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Espèce faisant l’objet d’une protection stricte aux niveaux des règles internationales et nationales, ce mammifère n’en est pas moins une source d’ennuis récurrente pour les agriculteurs. Les éleveurs d’ovins paient parfois un lourd tribut. Rien qu’en 2020, le nombre d’attaques de troupeaux où la responsabilité du loup n’est pas écartée n’aura pas faibli dans notre département.

 

AUXERRE : Le loup fait encore des siennes sur notre territoire ! Et surtout parler de lui dans le landerneau ! En effet, conjuguer la préservation de cet animal aux activités économiques issues de l’élevage (ovin et caprin) n’est pas forcément compatible en soi.

En 2020, 27 déclarations ont été déposées par des agriculteurs auprès des services de la préfecture sur des constats d’attaques de troupeaux. Dix-sept d’entre elles ont été imputables à la présence du mammifère sur nos prairies. D’où la prise en compte nécessaire de ces observations avec le respect des enjeux humains et économiques.

Il y a quelques jours, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST qui suit de très près l’évolution de ce dossier éminemment traumatisant pour les éleveurs réunissait la cellule de veille mise en place dans le cadre du Plan national d’actions (PNA).

Ce dispositif cerne la problématique de circulation du loup dans les espaces naturels et ses effets sur les activités d’élevage.

Lors de cette séance de travail ont été évoqués la présence de l’animal dans l’Yonne qui depuis 2018 a été constatée à de maintes occasions, la résultante des dommages que le loup aura causé sur les troupeaux, les zones de cerclage prévues en 2021 et les chiens de protection des ovins.

Il a été acté également que les éleveurs bénéficieraient d’une information renforcée dès que la présence du loup sera suspectée grâce à des indices concordants sur un périmètre géographique donné.

 

Une première dans l’Yonne : les tirs de défense sont autorisés…

 

A propos des zones de cerclage, procédure qui permet de mieux localiser le loup, précisons qu’il en existe trois catégories : le cercle 1 (il correspond à la commune où la prédation du loup a été constatée une ou plusieurs fois chaque année au cours des deux dernières années), le cercle 2 (les communes contiguës à la zone du cercle 1 où la prédation du loup a été observée au moins une fois au cours de ces trois dernières années) et le cercle 3 qui englobe toutes les autres communes du département.

Rappelons par ailleurs, que le Conseil régional a lancé un appel à projet « Loup » en 2020 afin d’aider les éleveurs à se prémunir contre les dégâts occasionnés par le mammifère.

Cofinancé par l’Etat (47 %) et le FAEDER (53 %), ce dispositif est ouvert aux agriculteurs depuis le 01er avril 2020. Il permet de financer à hauteur de 80 % des mesures de protection telles que clôtures, gardiennage et chiens de protection (des patous) et à hauteur de 100 % des mesures telles qu’une analyse de vulnérabilité du troupeau, des tests de comportement des chiens de protection ou un accompagnement technique.

Pour être tout à fait complet sur ce dossier, il est bon de rappeler que pour la première fois dans l’Yonne, des tirs de défense ont été autorisés par la préfecture. Enfin, en cas d’observation de l’animal ou d’indices de sa présence, il est conseillé de contacter rapidement le service départemental de l’Office Français de la Biodiversité au 03.86.80.21.68.

 

Thierry BRET

 


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Le projet est mené conjointement par la Chambre départementale d’Agriculture et les services de la préfecture de l’Yonne. Il a pour objectif de finaliser le déploiement du photovoltaïque sur notre territoire. Via une charte officielle qui en baliserait les principes élémentaires. La production d’électricité issue des exploitations agricoles est l’une des pistes de diversification qui interpelle de plus en plus la filière…

 

AUXERRE : Trouver de nouvelles idées pour se garantir des revenus et de substantielles rentrées d’argent : voilà un défi qui préoccupe bon nombre d’acteurs de la filière agricole aujourd’hui.

Depuis quelques années, l’une des pistes de prédilection qui peut prendre forme dans les exploitations s’identifie par la pose de systèmes photovoltaïques au sol.

Une vingtaine d’opérateurs proposent désormais leurs services auprès des exploitants dans l’Yonne. Ils collaborent en étroite osmose avec la Chambre d’agriculture à la conceptualisation de ces dossiers. Découvrir le potentiel agronomique des parcelles susceptibles de porter ces projets suppose le besoin de devis qui sont réalisés par leurs soins.

Pour encadrer toutes ces initiatives, l’idée d’une charte départementale officielle, harmonisant la production d’électricité d’origine photovoltaïque dans ces exploitations, a été évoquée. L’idée a fait son petit bonhomme de chemin. Tant à la chambre consulaire de l’Yonne, présidée par Arnaud DELESTRE, qu’au sein de la préfecture et de ses services ad hoc.

Un projet de document a été ébauché avant qu’il ne soit transmis auprès de la Direction départementale des Territoires (DDT), préfigurant une première rencontre bipartite le 09 février dernier à Auxerre.

Si le dossier suit son évolution normale, le projet de charte pourrait être finalisé avant le terme du mois de mars.

Mais, avant de le mettre en application au niveau du territoire, la Chambre d’Agriculture précise qu’il conviendra aussi de recueillir les avis des différents partenaires associés à son déploiement, à savoir les représentants des deux associations de maires de l’Yonne, les présidents des communautés de communes, les associations environnementales et sociétales.

Parmi lesquelles, on trouve en guise de référence la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO), UFC/Que Choisir, ADENY ou encore FNE. S’ajouteront à ces contacts les quatre syndicats agricoles représentatifs tels que la FDSEA, les Jeunes Agriculteurs, la Confédération Paysanne et la Coordination Rurale.

Enfin, seront invités à examiner cette charte pour avis la SAFER de Bourgogne Franche-Comté, le Syndicat départemental des Energies de l’Yonne (SDEY) et le Syndicat national des Energies renouvelables.

Dès que la concrétisation de ce texte novateur deviendra effective, l’Yonne pourra alors se targuer d’avoir la primeur au plan national d’un tel engagement de partenaires sur ce sujet de plus en plus porteur…

 

Thierry BRET

 


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Le chiffre 13 s’appréciera-t-il désormais comme un véritable porte-bonheur pour le CIFA de l’Yonne ? En tout cas, ce nombre va revêtir de la plus haute importance les 07 et 08 avril prochains pour le centre de formation auxerrois. Ces jours-là vont être consacrés à la réception des phases finales nationales de la 46ème compétition des ex-Olympiades des Métiers, catégorie « cuisine ». La fine fleur des toques de l’Hexagone en devenir y disputeront les qualifications en vue d’intégrer l’équipe de France. Sacré challenge en perspective !

 

AUXERRE: Objectif « Shanghai 2023 » pour les professionnels de l’artisanat ! Celles et ceux de ces jeunes loups aux dents aiguisées qui se lancent le super défi d’être retenus parmi l’équipe tricolore afin de disputer les WORLD SKILLS !

Mais, avant d’intégrer le saint des saints très sélectif de ce savoir-faire à la française et prétendre décrocher le précieux Graal lors de cette équivalence des Jeux Olympiques des métiers en Asie, les 632 compétiteurs français, issus des 56 métiers de la filière, devront tout d’abord en découdre durant des finales nationales sur une cinquantaine de sites répartis dans l’Hexagone devant les accueillir début avril.

Et par pur bonheur, le CIFA de l’Yonne, toujours un brin précurseur pour se distinguer honorablement, sera l’un de ces endroits stratégiques, bénis par les dieux de la bonne chère devant profiter de l’aubaine.

 

 

 

Au même titre que ceux de Mâcon et de Besançon qui recevront respectivement les épreuves de mécanique pour la préfecture de Saône-et-Loire et celles incombant à l’industrie dans le Doubs.

Dans l’absolu, ce sont donc treize compétiteurs et autant de membres du jury qui occuperont plusieurs jours durant les infrastructures techniques et le laboratoire du centre de formation auxerrois pour relever ce singulier challenge.

 

 

Promouvoir les jeunes et les métiers de la cuisine vers le plus grand nombre…

 

Deux experts de référence prodigueront également leurs conseils à ces jeunes pousses de la gastronomie qui pourront compter sur le dévouement de leurs commis (de jeunes apprentis du CIFA local) pour espérer décrocher la timbale qualificative. L’un d’entre eux n’est autre que Stéphane COLLET, meilleur ouvrier de France 2018 et professeur de cuisine au lycée Saint-Martin à Amiens.

Signalons également qu’un jeune cuisinier ayant participé à la fameuse émission de M6, « Top Chef », sera l’un des treize finalistes à se présenter sur la grille de départ les 07 et 08 avril à Auxerre.

Quant aux couleurs de la Bourgogne Franche-Comté, elles seront défendues par Simon LEFEBVRE dont nous reparlerons d’ici quelques jours.

 

 

Pour le CIFA de l’Yonne, la réception de ces épreuves nationales de cuisine représente un excellent tremplin pour valoriser la filière et asseoir sa promotion auprès des jeunes et de leurs familles.  

Outre l’accueil de la manifestation (celle-ci ne sera malheureusement pas ouverte au grand public), l’établissement assurera la logistique organisationnelle de ces journées tant au niveau de l’hébergement, du transport, de la restauration ou encore de la gestion des ingrédients devant servir à la création des recettes.

Les finalistes prépareront au cours de deux modules de quatre heures des recettes élaborées ayant comme point de départ une visite du patrimoine gastronomique lyonnais : le saucisson brioché et un sandre ou encore la jambonnette de volaille et un dessert chocolaté. Autant dire que les épicuriens apprécieront et le jury aussi !

 

Thierry BRET

 

 


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Reliant la métropole dijonnaise à Tonnerre et à Migennes, la voie verte du Canal de Bourgogne, longue de 215 kilomètres, représente l’un des tracés propices aux excursions les plus patrimoniales de notre contrée. Y joindre l’utile (la pratique d’une activité physique à son rythme !) à l’agréable (la découverte de spécialités culinaires) est l’une de ses vertus ! D’autant que trois fromages aux appellations emblématiques y sont répertoriés…

 

DIJON (Côte d’Or) : L’Epoisses, le Soumaintrain, le Chaource ! Ces trois créations fromagères, symboles du bien-manger et du bien-vivre en Bourgogne, sont mises à l’honneur avec l’obtention de ce nouveau label qui fleure bon les produits du terroir. Un accessit honorifique qui revient de droit à l’usage au Canal de Bourgogne.

En recevant ce distinguo, le 05 mars dernier, l’itinéraire qui le longe, la fameuse voie verte, voit ainsi ses richesses agricoles et gastronomiques se valoriser dans une optique de reconnaissance légitime auprès des nombreux touristes qui la fréquentent.

Attribuée par l’Assemblée des Départements de France, l’obtention de ce label a été soutenue par Côte d’Or Tourisme, conjointement avec l’agence de développement Yonne Tourisme, en étroite collaboration avec les services ad hoc des deux conseils départementaux.

 

 

 

Des itinéraires destinés à une clientèle épicurienne et sportive…

 

Apparu en 2019, ce sésame est national. Il est fédérateur autant qu’il est novateur afin de valoriser les compétences, le patrimoine et les savoir-faire des territoires. Mettre un focus particulier sur la production fromagère est un choix stratégique judicieux pour le patrimoine gourmand de la France, forte de ses quatre cents variétés de fromages.

Ces itinéraires « Vélo & Fromages » s’adressent à une clientèle amatrice de fromages locaux mais aussi de produits laitiers (beurre, crème, produits frais) et des métiers qui se rapportent au lait.

Ce label encourage les actions départementales faites en ce sens autour de l’aménagement de circuits cyclables sécurisés, promouvant le patrimoine culinaire et les savoir-faire traditionnels.

 

Thierry BRET

 

 


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Décidément, les saisons estivales et leurs longs épisodes traumatiques de sécheresse que doivent subir les professionnels de l’agriculture se suivent et se ressemblent. A l’instar des trois années précédentes, le gouvernement vient d’exhumer le fameux régime de « calamités agricoles » de ses tiroirs. Il concerne les pertes de récolte de fourrage occasionnées par des températures hors normes…

 

AUXERRE : Que faire face aux aléas climatiques et à la rigueur persistante de la chaleur dès que la période estivale nous revient ? Si les adeptes du farniente et de la bronzette à outrance se contentent volontiers de la situation, ce n’est pas le cas des agriculteurs.

Depuis plusieurs années, ces derniers éprouvent les pires des difficultés à y faire face, notamment les éleveurs qui peinent à nourrir convenablement leur cheptel.

La sécheresse de l’été 2020 se sera inscrite dans la droite ligne de celle subie l’année précédente. Et de celle d’avant par les professionnels de la filière.

Les pertes de récolte sur fourrage ont été très importantes, engendrant la reconnaissance par l’Etat du régime de « calamités agricoles ». Un arrêté ministériel a officialisé la chose en date du 03 mars 2021.

Indemnisables, ces pertes se rapportent à la production des prairies temporaires et permanentes sur bon nombre de communes de notre département (voir la liste en annexe).

Concrètement, les éleveurs concernés par cet aléa climatique peuvent solliciter une indemnisation par le Fonds national de gestion des risques en agriculture. Mais, attention, si et seulement si, leurs prairies ne bénéficiaient pas d’une couverture assurantielle lorsque le sinistre est survenu.

Le dommage indemnisable au titre des pertes de récolte correspond au déficit fourrager, défini comme les besoins alimentaires des animaux non couverts par la production fourragère évalué à 900 UF/EVL.

Lors du dépôt de demande, les éleveurs seront dans l’obligation de justifier la présence d’une police d’assurance incendie/tempête sur leurs bâtiments d’exploitation avec paiement de la contribution additionnelle et d’une perte totale supérieure ou égale à 13 % du produit brut global théorique de leur exploitation.

 

En savoir plus :

 

Les producteurs disposent :

  • d’un formulaire de demande d’indemnisation téléchargeable sur le site Internet des services de l’État de l’Yonne à l’adresse suivante:

http://www.yonne.gouv.fr/Politiques-publiques/Agriculture/Mesures-nationales-et-mesures-exceptionnelles/Calamites-agricoles

Le document devra être retourné dans un délai de trente jours à compter de la date d’affichage de l’arrêté ministériel en mairie. Il existe aussi le site TéléCALAM, permettant d’effectuer la demande d’indemnisation par télé-procédure, à l’adresse :

http://mesdemarches.agriculture.gouv.fr/demarches/exploitation-agricole/demander-une-aide-pac/article/demander-une-indemnisation

Toute demande devra être signée entre le 15 mars 2021 et 14 avril 2021 à 24 h.

Pour être tout à fait complet sur le sujet, précisons que ALYSÉ, en charge de l’identification animale pour le département de l’Yonne, met également ses services à disposition des éleveurs qui souhaitent être renseignés de leur effectif d’animaux présents au moment du sinistre et des quantités d’animaux vendus au cours de l’année 2019.

 

Contacts au :

ALYSE

Tel : 03.86.92.36.32.

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

DDT (Direction départementale des Territoires) :

Tel : 03.86.48.42.34./ 03.86.48.42.66. (uniquement le matin de 09 h 00 à 11 h 45)

Mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Thierry BRET

 

 


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