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La tribune lancée par les présidents de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté est explicite. Maintenir les aides en faveur de l’apprentissage représente une mesure vitale pour ces dirigeants. Eu égard aux 100 000 jeunes qui ont fait le choix de suivre ce type de formation dans les métiers de la filière. Soit une hausse de 4 % par rapport à 2019…

 

DIJON (Côte d’Or) : Malgré la crise sanitaire, l’apprentissage enregistre un net regain d’intérêt auprès de la jeunesse. Près de cent mille de ces apprenants ont choisi en effet de suivre cette voie pédagogique notamment dans la filière de l’artisanat en France. D’où le nécessaire maintien par le gouvernement des aides en faveur de ce mode d’orientation, selon les responsables de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de la région.

S’exprimant de manière conjointe par le biais d’une tribune, ces leaders de la vie économique ont renouvelé leurs souhaits de voir proroger lesdites aides déjà mises en place par la ministre du Travail Elisabeth BORNE. Cette dernière devrait en annoncer le prolongement d’ici peu.

 

Réfléchir aux suites à donner à ces aides une fois la crise finie…

 

Deux hypothèses sont toutefois avancées quant à la poursuite de ces mesures. La première concerne l’arrêt de ce dispositif fin mai. Avec un retour à la seule aide unique qui précédait la crise.

La seconde se rapporte à la prolongation de ces mesures jusqu’à la fin du mois de mai. Puis, entre mai et décembre, d’exclure les Bac + 5 du dispositif et de réduire de facto l’aide à 4 000 euros pour les entreprises de plus de 250 salariés. C’est cette dernière option qui interpelle les élus de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat régionale.

Ils ont pu juger des effets positifs de cette aide sur le recrutement de jeunes majeurs.

« Cela doit d’ailleurs nous amener à réfléchir aux suites à donner à ce dispositif une fois que la crise sera derrière nous, écrivent-ils dans un message commun.

 

 

Les présidents de ces chambres consulaires rappellent que « l’apprentissage représente la clé de voûte de la réussite et de l’insertion professionnelle de ces jeunes générations ».

Il est vrai que des faits concrets viennent étayer leurs propos. Chaque année, 85 % des apprentis trouvent chaussure à leur pied en s’insérant dans la vie active avec dans leur besace un emploi qui est obtenu dans les sept mois au sortir de leur formation. Peu de filières pédagogiques peuvent s’enorgueillir de tels résultats !

 

 

En savoir plus :

 

Les signataires de cette tribune publiée en fin de semaine sont :

Régis PENNECOT, président de la délégation Côte d’Or,

Michel CHAMOUTON, président de la délégation du Jura,

Frédéric CAVAGNAC, président de la délégation de Haute-Saône,

Jean-François LEMAITRE, président de la délégation de l’Yonne,

Manuela MORADINHO, présidente de la délégation du Doubs,

Sébastien THOMAS, président de la délégation de la Nièvre,

Jean-Philippe BOYER, président de la délégation de Saône-et-Loire,

Christian ORLANDI, président de la délégation du territoire de Belfort.

Emmanuel POYEN, président de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Bourgogne Franche-Comté (photo).

 

Thierry BRET

 

 


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Sécurité, régularité, accessibilité. Ces trois mots justifient les travaux de modernisation entrepris depuis peu sur le réseau ferroviaire en Bourgogne Franche-Comté. Soit un montant de 423 millions d’euros. L’enveloppe budgétaire a doublé par rapport à 2020 malgré la crise sanitaire et la perte de recettes évaluée à 1,8 milliard pour la SNCF. Rien que la rénovation de l’axe Laroche-Migennes-Auxerre nécessitera 44 millions d’euros. Sur les 114 millions investis dans l’Yonne...

 

AUXERRE : Ce ne sont tout de même pas les travaux d’Hercule mais nous n’en sommes pas très loin dans leur physionomie ! D’autant que les aménagements à apporter au fil de ces prochaines semaines seront réalisés pour une durée de cinquante ans !

La SNCF met donc les petits plats dans les grands pour atteindre ses objectifs prioritaires avec ces travaux de rénovation de voies : garantir la sécurité maximale à ses voyageurs, leur assurer le confort et surtout la régularité des lignes.

Dans l’absolu, comme il a été confirmé lors d’une conférence de presse inhérente à ce chantier, les travaux ont déjà débuté. Notamment par le biais d’opérations connexes et des ouvrages hydrauliques. Celles-ci se termineront le 27 mars.

Viendra ensuite la phase des travaux préparatoires qui va courir du 29 mars au 10 avril. Ceci à raison de cinq nuits par semaine. Le train-usine prendra le relais. Il réalisera les principaux travaux de modernisation des voies jusqu’au 28 mai. De jour comme de nuit.

Quant aux travaux de finition, ils s’effectueront du 31 mai au 10 juillet (là-aussi en période nocturne) avant que ne soient terminés les travaux complémentaires dans les gares et sur certains passages à niveau, dont celui de MONETEAU entre le 30 août et le 22 décembre 2021.

L’emploi de ce train-usine long de 750 mètres est exceptionnel sur notre territoire. Il n’en existe à l’heure actuelle que trois spécimens qui circulent dans l’Hexagone. Son usage offre la possibilité de réduire les travaux. Constitué d’une succession d’engins, l’appareillage renouvelle la totalité des composants de la voie en un laps de temps record : neuf cents mètres de voie au quotidien en lieu et place des deux cents mètres obtenus d’ordinaire à partir des moyens classiques !

Ainsi, ce sont vingt-cinq kilomètres de voie ferrée qui vont être modernisées avec la pose de 40 300 traverses renouvelées, 43 500 tonnes de ballast remplacé et 52 kilomètres de nouveaux rails.

 

 

Des services de substitution par autocar et des fermetures de passage à niveau….

 

Mobilisant près de quatre cents personnes, ce chantier entre Laroche-Migennes et Auxerre, devrait générer d’importantes retombées économiques. On pense en premier lieu à l’hébergement mais aussi aux commerces de proximité.

Quant aux impacts occasionnés sur la vie des usagers et des riverains, ils seront nombreux. C’est une évidence !

Ainsi, un service de substitution par autocar sera opérationnel du 12 avril au 31 mai dès 03 heures du matin pour les lignes entre Auxerre et Laroche-Migennes et celles du Morvan.

Si le nombre de trajets restera inchangé, c’est le temps à parcourir pour effectuer ces liaisons qui s’en verra modifier. Avec un allongement du voyage légitime.

Conséquence : les horaires de départ seront modifiés. Ils seront avancés pour pouvoir répondre aux exigences des horaires des correspondances.

Du côté des riverains et automobilistes, signalons que certains passages à niveau demeureront fermés pendant la durée des travaux. Notamment sur la période du 08 avril au 03 juin. D’autres seront fonctionnels à certains horaires ou à certaines dates.

Toutes les informations relatives à ces changements seront disponibles sur le site TER Bourgogne Franche-Comté ou sur la ligne MOBIGO au 03.80.11.29.29. Les gares renseigneront aussi les voyageurs.

Les communes concernées par ces travaux sont Migennes, Cheny, Bonnard, Beaumont, Chemilly-sur-Yonne, Gurgy, Monéteau, Auxerre et Vergigny. La localité proche de Saint-Florentin accueillera la base logistique de ces travaux.

Sont intervenus pour évoquer le déroulement de ces chantiers Jérôme GRAND, directeur territorial de SNCF Réseau Bourgogne Franche-Comté, Michel NEUGNOT, premier vice-président de la Région et Christophe BONNEFOND, vice-président du Conseil départemental de l’Yonne. Ainsi que le préfet de l’Yonne Henri PREVOST.

Quant à l’élu de la ville d’Auxerre et élu communautaire de l’Agglo Nordine BOUCHROU, il précisa que « tout cela était de très bon augure avec le développement de nouvelles locomotives fonctionnant à l’hydrogène… ».

L’autre grand sujet du moment au niveau du l’actualité ferroviaire dans le landerneau !

 

 

En savoir plus :

 

A retrouver la vidéo présentée par la SNCF pour en découvrir davantage sur le fonctionnement du réseau :

https://www.youtube.com/watch?v=9EZfqUpVZKo&ab_channel=SNCFR%C3%A9seau

A retrouver également le site des différentes cartes des déviations mises en place suite à la fermeture des passages à niveau :

https://www.sncf-reseau.com/sites/default/files/2021-03/D%C3%A9viations%20PN%20Laroche%20Auxerre_compressed_3.pdf

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 

 

 

 


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La troisième filière industrielle de France, le nucléaire, demeure une excellente porte d’entrée pour celles et ceux qui veulent y faire carrière. Ainsi, plus de 1 800 postes sont à pourvoir à ce jour pour renforcer les effectifs des dix-huit sites opérationnels dans l’Hexagone. Dont celui de Belleville-sur-Loire, le plus proche de l’Yonne, qui lance deux campagnes de recrutement à grande échelle…

 

BELLEVILLE-SUR-LOIRE (Cher) : Construite au bord de la Loire, le plus long fleuve de France, la centrale nucléaire de Belleville, située entre Cosne et Gien, emploie à l’année près de 1 200 personnes dont plus de 800 salariés du seul groupe EDF.

Le site qui a produit 14,5 milliards de kWh en 2019, soit plus de 4 % de la production nationale d’électricité, s’appuie sur deux unités de production, baptisées des REP (réacteurs à eau pressurisée) qui offrent une capacité de 1 300 MW chacune.

Depuis peu, et cela a été confirmé par le chef de mission communication Philippe YARDIN, deux campagnes de recrutement ont été lancées pour accueillir de nouveaux collaborateurs in situ.

Une opération qui se scinde en deux parties dans les faits. D’une part, trente-cinq personnes sont en phase de recrutement active pour rejoindre les équipes qui travaillent au bord de la Loire.

De niveau Bac +2 à Bac + 5, les profils de ces futures recrues s’identifient à des techniciens mais aussi à des ingénieurs qui une fois le parcours d’embauche accompli en liaison directe avec la plateforme interne « EDF Recrute » devraient intégrer immédiatement leurs postes. Un contrat à durée indéterminée dans la besace.

 

 

 

L’alternance priorisée par les ressources humaines du groupe EDF…

 

Le second volet de l’opération concerne l’alternance, une méthodologie pour accéder à l’emploi que privilégie le groupe EDF. Dans le cas présent, une quarantaine de postes sont à pourvoir au sein de la centrale du Cher.

Là aussi, les opportunités de carrière sont multiples avec des postes à exercer dans les services des ressources humaines, de la communication mais aussi ceux à vocation plus technique.

L’alternance représente un sérieux plus à la formation pour le premier producteur et fournisseur d’électricité qui chaque année s’appuie sur cette forme d’intégration en entreprise pour y inculquer ses valeurs professionnelles.

D’ailleurs, une demi-douzaine de ces jeunes gens voient tous les ans leur contrat d’alternance se convertir en postes à durée indéterminée au terme de leur parcours pédagogique…

 

Thierry BRET

 

 


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Il n’est pas question pour le Grand-Sénonais d’abandonner l’organisation de la Semaine de l’Entreprenariat et de l’Emploi à cause de la crise sanitaire ! L’évènement se déroulera du 29 mars au 02 avril. Demandeurs d’emploi et entrepreneurs auront donc la chance de rencontrer les acteurs de l’économie cette année. Toutefois, l’évènement reste soumis à des règles strictes et sera entièrement virtualisé.

 

SENS : La présidente de la CAGS (Communauté d’Agglomération du Grand Sénonais) Marie-Louise FORT s’inquiète de l’avenir économique et social du territoire. Elle souhaite que chacun dans son domaine soit fin prêt lors du redémarrage post-épidémique.

L’intercommunalité poursuit ainsi ses efforts en termes de formation et d’emploi, notamment par une continuité de son partenariat avec Pôle Emploi, l’AER (Agence Economique Régionale), la CCI (Chambre de Commerce et de l’Industrie) ainsi que les spécialistes de l’insertion professionnelle.

A priori, l’élue ne saurait également tolérer une nouvelle année blanche pour la tenue de la Semaine de l’Entreprenariat et de l’Emploi. Un moteur essentiel pour les demandeurs d’emploi et les porteurs de projets de création d’entreprises.

« On voudrait, à terme, faire suffisamment du développement économique de façon à limiter l’évasion des Sénonais qui vont travailler à Paris et ailleurs, surtout avec le télétravail maintenant… ».

 

Une manifestation virtuelle au contenu plutôt riche…

 

Cette année, les services de l’agglomération ont tout misé sur l’exploitation de supports numériques et audiovisuels afin, tout de même, de permettre à la population de rencontrer les acteurs de l’économie du territoire.

C’est à peu près le seul avantage de cette crise sanitaire : accélérer le développement du digital au sein de l’intercommunalité.

Clarisse QUENTIN, adjointe au maire chargée de la vie commerçante, de l’artisanat et de l’attractivité économique pense même que ce sera « une grande année car ces temps un peu compliqués poussent à la réflexion ». Pour les demandeurs d’emploi, c’est aussi « l’occasion de se lancer ».

En charge de l’organisation aux côtés d’Emmanuel CROUZET, directeur général du PEIPS (Pôle Economie et Insertion Professionnelle du Sénonais), Magalie CONDUTEAU, coordinatrice de la Fabrique à Entreprendre (FAE) du Grand-Sénonais, précise que cette semaine de rencontre prévoit « un programme différent chaque jour sur des thèmes qui sont vraiment spécifiques ».

En effet, la Fabrique à  Entreprendre a concocté un programme bien fourni. « La communication avec les médias », « Des clés pour votre réussite » ou encore « Les entreprises qui recrutent » sont autant de thèmes abordés lors d’ateliers qui se dérouleront tous les jours de 09h15 à 18h et auxquels le public devra s’inscrire via le site web de la FAE.

Les futurs dirigeants pourront aussi visionner des vidéos portant sur l’économie au sens large comme le commerce et le soutien aux initiatives économiques.

Côté emploi, la journée du 31 mars lui sera dédiée.

« Les premiers inscrits pourront bénéficier de live le jour J » précise Emmanuel CROUZET. Ils découvriront en avant-première sur Youtube des offres d’emploi collectées parmi les 250 entreprises avec lesquelles le PEIPS collabore déjà.

D’autres vidéos seront disponibles en parallèle telles que les portraits consacrés à certains chefs d’entreprises.

 

Floriane BOIVIN

 

 

 


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Elle a pris le temps de discuter avec chacun des candidats en recherche d’un emploi. Ce fut un échange constructif à bien des égards pour la sous-préfète de l’Avallonnais Cécile RACKETTE. Etonnée parfois des choix déjà bien arrêtés chez certains de ces jeunes gens lorsqu’ils se projettent dans leur vie active. Mais, au-delà d’une présence symbolique, le message véhiculé est clair : l’Etat n’oublie pas la jeunesse, avenir du monde professionnel !

 

AVALLON : Quelques mots sont prononcés pour réchauffer les âmes. De larges sourires s’affichent ensuite sur les visages de ces jeunes adultes en quête de travail. L’un après l’autre, les participants du premier rendez-vous en présentiel concocté depuis longtemps par la Mission Locale entament la conversation avec la représentante de l’Etat.

Ici, c’est une jeune fille, quelque peu prostrée les coudes nonchalamment posés sur la table. Là, c’est un garçon au regard volontaire qui du haut de ses dix-sept printemps souhaite embrasser la carrière de soignant. Pour accompagner les seniors dans leurs soins palliatifs, dit-il avec certitude. Admirable !

Discuter avec cette jeunesse permet à Cécile RACKETTE de prendre le pouls au plus près de la réalité du terrain. La sous-préfète a répondu par l’affirmative à l’invitation du directeur de la Mission Locale de l’Avallonnais et du Tonnerrois Radouan GSSIR. Mieux comprendre la jeune génération pour mieux la guider ensuite sur le chemin de l’emploi ?

« Nous devons apporter un maximum de leviers pour accompagner chaque jeune dans sa recherche d’un emploi, précise-t-elle, à ce titre, le rôle de la Mission Locale est primordial pour y parvenir. Tout comme peut l’être celui de Pôle Emploi… ».

 

Un contact privilégié avec des acteurs des ressources humaines…

 

Des initiatives comme ce « job dating » préparé soigneusement en amont sont utiles. Elles favorisent le suivi individuel de ces prétendants à une vie meilleure, une fois intégrés dans l’activité professionnelle.

Faire parler ce public est capital. Pour savoir ce qu’il désire véritablement selon ses appétences et ses capacités. Par rapport aux différentes filières qui existent sur le champ du travail. Afin de le mettre en relation avec le tissu entrepreneurial, porteur de solutions.

Ce fut le cas, ce mercredi en matinée au premier étage de la Mission Locale, totalement mobilisée pour la réception de cet exercice.

Plusieurs bureaux furent ainsi réservés pour accueillir les entretiens individuels nécessaires entre un responsable des ressources humaines et ce public.

Ce fut le cas avec le représentant du groupe de distribution SCHIEVER. Il avait dans sa besace une kyrielle de postes à pourvoir pour renforcer les effectifs de ses magasins. Mais aussi, de l’un des spécialistes du travail intérimaire : ADECCO.

Remarque pertinente de la sous-préfète d’arrondissement : « Opter pour de petits contrats réalisés lors de missions d’intérim, c’est déjà poser le premier pied dans l’emploi, y acquérir de l’expérience et y nouer des contacts indispensables pour la suite de sa carrière… ».

 

Recréer du lien social par le biais de ces opérations…

 

Alors, revaloriser la fonction travail, unique source de développement de la relation humaine dans cette société perturbée par la COVID et le couvre-feu, n’est-il pas la plus belle des missions à entreprendre auprès de la jeunesse à l’heure actuelle ?

Sans doute ! Au-delà de la simple quête d’un emploi, la trentaine de jeunes gens ayant participé à cette expérience aura pris plaisir à discuter ensemble et à renouer ce fil parfois distendu de la relation à l’autre. En créant ce lien social fédérateur dont la société a grandement besoin.

« D’ailleurs, conclut Cécile RACKETTE à l’issue des différents entretiens avec un zeste d’humour, personne ne m’a dit qu’il rêvait de pratiquer le télétravail lorsqu’il pensait à sa vie professionnelle ! ».

Un signe, donc, qu’il y aura toujours une solution tangible à apporter à ces jeunes qui veulent croquer la vie active à pleines dents ! Comme l’atteste la réussite du plan gouvernemental, « Un jeune, une solution » qui depuis son lancement en novembre dernier a fait ses preuves auprès de cette frange de la population.

 

Thierry BRET

 


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