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Non, ce n’est pas un énième commerce de plus qui va accueillir ses premiers clients à la date du 22 mars prochain dans l’Yonne. Une clientèle ciblée sur l’Auxerrois puisque l’enseigne, novatrice dans le paysage de la distribution hexagonale, a prévu l’implantation de l’un de ses dix premiers points de vente sur notre territoire. Son nom de baptême est à retenir parce qu’il sonne bien : « TOUJUST ! » Son positionnement et sa politique de prix, tout autant ! Du pur discount, proposant 70 % de produits sans marque connue…

 

MONETEAU: Le concept devrait faire florès très rapidement dans l’Hexagone. Puisque une cinquantaine de magasins devrait y être opérationnels d’ici la fin de l’année. Avec en guise de perspectives stratégiques, à horizon cinq ans, l’implantation de plus de trois cents boutiques ! Des supermarchés d’un peu moins de mille mètres carrés qui commercialisent une large gamme de produits (plus de 7 000 références) à dominante alimentaire. Nom de code à graver dans les neurones des futurs visiteurs : « TOUJUST » !

Un drôle de patronyme commercial certes, mais très explicite quant à sa fonction première de démocratisation des prix ! Un concept ultra réfléchi par son instigateur, Fabrice GERBER – le personnage possède une très solide expérience de la grande distribution et des politiques de tarifications appliqués en ces lieux (LECLERC, SYSTEME U…) – qui devrait porter un rude coup concurrentiel à des valeurs sûres de ce secteur déjà bien ancrés auprès des habitants de nos territoires, ALDI ou LIDL.

C’est clair et après l’avoir entendu expliquer sa déontologie professionnelle auprès de la journaliste Apolline de MALHERBE sur les ondes de RMC dans l’une de ses matinales, cette semaine, on peut dire aisément que le dirigeant de ce nouvel acteur de la distribution désire placer les prix des produits commercialisés dans ses magasins, juste en dessous de ceux des principaux acteurs du low-cost alimentaire en France. Soit de 2 % moins chers !

 

 

Un défi hors du commun en France avec près de 4 000 emplois…

 

D’ici juin 2023, l’implantation d’une première série de dix supermarchés permettra de poser les jalons de ce nouveau concept encore plus discount que les précédents ! Parmi les villes sélectionnées, citons Alès, Lens, Montauban, Saint-Quentin ou Saint-Maur. Précisons, qu’une trentaine de sites étofferont ce début de maillage hexagonal au cours du second semestre. Particularisme important, il n’y aura pas de MDD (marque de distributeurs) proposées parmi les rayons. Pourquoi ? Afin de ne pas engendrer de coûts supplémentaires chez les industriels.

Se définissant comme « un expert de la distribution désireux se lancer dans un défi hors du commun en France », Fabrice GERBER veut avec cette démarche originale occulter le maximum d’intermédiaires dans les règles du jeu. Celui du commerce de proximité à prix doux ! Un garçon qui en connaît un rayon sur le sujet en sa qualité de petit-fils et fils de commerçants, comme il l’expliquera volontiers sur les ondes de RMC.

Celui qui recherche des réponses appropriées pour soutenir le pouvoir d’achat des Français dans leur consommation quotidienne a conçu ce modèle de supermarchés coopératifs qui s’associe aux fournisseurs.

Une centaine d’entre eux seraient déjà identifiés, participant à la nouvelle aventure pour une durée de vingt ans, en échange de 25 % des profits.

Côté emplois, grâce à ce futur réseau de plus de 300 vitrines commerciales réparties sur l’Hexagone, TOUJUST disposerait d’une force de frappe de près de quatre mille collaborateurs d’ici les cinq prochaines années. De quoi susciter des appétits auprès des villes moyennes de 8 000 à 12 000 habitants qui constituent le vivier naturel pour y implanter l’enseigne.

 

Thierry BRET

 


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Sous l’égide du ministère de l’Agriculture, le camion de « L’Aventure du Vivant » multiplie les escales à travers la France depuis deux ans. Objectif : faire découvrir la diversité des métiers et formations proposés par la sphère agricole à de jeunes collégiens ou lycéens ainsi qu’à des personnes en reconversion professionnelle. Il a jeté l’ancre quatre jours durant à Auxerre et Avallon, embarquant à son bord plus de 300 jeunes et nombre d’adultes, loin jusque-là d’imaginer tout le champ des possibles et les clés d’avenir qu’offrent les différents secteurs présentés.

 

AUXERRE: Avec ses 18 mètres de long et sa robe orange façon « Casimir et l’Ile aux Enfants », solidement ancré sur le parking auxerrois de la Porte de Paris, le camion de « l’Aventure du Vivant » tranche sur le paysage urbain.

A l’intérieur, une flopée d’équipements high-tech : un simulateur de conduite d’engin agricole, des tablettes connectées, des lunettes de réalité virtuelle, des écrans interactifs, tous destinés à promouvoir les richesses de l’enseignement agricole et ses multiples facettes. Avec pour objectif affirmé, de chasser les aprioris encore trop présents aujourd’hui sur les métiers liés à l’agriculture, notamment auprès des plus jeunes. Si la brouette a encore sa place dans les cours de ferme, il y a longtemps qu’elle se conjugue avec l’informatique et le numérique.

« Il y a urgence, rappelle France LAHUTTE, animatrice à l’antenne icaunaise de l’ANEFA, l’organisme gérant l’emploi et la formation en milieu agricole : « rien qu’en viticulture, sur le département plus de 200 postes de tous niveaux restent à pourvoir. Le secteur souffre notamment de l’absence de tractoristes où là, le déficit est immense… ».

Pas faute de communiquer pourtant, auprès des personnes en recherche d’emploi : « dans l’Yonne, l’on ne peut que se féliciter des passerelles existantes avec Pôle Emploi, une super équipe avec qui l’on travaille très bien, en un véritable partenariat… ».

Mais, les préjugés et clichés préconçus sont encore légion et difficiles à faire tomber, reconnaît Jean-Baptiste THIBAUT, vice-président de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne et administrateur à l’ANEFA 89 : « sur tout un tas de corps de métiers, nous sommes en déficit de recrutement. Une dynamique existait mais la COVID est passée par là, cassant depuis deux ans ce qui avait été mis en place… ».

 

 

Une palette de plus de deux cents métiers dans la filière…

 

Reconnaissant toute l’importance d’une manifestation de ce type : « en fait, la plupart des gamins n’ont aucune idée en arrivant, du nombre de métiers gravitant autour de celui d’agriculteur. Là où avant il y avait cinq personnes sur une ferme, la mécanisation a fait qu’il n’y en a plus qu’une, mais sans compter tout le savoir-faire extérieur dont nous avons besoin pour nous aider à exercer notre métier. Beaucoup de jeunes pensent que l’activité se résume à conduire un tracteur, sans imaginer toute l’importance d’un électro mécanicien pour le réparer en cas de besoin. Même chose en ce qui concerne l’informatique embarquée dans le tracteur… ».

Il y a longtemps que les formations de l’enseignement agricole vont bien au-delà du seul domaine de la filière. Aujourd’hui, existent plus de 150 formations générales, techniques ou professionnelles pour plus de 200 métiers dans les domaines les plus divers, comme le rappellent à leur jeune public, Amélie et Charlotte, les deux animatrices accompagnant le camion de « l’Aventure du Vivant » à travers la France : « de l’agroalimentaire avec la transformation des produits agricoles à la protection de l’environnement, en passant par la gestion des forêts ou de l’eau, les nouvelles technologies robotiques, le transport, l’aménagement des espaces, le service à la personne dans les territoires, ou encore, les métiers de l’enseignement… ».

Pour autant, la sphère agricole semble encore souffrir d’un déficit de notoriété chez les jeunes, à l’image de cette collégienne dont se souvient Amélie, « revenue le soir avec sa maman, avec tout un tas de questions car très intéressée, mais n’osant pas les formuler devant les autres élèves de sa classe… ».

 

 

Un enjeu majeur : le renouvellement des générations d’agriculteurs…

 

L’intérêt porté au simulateur de conduite d’engin agricole semble lui bien réel à en juger par le nombre d’élèves de cette classe de 3ème du lycée Vauban se pressant autour, mais pas facile de manœuvrer un tracteur et sa remorque de six mètres : « tu as renversé les bidons et maintenant tu roules sur les pots de fleurs ! ».

Pas certain qu’à l’issue de sa courte expérience, le jeune Marceau se tourne vers l’agriculture ! A contrario de son camarade Augustin qui lui a déjà choisi : « mon oncle et mes grands-parents le sont déjà et ça me plaît depuis que je suis tout petit, c’est mon truc depuis longtemps… ».

Un truc et une passion qui devraient tout naturellement le conduire à exploiter une ferme un jour. Et lui aussi aura besoin demain, de tous ces corps de métiers intermédiaires pour l’accompagner au quotidien dans l’exercice du sien. Si le renouvellement des générations d’agriculteurs est un défi majeur, celui des professions gravitant autour l’est tout autant.

A noter pour les personnes n’ayant pu profiter de l’arrêt dans le département du bus de « l’Aventure du Vivant », que celui-ci sera présent Porte de Versailles à Paris, tout le temps du Salon de l’Agriculture, du 25 février au 05 mars prochains.

 

Dominique BERNERD

 

 


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Heureuse initiative que celle-ci ! Elle concerne nos têtes blondes et se développe sur le versant méridional du territoire, accueilli chez « Radio Avallon ». Désormais, le secteur du périscolaire possède sa déclinaison radiophonique, vivement encouragée par la directrice d’antenne du média, l’infatigable Maria DA SILVA. Objectif : les enfants proposent selon leur propre sens analytique une relecture de l’actualité…

 

AVALLON : Le concept se nomme « Atelier Radio Junior » ! Un rendez-vous hebdomadaire qui s’est installé sur la grille de « Radio Avallon », tous les lundis – l’idéal pour bien entamer la nouvelle semaine ! – sur les temps périscolaires de la soirée. Volontaires pour vivre cette aventure radiophonique novatrice, les élèves participent à des ateliers d’initiation. Sous la férule de la journaliste et grande prêtresse de l’information locale, Maria DA SILVA qui les initie aux techniques particulières de ce média sonore, la radio étant l’un des plus prisés des Français.

Autant dire que l’émulation est bien présente chez ces jeunes pousses de l’information qui prennent part à ces ateliers reposant sur l’écoute collective du journal. Ceci induit moult échanges et explications, avec déjà du discernement !

Explication de texte fourni par Maria : « Les enfants doivent comprendre ce qu’est une émission radiophonique en repérant les différents sujets qui y sont traités, précise-t-elle, cela permet aux élèves de mieux comprendre la rédaction sur le choix des sujets et l'organisation de leur propre émission… ».

Pour se faire, à l’aide d’exercices concrets – tout cela est très sérieux au plan de la construction pédagogique -, les élèves doivent repérer des formules qui ont pour but de tenir en haleine l’auditeur (le buzz !) et de faire des transitions entre les sujets. La relève de Stéphane BERN ou de Julien COURBET est assuré, visiblement !

 

Des temps d’antenne et la construction technique d’un journal sonore…

 

Parmi les tâches à accomplir, la création d’un journal occupe les esprits. Avec la phase de montage, d’habillage, de choix de titres, de lancement, d’interviews, de brèves et de chroniques ! Bref, du sur mesure radiophonique adapté, jetant les bases saines des fondamentaux du journalisme, tout en recoupant les informations. Et comme ils doivent passer à l’antenne, ces jeunes néophytes travaillent aussi leurs intonations !

Ce sont les enfants eux-mêmes qui sélectionnent de façon collective à la manière d’une conférence de rédaction leurs sujets à traiter. Chacun se met dans la peau de son personnage. Un « Tintin » reporter en herbe !

Au terme de ces ateliers ludiques et éducatifs, les enfants intègrent le projet « Des sons animés », un concept porté par Radio Avallon. Il a pour objectif de proposer aux enfants des temps d’antenne radio afin de travailler l’éducation aux médias. Cela leur offre l’opportunité de devenir, le temps d’une saison, des animateurs de Radio Avallon en puissance. Et peut-être d’y prendre goût et de les inciter à choisir cette voie professionnelle ?

A l’aise, derrière le micro, prolixe et plutôt désinvolte, la nouvelle génération avallonnaise prend du plaisir à la découverte des richesses transmises par ces actualités qui font le monde.

Pour mieux l’appréhender, sans doute, et la bousculer avec son opinion et ses commentaires constructifs, sans pratiquer la politique de l’autruche dont bon nombre d’adultes d’aujourd’hui sont de fervents adeptes…

 

Thierry BRET

 


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Muni d’une solide expérience dans sa besace – plus d’un quart de siècle lui ayant permis d’explorer moult aspects des politiques culturelles, artistiques, pédagogiques et touristiques -, le nouveau responsable du fameux site conceptuel vantant les glorieuses aventures de nos ancêtres les gaulois – confrontés à la puissance de César et à ses armées – vient de prendre ses marques, le 15 février du côté d’Alise-Sainte-Reine. Un sacré challenge après le fructueux épisode Michel ROUGER qui aura duré la moitié d’une décennie. Que Laurent BOURDEREAU est prêt à relever par Toutatis !

 

ALISE-SAINTE-RENE (Côte d’Or) : On ne présente plus la fameuse structure touristique de Côte d’Or qui aura accueilli encore plus de visiteurs que les années antérieures en 2022 ! Un site ludique, pédagogique, interactif, et technologique qui fait le bonheur des petits, et des plus grands. En famille ou entre amis. Et ce, depuis dix ans !

Jamais à court d’idées, ses dirigeants ont su faire évoluer ce lieu patrimonial qui offre l’heureuse opportunité à ses visiteurs de plonger dans l’histoire de notre pays, à l’époque où la France s’appelait encore la Gaule. Sacrés gaulois, d’ailleurs, qui n’avaient qu’une seule crainte : que le ciel ne leur tombe sur la tête !

Des gaulois, parfois réfractaires comme aime à le rappeler la présidence actuelle de la République dès la première manifestation revendicative venue, dont les aventures sont régulièrement remises au goût du jour via la magie de la bande dessinée (merci à Albert UDERZO et à René GOSCINNY et à leurs successeurs !) ou plus récemment sur le grand écran avec les énièmes épisodes des péripéties de personnages imaginaires cultes, Astérix et Obélix !

Autant dire que la prise de fonction du nouveau directeur du MuséoParc Alésia, Laurent BOURDEREAU, se révèle idéale par sa synchronicité tant l’actualité « gauloise » fleurit à la une des médias de l’Hexagone à date !

Un garçon qui prend la suite des opérations après Michel ROUGER que bon nombre de spécialistes de la chose culturelle et touristique régionale appréciaient. Un défi digne du « Combat des Chefs » et de sa BD opposant les irrésistibles gaulois, gavés de potion magique, aux cohortes de légionnaires romains !

 

Une expérience unique à la tête du musée de « La Vache qui rit » !

 

A la lecture du cursus du nouvel impétrant devant prendre les rênes du marqueur identitaire départemental que représente le musée bourguignon, une chose s’avère exacte : Laurent BOURDEREAU n’aura pas besoin d’ingurgiter une infime dose de la célèbre potion druidique pour trouver très vite ses repères au sein de l’établissement.

La petite cinquantaine, le nouvel « Abraracourcix » - chef gaulois du village – revient donc sur ses terres originelles, puisque natif de Dijon.

Directeur des affaires culturelles des villes de Lure (Haute-Saône) et de Chaumont (Haute-Marne), puis administrateur de l’espace Michel Simon à Noisy-le-Grand et du festival « Chalon dans la Rue » - les puristes se souviendront toujours des balbutiements de cette manifestation populaire et pérenne créée par le duo Pierre et Quentin -, voilà notre homme qui étoffe un peu plus son CV, qui comprend tellement d’arborescences avec notamment les titres de directeur des domaines départementaux de Chamarande et Méréville pour le compte du Conseil départemental de l’Essonne, de 2008 à 2015.

Quittant le public pour le privé (pourquoi pas ?!), il s’installe à Lons-le-Saunier dans le Jura à la demande du groupe BEL pour y diriger le musée de « La Vache qui rit », l’emblématique fromage crémeux, référence identitaire du groupe industriel familial. Une expérience d’un septennat !

 

Favoriser les échanges entre générations et vers le plus grand nombre…

 

Nourri de ses pérégrinations à travers la Bourgogne Franche-Comté, on le retrouve quelque temps du côté de la Nièvre où il effectue un bref passage au sein de l’établissement public de pratique et d’enseignement artistique, Réso Nièvre.

La suite, on la connaît : il pose ses valises à Alise-Sainte-Reine, cadre bucolique et champêtre idéal pour se remémorer l’histoire de nos ancêtres !

Agé de 52 ans, Laurent BOURDEREAU souhaite imprégner sa griffe sur ce lieu, « où l’on peut prendre le temps des échanges entre générations et où nous soutenons l’accessibilité pour le plus grand nombre… » - une des marques de fabrique de l’endroit. Un challenge impeccable à relever pour ce titulaire d’une maîtrise en histoire de l’art de l’Université de Bourgogne. De quoi joindre l’utile à l’agréable, par Bélénos !

 

Thierry BRET

 

 


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Il ne faut pas trop se fier à la signalétique routière ! Et à l’interdiction manifeste de ne pouvoir stationner sur le parking de la Porte de Paris. La fameuse place, située au nord du rond-point permettant l’accès au cœur de ville, accueillait moult véhicules malgré la venue de ce  curieux poids lourd, à l’estampille de « L’Aventure du Vivant » que les Avallonnais retrouveront mercredi chez eux !

 

AUXERRE : Il sillonne l’Hexagone de part en part et s’est posé le temps de deux longues journées sur le parking de la Porte de Paris, lundi et mardi. De 09 heures à 18 heures, un délai suffisamment large pour que le jeune public, issu du milieu scolaire, mais aussi les plus grands en âge de s’insérer dans la vie active puisse y découvrir son intérieur. Une remorque étrange, contenant le matériel adéquat entre projecteur de vidéo et simulateur, voire tablettes interactives (voir l’article à venir à ce propos), explicitant les différentes filières de l’enseignement agricole. Une initiative portée par l’ANEFA de Bourgogne Franche-Comté où étaient embarqués une kyrielle de partenaires institutionnels…et les acteurs de l’agriculture territoriale.

 

En savoir plus :

L’Aventure du Vivant

Mercredi 22 février et jeudi 23 février 23 à Avallon

De 09 h à 18h sur le parking de la RD 606

En face du cimetière.

 

Thierry BRET

 

 


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