Conscient que le monde de l’agriculture suit une constante évolution et se transforme dans son approche fonctionnelle afin de répondre aux enjeux sociétaux et consuméristes de demain, l’assureur mutualiste régional adapte sa stratégie et ses produits aux besoins de ses partenaires naturels. Le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne, Pascal MAUPOIS, a profité de son point presse trimestriel pour rappeler les caractéristiques et les enjeux de ces engagements vis-à-vis des professionnels de la filière. Avant de procéder au renouvellement des partenariats qui l’unissent avec les principaux acteurs agricoles du territoire…
AUXERRE : Invitant les journalistes à le rencontrer lors de la seconde conférence de presse de son mandat, le nouveau président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne de GROUPAMA Paris Val de Loire Pascal MAUPOIS a tenu à officialiser la nature des partenariats que le leader de l’assurance et de la prévoyance entretient avec les acteurs économiques de la filière agricole.
Aux côtés du directeur des établissements de l’Yonne, Jacques BLANCHOT, le président, lui-même issu du sérail de l’agriculture en sa qualité de céréalier, convia le secrétaire régional et président de l’Yonne des CUMA, Walter HURE, le représentant de l’exécutif des Jeunes Agriculteurs, Maxime BOUCHER et le binôme à la tête de la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA), Damien BRAYOTEL. Ce dernier était accompagné de son nouveau directeur, Philippe LOUSSET. Toutes ces personnalités devaient prendre part à cet exercice de communication orale.
Le point d’orgue de cette rencontre, placée sous le signe des relations publiques et de la convivialité, se concrétisa par le paraphe des documents officiels au terme de cette entrevue.
Des conventions de partenariat ouvertes à tous les secteurs économiques…
Ce geste symbolisa la reconduction effective de ces trois partenariats. D’une durée de deux à trois ans, selon l’antériorité de leurs modalités administratives, ces conventions traduisent l’entente cordiale qui perdure depuis moult années (peut-être dès l’origine de la création séculaire de l’assureur mutualiste en 1870) entre les spécialistes de l’assurance/prévoyance et les acteurs économiques de leur cœur de cible historique, à savoir les milieux agricoles et viticoles.
Elles ne sont plus les seules par ailleurs. Ouvertes aux autres secteurs de l’activité économique (bâtiment, industrie…), les conventions déclinées par GROUPAMA Paris Val de Loire incluent dorénavant des structures emblématiques de certains corporatismes à l’instar de la CAPEB (Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment), du commerce et de l’industrie orienté vers de petites structures professionnelles (CPME) ou vers l’insertion via des organismes référents à l’image de la BGE (anciennement Boutique de Gestion).
Une complémentarité intéressante qui s’applique au sein même du conseil d’administration de l’assureur mutualiste. Comme devait le préciser Pascal MAUPOIS lors de son propos introductif, « des représentants des Jeunes Agriculteurs et de la CAPEB travaillent en qualité d’élus dans cette entité décisionnelle ».
Expliquant la nature de ces partenariats, basés objectivement sur la déclinaison de produits assurantiels mais aussi de prestations et de services à destination des entreprises tout secteur confondu ainsi que les particuliers et les collectivités, le président de la Fédération départementale des caisses de l’Yonne résuma une évidence en une seule donnée statistique. 25 % du chiffre d’affaires de GROUPAMA Paris Val de Loire (environ 630 millions d’euros) provient du fondement historique de l’agriculture et de la viticulture.
Des partenaires satisfaits de leur relation professionnelle…
« Depuis 55 ans, les CUMA (Coopératives d’utilisation de matériels agricoles) entretiennent des liens privilégiés avec les responsables de l’assureur mutualiste, expliqua Walter HURE, l’un des signataires de ces conventions, nous avons pour objectif d’acquérir du matériel en commun et de venir en accompagnement des agriculteurs lors de projets de développement et renouvellement de matériels ».
Devant la prééminence des besoins, GROUPAMA Paris Val de Loire propose une extension des garanties souscrites par les chefs d’entreprises aux dirigeants de ces CUMA, par le biais de la responsabilité civile de ses dirigeants.
Du côté des Jeunes Agriculteurs et de son président, Maxime BOUCHER, l’indice de satisfaction se situe à l’identique. Si le syndicat promeut les installations et les modèles économiques en visant le renouvellement générationnel, il s’appuie aussi sur les outils mis en place par le partenaire assureur. A commencer par la charte « Terre Entreprise » qui offre son lot d’avantages concrets dont une réduction tarifaire sur les risques d’assurance, soit de manière linéaire de près de 30 % durant cinq ans, soit de façon progressive selon le compte d’exploitation de la structure.
« En outre, ajouta Jacques BLANCHOT, il existe d’autres manières de soutenir les jeunes à l’installation grâce au diagnostic prévention sur les sinistres physiques et incendies, des aides pour doubler les indemnités journalières en cas de pépin, la valorisation des objets connectés, le soutien humain avec l’association de remplacement de l’Yonne en cas d’heureux évènements ou de besoin de coupure »…
La charte aux vertus salvatrices a même été étendue aux 243 paysagistes et des milieux hippiques (130 centres équestres) du département.
Une complémentaire santé spécifique aux anciens exploitants agricoles…
Quant à la FDSEA de l’Yonne, qui a pour vocation de défendre les adhérents et de communiquer vers le grand public sur les nombreux métiers de l’agriculture, elle jouit d’excellentes relations avec son partenaire mutualiste. Si l’essence de ce partenariat se conçoit comme une forte plus-value autour de la communication (présence commune à la Foire Saint-Martin à Auxerre, accueil envisageable sur le stand de l’assureur à la Foire exposition d’Auxerre…), GROUPAMA Paris Val de Loire a également initié une offre spécifique à destination des anciens exploitants agricoles. Sous la forme d’un contrat collectif maladie avec l’application de tarifs préférentiels depuis mars 2018.
« Nous rencontrons un franc succès autour de cette nouvelle proposition, concède Jacques BLANCHOT, des rencontres vont être prochainement organisées à Auxerre, Chablis et Sens afin d’en expliquer les fondamentaux auprès des affiliés de la FDSEA. Un partenariat, c’est aussi cela : avoir un contact direct avec un interlocuteur, de pouvoir le rencontrer physiquement et surtout de régler un problème avec beaucoup de simplification et de facilité… ».
Des propos prononcés en guise de conclusion avant que les signataires de ces trois conventions ne se retrouvent autour de la table, afin d’apposer leurs griffes sur les documents.