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Dix pour cent des start-ups françaises sont fondées par des femmes. Seulement, 7 % des levées de fond leur viennent en aide. Un paradoxe que souhaite inverser l’un des principaux opérateurs de télécommunication dans le monde : ORANGE. Il ne reste plus que quelques heures, soit jusqu’au 15 novembre à minuit, pour déposer sa candidature au programme « #Femmes Entrepreneuses » permettant de bénéficier d’un  soutien synonyme de succès…

 

DIJON (Côte d’Or) : Ambitieux programme que celui-ci. Non seulement, il s’articule autour d’un axe collaboratif mettant en exergue la force de l’ancrage territorial et la présence d’un grand groupe à ses côtés ; mais en outre, il offre son lot de conseils personnalisés et de formations adéquates pour devenir la meilleure entrepreneuse qu’il soit !

C’est le principe fondamental de ce soutien inconditionnel à l’entrepreneuriat au féminin développé depuis trois saisons par l’un des acteurs majeurs des télécommunications, ORANGE. Un positionnement né de la volonté de l’une de ses dirigeantes, Fabienne DULAC, directrice exécutive d’Orange France.

Plus de 220 cheffes d’entreprises ont déjà profité de ce programme au niveau de l’Hexagone. Des créatrices qui ont choisi de mettre en avant leur savoir-faire dans la technique pure à 44 %, la RSE à hauteur de 20 % ou l’art de vivre pour 27 % d’entre elles.

Cette année, huit entrepreneuses de Bourgogne-Franche-Comté ont rejoint le programme. Elles ont été accompagnées par des coaches qui les ont aidées à résoudre leur problématique, constituer leur business « modèle » ou s’initier à la pratique de la cyber-sécurité.

Cent nouvelles entrepreneuses seront choisies pour intégrer la troisième promotion de ce programme pédagogique. Les sessions débuteront dès janvier 2021 sur la base de rencontres physiques et virtuelles, et la connaissance des besoins.

 

En savoir plus :

La date limite de candidature est fixée au dimanche 15 novembre 2020 minuit.

Le programme étant sur-mesure, chacune des candidates au programme peut se rapprocher du contact de sa région pour en savoir plus sur son contenu.

Plus d’informations sur : https://startup.orange.com//fr/start-up/femmesentrepreneuses-saison-3-une-nouvelle-impulsion-du-programme-dedie-aux-creatrices-de-start-up/

 


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Malgré sa diversité industrielle, la SAS du Sénonais, l’une des quatre références à l’échelle de l’Hexagone intervenant sur la fabrication et la maintenance de moules d’injection plastique n’en a pas oublié pour autant sa cible de prédilection : la filière automobile. Certes, elle ne représente plus que 30 % de son chiffre d’affaires. Mais, le projet de modernisation et d’agrandissement de l’unité de production sénonaise permet d’entrevoir de nouvelles opportunités…

MAILLOT : La diversification des marchés possède de sérieux attraits. D’une part, elle offre l’opportunité à celles des entreprises qui la pratiquent de ne pas mettre tous leurs œufs dans le même panier (il y a trop de risques à appréhender avec un mono-secteur !) ; d’autre part, elle favorise la créativité et la remise en question intellectuelle de ses dirigeants en faisant montre d’éclectisme et d’adaptabilité.

Encore dépendante à près de 50 % de la seule filière de l’automobile il y a cinq ans, la SAS du Sénonais a su convertir son savoir-faire industriel vers d’autres cibles alléchantes comme les domaines des sports, des loisirs ou du médical pour conforter son chiffre d’affaires sans pour autant renier son marché initial, celui de l’automobile en grande souffrance depuis plusieurs années.

Pour autant, le projet d’agrandissement de son unité de production devrait lui permettre d’entrevoir de réelles potentialités de développement avec ce milieu de l’automobile, qui a su imposer BOUDIN SAS dans le microcosme hermétique des sociétés spécialistes de la fabrication et de la maintenance de moules d’injection plastique en France.

 

 

 

Bénéficier de l’enveloppe budgétaire d’1,23 million accordée par l’Etat dans le cadre du plan de relance de l’automobile va inéluctablement impacté la stratégie de la PME eu égard à son cœur de cible originel. Si aujourd’hui, le milieu automobile ne représente plus que 30 % du chiffre d’affaires de la société (2,3 millions d’euros), de nouveaux projets pourraient vite venir se greffer pour favoriser l’essor de l’entreprise.

En particulier, auprès des constructeurs tels que l’a précisé le président de la SAS Dominique VIE interrogé lors d’un point presse à l’issue de la visite préfectorale il y a quarante-huit heures.  

 

 

De nouveaux horizons à envisager avec les constructeurs ?

 

Non seulement, le charismatique chef d’entreprise possède suffisamment de contacts au sens relationnel du terme pour s’ouvrir quelques portes qui n’auraient rien d’hasardeuses dans ce milieu ; mais en outre, la capacité de travailler dorénavant avec des moules d’injection nettement plus importants, soit des pièces pouvant supporter des poids de 25 à 50 tonnes, lui ouvrirait de nouveaux horizons, peut-être encore insoupçonnés et prometteurs. Des horizons à faire converger avec les intérêts et les besoins des constructeurs eux-mêmes !

Parallèlement, en sa qualité de sous-traitant, BOUDIN SAS apporte ses compétences auprès de structures professionnelles départementales qui produisent près de 80 % des feux arrière des véhicules en France.

Des produits qui trônent en bonne et due place parmi les vitrines de présentation placées dans le hall d’accueil de la PME aux vingt-cinq collaborateurs tels des trophées qui ont fait et feront encore la gloire d’une entreprise possédant toujours le vent en poupe à l’aune de 2021. Encourageant !

Thierry BRET

 

 


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Ils sont prêts, les professionnels des travaux publics. Prêts à poursuivre leurs activités malgré la période de confinement afin d’assurer la relance économique de notre pays. Prêts, également à préserver et à créer des emplois. Mais, pour cela, ils ont besoin du soutien inconditionnel des élus. Et surtout de la reprise urgente de la commande publique !

DIJON (Côte d’Or) : Les semaines se suivent et se ressemblent pour les dirigeants des entreprises de travaux publics de notre territoire. Ils ne cessent d’envoyer des messages forts à destination des collectivités locales pour que celles-ci fassent enfin bouger les lignes au niveau de la commande publique.

L’équation est simple. Pas de projets en perspective, donc pas de chantiers à assurer, avec les conséquences que l’on peut aisément imaginer au niveau de l’emploi.

Depuis le discours du président de la République Emmanuel MACRON en date du 28 octobre où ce dernier reconnaissait comme « essentielle à la nation la filière des travaux publics », la FRTP (Fédération régionale des travaux publics de Bourgogne Franche-Comté) adresse une kyrielle de signes auprès des élus locaux. Celles et ceux qui identifient clairement les besoins de développement et d’entretien des infrastructures sur les territoires.

 

 

« Nous sommes là pour les accompagner, explique sans équivoque le président de l’organisme régional, l’entrepreneur Vincent MARTIN, qui a pris à bras le corps la défense des intérêts de sa corporation.

Ce dernier n’hésite pas à préciser qu’il serait dommageable pour les élus locaux de ne pas profiter des effets du plan de relance économique distillé par l’Etat (France Relance) qui favorise l’obtention de financements exceptionnels afin de juguler la crise économique.

En conclusion, la position de la FRTP est très limpide : il faut investir très vite pour garantir la pérennité d’une filière professionnelle qui ne demande qu’à poursuivre sereinement ses activités. Mesdames et messieurs les élus, la balle est désormais dans votre camp !

 


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Dans l’instant « t », Bercy reste campé sur son inflexibilité. Les concessions automobiles doivent rester portes closes durant la nouvelle période de confinement. Se privant ainsi de la manne physique de la clientèle. Même si l’option du « click and collect » est autorisée, on voit mal comment les consommateurs seraient tentés par l’achat de leur nouveau véhicule au budget conséquent sans l’avoir vu et essayé au préalable ! Les ventes, quant à elles, s’effondrent. Sombres perspectives…

PARIS : Pour l’heure, il n’est pas prévu que les concessionnaires automobiles puissent exercer leur activité dans les règles de l’art. Leurs établissements ont dû fermer leurs portes dès l’application de la seconde période de confinement imputable à la recrudescence de la pandémie en France.

Un dilemme kafkaïen pour les professionnels de la filière qui avaient déjà dû supporter les conséquences néfastes de la première vague au printemps. Les premières tendances chiffrées ne plaident pas en faveur d’un optimisme béat. Surtout celles qui émanent du CNPA (Conseil National des Professionnels de l’Automobile) qui annoncent une diminution de 70 % des ventes de véhicules neufs depuis une semaine. Une statistique alarmiste qui inquiète fortement les professionnels du secteur.

 

 

La réouverture des concessions conditionnée à l’évolution de la crise…

 

D’autant que la réouverture des concessions n’est pas programmée pour demain. Une rencontre des acteurs de la filière à Bercy, ce vendredi 06 novembre, est restée lettre morte dans ses résultats. Tout dépendra de l’évolution de la crise sanitaire. Force est de constater que la hausse exponentielle du nombre de cas de personnes contaminées dans l’Hexagone, plus de 60 000 cas avérés à date, ne conditionne pas à une quelconque embellie.

Président de la PFA (Plateforme Automobile), l’ancien ministre Luc CHATEL exige la réouverture des vitrines commerciales. « Ne pas les rouvrir serait synonyme d’un nouvel effondrement du marché qui n’a pas besoin de cela », précise-t-il dans un communiqué de presse. Dans le même temps, les constructeurs et les équipementiers maintiennent leurs activités industrielles.

Du côté des voitures de seconde main, la chute des ventes est encore plus drastique avec des pertes s’élevant à 90 % en un laps de temps record. Les interventions en entretien/réparation reculent de 30 %. Il en va de même pour la carrosserie qui avoisine avec 50 % de baisse.

Bref, le désastre n’est pas loin pour le secteur qui emploie 400 000 personnes dont 60 000 pourraient être menacés à brève échéance si la situation devait perdurer. Au terme de l’année 2020, la baisse des ventes de véhicules neufs en France pourrait correspondre à 30 % ! Le nombre de nouvelles immatriculations serait le plus faible enregistré depuis près de cinquante ans. A peine 1,5 million d’unités, ce qui est fort peu…

 


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Le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE ne cesse de le marteler : la Région se mobilise en faveur de la filière. Un secteur économique en réelle souffrance qui est affecté par la succession de vagues épidémiologiques. Contraignant les touristes à demeurer cloîtrés chez eux. La riposte prendra la forme de plusieurs initiatives. Elles seront dévoilées le 13 novembre lors de la séance plénière…

DIJON (Côte d’Or) : Voilà un secteur d’activité fondamental de notre territoire qui était à l’éclosion de jolies perspectives économiques pour l’année 2020 avant qu’un virus improbable ne vienne le clouer au sol. Ou presque. Que peut faire ce segment indiscutable de notre activité sans la présence du moindre visiteur dans ces lieux de référence patrimoniale ?

Peu de choses, en vérité pendant la période de confinement. Mais, derrière les châteaux, les musées, les sites d’exception qui forgent la notoriété de la Bourgogne Franche-Comté bien au-delà de nos frontières, il y a des femmes, des hommes et des entreprises en déshérence. Soit 50 000 professionnels qui ne vivent et raisonnent qu’au service de l’accueil de la clientèle, la promotion d’un cadre idyllique ou la satisfaction de fidéliser durablement celles et ceux qui aiment flâner au détour d’un haut-lieu culturel.

Face à ce frein sanitaire préjudiciable à la pérennité des entreprises, la Région tente de sauvegarder du mieux possible la filière et ses inestimables emplois. 

Solennel, l’air grave, le vice-président en charge du développement touristique Patrick AYACHE a donc profité de sa prise de parole lors d’une conférence de presse concoctée par Bourgogne Franche-Comté Tourisme pour lister plusieurs pistes devant répondre aux attentes actuelles. En premier lieu, un plan d’accélération de l’investissement touristique.

 

L’itinérance et le tourisme durable : deux vecteurs à déployer…

 

Ce dernier s’intègre parmi le plan de relance global (40 millions d’euros) décliné à l’échelle du territoire. Sans trop en déflorer son contenu, l’élu franc-comtois a simplement insisté sur le focus ambitieux qui lui serait donné. Notamment dans le domaine du tourisme durable, une thématique en pleine expansion à l’heure actuelle qui favorise la sauvegarde de la planète.

Une incitation à la mue des stations de montagne qui vivaient traditionnellement autour des activités liées à la présence massive de la neige s’impose. A terme, ces centres d’accueil en altitude optimiseraient leurs activités de loisirs durant les quatre saisons calendaires. La Région devrait pousser à la reconversion de ces stations d’hiver en y mettant les moyens financiers conséquents.

Seconde suggestion de l’élu : l’essor de l’itinérance. Un tourisme qui séduit de plus en plus les randonneurs qu’ils soient pédestres, à cheval ou à bicyclette. Notre territoire figure, à ce titre, parmi les références leader dans l’Hexagone. Un effort sera mis tout particulièrement autour de six destinations itinérantes d’exception. Des destinations qui seront dévoilées par Patrick AYACHE le 13 novembre prochain lors de la session plénière de l’exécutif.

La Région apportera aussi son soutien à toutes les initiatives valorisant le tourisme durable à travers de grands évènements structurants.

 

Aider les investissements en hôtellerie et dans l’hébergement…

 

Enfin, Patrick AYACHE eut un mot sur l’une des composantes de ce tourisme si éclectique dont on parle peu : celui issu de l’environnement social. Un pan d’activité qu’il considère aujourd’hui comme « malade », voire « inadapté » par rapport à la mise aux normes d’aujourd’hui. « Nous allons essayer de les rénover afin de répondre aux attentes réelles du moment… ».

Le vice-président conclut son intervention en évoquant un concept dont les origines sont cent pour cent régionales mais qui essaime désormais ailleurs sur d’autres territoires : un outil d’aides aux investissements touristiques de type hôtellerie et amélioration des équipements dans le secteur de l’hébergement.

Autant de moyens anticipatifs que l’élu régional présentera en séance le 13 novembre afin de les déployer dès le terme de ce nouveau confinement au service de l’attractivité de notre territoire.

Thierry BRET

 


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