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Une fois n’est pas coutume dit l’adage. Mais, l’univers agricole sera placé sur le devant de la scène médiatique en juin prochain. Grâce à des spots publicitaires qui inonderont les canaux cathodiques des chaînes du groupe France Télévision. Objectif : vanter l’une des filières ayant le vent en poupe en France, la CRC pour « Culture Raisonnée Contrôlée ». Précisément celle que promeuvent les coopératives 110 Bourgogne et YNOVAE sur notre territoire…

 

PARIS : La campagne s’invite à la ville. Plus exactement, la vision bucolique de champs ensemencés de cultures imprégnera de ces images les esprits curieux des téléspectateurs. Les yeux rivés sur les écrans de leurs téléviseurs, ceux-ci découvriront tout au long du mois de juin une série de clips projetant sous le feu des projecteurs la filière CRC et ses bienfaits !

De quoi ravir les dirigeants des deux importantes coopératives de notre contrée, à savoir 110 Bourgogne et YNOVAE, qui encouragent au développement de ladite filière. Eux-mêmes étant de judicieux ambassadeurs de ce concept de valorisation.

Récemment, les responsables de 110 Bourgogne ont obtenu de précieux subsides de l’Etat dans le cadre de l’appel à projet France Relance. Afin de restructurer les filières agricoles et agroalimentaires au centre de bon nombre de préoccupations gouvernementales.

 

 

 

Concrètement, nous l’avions expliqué par le biais d’un article paru dans nos colonnes, l’entité 110 Bourgogne lançait un programme de travaux visant à réhabiliter quatorze silos à grains répartis sur la Côte d’Or, la Seine-et-Marne et l’Yonne.

Au-delà du réaménagement pragmatique de ces silos se grève également la volonté de mieux rétribuer les productions des adhérents de la structure. Considérant que la filière CRC représente l’une des voix d’excellence dans sa démarche qualité, la coopérative 110 Bourgogne, à l’instar de trente-quatre autres entités similaires et plus de 3 000 agriculteurs, est devenue l’un des promoteurs de cette branche qui ne demande qu’à croître.

Gageons qu’après la diffusion de ces courts métrages, la filière CRC (elle a de beaux jours devant elle) sera mieux reconnue et identifiable par le grand public. Une filière qui produit 550 000 tonnes annuelles et représente 10 % des blés français destinés à l’alimentation humaine…

 

Thierry BRET

 


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Cette fois, c’est sûr : l’équipe du MUSEO Parc entrevoit enfin le bout du tunnel ! Après avoir connu des hauts et des bas, côté humeur, tant les incertitudes et les fausses joies s’étaient accumulées au cours de ces dernières semaines. Une première fois annoncée, puis remisée sous le manteau, la réouverture du site touristique de Côte d’Or est enfin acquise pour ce mercredi 19 mai. Mais, sous certaines conditions…

 

ALISE-SAINTE-REINE : L’impatience est non feinte parmi les collaborateurs qui travaillent au succès de cette aventure entamée il y a déjà plusieurs saisons. D’ici quarante-huit heures, ce haut lieu du tourisme régional ouvrira ses portes après de longs mois de fermeture.

Une réouverture attendue par beaucoup mais qui devra se conformer aux consignes sécuritaires en vigueur, eu égard à la pandémie de la COVID-19 et à l’application stricto sensu des inévitables gestes barrières.

Dès mercredi, petits et grands auront la faculté de pouvoir s’immerger dans cet univers consacré aux Gaulois en découvrant une exposition spécifique pour les enfants dédiée à leurs habitudes alimentaires. Elle sera agrémentée de différents ateliers (cuir, argile, cuisine –décidément très en verve ! -, verrerie et mosaïque).

Une exposition temporaire sera visible jusqu’à fin juin. C’est un nouvel éclairage informatif qui expliquera que les Romains étaient amateurs, entre autres, de la chair de flamants roses ! Plus sérieusement, les férus d’archéologie auront le loisir d’apprécier une collection de pièces uniques retrouvées sur le site, théâtre de la fameuse bataille où Jules César vainquit le célèbre chef gaulois.

La technologie et la magie du 3D plongeront les visiteurs dans l’univers d’une ville antique. Un voyage virtuel insolite pour mieux s’imprégner de l’urbanisme et de la vie quotidienne des habitants de l’époque.

 

 

Des nouveautés à la pelle qui se découvriront durant tout l’été…

 

Quant à l’exposition permanente, elle ne sera pas accessible pour le moment, étant toujours en travaux. Toutefois, un espace de découverte sur l’histoire d’Alésia sera aménagé dans l’atrium afin de livrer quelques clés à la compréhension du lieu.

Côté nouveautés, signalons un jeu, décliné sous la forme d’un « escape game » baptisé la « Furie d’Alésia ».

Les participants se glisseront dans la peau d’un journaliste enquêtant sur un certain nombre d’énigmes à résoudre sur la cité gallo-romaine, mettant en scène le Gaulois EBERIUS.

Un programme alléchant de nouveautés (Festival Image Sonore, la nouvelle scénographie, organisation d’un week-end de sports antiques, spectacle de la reconstitution de la célèbre bataille…) étoffera les journées estivales. Nous y reviendrons plus en détails dans un autre article.

Enfin, pour les amoureux de la nature, profitez de votre séjour pour contempler les 35 moutons qui paissent sagement aux abords des bâtiments.

Ils sont issus de la race « romane » dont les brebis sont réputées pour être maternelles et câlines. Un clin d’œil appuyé à l’environnement que la direction met en exergue depuis des années avec une multitude de partenariats pour protéger les oiseaux, les insectes et la végétation.

 

En savoir plus :

 

Compte tenu des règles sanitaires, il est fortement conseillé de réserver sa visite à l’avance sur le site www.alesia.com ou par téléphone au 03.80.89.95.20.

Possibilité de restauration à emporter avec le restaurant Le CARNYX.

Tarif réduit durant la période de fermeture de l’exposition permanente à 6,50 euros pour les adultes et 8 euros avec la visite des vestiges.

 

Thierry BRET

 


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Mieux qu’une longue saga télévisuelle, le vingt-et-unième épisode du feuilleton hebdomadaire consacré à la découverte de la gastronomie de notre terroir et aux arts de la table fait toujours recette auprès des Auxerroises et Auxerrois. Celles et ceux qui fréquentent dès potron-minet le traditionnel marché alimentaire du vendredi place de l’Arquebuse…

 

AUXERRE : C’est déjà la vingt-et-unième édition pour le marché de la restauration indépendante installé depuis ses débuts, place de l’Arquebuse à Auxerre. Et visiblement pour les chefs d’entreprise qui y participent, l’enthousiasme demeure intact pour sensibiliser les consommateurs à la découverte de leurs produits. Des plats et des recettes savamment mis en lumière pour aiguiser les appétits farouches comme ceux des plus réfractaires !

Accueillis dès 06h45 par les équipes du grossiste METRO, l’un des instigateurs de ce relais local d’une plus vaste opération nationale déclinée dans bon nombre d’agglomérations de l’Hexagone, les restaurateurs du cru (une dizaine présents ce vendredi 14 mai) ont pu satisfaire les envies consuméristes des chalands, friands de produits qualitatifs et fait maison.

Sur leurs stands, les restaurateurs ont pu nouer des liens précieux avec une clientèle désormais habituée à leur présence depuis plusieurs semaines et adeptes des bons petits plats à emporter !

Rappelons que l’initiative est portée par l’Union des Métiers et des Industries de l’hôtellerie (UMIH) départementale, le Groupement national des Indépendants (GNI) et la Confédération générale de l’alimentation en détail (CGAD) ainsi que la Ville d’Auxerre.

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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La micro-brasserie artisanale située à Saint-Bris-Le-Vineux a remporté plusieurs récompenses au concours international de Lyon grâce à deux des quatre bières présentées. Une satisfaction pour les gérants de la brasserie qui viennent seulement de fêter la première année d’activité de leur entreprise…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Simon BERHAUT et Romain SORIN sont âgés respectivement de 33 et de 35 ans. Leur rencontre a abouti à la création d’une micro-brasserie, implantée sur notre territoire en 2019.

Frère d’un brasseur amateur, Simon a tout de suite été bercé dans l’apprentissage de ce métier. Romain, élève en viticulture, a rapidement été pris de passion pour l’organisation de soirées festives où il souhaitait maîtriser son sujet.

A la suite de leur rencontre, ils ont eu l’envie de se projeter et de créer ensemble un projet basé sur le local et l’écoresponsable. Pour le réaliser, ils se sont appuyés sur certains acteurs locaux tels que BGE, un réseau d’accompagnement et d’aide à la création d’entreprise. INITIACTIVE 89 les a soutenus dans l’élaboration de leur projet d’entreprise. C’est ici que FAYYAR est né.

 

 

Une première commercialisation en pleine période de confinement…

 

Cette entité, c’est avant tout, la conception de bières biologiques, une revalorisation des drêches (résidus de malt après empâtage) et moins de déchets. La structure dispose d’une gamme fixe de cinq bières (Pale Ale, Witbier, Porter, Amber Ale et IPA) et une gamme éphémère, avec des bières élaborées en fonction des saisons (Cherry Milkshake, une bière blonde aux cerises et lactose), des rencontres (l’exotique variante Sumatra) mais aussi de leur folie créative (une bière aux baies de Timut, des bières aux bourgeons de sapin et miel, etc.). Ces produits peuvent être achetés dans le réseau BIOCOOP ou dans la boutique auxerroise à l’appellation si curieuse « PYNEAU PRUNUTZ », consommés à La Scène des Quais ou au restaurant du « Grandgousier » à Auxerre.

FAYYAR s’est aussi élargi dans tout le département avec d’autres points de vente par exemple à la « Boutique des Saveurs » à Joigny ou chez « Gamm Vert » à Toucy. La structure développe doucement son réseau de distribution hors du département.

Les premiers produits ont été commercialisés seulement trois semaines avant le premier confinement en mars 2020. Les deux entrepreneurs ont alors tenté de trouver des solutions en allant sur les marchés hebdomadaires de différentes villes ou villages. De plus, ils en ont profité pour mettre en place la logistique pour les livraisons à domicile. Ils ont tout même réussi à obtenir une aide de l’agglomération pour un projet basé sur la réduction de déchets.

 

 

Un concours plus que positif pour les deux entrepreneurs…

 

Avec un chiffre d’affaires annuel de 50 000 euros, les deux garçons décident de tester leur fabrication. Ils participent à deux concours. L’un est le national de la bière du musée Français à Nancy où les résultats ne sont pas encore publiés à ce jour. Le second étant le concours international de Lyon où ils remportent deux trophées.

Ils y présentent quatre bières : Pale Ale, Porter, Witbier et Sumatra, où cette dernière a été évaluée dans la catégorie de bière spéciale. La bière brune Porter et la bière Sumatra qui est ambrée aux fèves de café, un concept mené en collaboration avec la Boutique des Saveurs à Joigny, ont été primées lors de ce concours. La première a obtenu la médaille d’or, la seconde décrochée l’argent.

Les bières ont été jugées sur leur qualité organoleptique évaluée par le jury selon la grille de notation qui est fournie par le concours.

Ces challenges ne sont pas nouveaux pour ces deux amis. Ils les ont vus naître étant donné qu’ils sont dans la filière brassicole depuis plus de dix ans. Mais, avec à peine un an d’existence, ils pensaient que participer à une telle compétition était trop prématurée.

En décrochant ces deux médailles à Lyon, Romain et Simon ont eu l’opportunité de se faire connaître. Ils ont déjà été contactés par plusieurs professionnels. Quant aux ventes de leurs boissons, elles suivent depuis une courbe ascendante, même en dehors de la Bourgogne.

L’avenir, ils y pensent. Les deux compères souhaitent recruter un étudiant en alternance afin de lui transmettre leur philosophie dans le but de pouvoir l’embaucher ensuite.

Brasseurs mais aussi interpellés par l’écologie, les jeunes entrepreneurs ont pour projet de lancer le « growler », bouteille qui permet de réduire sensiblement les déchets.

 

Jordane DESCHAMPS

 

 


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Commencé il y a plus d’un an, cet atelier spécifique accueilli au lycée des métiers auxerrois sensibilise les élèves au développement durable. Ces séances pédagogiques s’appuient sur les connaissances transmises par des enseignants et deux associations qui favorisent d’ordinaire les principes de l’écologie.

 

AUXERRE : Labellisé établissement « E3D » (École en Démarche globale de Développement Durable), ce projet favorise les initiatives environnementales. Elles s’effectuent en collaboration avec l’association « Au Bonheur des Chutes » et « Le Parc ».

Lothaire CARLIER, un des dirigeants de l’association « Au Bonheur des Chutes », en donne les contours explicatifs. L’entité récupère les rebuts de matériaux collectés chez les industries locales. Elle les revend ensuite en magasin pour que soient créés de nouveaux produits. Dans le cas présent, l’établissement pédagogique l’avait contacté afin de concevoir des outils de jardinage ainsi qu’un hôtel à insectes.

Pauline DAVIER, coordinatrice de l’association « Le Parc », explique sa démarche. Des pôles spécifiques ont été créés autour du potager. L’association est intervenue dans le petit jardin au sein des plantes aromatiques et des petits fruits pour développer la curiosité des jeunes.

L’idée était d’aménager un espace vert dans l’établissement mais aussi de créer un cadre pédagogique en connexion directe avec les métiers de service et de la cuisine.

 

 

Un apprentissage sur le tas pour les élèves…

 

L’atelier comporte quatre zones distinctes. Celle du compostage évite l’achat d’engrais pour le jardin. En travaillant en partenariat avec le restaurant scolaire, les apprentis agriculteurs récoltent en moyenne 25 kilos d’épluchures de légumes ou de fruits.

La zone de pré fleuri est utile pour la biodiversité. Un hôtel accueillant des insectes sera implanté sur cette partie.

Pour approvisionner le restaurant scolaire, les jeunes gens élèvent quelques fruits et légumes dans le potager tel que des petits pois, des radis, de la salade ou encore des fraises. Cette activité leur offre l’opportunité de se rendre compte des prix pratiqués sur le marché. Tout dépend du temps et de l’investissement.

Immergés au sein d’une formation de restauration et de cuisine, les élèves apprennent à manier les aliments. De ce fait, ils ont également créé un jardin de plantes aromatiques, garni d’une cinquantaine de variétés.

 

 

Afin de titiller leur curiosité, un flashcode a été mis à disposition dans le jardin. En le scannant, les élèves arrivent sur une plateforme où ils ont toute la disposition du jardin en numérique.

De plus, en cliquant sur une plante spécifique, ils obtiennent toutes les données informatives qu’ils ont rédigées eux même à propos de celle-ci : « la récupération des parties exploitables de la plante » par exemple.

Bien que ce soient les matières professionnelles qui soient au cœur de ce projet, les matières générales y trouvent leurs places aussi. L’anglais et les mathématiques sont au premier rang de cette nouveauté où l’on apprend le vocabulaire ou le calcul à partir du rendement des plantes.

Enseignants et élèves ont pour projet de faire pousser une vigne sur quelques poteaux, installés çà et là. Recouvrir l’arche centrale de houblon intègre également leurs priorités.

 

Jordane DESCHAMPS

 


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