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En cette période de crise sanitaire imputable à la COVID-19, la jeunesse se sent oubliée. Un sentiment de solitude qui pousse certains à trouver un nouveau sens à leur vie. En faisant preuve d’altruisme et en allant aider les autres. Cette génération sacrifiée tente de faire face à cette conjoncture en ne prévoyant rien de concret malgré un avenir incertain bien présent devant eux...

TRIBUNE : L’engagement des jeunes auprès des associations s’est considérablement accru depuis le début de la crise. La réserve civique voulue par le gouvernement français a été mis en place via le site Internet www.jeveuxaider.gouv.fr Grâce à lui, les jeunes s’engagent dans le bénévolat pour aider les autres citoyens durant cette crise sanitaire sans précédent.

On compte à ce jour plus de 330 000 bénévoles. En s’investissant dans cette voie, ces jeunes gens vont, par exemple, distribuer des repas et des produits de première nécessité aux personnes les plus démunies vivant dans la rue ou dans des établissements d’accueil.

Ils ont également la possibilité de venir en aide aux personnes âgées, à celles en situation de handicap ou de pauvreté tout en entretenant un lien social avec celles-ci.

Avec la fermeture des écoles ou la perte d’un travail pour les parents, certains enfants éprouvent de sérieuses difficultés à suivre leurs cours à distance. Une école qui n’est pas assez à l’écoute des difficultés de l’enfant avec son lot de professeurs absents. Pour y remédier, les bénévoles se proposent alors pour apporter un soutien scolaire à ces enfants.

L’UNESCO a mis en place la campagne « Mon Histoire COVID-19 » pour mettre en lumière la manière dont la jeune génération a créé de nouvelles idées pour faire face à ces temps difficiles.

Certains prennent soin des personnes âgées en faisant leurs courses alimentaires. D’autres améliorent la qualité de vie des « LGBTQAI+ ». D’autres encore se mobilisent pour réunir de la nourriture et aider les secteurs les plus touchés. Le besoin, aujourd’hui, est surtout de se sentir utile…

 

 

 

Un nouveau sens à leur vie mais que se passe-t-il après ? 

 

Cette crise de la COVID-19 engendre beaucoup de stress au quotidien lorsque cette génération oubliée se projette vers l’avenir.

Ce sentiment est présent au quotidien. Que va-t-il se passer après ? Ces étudiants obtiendront-ils leur un diplôme ? Peuvent-ils envisager de trouver du travail ?

Des manifestations se multiplient. A partir de témoignages, d’appels à l’aide, de hashtags tel que la référence « #etudiantsfantomes » qui attestent de ce besoin grandissant de se faire entendre.

Il est devenu très difficile pour ces étudiants de rester positif dans cette période délicate lorsque les cours sont proposés pour la plupart à distance.

Les inquiétudes concernant l’après ne sont pas les moindres. Des diplômes obtenus, certes, mais une offre sur le marché du travail qui est en baisse dans bon nombre de secteurs économiques.

Des concours s’annulent. Conséquence : les étudiants sont non préparés à la poursuite de leurs études alors que le nombre de places disponibles dans les écoles lui est minime.

« Pour ce qui est de l’emploi, je sens une grande précarité arriver. Je me focalise sur le présent avec mes études parce que mon avenir dans le monde du travail est flou et pas rassurant… nous livre en guise de commentaire Kody DOUANGSITHY, étudiant en troisième année d’Information et Communication à l’Université Lumière de Lyon 2.

On est loin, très loin de l’avenir radieux promis à la jeunesse de notre Hexagone…

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Le moment revêtira sans aucun doute d’une grande solennité. Enfin, une prise de parole en présentiel afin de brosser les grandes lignes stratégiques d’une relance économique que tout le monde espère avec impatience sur nos territoires. Les travaux publics en Bourgogne Franche-Comté souhaitent annoncer la couleur pour 2021. Celle de la verte espérance, synonyme de reprise des activités et de carnets de commandes abondamment garnis ? On ne peut que le souhaiter pour une filière dans les starting-blocks !

DIJON (Côte d’Or) : Ce n’est peut-être pas le fait du hasard. Mais, choisir le jour de la Saint Nestor pour organiser la première grande conférence de presse de l’année permettant à la filière des travaux publics et à tout un aéropage de personnalités du sérail économique de pouvoir s’exprimer sur la relance ne manque pas d’interpeller les observateurs que nous sommes à plus d’un titre.

Certes, aux antipodes de la fête qui honore le saint du jour, à l’existence obscure qui le conduisit sur une croix et au supplice de la crucifixion au IIIème siècle de notre ère, intéressons-nous plutôt aux valeurs symboliques de ce prénom aujourd’hui totalement désuet qui magnifie pourtant l’esprit de la sagesse et de la longévité.

De la sagesse et de la longévité : ne serait-ce point-là l’essence même de ces décideurs de la vie entrepreneuriale qui auront l’opportunité de s’exprimer lors de ce rendez-vous, porteur d’espérance ?

De la sagesse, il en aura fallu une sacrée dose pour que ces chefs d’entreprise de ce secteur clé de notre économie ne sombrent pas dans le marasme ambiant quotidien.

Pour assurer la longévité de leur outil de travail, ils n’ont eu de cesse durant des mois de multiplier les efforts afin de préserver l’emploi malgré une baisse d’activité tutoyant les 25 % de pertes. Et des carnets de commande dont les contenus se sont étiolés comme la neige fondant au soleil au fil des mois de cette maudite année 2020.

 

 

Les entreprises des TP sauront répondre à la relance économique…

 

De la sagesse, il en aura été aussi question lors de l’annonce du fameux plan de relance gouvernemental dévoilé par le Premier ministre pour que les entrepreneurs lèvent le voile de la sinistrose qui les enveloppait pour regarder enfin devant soi. 

Néanmoins, les choses ne vont pas aussi vite qu’il le faudrait. Mais, le président de la Fédération régionale des Travaux Publics Vincent MARTIN n’a jamais changé d’un iota son message à destination de ses adhérents, de ses partenaires institutionnels ou des collectivités.

Pour lui, c’est clair : la relance ne peut s’envisager que par les territoires et les entreprises de travaux publics de notre contrée sauront y répondre en participant activement.

L’exercice oratoire auquel il nous convie, ce fameux vendredi 26 février jour de célébration des Nestor, lui donnera l’opportunité ainsi qu’aux représentants des plusieurs organisations professionnelles (MEDEF, FFB, CPME, CAPEB, UNICEM, FNTR, Chambre des métiers et de l’artisanat) d’esquisser les perspectives de la relance telle qu’elle pourrait se concevoir au fil de ces prochaines semaines.

Souhaitons que les informations qui y seront délivrées soient suffisamment encourageantes et ambitieuses sans être départies de cette sagesse et de cet esprit de longévité allant de pair avec ce retour en grâce des travaux publics et de l’économie…

 

Thierry BRET

 


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Il n’y a pas de hasard ! C’est le jour de la Sainte Ella, lundi 01er février, que le nouveau directeur de l’institution a endossé sa vêture de dirigeant de la Bourgogne Franche-Comté. Succédant à Frédéric DANEL parti dans les Hauts-de-France pour y poursuivre sa carrière. S’inspirera-t-il de la ritournelle de France GALL, « Elle a, Ella » dans l’exercice de ses missions ? Elle y évoquait la notion de supplément d’âme. Qui pourrait bien s’appliquer dans la relation constructive avec les entreprises en recherche de collaborateurs ?

DIJON (Côte d’Or) : C’est une mobilisation totale envers les jeunes demandeurs d’emploi que le nouveau directeur de Pôle Emploi Bourgogne Franche-Comté a décidé de mettre en exergue depuis sa nomination à ce poste.

Installé depuis le 01er février dans le fauteuil de son prédécesseur Frédéric DANEL - celui-ci a pris dans le cadre d’un poste de management similaire les rênes de la stratégique région des Hauts-de-France - cet expérimenté professionnel ayant débuté sa carrière à l’ANPE en 1993 entend bien soutenir les entreprises dans leurs projets de recrutement et accompagner les publics, en particulier les plus fragiles, vers le retour à l’activité professionnelle.

Originaire du sud de l’Hexagone, Michel SWIETON jouit d’une solide expérience ayant eu à gérer différentes fonctions décisionnelles importantes au sein de l’organisme mais aussi auprès de Gérard LARCHER, alors ministre de l’Emploi, du Travail et de l’Insertion des jeunes en qualité de conseiller technique.

Alternant des postes en métropole mais aussi dans les départements et territoires d’Outre-Mer, le responsable de l’antenne régionale de Pôle Emploi possède une excellente expertise sur la formation professionnelle des demandeurs d’emploi, l’insertion des travailleurs handicapés, ainsi que l’orientation et l’insertion du jeune public.

En 2007, celui qui désire contribuer à la réussite des dispositifs gouvernementaux dans le cadre du plan « France Relance » sera nommé directeur territorial de Pôle Emploi en Meurthe-et-Moselle, avant de rejoindre quatre années plus tard la Guadeloupe pour y briguer la direction régionale.

Deux ans plus tard, ce grand voyageur qui sera entre-temps repassé par la Basse-Normandie afin d’en prendre la direction régionale, s’envolera pour l’île de la Réunion où il était encore en poste il y a peu.

C’est avec les frimas dijonnais que le nouveau responsable de l’organisme vient de poser ses jalons. Il sait pouvoir compter sur l’engagement des équipes pour mener à bien la feuille de route qu’il s’est tracé. Une feuille de route où il s’appuiera sur le fort engagement des partenaires traditionnels de Pôle Emploi. Ceux avec qui il aura plaisir à travailler désormais.

 

Thierry BRET

 


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Il a pris le temps nécessaire le représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, pour s’imprégner de l’univers industriel qu’il aura découvert ce 11 février. Celui de l’entreprise Aluminium France Extrusion. Soit le deuxième acteur national de ce marché qui fabrique des profilés à partir de cette matière obtenue par électrolyse de l’alumine. Bénéficiaire de 300 000 euros accordés du plan « France Relance », l’entité se prépare à atteindre de nouveaux objectifs, créateurs d’emplois et synonymes de commandes supplémentaires…

GERMIGNY : Propriété de la holding d’investissement OPEN GATE CAPITAL depuis 2013, l’ancien site industriel de PECHINEY qui fut cédé au début des années 2000 à ALCAN envisage l’avenir avec sérénité.

L’entreprise qui exporte 12 % de sa production de profilés d’aluminium vers une dizaine de pays a dévoilé lors de la visite du préfet de l’Yonne Henri PREVOST en ses murs, ce jeudi 11 février, les grandes lignes stratégiques à venir.

Conçus à partir d’un cahier des charges précis et dans des délais très courts pour répondre à la demande croissante, les produits fabriqués dans l’Yonne par cet industriel trouvent des usages auprès des secteurs du bâtiment, des transports, de l’automobile et de l’industrie.

Possédant une seconde unité de production en Picardie, à Ham, AFE a réalisé 95,2 millions d’euros de chiffre d’affaires au terme de l’exercice 2019. Vingt-six mille tonnes de profilés d’aluminium extrudé sont sortis de ses chaînes de production. Le groupe emploie sur ses deux sites 330 collaborateurs dont 285 opérateurs.

La deuxième entité du marché national sur ce segment d’activité recevra d’ici peu une enveloppe budgétaire importante de 300 000 euros dans le cadre du soutien à l’investissement industriel dans les territoires. Une initiative voulue par le plan « France Relance ».  

 

 

Des solutions industrielles en aluminium à forte valeur ajoutée…

 

Accompagné du député André VILLIERS et du président de la Communauté de communes Serein et Armance et maire de Saint-Florentin Yves DELOT, le haut fonctionnaire de la préfecture a montré un vif intérêt à ce projet d’investissement qui lui fut expliqué, visuels à l’appui, par le directeur général d’AFE Hervé PELCERF.

 

 

Soucieux de pouvoir traiter des profilés de plus en plus complexes à l’avenir, le dirigeant de l’entreprise a prévu l’installation d’une nouvelle chaîne de production capable de répondre à ces nouveaux enjeux.

Le site de l’Yonne répond déjà à la complexité technique du marché. En complément de l’extrusion, les équipes parachèvent les profilés. Les opérateurs de sertissage et de parachèvement assemblent les pièces d’aluminium, notamment par coupure thermique et insertion de bandes isolantes entre deux pièces traitées. Les profilés peuvent être également travaillés en surface ou par le processus du laquage ou de l’anodisation, permettant à ces pièces de résister à l’usure, à la corrosion et à la chaleur.

 

 

Obtenir de précieux labels de certification…

 

Ne pouvant s’arrêter de produire à l’instar de toute entreprise qui se doit de respecter son cahier des charges, l’extension d’un bâtiment est également prévue au programme.

En phase d’études à l’heure actuelle, le futur projet devrait connaître son achèvement d’ici la fin de l’année pour la partie constructible du nouveau bâtiment avant le retour de son industrialisation opérationnelle en juin 2022.  

Derrière cette initiative de restructuration, il y a aussi la volonté profonde de développer des outils qui soient plus respectueux de l’environnement.

La réduction de la consommation d’eau, la diminution des déchets poudre ou encore le recyclage de l’énergie et de sa mise en valeur s’inscrivent parmi les objectifs principaux d’Hervé PELCERF.

AFE pourrait par ailleurs décrocher à l’issue de ces aménagements fructueux plusieurs labels de certification intéressants dont le très exigeant SEASIDE après ceux déja obtenus avec QUALICOAT et QUALIMARINE où un objectif de leur renouvellement est souhaité après la mise en route de la future ligne de laquage.

Autant d’informations traduisant la dynamique de l’industriel qui furent divulguées par Hervé PELCERF à ses hôtes, satisfaits de cette immersion chez l’un des fleurons de l’entrepreneuriat dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 


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L’unité de production de ce spécialiste de la modification, la mise au point, la réparation et la maintenance de moules d’injection plastique et de moules de thermoformage figure en bonne place dans les agendas des personnalités de l’Etat. Surtout, après l’immersion récente d’un membre du gouvernement, quelques semaines après celle du préfet. Olivier DUSSOPT s’est dit ravi de sa découverte de l’une des PME bénéficiaire du plan de relance automobile…  

MAILLOT : Et si le pensionnaire de l’Elysée effectuait un jour ou l’autre un déplacement surprise au sein de l’unité de production de la PME industrielle sénonaise ?!

A cette question, la réponse engendre un large sourire sur le visage de Dominique VIE, le dirigeant de cette structure qui vient d’obtenir dans le cadre du plan de relance automobile une aide très appréciable d’1,23 million d’euros.

A défaut d’Emmanuel MACRON, c’est bel et bien le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, en charge des Comptes Publics Olivier DUSSOPT qui pénètre dans les ateliers de la SAS pour une immersion instructive de plus d’une heure.

Le représentant de l’Etat n’y est pas seul. Outre le préfet Henri PREVOST qui connaît bien les lieux depuis sa précédente découverte, l’accompagnent dans cette plongée inéluctable vers les arcanes de l’industrie la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET, la sénatrice Marie EVRARD ou encore des élus de l’Agglomération.

 

E

 

 

Ecoutant avec intérêt les propos explicatifs de ses deux guides, Dominique VIE et son fils Antoine, Olivier DUSSOPT est venu constater de visu que la PME ne sombrait pas dans le marasme imputable à la crise sanitaire du moment aux relents nauséabonds pour l’économie.

Les projets de développement de la SAS sont nombreux avec la construction de nouveaux locaux et surtout une volonté chevillée au corps d’accroître la modernisation de la structure.

 

 

 

 

 

Des projets stimulants pour l’avenir…

 

Retenu parmi les 110 projets nationaux qui profiteront du plan de relance automobile, au même titre que FRUEHAUF à Auxerre, BOUDIN recevra la coquette somme d’1,23 million d’euros pour préparer les différentes étapes de son agrandissement.

Dans le domaine de l’outillage, l’entité se dotera à l’avenir de matériel de vingt-cinq tonnes qui lui permettra de gagner en performance au niveau des moules et de répondre ainsi à de nouveaux marchés.

Naturellement, le manque de place actuel sera compensé par un espace de travail plus en phase avec ses nouveaux besoins. Soit 2 200 mètres carrés d’atelier et 400 mètres carrés de bureaux : le Graal à l’état pur pour tout chef d’entreprise qui se respecte !

 

 

Autant d’éléments informatifs que Dominique et Antoine VIE ont pu transmettre au ministre de manière orale lors de sa déambulation parmi les postes névralgiques de l’entreprise.

La PME emploie à ce jour vingt-cinq collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de près de deux millions d’euros. Toutefois, il lui faudra s’armer de patience  jusqu’en 2023 pour que sa nouvelle unité soit opérationnelle. Cependant, elle sera source d’emplois supplémentaires avec l’embauche une demi-douzaine de salariés. L’avenir s’envisage donc avec un grand « A » chez BOUDIN SAS : une conclusion heureuse qui aura conforté Olivier DUSSOPT dans son choix de visite…

 

Thierry BRET

 

 

 


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