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Puisaye Forterre

C’est le dépaysement garanti ! Tant dans l’assiette que dans la salle. Avec en sus, l’hôte de ces lieux, un chef impayable et si accueillant se prénommant Ricardo. C’est un établissement rustique, fleurant bon la campagne et le naturel (chassez-le et il revient au galop !). Il n’est pas si simple à trouver, certes, mais avec un bon GPS, on arrive cependant à bon port et c’est tant mieux. Sougères-en-Puisaye ! Bon, c’est entendu : les urbains n’y vont pas tous les jours. Ils ont tort. Ici, à l’heure du dîner à titre d’exemple, on se régale d’excellentes fondues, largement agrémentées de charcuteries et de gratins crémeux et exquis à redonner l’appétit à un fervent adepte du jeûne !

 

SOUGERES-EN-PUISAYE : Le contraste est saisissant. Sur l’un des murs de pierre de la bâtisse est planté un écran dans sa version XXL. On y voit une starlette de la variété américaine se trémousser un brin dénudé en robe de paillettes en interprétant l’un de ses tubes planétaires. Les paroles s’affichent en lettres jaunes en bas du téléviseur. Eh oui ! C’est l’une des subtilités agréables et inattendues de l’endroit. Après l’heure du repas, vient le temps de chanter à l’aide de ce karaoké, voire de danser et de profiter de la chaleureuse ambiance accentuée avec les lumières bigarrées, dignes d’un night-club !

Sur le mur d’en face, c’est une tête de sanglier, travaillée par le talent minutieux d’un taxidermiste, qui semble avec les effets de l’ombre et de la lumière dodeliner du chef en écoutant la musique disco ! Une paire de skis et des ustensiles utilisés dans les sphères montagnardes accentuent le trait. On s’attendrait presque à voir surgir de nulle part la bande du SPLENDID, dans sa désopilante version des « Bronzés font du ski » - repose en paix Michel BLANC ! – tant le décor est juste et parfait.

« Le Pic Savoyard » ! Un cadre unique, une atmosphère détendue, un personnage emblématique (Ricardo) qui ne pratique pas l’art du chichi dans ses paroles tout en étant très précautionneux dans son accueil à la clientèle et surtout, il y est servi des spécialités inspirées de la montagne à savourer sans modération.

 

 

Le fromage fondu se déguste dans toutes ses variantes

 

D’ailleurs, il y a tellement abondance de mets dans l’assiette que le propriétaire de l’endroit propose à sa clientèle d’emporter le trop plein qui resterait éventuellement dans les plats ! Le geste, élégant, est suffisamment rare pour être mentionné !

Puisque la saison automnale débute, quoi de plus sympathique que de se faire une bonne fondue entre amis, en couple, avec sa progéniture et pourquoi pas en solo du côté de ce restaurant pittoresque de la Puisaye !

Bien sûr, toutes les spécialités savoyardes figurent à la carte car ici, il n’y a point de menus. Vous souhaitez goûter du Reblochon et sa garniture de pommes de terre, c’est possible ! Une raclette à la mode traditionnelle avec l’appareillage chauffant qui permet d’étaler de larges tranches de fromage fondu dans l’assiette, c’est préparé aux petits oignons ! La fondue dans sa conception bourguignonne du terme, à base de viande, également ! Mais, là, où il est nécessaire d’arriver quasi à jeun (éviter la grosse collation du déjeuner !) pour mieux se concentrer sur le plat « vedette » de la soirée, annoncé sur la carte, c’est bien naturellement la fondue de fromages !

 

 

 

Ah, la farandole de gratins dont celui aux truffes !

 

Une fondue aux quatre fromages que Ricardo fait venir directement de Savoie. Une pure merveille de goût et d’onctuosité ! Tout cela est préparé avec une base de vin blanc, sans doute de l’apremont – il se marie très bien avec ce plat – ou de Chignin. Dans la dégustation de la fondue savoyarde, il y a des codes à respecter. D’abord, la présence d’un pain rassis et à la fermeté assumée ! C’est le cas ici dans la panière abondamment garnie – « s’il n’y en a pas assez, pas de problème, on en ramène, précise en souriant Ricardo ! – avec ce pain de campagne fait à point. Ensuite, il y a la présence de la charcuterie. A la vue du plateau, on ne manquera pas de s’interroger : mais, il y en a pour combien de convives ?!

De la charcuterie ? Que nenni ! Des charcuteries comme il est indiqué sur la carte ! De belles tranches de jambon sec, jambon blanc, de coppa, de rosette, de saucisson, accompagnées de cornichons et oignons blancs : là aussi, la règle est la même que pour le pain, quand il n’y en a plus, il y en a encore, afin de se sustenter convenablement, foi de montagnard ! Le repas présenté sur la table est déjà gargantuesque, il va virer au pantagruélique ! De là, à faire une « overdose » de fondue, on n’ira pas jusque-là !

Une généreuse salade, avec en sus des tranches de tomates, arrive sur la table. Le récipient est plutôt grand ; les feuilles de laitue et de scarole ne se battent en duel au fond du saladier ! Mais, le sublime reste encore à venir ! Ce sont les gratins. Au nombre de trois, servis dans des ramequins de terre cuite, ils offrent une palette succulente de ce qui se fait de mieux dans le landerneau en gratin de légumes, en gratin d’inspiration made in Savoie (cela ressemble à un gratin dauphinois gagnant en onctuosité) et surtout, le saint des saints à damner, le gratin de légumes aux truffes ! Le simple fait de remuer la cuiller dans le récipient avant de prendre sa part fait exhumer les suaves fragrances de ce champignon mythique si odorant et tellement délicieux. Ricardo ne pratique pas l’art de la demi-mesure dans sa recette. Son gratin est largement garni du fameux ingrédient ! A consommer sans aucune modération, même s’il faut lécher le plat afin de le rendre vierge !

C’est bon, rudement bon et goûteux avec ça ! « C’est fin, c’est très fin, ça se mange sans fin ! » comme l’a affirmé, ANEMONE, dans sa réplique du « Père Noël est une ordure » ! Le SPLENDID, encore et toujours ! Surtout quand on évoque la montagne et ses recettes de cuisine si gourmandes. Et au « Pic Savoyard », après un si bon moment vécu aux confins de la Puisaye, ne serait-ce pas, « quand te reverrai-je pays merveilleux ?! »….

 

 

En savoir plus :

Les - : pas grand-chose à redire sur cet établissement d’un point de vue négatif. A l’exception, et encore, du stationnement devant l’établissement un peu trop restreint en nombre de places. Il existe la place de l’église à quelques centaines de mètres de là !

Les + : une atmosphère décalée, un propriétaire des plus volubiles et sympa, un rapport qualité/prix très correct (31 euros la formule fondue pour deux personnes), la présence d’un nappage sur la table et la possibilité de repartir chez soi avec le reliquat de gratin que l’on aurait laissé au fond du récipient !

Contact :

Le Pic Savoyard

17/11 Départementale 73

89520 SOUGERES-EN-PUISAYE

Tel : 06.51.71.93.34.

Ouverture le vendredi soir, samedi midi et soir, dimanche midi et soir

Service à partir de 19 heures jusqu’à 23 heures

Réservation préférable

 

Thierry BRET

 


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Ils ont le moral jusqu’au bout des chaussettes, les entrepreneurs de la filière industrielle. Et il y a de quoi : de la prudence qui prévalait lors du dernier printemps, ils sont passés à l’attentisme absolu d’aujourd’hui, et désormais, ils parlent volontiers d’inquiétude pour demain ! C’est simple : la filière fondamentale de l’activité économique de l’Hexagone, c’est-à-dire la métallurgie commence à broyer sérieusement du noir. Un noir comme savait les peindre Pierre SOULAGES avec ses multiples variantes de sombre profond qui ne permettent pas la place à l’optimisme…Ni au passage de la lumière salvatrice.

L’UIMM tire d’ailleurs la sonnette d’alarme. L’Union des Industries des Métiers de la Métallurgie observe un fort ralentissement de la production industrielle dans le pays en cette période automnale. Etrange paradoxe alors que le discours politique est tout autre depuis des mois et des mois puisqu’il encourage ouvertement, mais ne serait-ce que des mots, le grand retour à l’industrialisation. Un encouragement, certes, mais qu’en est-il exactement dans les actes ?

Cette industrialisation, vivier de la production manufacturière de notre territoire nous échappe depuis tant d’années en France ! Un pays, victime du dumping social et dont les forces vives de la production ont été aspirées vers des contrées plus éloignées et exotiques, qui connaissent à leur tour la crise. Suivez mon regard : il s’oriente vers la Chine en proie à une récession économique inhabituelle et inquiétante pour l’équilibre économique planétaire…

 

La quadrature du cercle : pas d’investissement, pas de recrutements

 

Aujourd’hui, il est difficile de dire de quoi demain sera fait pour les chefs d’entreprise de la filière industrielle. Une observation qui est valable pour tant de secteurs en proie à de sérieuses difficultés financières. On citera volontiers le monde agricole qui est toujours dans l’attente de la moindre mesure à se mettre sous la dent pour améliorer son sort. Le mouvement protestataire des syndicats agricoles date pourtant de janvier dernier ! Il faut du temps pour faire bouger les lignes en France : surtout quand elles doivent niveler vers le haut la situation de nos concitoyens !

Que dire du commerce, des métiers de service qu’ils soient à usage des entreprises comme des particuliers, de l’artisanat, de l’hôtellerie/restauration, à date totalement déboussolé par tant de fermetures et de dépôts de bilan ?

Mais, revenons, au seul secteur de la métallurgie. Une entreprise sur deux constate la baisse de son activité depuis le début de l’année. Le fer de lance de l’industrie voit ses carnets de commandes vides de toute substance ce qui a pour incidence, dans un premier temps, de réduire la voilure de la trésorerie (incidence importante à bien des égards, on l’imagine), mais aussi de suspendre toutes les velléités d’investissement mais aussi de recrutements. Or, sans la présence de nouvelles recrues à ajouter dans sa besace pour optimiser la productivité, pas de nouvelles affaires potentielles à adjoindre à son carnet de commandes afin d’assurer davantage de sérénité à la société, et ainsi de suite : c’est donc la quadrature du cercle en mode le serpent de mer qui se mord la queue pour les entreprises de l’Hexagone à l’heure actuelle.

 

 

Il y a urgence à relancer l’industrialisation de la France

 

Statistiquement, 40 % des entreprises industrielles hexagonales hésitent à recruter à date ! 65 % d’entre elles expriment pourtant le désir de pouvoir investir afin de relancer la machine, mais la plupart choisissent l’inertie dans la prise de décisions non par choix mais par contrainte pour une raison fondamentale et simple qui se nomme la…prudence.

La sacro-sainte prudence qui s’est distillée tel un lent poison dans notre société depuis le mois de juin, date de la dissolution gouvernementale. Celle-ci a engendré une très longue période de doute et d’incertitude au cours de l’été avant que ne soit nommé un gouvernement à qui l’on demande désormais de travailler et de rattraper le retard ! D’ailleurs, l’épilogue de ce fameux feuilleton à la NETFLIX ne s’est finalement terminé il y a peu, une fois les sempiternels Jeux de Paris enfin clos !

Il y a donc urgence en la matière !

Et pas uniquement sur le plan de la hausse de la fiscalité qui va une fois de plus pénaliser les entreprises et les Français dans leur ensemble (y compris les retraités) afin de réduire une dette publique abyssale que nos gouvernants de jadis et de maintenant ne savent toujours pas maîtriser !

Si 2024 n’était pas encore une année trop dégradée pour les entreprises au niveau économique, que dire de la prochaine qui ne se présente pas selon les hypothèses des plus réjouissantes au niveau des carnets de commandes ! L’inquiétude des milieux entrepreneuriaux va donc succéder à la longue période de l’attentisme, synonyme d’immobilisme dans les prises de décision. Troquant ainsi un borgne pour un aveugle. Pendant ce temps-là, le monde continue à tourner et pas toujours dans le bon sens, comme le rappelle le souvenir des conflits meurtriers du Proche-Orient qui devraient faire repartir très vite la folle poussée de l’inflation ; ne serait-ce qu’à la pompe si les plateformes pétrolières de l’Iran venaient à disparaître sous les frappes de Tsahal…

 

Thierry BRET

 


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Ce n’est pas vraiment le temps idéal pour découvrir l’avancée du chantier ! De la pluie, en veux-tu, en voilà, qui tombe parfois en grande quantité sur le complexe sportif, érigé non loin du camping de Toucy. Pourtant, les ouvriers des entreprises sollicitées s’activent – ils ont l’habitude, plaisantent-ils, des intempéries - et n’ont cure de cette eau, élément aquatique majeur à la construction de la future piscine qui s’abat ironiquement sur leurs têtes ! Le centre aquatique intercommunal progresse, c’est indéniable. Ce qui réjouit le président de la Puisaye-Forterre, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, qui a servi de guide aux représentants de la presse, conviés à une découverte…

 

TOUCY: Il aurait peut-être fallu prévoir une bonne paire de bottes, imperméable aux intempéries et protectrice de la boue environnante, pour se rendre sur le chantier du centre aquatique intercommunal de Puisaye-Forterre, au terme de la conférence de presse accordée par le président de l’institution communautaire, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI ! Les mocassins et autres chaussures de ville n’étaient donc pas les bienvenus sur le site, gorgé d’eau et boueux à souhait, propice à la moindre glissade ! Mais, aux grands maux, les grands remèdes, l’essentiel était donc de se rendre sur place et de constater de visu la progression d’un édifice qui a fait couler beaucoup d’encre depuis une dizaine d’années parmi les camps des partisans comme des détracteurs du projet.

En une décennie, en effet, et avant le premier coup de pioche, le centre aquatique intercommunal de Puisaye-Forterre a suscité d’innombrables réactions parmi la population, de très positives à franchement mauvaises. Mais, les faits sont là. Il faut bien observer que le concept, encore dans sa phase de construction, a de la « gueule » lorsque l’on est aux abords de celui-ci. Même derrière les grillages !

L’architecture du bâtiment prend forme, les bassins s’imaginent déjà avec de l’eau, les installations semblent être idéalement bien pensées…ce qui permettra à terme, soit à l’été 2025 de pouvoir disposer d’un complexe aquatique à la fois fonctionnel, ergonomique et esthétique.

 

 

Un centre aquatique reposant sur trois orientations majeures

 

Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, casque de chantier à l’immaculée blancheur vissé sur la tête, le rappelle : « le centre aquatique intercommunal répond à trois objectifs justifiant ainsi sa construction, l’apprentissage de la natation aux enfants – une question fondamentale face à l’élément aquatique et à sa dangerosité en cas de non-maîtrise de la nage -, la promotion des activités physiques et de la santé et la pratique des loisirs... ».

Trois arguments qui tiennent la route dans l’explicatif de cet édifice ayant nécessité in fine un investissement de 10 millions d’euros hors taxe. Moyennant 40 % de subventions obtenues auprès de l’Etat dans le cadre de la DETR et du FNDS avec la coquette somme de 700 000 euros, soit autant que la ville de Nantes (!) et plus que Nevers, de la Région BFC, de la Ville de Toucy grâce à des fonds de concours.

Entre deux étages visités dans les moindres recoins de béton, le président de la Communauté de communes revient en aparté sur les motivations l’ayant poussé à soutenir ce projet.

« Il n’y a pas de raison que les zones rurales n’aient pas la possibilité d’apprendre à nager aux enfants. Et puis, le volet sanitaire est primordial aujourd’hui. Avant même un troisième point que sont les loisirs… ».

 

 

 

Même les réfractaires au projet attendent son ouverture !

 

Vu la situation du centre aquatique, ce dernier item s’avère tout aussi passionnant en termes de fréquentation et de retombées économiques puisque le camping de Toucy n’est qu’à une encablure du futur complexe. Or, quid au niveau de la rentabilité d’un camping et de son attractivité s’il n’y a pas la présence à proximité d’un espace aquatique ou d’une piscine ?

A bout de souffle, et datant de 1972, la piscine de Toucy ne répondait pas au cahier des charges actuels incluant les ambitieuses prérogatives de l’exécutif, voulant en faire un point de repère sociétal et touristique attrayant.

« Le coût pour refaire une piscine non couverte revenait in fine aussi cher que de bâtir une piscine couverte, ajoute Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, du fait du peu de subventions sur ce type de projet… ».

Exploité par le biais d’une DSP (délégation de service public), le futur centre aquatique sera en outre équipé d’un espace de bien-être favorable à la détente et d’une pente à glisse dont les enfants sont si friands.

Curieusement, les opposants d’autrefois attendent désormais l’inauguration du site, selon le président de la CCPF !

« Des personnes qui étaient autrefois contre ce projet me demandent à présent la date d’ouverture du centre ! ».

 

 

Une jauge de 7 000 adeptes de natation

 

Un point important sera examiné par le conseil communautaire. Il concerne l’équité en termes d’utilisation du nouvel équipement.

« J’y tiens beaucoup, insiste Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, cela se rapporte au transport des enfants. Il va falloir que l’on se mette d’accord sur des grilles de financement des transports des enfants. C’est-à-dire que tous les enfants du territoire qu’ils soient éloignés ou proches du centre aquatique puissent bénéficier des mêmes avantages d’utilisation… ».

Normalement, le complexe flambant neuf accueillera ses premiers nageurs en juillet 2025 au tout début de la période estivale. Une ouverture se faisant en adéquation avec le lancement de la saison touristique. Quant à l’inauguration, elle serait programmée à l’automne suivant, probablement au mois d’octobre. Près de 7 000 personnes pourraient profiter des avantages bénéfiques de cette infrastructure. Une jauge importante, selon l’élu de l’Yonne, qui devrait aussi englober les sportifs et les adeptes de natation en provenance de l’Auxerrois.

 

Thierry BRET

 

 


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Elle venait d’avoir 28 ans. Installée en Afrique pour y développer un réseau d’échange de savoirs autour de l’alphabétisation, elle n’aura pas eu le temps de voir aboutir son projet. Le destin en a décidé autrement. Une neuro-encéphalite paludique survenue brutalement le 10 octobre 2003 condamnera irrémédiablement la pauvre Marie BIETLOT. Un choc difficile à surmonter pour Andrée DE SMET, sa maman, la muse du troubadour de Puisaye, Gérard-André. Depuis, chaque année, La Closerie se pare des « Couleurs d’Afrique » pour que vive la mémoire éternelle de Marie…

 

ETAIS-LA-SAUVIN : C’est devenu un rituel au fil des ans. Un rendez-vous que les férus de poésie, de chansons et de culture ne manqueraient pour rien au monde. Une manifestation qui honore la mémoire d’une jeune femme, trop tôt disparue, loin des siens, en terre africaine. Une pathologie fulgurante, survenue il y a un peu plus de vingt ans déjà. Depuis, tous les ans, à la date anniversaire de ce tragique départ ou presque, les amis et les fidèles suiveurs de la vie artistique si riche et si intense proposée par le couple à la tête du théâtre champêtre de La Closerie se retrouvent dans le cadre d’une grande manifestation, articulée autour de deux temps forts : une exposition-vente mettant en scène les produits artisanaux du Burkina-Faso et un temps consacré à la musique. Un concert de kora et de balafon, c’est ce qui est programmé lors de cette édition 2024.

L’artisanat burkinabé mérite amplement le détour. Elle est proposée par le groupe Baobab 89 qui, depuis 2008, fait un important et merveilleux travail dans le village de Zoungou au Burkina Faso. Ses membres se rendent régulièrement sur place pour réaliser avec les habitants d’importants travaux : deux salles de classe, un puits, un centre de santé...

Quant aux deux artistes, Idrissa DIEBATE et BALAKALA, se produiront munis de leurs instruments si typiques. D’abord, il y a la kora dont Idrissa joue depuis l’âge de dix ans. C’est une sorte de harpe faite d’une demi-calebasse tendue d’une peau de chèvre et d’un long manche, comprenant de 21 à 24 cordes. Puis, il y aura le balafon avec BALAKAL. Lui aussi, il a commencé très jeune. Le balafon n’est autre que l’ancêtre du xylophone. Le son est produit en tapant avec des baguettes sur des lames en bois.

Idrissa DIEBATE est originaire du Sénégal. BALAKALA, lui, est natif de Guinée. Ils viennent pour la deuxième fois, ensemble, sur la scène de La Closerie. Ils appartiennent tous deux à une grande famille de griots. Ils sont considérés parmi les plus grands musiciens africains de kora et de balafon, résidant et vivant à Paris. Ils tirent de leurs instruments des sons d’une grande beauté souvent accompagnés d’un chant très doux, très narratif, appris dans la tradition orale qui constitue les racines de leur peuple. Un moment fort pour ne jamais oublier la mémoire de Marie…

 

 

En savoir plus :

Couleurs d’Afrique

Concert de kora et de balafon

Chant et musique du monde,

Samedi 05 octobre 20h00 / Dimanche 06 octobre 15h30 

Exposition vente d’artisanat burkinabé

Samedi 05 octobre de 15h00 à 18h00, dimanche 06 octobre de 11h00 à 18h00

 

Thierry BRET

 

 


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Très motivée, la cheffe de l’Avallonnais derrière les fourneaux ! La gérante du « Vaudésir Aux Hirondelles » n’a pas boudé son plaisir ce jeudi après-midi pour prendre part aux côtés des apprentis du lycée hôtelier Vauban à Auxerre aux préparatifs du menu qui sera dégusté quelques heures plus tard dans le cadre de l’opération culinaire, « Grand Repas 89 ».

 

AUXERRE : Concentrée, la cheffe icaunaise, marraine du « Grand Repas 89 », Cécile RIOTTE ! Elle met la main à la pâte (ou plutôt au fourneau !), en donnant un ultime coup de collier à quelques heures de la dégustation du menu qu’elle a spécialement concocté pour cette quatrième édition proposée sur notre territoire ! Aux côtés des apprentis du lycée des métiers hôteliers de Vauban, la toque du « Vaudésir Aux Hirondelles » s’active en cuisine sous le regard admiratif de Michèle CROUZET, ancienne parlementaire aux commandes de ce challenge ayant pour objectif de promouvoir l’art du bien mangé et de la gastronomie auprès de nos concitoyens ! Le patron des cuisines de l’établissement auxerrois n’est pas très loin : François HENNARD veille au grain également auprès de ses jeunes pousses, ravies de prendre part à cette belle aventure culinaire.

 

 

« Les élèves ont beaucoup travaillé ! Ils ont lu et relu les fiches techniques de la recette, explique la cheffe de l’Avallonnais, tout se passe bien ! ».

Satisfaite, Cécile est heureuse d’être là ! « Tout le monde s’implique, les jeunes, les professeurs, les chefs ! Je suis hyper contente du résultat ! ». Une belle manière de valoriser le terroir, à la sauce gastronomique !

 

Thierry BRET

 


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