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Intégré parmi le conseil d’administration de la structure agricole départementale au cours du double exercice 2016/2018, le jeune professionnel, installé depuis septembre 2013 dans le nord-ouest de l’Yonne possède une motivation sans borne pour entamer ce mandat de président. Succédant à Mathilde LEMAITRE qui rempile dans le nouveau bureau en qualité de trésorière, le responsable des Jeunes agriculteurs de l’Yonne, fraîchement élu, dévoilera le contenu de sa feuille de route d’ici la fin avril…

AUXERRE : Adhérent des Jeunes agriculteurs de l’Yonne depuis 2015, Maxime BOUCHER vient d’être désigné par ses pairs président de la structure à l’issue du conseil d’administration qui s’est réuni le jeudi 15 mars à Auxerre.

Agé de 23 ans, le jeune garçon à la tête d’une exploitation céréalière de 124 hectares à Fouchères a profité des faveurs du scrutin pour prendre la responsabilité de cette entité qui fédère aujourd’hui près de cent-cinquante adhérents et sympathisants, âgés de 17 à 35 ans, voire un peu plus…

Détenteur d’un baccalauréat STAV obtenu au lycée de Saint-Pouange dans l’Aube, Maxime poursuivra son cursus d’enseignement supérieur en décrochant un BTS APV en 2014, au lycée de la Brosse à VENOY.

Lors de son mandat précédent, au sein du conseil d’administration, le jeune professionnel a eu en charges les dossiers des grandes cultures, environnement et relation avec la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de l’Yonne.

Au cours de ce mandat qui devrait le porter jusqu’en 2020, Maxime BOUCHER bénéficiera de la présence d’une équipe solide et aguerrie constituée de Guillaume GOUX, secrétaire général, Loïc SAUTREAU, secrétaire général adjoint, Mathilde LEMAITRE, trésorière, Jean-Baptiste GODEFROY et Jean-Baptiste TRIBUT, responsables installation, Charlotte RENARD, responsable de la communication, Guilain DESNOYERS, responsable des filières, Bertrand MASSON et Julien CAILLARD, candidats à Jeunes Agriculteurs Bourgogne Franche-Comté ainsi que l’ensemble du conseil d’administration élu lors de l’assemblée générale le 01er mars 2018…


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Parce que les accidents de tracteur représentent la première cause de décès accidentel en milieu agricole, l’assureur mutualiste GROUPAMA Paris Val de Loire propose, tout en le finançant, un programme à vocation pédagogique et sécuritaire régulier, baptisé « Dix de conduite rurale ». En ce mois de mars, quatre-vingts pensionnaires du lycée agricole de la Brosse à VENOY ont pu bénéficier d’une séance de travail spécifique permettant de mieux appréhender les risques. Et surtout de les éviter…

VENOY : Chaque année, en France dans le secteur de l’agriculture, 35 % des décès accidentels sont imputables au contact avec une machine agricole. Et même si l’on enregistre moins d’accidents depuis quatre décennies, il n’empêche que les conséquences de cette accidentologie professionnelle occasionnent des effets irréversibles.

Les plus sérieux de ces accidents qui pourraient être évitables à 90 % surviennent avec des machines très volumineuses à l’instar des moissonneuses-batteuses, des récolteuses de légumes, des pailleuses ou des désileuses.

Les origines de ces catastrophes funestes (on dénombre une cinquantaine d’accidents mortels chaque année) sont humaines. Parmi les circonstances les plus fréquentes : les rotations effectuées par les engins à la sortie d’une rangée de cultures. Entraînant la mauvaise stabilité du tracteur.

« Le plus souvent, confie un professionnel, ces accidents résultent presque tous de l’écrasement de l’opérateur, de son éjection du véhicule, d’un happement par un élément de la machine (arbre de transmission à cardan ou prise de force), de coincements par les systèmes de relevage ou de la chute de la personne depuis une nacelle ou un godet… ».

Moins de deux secondes pour que le tracteur se renverse…

Largement utilisés par les agriculteurs, les tracteurs constituent le cœur de cible de cette formation « Dix de conduite rurale ». Surtout que les statistiques ne plaident pas en faveur de cet engin côté renversement. Chaque année, on compte entre vingt et trente victimes de retournements de ces puissants véhicules. Les circonstances en sont les suivantes : le renversement peut s’effectuer sur le côté durant les opérations réalisées sur une pente raide, au bord d’un fossé ou dans un virage. Mais, plus dangereux, il y a aussi le renversement vers l’arrière (cabrage) lorsqu’un attelage ou toute autre cause provoque une élévation de la partie avant de l’appareil motorisé.

Force est de constater, qu’il est souvent trop tard pour pouvoir réagir : il ne faudra pas plus de deux secondes au tracteur pour qu’il ne se retourne complètement.

Une globalisation des thèmes autour des engins mécaniques et de manutention…

La session aura permis d’aborder d’autres items liés à la circulation de ces engins agricoles sur les routes (des véhicules évoluant avec extrême lenteur et garantissant de nombreux encombrements derrière eux), la sécurité en termes de signalisation lorsque les engins sortent de la ferme, l’entretien mécanique de ces appareils avec les risques inhérents à leur manipulation et les précautions à prendre avec les engins de manutention mécanique.

Précisions, pour être tout à fait complet sur ce dossier, que cette opération « Dix de conduite rurale » a reçu également le soutien de partenaires issus de l’entrepreneuriat (CLAAS, le fabricant d’engins agricoles ou TOTAL) mais aussi de la Compagnie Républicaine de Sécurité et de ses représentants, plus connus sous l’appellation de CRS…


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Structure associative regroupant l’ensemble des agriculteurs ayant succombé aux sirènes vertueuses de la pratique agricole sans pesticides, ni OGM, ni engrais chimiques de synthèse, le Groupement de l’agriculture biologique de l’Yonne (GABY) représente aujourd’hui une ossature autonome et indépendante qui réaffirme sans cesse ses valeurs professionnelles saison après saison au cœur du paysage territorial. A l’issue de cette assemblée générale, un nouveau conseil d’administration ainsi que différents responsables de commissions ont été désignés par un mode électoral interne afin de représenter l’entité auprès des instances corporatistes régionales de la filière…

VENOY : Agir dans le respect sanitaire des sols, des animaux et de l’humain, tel est le credo des représentants de ce groupement agricole icaunais qui organisait il y a peu au CFPPA de La Brosse sa traditionnelle assemblée générale.

Structure ne dépendant d’aucune filiation directe ou indirecte avec un syndicat professionnel généraliste, le GABY constitue un organe indépendant qui évolue au sein du réseau bio régional et national. Il collabore en parfaite osmose avec BIO BOURGOGNE, une entité positionnée à la fois sur les services techniques à accorder au développement de l’agriculture bio, de la restauration collective, mais aussi de la promotion de la bio locale et des circuits courts.

Responsable de ce groupement, Philippe CAMBURET indiquait lors de l’énoncé de son rapport moral les grands axes prioritaires qui prévalent au sein de l’organisme.   

L’élevage bio voit ses méthodes de production évoluées…

Si l’élevage bio se situe encore à la croisée des chemins et nécessite un réel essor de la production y compris au niveau de l’Hexagone, les facilités à l’installation souffrent en revanche de contraintes drastiques importantes dans le cahier des charges. Toutefois, l’intérêt du consommateur observé en faveur de la viande blanche (le veau) et sa traçabilité qualitative pourrait faire bouger les lignes à terme. Les méthodes d’élevage mutent également puisque les éleveurs complètent l’habituelle alimentation lactée par des doses de nourriture issues de mélange céréalier. Même si des exploitants continuent de produire des veaux uniquement à base de lait, et sans l’octroi de compléments de nourriture solide. Fondante et goûteuse, cette viande correspond au veau de lait traditionnel : elle représente environ 14 % de la production de veaux bio abattus chaque année en France depuis 2015.

Attendre les conséquences réelles de la future loi d’orientation en France…

Du côté des productions céréalières, à l’instar de leurs confrères qui pratiquent l’agriculture classique, les spécialistes du bio ont souffert de nombreux dégâts inhérents aux fortes gelées ayant impacté le nord de la Bourgogne au printemps 2017. Ils redoutent d’ailleurs une récidive de cet épisode nuisible cette année qui serait annonciateur de mauvaises récoltes.

Sur un plan politique, les membres du GABY attendent les effets pérennes de la future loi d’orientation qui devrait être programmée prochainement à la suite des états généraux de l’alimentation, avec une sérieuse accentuation opérée auprès de l’agriculture bio dans notre pays.

Avant que le directeur du lycée professionnel agricole de La Brosse, M. BAILLARD ne puisse expliquer lors de son intervention la conversion logique de l’exploitation agricole actuelle de l’établissement vers l’agriculture biologique, les neuf délégués devant représenter les instances départementales auprès du groupement régional de Bourgogne furent enfin dévoilés à l’issu des suffrages.

Il aura aussi été question de manière substantielle du projet de fusion entre les deux organismes régionaux, ceux de Bourgogne qui a célébré ses quarante années de fonctionnement, et de Franche-Comté. De manière prévisible et inéluctable, les conditions de ce rapprochement se négocient avec beaucoup de convictions à l’heure actuelle.

Précisons, afin d’être tout à fait complet sur ce dossier, qu’aucun membre du GABY ne s’est porté volontaire pour occuper le poste de représentant de la viticulture bio icaunaise au sein de ce futur outil régional. Une lacune qu’il sera impérieux de résoudre au plus vite pour que la représentativité de notre département soit acquise…

Alain LENTA et Thierry BRET


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« L’amour du travail bien fait ». C’est la définition retenue par Jean-Claude DESNOS, maire de Courson les Carrières qui caractérise le mieux le parcours professionnel de cet homme âgé de 60 ans qui a fait valoir ses droits il y a peu à une retraite méritée et qui recevait en ce samedi 10 mars devant un parterre de personnalités politiques et institutionnelles la médaille Grand Or du travail. Une récompense honorifique qui salue les quarante-et-une années d’expériences professionnelles vécues aux côtés de la famille de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants agricoles céréaliers…

COURSON LES CARRIERES : De l’émotion mais aussi une extrême convivialité résument les principaux traits caractéristiques de cette cérémonie protocolaire organisée en ce 10 mars au matin dans la grande salle de réception de la mairie de cette commune de Forterre.

Les milieux agricoles, en force parmi l’assistance, n’auraient voulu manquer sous aucun prétexte ce rendez-vous solennel où l’un de leurs pairs, Didier BOIVIN, recevait la médaille Grand Or du travail, une distinction haute en symbole qui traduit la fidélité sans faille d’un employé modèle et sérieux au sein d’une entreprise.

Un joli pied de nez au destin…

Garçon de l’assistance publique, travailleur et courageux, Didier BOIVIN n’a pas ergoté sur les moyens et sur sa réelle motivation pour rejoindre très tôt, dès l’âge de 18 ans, la vie active. C’est muni d’une mobylette qu’il se présentera un jour de l’année 1976 au domaine agricole de Françoise et René FAUCHEUX, exploitants céréaliers à Courson.

Surpris par cette pittoresque rencontre et aussi par la volonté exprimée par ce jeune homme empli d’audace, le couple se décide de lui tendre la main et de lui accorder sa chance professionnelle malgré la situation très délicate vécue par la filière en cette année de sécheresse exceptionnelle. Le frère de René, Luc, venant de s’installer dans une ferme voisine, Didier BOIVIN mutualisera les travaux agricoles au gré des besoins, se partageant sur les deux exploitations familiales. Un joli pied de nez pour ce garçon, n’ayant pas de famille et qui tiendra sa revanche sur la vie en intégrant ce nouvel environnement…

Perfectionniste, ne lésinant pas sur la découverte de techniques nouvelles par le biais de la formation et des stages, Didier suivra tour à des tours des séances pédagogiques poussées, lui permettant de gagner en facilité au niveau de la soudure, de l’électricité, mais aussi de la prévention.

Cette appétence pour le volet technique, Didier BOIVIN les mettra à profit dans la structure agricole qui l’emploie. Adepte du matériel dernier cri, ce professionnel enjoué lorsqu’il se rendait sur les salons corporatistes maniera avec aisance l’utilisation des technologies numériques embarquées à bord des tracteurs, pourvus de système GPS afin d’optimiser les performances.

Les honneurs même au niveau national…

Confidence de René FAUCHEUX distillée lors de son allocution : « Didier a aussi contribué au développement de nos projets professionnels de notre exploitation. Y compris en installant le photovoltaïque, récemment… ».

Poursuivant cette fructueuse collaboration avec Emmanuel, le fils de Françoise et de René, Didier BOIVIN demeure un parfait bricoleur, ce touche-à-tout de génie vers qui on se réfère et qui sait faire ce qu’il veut de ses dix doigts dès que le besoin l’emporte.

Cet ouvrier modèle aura même eu les honneurs de notre confrère, « France Agricole », publiant une photographie le mettant à son avantage sur les bienfaits d’un nouveau matériel de semis direct. Il recevra également une distinction honorifique de la part de la société HORSCH pour avoir apporté sa plus-value et sa matière grise dans l’amélioration d’un outillage innovant.

Il était légitime que Didier BOIVIN reçoive les congratulations de la filière agricole qui n’oubliera jamais ses bons et loyaux services exercés dans la même structure durant 41 ans !

Ainsi que celles des représentants politiques à l’instar du conseiller départemental Yves VECTEN qui félicitera l’heureux récipiendaire de cette médaille (celle de la passion du métier) et du député de la circonscription, Guillaume LARRIVE, rendant hommage aux professionnels de l’agriculture, segment économique qui nourrit la France et le monde entier…


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Trouver des sources de revenus complémentaires pour les agriculteurs en cette période complexe vécue par la filière suppose la pratique de la diversité. Les opportunités offertes par la transition énergétique incitent à explorer davantage ces préconisations qui peuvent s’avérer judicieuses. A l’instar de celles adoptées par le GAEC FRANET Frères à Hauteville-les-Dijon (Côte d’Or) qui a mis à profit la construction de nouveaux hangars en 2010 pour installer un générateur photovoltaïque de 43,56 kWc raccordé au réseau, soit environ 300 mètres carrés de panneaux monocristallins. Gains financiers pour la structure : 15 000 euros de revenus en bonus annuel. Cet encouragement à l’efficacité énergétique via le développement des énergies renouvelables dans le secteur agricole a fait l’objet ce vendredi 23 févier d’une signature, celle de la convention de partenariat unissant EDF et la coopérative DIJON CEREALES en vue d’une collaboration optimale…

HAUTEVILLE LES DIJON (21) : Promouvoir l’utilisation et le développement des énergies renouvelables auprès des acteurs des milieux agricoles représente l’ossature prioritaire de ce nouveau partenariat, entériné de manière officielle ce vendredi 23 février par les responsables d’EDF et de DIJON CEREALES. Profitant de la visite et du retour d’expérience de l’exploitation de Bertrand FRANET, équipée de panneaux photovoltaïques depuis huit ans, les dirigeants des deux structures ont formalisé leur accord en présence d’élus de la circonscription, notamment le député de Côte d’Or, Didier MARTIN.

Une articulation de cette convergence d’intérêts en quatre chapitres…

En statuant ainsi les contours pragmatiques de leur nouvelle association, le fournisseur d’énergie régional et le groupe coopératif agricole et agroalimentaire, leader en Bourgogne Franche-Comté, proposent un accompagnement concret sur la maîtrise de la demande d’énergie destinée aux professionnels de l’agriculture.

Le schéma applicatif de cette convention se décline en quatre volets : la communication à travers les informations expertes fournies par EDF sur les solutions énergétiques innovantes, la production d’électricité à partir des panneaux photovoltaïques qui ouvre des perspectives intéressantes vers l’autoconsommation grâce à un contexte règlementaire plus favorable, le développement vers la méthanisation et le biogaz dans un esprit d’agriculture durable (des projets qui nécessitent une taille critique au niveau usuel) et l’emploi du digital avec un large éventail de possibilités qui induit la recrudescence effective des produits connectés (robots, capteurs, drones…).

Sur ce dernier point, EDF épaulera le groupe coopératif sur l’exploitation des données numériques et l’analyse de celles-ci ainsi que pour la mise en place de portails de données, contribuant in fine à l’excellence de la filière. Bien au-delà de simples études analytiques de ces statistiques et renseignements, il s’agira pour les deux partenaires, acteurs clés de l’économie territoriale, d’explorer un projet portant sur l’agriculture péri-urbaine.

Le concept répondrait à la fois aux aspirations sociétales de mieux manger pour les consommateurs et à la professionnalisation optimale des jeunes exploitants très orientés vers l’emploi à bon escient du numérique.

Vers la vitalité et le dynamisme retrouvés des milieux agricoles…

Comme devait le préciser Marc PATRIAT, président de DIJON CEREALES, « l’agriculteur représente toujours le vecteur fondamental de la ruralité au plan économique. Ils sont des acteurs engagés au service de leur environnement. C’est donc en toute logique que les 3 800 adhérents que nous représentons soutiennent cette initiative favorable à l’agro-écologie, à l’agriculture durable et à des perspectives judicieuses en matière de transition énergétique ».

Un propos que le président du groupe coopératif confirma par la décision de son conseil d’administration de parapher un accord de partenariat jugé très satisfaisant.

Quant à Christine HEURAUX, déléguée régionale EDF Bourgogne Franche-Comté, elle rappela lors de son allocution que les missions d’EDF ne se limitaient pas uniquement à l’exploitation du nucléaire. En effet, le premier fournisseur d’électricité en France est aussi un acteur engagé dans la production d’une électricité bas carbone, avec l’adoption du Plan Solaire ayant un objectif de production de 30 GW de solaire photovoltaïque entre 2020 et 2035.

« Notre devoir, devait-elle ajouter, c’est d’être à l’écoute grâce à cette convention de celles et ceux des professionnels du monde agricole qui veulent être indépendants et autonomes en matière d’énergie… Nous voulons optimiser cette relation en pratiquant une attitude de gagnant/gagnant au service de la planète ».

L’accessibilité des énergies renouvelables au monde agricole apporte indéniablement une image de la vitalité et de dynamisme de l’agriculture dans notre région.


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