soumettre à la consultation des partenaires sociaux ses projets de réorganisation.

Des séances de négociations vont ainsi s’échelonner durant un trimestre afin de définir le meilleur accompagnement possible à mettre en exergue pour aider les salariés à se reconvertir ou à se reclasser. Un délicat chantier en perspective…

Thierry BRET

 

 


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Le parc d’activités du nord d’Auxerre suscite-t-il un quelconque intérêt de la part des investisseurs ? Beaucoup d’interrogations planent autour du concept : de prime abord, celles de la nouvelle gouvernance de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois. Loin d’accueillir la trentaine d’entreprises industrielles prévues et de porter les 1 500 emplois supplémentaires sur le bassin, l’extrême prudence semble être le mot d’ordre actuel vu le contexte économique…

AUXERRE: Où en est aujourd’hui le projet de développement du parc d’activités AuxR_Parc ? Si quatre implantations potentielles d’entreprises figuraient jusqu’alors dans les petits papiers de la Communauté d’Agglomération de l’Auxerrois, la donne arithmétique semble avoir changé quelque peu au cours de ces dernières semaines.

Pourtant, trois sociétés s’étaient manifestées positivement en signant un accord de principe à leur installation sur le site de cinquante hectares dont YCARE et IBB Tech. La quatrième de ces structures a préféré renoncer à ce jour à cette venue, rendant désormais obsolète sa demande. Une disparition des écrans radar sans doute imputable aux effets pernicieux de la conjoncture actuelle qui pénalise fortement les velléités entrepreneuriales des dirigeants de société.

Mais, le constat est flagrant. Pas l’ombre d’une construction ni l’esquisse d’un bâtiment professionnel ne s’érige sur ce vaste espace aménagé de lampadaires, d’abris bus et d’asphalte situé entre Appoigny et la bretelle septentrionale de l’autoroute A 6.

De quoi susciter des interrogations sur la pertinence réelle de ce dossier dans le cénacle politique de l’Auxerrois. A commencer par l’un des porte-étendards de l’opposition, le premier secrétaire fédéral du Parti socialiste Mani CAMBEFORT qui a interpellé le président de l’Agglo Crescent MARAULT lors de la session communautaire ce jeudi 22 octobre.

 

Pas de PME/PMI originaires de l’Ile-de-France…

 

Une mise au point légitime pour mieux appréhender les tribulations de ce dossier au demeurant vertueux sur le papier qui selon son cahier des charges prévoyait l’installation d’une trentaine d’entreprises de la sphère industrielle et l’accueil à terme de 1 500 emplois. Des éléments favorables devant booster le bassin de l’Auxerrois !

Or, force est de constater que les 34 hectares de foncier proposés sur ce parc qui englobe trente-trois lots de 1 300 à 50 000 mètres carrés ne répondent pas en l’état à cet objectif ambitieux.

 

 

Les emprunts réalisés autour de ces travaux d’aménagement se sont avérés élevés. Sachant que le budget d’investissement pour initier ce parc représentait une enveloppe d’une vingtaine de millions d’euros à l’origine dont deux émanant de subventions de l’Etat, de la Région, et du Département. Une somme affectée à la réalisation d’études, de travaux, à l’archéologie (près d’une dizaine d’années de fouilles et recherches), et à la compensation de l’impact du projet sur l’environnement.

Si le concept avait pour vocation de séduire des PME/PMI franciliennes à la recherche d’un foncier et d’un immobilier attractifs (le prix du mètre carré s’établit à 45 euros), aucune de ces entités professionnelles originaires de l’Ile-de-France n’a pour l’heure daigner contractualiser avec les services de l’organisme communautaire son désir de délocaliser ses structures dans l’Yonne.   

 

 

La Bibliothèque nationale ? Un projet sous-dimensionné au plus offrant…

 

Le président de l’Agglo Crescent MARAULT l’a d’ailleurs précisé dans sa réponse à l’élu socialiste Mani CAMBEFORT : les quatre dossiers déjà étudiés émanaient de sociétés icaunaises ayant choisi un transfert de leurs activités d’une zone d’accueil à une autre. En outre, l’édile d’Auxerre de rajouter que l’impératif critère industriel n’était pas respecté au vu de la typologie desdites entreprises. Celles-ci étant davantage orientées vers la notion de services et de commercialisation…

Lors de cet échange nourri avec les leaders de l’opposition, l’inéluctable question sur la délocalisation de la Bibliothèque nationale de France au nord d’Auxerre surgit de la bouche de l’écologiste Denis ROYCOURT. Un dossier « sous-dimensionné » de l’avis de Crescent MARAULT pour qui les projections de postes (de 80 à 100 pas plus), si tant est que le projet soit retenu après les tours de table et les appels d’offres au plus offrant, ne permettraient pas de répondre au « cahier des charges initial de créer 1 500 emplois ! ».

Un commentaire en forme de boutade, certes, mais qui traduit la lucidité de l’édile d’Auxerre sur le devenir de ce projet.

« Nous serons déjà très satisfaits si nous parvenons à créer 500 emplois sur cette zone, lâcha avec réalisme le président de la Communauté, en arguant que la réalité économique actuelle avait totalement brassé les cartes.

D’autant que la concurrence est rude, voire impitoyable entre les villes de l’Hexagone qui tentent de récupérer la part de ce gâteau de l’attractivité territoriale. Qui se partage désormais à la portion congrue au vu du contexte conjoncturel.

Thierry BRET

 

 


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Sur ses fonds propres, l’opérateur de télécommunication déploie la fibre optique jusqu’au logement mais aussi dans les entreprises. En installant deux armoires optiques dans la localité périphérique d’Auxerre, ORANGE offre la possibilité à 330 foyers et entreprises d’être reliés au monde via la connexion optimale…

AUGY : Un « PMZ » pourrait presque s’apparenter au plan de la symbolique à la partie immergée d’un iceberg. Peu de chose à découvrir en surface, en vérité et les quatre-vingt-dix pour cent du contenu le plus intéressant étant positionnés sous la ligne de flottaison. Invisible à l’œil nu !

Ces fameux « points de mutualisation de la zone » de raccordement (c’est-à-dire les petites armoires métalliques qui bordent certaines rues des localités connectées) sont les seuls et uniques éléments visibles à ce jour qui évoquent la présence de la fibre optique dans une commune ou dans un quartier d’une agglomération urbaine.

Le 16 octobre dernier, sous la bise glaciale d’un zéphyr virevoltant, entre deux vols hésitants mais progressifs de grues dans le ciel, a été inaugurée dans la localité sise au sud-ouest d’Auxerre l’une de ces composantes au demeurant essentielles à la propagation de cette technologie.

Implantée allée des Vignes (un clin d’œil sympa au niveau de la sémantique aux vignobles environnants !), cette ossature métallique constitue l’une des deux armoires placées par l’opérateur de télécommunication engagé sur ce déploiement, à savoir ORANGE.

 

 

Un précieux fil d’Ariane dont plus personne ne pourrait se passer…

 

La fibre s’y déploie à l’instar d’une vingtaine d’autres communes du département de l’Yonne. Dans la seule communauté d’agglomération de l’Auxerrois, plus de 28 000 foyers et entreprises bénéficient déjà du très haut débit. Un déploiement qui tient toutes ses promesses en termes de réactivité et d’efficience. Il est réalisé à partir des propres deniers (les fonds propres) du leader international sur la fibre optique.

Stratégiquement, le schéma opérationnel est plutôt bien huilé. L’essor de ce réseau au modernisme stupéfiant quant à ses capacités techniques repose sur différentes strates : les études, conçues en coordination avec les équipes municipales, l’installation des fameuses armoires avant que ne soit posée la fibre dans les fourreaux de génie civil existants.

Puis, de manière progressive, ce précieux fil d’Ariane reliant l’usager au monde du numérique est déployé devant les habitations individuelles, à l’intérieur des immeubles pour pouvoir pénétrer dans chaque logement, dans les collectivités sans omettre les entreprises.

Bref, tout le monde est concerné par l’éligibilité à ce mode révolutionnaire de communication numérique. A ce jour, 69 % des foyers et locaux professionnels de la bourgade disposent de ce merveilleux sésame dont nul ne pourrait se passer désormais, après y avoir goûté !

Une fois les délais réglementaires observés, la fibre devient disponible à la commercialisation par tous les fournisseurs d’accès Internet. Naturellement, ORANGE y abat sa propre carte commerciale mais pas seulement puisque les trois autres opérateurs historiques peuvent aussi cofinancer ce nouveau réseau.

 

 

9 milliards d'euros injectés pour équiper 3 600 communes...

 

C’est le cas, en l’état, de Free dont les jarretières rouges (les gaines dans lesquelles passent la fibre) sont visibles à l’intérieur des armoires. Celles-ci restant toutefois à forte dominante orange, pour le moment.

Responsable technique chez ORANGE, Patrice DOS SANTOS expliquera à ses interlocuteurs, en l’occurrence l’édile d’Augy Nicolas BRIOLLAND, à l’écoute, et l’un de ses adjoints les finesses pratico-pratiques de ce support technologique dont beaucoup espèrent l’arrivée à leur domicile.

Rappelons pour mémoire que la fibre optique équivaut à pouvoir accéder à une nouvelle dimension de partage de données, de divertissements comme le streaming vidéo, les contenus Ultra Haute Définition, le stockage sur le cloud, le son de haute définition ou la caméra à 360° !

Depuis le discours prononcé par le président de la République lors de la conférence nationale des Territoires le 17 juillet 2017, tout doit être mis en place pour que la couverture en haut débit soit finalisée d’ici la fin 2020 en France ; il en est de même pour le très haut  débit pour tous avant le terme de 2022.

Ayant injecté 9 milliards d’euros pour couvrir 3 600 communes à l’échelle de l’Hexagone, ORANGE a fait de ce challenge sa principale priorité. Un défi motivant qui aura eu des répercussions heureuses au niveau de l’emploi avec la création de près de 15 000 postes parmi cet écosystème en pleine expansion.

 

 

En savoir plus :

Pour connaître l’éligibilité du foyer ou du site professionnel, ORANGE met en ligne une carte de couverture sur la référence suivante : reseaux.orange.fr/cartes-de-couverture/fibre

Dès que l’adresse apparaît éligible, il est possible de contacter librement le fournisseur d’accès Internet de son choix. Et pour être informé à chaque étape du déploiement, jusqu’au raccordement, il est possible de s’inscrire sur le site…

Thierry BRET

 


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