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Il fait toujours bon se promener dans le joli petit village de Saint-Bris-le-Vineux, enserré de vignes - notamment celles du cépage sauvignon, souvenir de l'AOC obtenue en 2003 ! L'on s'y sent bien, tout simplement. Ce marché de Noël – il se tenait antan aux proches « Caves de Bailly » - n'échappera pas à cette règle perpétuelle de la convivialité…

 

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Bienvenue chez Marie-Jeanne, Philippe, Pierre, Romaric, Thomas...et tous les autres ! L'accueil dans les domaines est aussi chaleureux que sympathique (sur ce plan, privilégions plutôt les coteaux auxerrois que la prestigieuse côte de Beaune !) et permet souvent de découvrir de belles nouveautés, telle la cuvée de sauvignon gris du domaine PETITJEAN.

La gourmandise est aussi de mise. Florian le jeune boucher sort quelques escargots bien chauds et impeccablement assaisonnés. Quant à la réputée boulangerie-pâtisserie PARIS, toute récemment refaite, elle ne désemplit pas.
Dans les cours souvent pavés des domaines vignerons, de belles huîtres de Normandie, ou des accras pimentés rendant hommage à notre nouvelle Miss France, et autres hamburgers (ils sont composés de produits villageois artisanaux) font passer un agréable moment au public venu nombreux, même avec ce froid saisonnier.

 

 

 

Il ne serait pas impossible que cet attachant village voit prochainement le retour d'un petit restaurant (nous en reparlerons comme de bien entendu, tout comme des vingt ans de cette jolie AOC !) dans nos colonnes.

Alors, à bientôt à Saint-Bris ! Bonnes fêtes de fin d'année, et à l'an prochain !

Gauthier PAJONA

 

 


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Un investisseur, Alain GEHIN ? La question ne se pose même pas. Aux commandes de l’IBIS Auxerre Centre et de l’IBIS Budget, apparu dans l’offre touristique il y a quatre ans à peine et situé à quelques encablures de l’établissement historique que compte le groupe ACCOR en centre-ville de la capitale de l’Yonne, l’entrepreneur a remis à neuf ou presque le vaisseau amiral de sa flotte hôtelière. Un projet où il aura injecté près de deux millions d’euros de ses propres deniers, avec l’aide de la banque, satisfaite du bilan de la société…

 

AUXERRE : Il les voulait pour le mois d’avril, anticipant ainsi sur les futurs résultats de la Ligue 2 et de ses barrages prometteurs pour l’AJ Auxerre ; il ne les recevra véritablement terminées qu’au mois…d’octobre ! Une fois que le club de l’Yonne eut validé de la meilleure des manières son ticket pour l’élite !

Inconditionnel supporter de l’emblématique club de football local, Alain GEHIN a pu enfin proposer la quinzaine de chambres supplémentaires que compte désormais son établissement implanté au cœur de ville à sa clientèle attitrée, celle entre autres qui fédèrent les aficionados de la discipline et de son palpitant championnat footballistique.

Car la Ligue 1 ne possède pas le même morphotype de supporters que la division inférieure dans laquelle évoluait, il y a peu, le club auxerrois depuis une dizaine d’années. Ceux-ci passent volontiers deux nuitées en hôtellerie lors de leurs déplacements en suivant leurs équipes fétiches, aiment se faire une bonne table gourmande et se rendre vers Chablis et ses villages viticoles alentours pour s’y procurer de menus plaisirs en version liquide et de garde, si possible !

 

 

Une ouverture des chambres vers un agréable jardin…

 

L’impact de cette remontée sportive parmi l’élite se fait sentir positivement pour le chiffre d’affaires des week-ends, voire de la semaine, pour l’entrepreneur. Une aubaine pour Alain GEHIN, qui a procédé à un sérieux lifting de son vaisseau amiral, l’IBIS Auxerre Centre où il avait déjà procédé il y a une décennie de cela à un agrandissement notoire d’une dizaine de chambres supplémentaires.  

Aujourd’hui, l’hôtel le mieux situé du centre-ville, près du port de plaisance, avec une vue remarquable sur l’Yonne, ses édifices patrimoniaux et religieux, presque en vis-à-vis de la préfecture mais la distance est là, s’ouvre côté jardin sur la rive droite.

Conçue selon les codes chromatiques et harmonieux, y compris le décorum plutôt surprenant avec les plafonds des chambres aux motifs lunaires voulus par le groupe ACCOR, la nouvelle aile de l’établissement hôtelier se veut ergonomique, esthétique, accessible, fonctionnelle.

 

 

In fine, l’hôtel propose 65 chambres, permettant à l’offre de couchage du centre-ville de gagner en puissance. Et surtout en praticité. Signalons que ces chambres s’ouvrent vers un patio intérieur qui se muera en un agréable jardin dès le printemps prochain, les paysagistes interviendront pour y façonner des espaces de verdure où la clientèle pourra y prendre à loisir son petit déjeuner.

Lorsqu’il évoque la configuration de l’ensemble, Alain GEHIN n’a qu’un mot : waouh ! « C’est ce que devront se dire les clients lorsqu’ils feront une halte chez nous ! ».

 

 

Deux millions d’euros pour agrandir et rénover l’Ibis Auxerre Centre…

 

Les habitués de cet établissement trois étoiles proviennent également des milieux professionnels, des VRP et technico-commerciaux en mission ou des cadres qui aiment s’y reposer après une harassante journée de travail.

Alain GEHIN revendique de son côté l’exigence et le travail implicatif de ses équipes pour parvenir à ces résultats.

« Notre credo, précise-t-il, c’est la qualité. IBIS Auxerre Centre a toujours été classé parmi les meilleurs établissements de la chaîne sur l’Hexagone depuis son lancement. Quant à l’IBIS Budget, il est régulièrement référent dans le quart Grand-Est de la France pour la qualité de son accueil… ».

Au total, ce sont près de deux millions d’euros qui ont été injectés pour redonner sa cure de jouvence amplement méritée à cet établissement qui possède un taux d’occupation très élevé à l’année, même si le mois de décembre est plus synonyme de relâche avec les fêtes familiales où les gens se déplacent peu dans l’Yonne pour y faire du tourisme.

Lorsqu’il se projette en 2023, Alain GEHIN espère de tout son cœur le maintien en division supérieure de son club de prédilection, l’AJA. « L’impact sur la vie hôtelière auxerroise n’est plus à démontrer, souligne-t-il.

Quant à l’opportunité de reprendre une nouvelle affaire – mais pas nécessairement un IBIS de plus d’autant qu’un nouveau Budget est annoncé sur Auxerre à l’orée de 2025 par le prisme d’un autre investisseur -, on sent que cela le titille aux entournures, notre charismatique personnage.

« Nous, les GEHIN, sommes issus d’une famille d'investisseurs, conclut-il, donc s'il y avait quelque part une opportunité à saisir, ma foi, pourquoi pas ? Mais, c'est beaucoup trop tôt pour en parler… ».

On n’en sera guère plus sur les réelles intentions de croissance extérieure de notre entrepreneur. Qui aurait pu clore cette rencontre par un traditionnel, « Allez l’AJA », comme d’autres disent « bonne année » !

 

Thierry BRET

 

 

 


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Huit mois après avoir quitté ses fonctions de sous-préfète de l’arrondissement d’Avallon – elle occupe aujourd’hui un poste similaire à Bobigny en Seine-Saint-Denis -, Cécile RACKETTE a effectué une courte apparition sur le sol de l’Yonne, lors d’une cérémonie officielle où elle en fut le rayon de soleil principal. En présence de quelques invités et dans un esprit fort convivial, le préfet Pascal JAN lui a remis la médaille du Tourisme, distinction qui récompense son engagement à valoriser ce secteur attractif de notre territoire…

 

AUXERRE: C’est presque un retour aux sources pour Cécile RACKETTE ! Du moins, une courte immersion en présence physique dans le paysage icaunais – le temps d’une cérémonie protocolaire accueillie en préfecture - qui a dû lui remémorer bon nombre de souvenirs et de moments forts agréables que la représentante de l’Etat a vécu lors de son passage remarqué en Bourgogne septentrionale.

La sous-préfète de Seine-Saint-Denis – elle officie désormais à Bobigny en périphérie de la capitale – a reçu les honneurs de la République, incarnée par le préfet de l’Yonne Pascal JAN, qui devait lui remettre la médaille du Tourisme, une distinction attribuée par un arrêté du ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté nationale, en date du 12 juillet dernier.

Créée en 1989, cette récompense honore les personnes qui, par leur contribution bénévole ou leur valeur professionnelle ont efficacement servi au développement du tourisme et de ses activités sur le territoire hexagonal. Notamment par leur action menée au service des milieux associatifs, des acteurs économiques et des organisations spécialisées en ce domaine.

 

Une cérémonie faite de retrouvailles et de convivialité…

 

En accrochant de manière solennelle au revers de sa veste bleu outremer cette médaille de bronze, Pascal JAN a ainsi salué le travail de l’ancienne haute fonctionnaire lorsqu’elle était encore en poste sur la partie méridionale de notre département.

Une collaboratrice dont il ne connaissait finalement que le bilan et la réputation puisque la jeune femme avait rejoint ses nouveaux quartiers franciliens au terme du mois de mars. Tandis que le nouveau préfet s’installait à Auxerre qu’à partir…d’avril. Sans que jamais, ils ne se croisent !

 

 

Profitant de ce retour même furtif dans l’Yonne, Cécile RACKETTE avait pris soin de réunir quelques acteurs économiques et institutionnels du cru ayant eu à collaborer avec elle durant son trop court passage – il en va ainsi des mutations régulières au sein du corps préfectoral – donnant une touche de convivialité supplémentaire à cette cérémonie emplie de solennité. Une manière de tordre le cou au destin puisque, en mars dernier pour cause de réserve électorale, la jeune femme n’avait pu organiser son départ de façon traditionnelle, en proposant un évènement relationnel des plus sympathiques.

 

 

Un engagement au service du projet de labellisation « Grand site de Vézelay »…

 

« Unanimement, précisera le préfet lors de sa prise de parole, tout le monde conserve le souvenir de votre grande implication sur le terrain… ».

Très investie sur le volet de la sécurité routière, mais aussi dans la lutte contre les violences faites aux femmes, Cécile RACKETTE n’en oubliera pas pour autant, en parallèle de ses missions plus régaliennes, de consacrer bon nombre d’heures de son emploi du temps plutôt serré, à la culture et au tourisme.

En somme, comme une « digne ambassadrice » de son arrondissement (l’Avallonnais et le Tonnerrois), agissant pour le développement économique du territoire.

« Un arrondissement qui ne manque pas d’atouts dans ce domaine, ajouta le représentant de l’Etat, ayant eu le plaisir de le découvrir à plusieurs reprises… ».

Récemment, accompagné du nouveau préfet de Région Franck ROBINE, lors de la première visite de ce dernier en terre icaunaise, Pascal JAN a eu l’heureuse opportunité de découvrir les ruelles si typiques de Vézelay, ville chargée d’histoire, « Vézelay, un véritable bijou comme aime à la qualifier le préfet de Région… devait-il souligner.

Confrontée aux affres de la pandémie qui devait priver de recettes la plupart des secteurs professionnels vivant du tourisme, Cécile RACKETTE a toujours été à l’écoute de ces chefs d’entreprise, privilégiant dialogue et accompagnement.

Toutefois, et grâce à cette implication sans relâche de l’Etat personnifié localement par la jeune femme, un premier bilan, dévoilant la physionomie de la saison touristique écoulée, établit que le nombre de nuitées a augmenté de 15 % par rapport à 2021 et de 10 % par rapport à l’exercice de référence d’avant COVID en 2019.

Un engagement institutionnel qui se retrouve dans le projet du chantier de labellisation porté par le « Grand site de Vézelay », toujours en activité, et dont le préfet espère voir l’aboutissement prochainement.

Parée de sa belle médaille, Cécile RACKETTE devait s’en retourner ensuite vers la Seine-Saint-Denis. Avec, sans doute – on peut la comprendre ! -, une pointe de nostalgie dans le cœur à l’évocation de ce beau territoire de l’Yonne qui lui doit beaucoup…

 

Thierry BRET

 

 


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Ce fut une matinée amplement garnie pour les adhérents de la coopérative régionale YNOVAE, accueillis dans l’un des salons d’honneur de l’hôtel de ville de Joigny. Président du conseil d’administration de la structure, Laurent PONCET eut le privilège de donner le top départ de ce rendez-vous au programme copieux, comprenant la présentation des rapports moraux et financiers avant que ne se soit donnée la parole à l’un de spécialistes du climat et de l’énergie, le conférencier Clément ORY.

 

JOIGNY : Clin d’œil judicieux et sympathique à l’histoire, celle de la structure du jour dont les salons de l’hôtel de ville accueillaient les nombreux représentants en milieu de semaine dernière, c’est ici même, en 1990, que furent posées les premières pierres de l’assemblée constitutive de la CEREPY, entité qui en se regroupant avec CAPSERVAL, porta sur les fonts baptismaux la coopérative YNOVAE. Une structure forte aujourd’hui de ses 844 adhérents qui possède un poids certain parmi les milieux agricoles du territoire icaunais.

S’installant au pupitre afin d’en ouvrir la partie informative ouverte à tous – l’épisode strictement statutaire aura précédé en huis clos pour le conseil d’administration -, Laurent PONCET, fidèle à ses habitudes salua l’ensemble des participants (nombreux, il est vrai) avant de distiller quelques informations pratiques concernant le déroulé de la matinée.

Une feuille de route s’articulant entre les présentations des rapports moraux du directeur Jean-Luc BILLARD – un long exposé tiré au cordeau avec pléthore d’éléments informatifs à connaître sur la vie et les perspectives de la coopérative – et ceux du directeur administratif et financier de la structure Pascal POTET, où chacun des chiffres d’affaires évoqués par l’orateur fut analysé à la loupe pour en appréhender toute la quintessence. On ne pourra regretter pour les observateurs extérieurs que ces travaux n’aient pu débuter réellement à l’heure du fait d’un trop long séjour des participants au point d’accueil café et viennoiseries compris ! Mais, il faut bien que l’utile se conjugue aussi à l’agréable et de la meilleure manière qu’il soit : cela fait aussi le jeu du terrain relationnel !

 

L’adaptabilité au service des associés coopérateurs…

 

Curieuse campagne que celle qui aura couru sur les saisons 2021/2022. De l’aveu de Laurent PONCET, il aura fallu pour les professionnels de la filière se montrer agile, anticipateur, clairvoyant avec plus qu’une dose de sang-froid afin d’éviter les écueils imputables aux crises diverses et variées !

« Il a fallu aux équipes silos adapter des plages horaires spécifiques pour permettre de préserver au maximum la qualité des récoltes afin de répondre aux exigences de nos clients industriels, souligna le président, du fait d’une météo plus qua capricieuse… ».

Entre l’ajustement des normes d’agréages, une augmentation des transferts silos, le travail du grain ou l’augmentation des coûts, les équipes d’YNOVAE – l’appellation rappelle toujours au plan de son lyrisme le nom d’une divinité païenne de jadis ! – ont dû faire montre d’adaptabilité pour arriver à leurs fins.

Signe annonciateur de ce qui allait se passer par la suite, c’est au sortir de la moisson de l’été qu’une certaine élévation des prix applicables sur les engrais (déjà prohibitifs pour les observateurs à l’époque) allait préparer les professionnels à la flambée des prix actuelle. Une hausse s’accompagnant d’une obligation de mise à jour de la réglementation sur les engrais.

Au terme de 2021, le Conseil d’administration et son président devront alors se positionner sur l’arbitrage des investissements de la campagne en cours, en accord avec la politique permettant de disposer d’installations fiables et performantes. La marque de fabrique de cette coopérative qui a toujours eu pour principe de respecter les fondements coopératifs dans le cadre d’un outil collectif au service de l’intérêt général de ses associés coopérateurs.

 

Conjoncture internationale et inflation pèsent sur les marchés…

 

Considérant que l’exercice écoulé fut un tournant dans l’existence de la coopérative, Laurent PONCET aborda ensuite les facteurs humains de la structure. D’autant que celle-ci a vécu de nombreux départs en retraite avec des collaborateurs qui étaient un peu la mémoire collective de la maison.

« Nous avons choisi avec Jean-Luc BILLARD de faire confiance à une équipe de jeunes, motivés, et compétents, prêts à faire tourner l’entreprise dans les années à venir ». Prometteur et encourageant, à la fois ! Tout comme le retour au poste de directeur commercial de Georges LEMINEUR (un ancien de la CEREPY de 1990 à 1998) dès le mois de janvier.

Fait essentiel de la saison analysée par Laurent PONCET : l’acquisition par YNOVAE de la SAS RUZE, un négoce familial que dirigeait jusque-là Sophie RUZE et qui a rejoint l’escarcelle de la coopérative en complétant les activités de la filiale SENOGRAIN sur le territoire.

Se référant à la conjoncture internationale, l’orateur ne pouvait décemment ignorer les conséquences économiques de la guerre en Ukraine, menée par Moscou.

« En une seule journée – le 24 février 2022 -, la tonne de blé a atteint des records à plus de 340 euros la tonne ! » s’estomaqua Laurent PONCET. Avant de poursuivre, « on aurait pu se satisfaire de tels prix mais lorsque l’on pense que c’est le prix des bombes, du sang et des larmes, comment s’en réjouir… ».

Point de fixation pour les inquiétudes : le prix de l’énergie qui s’envole avec la hausse du gaz naturel à plus de 40 % et le baril de pétrole qui flirte avec les cent dollars US.

Continuant dans sa phase analytique, Laurent PONCET mettra l’accent sur les besoins de trésorerie considérables à trouver pour couvrir les appels de marge lors des ventes qui sont opérées sur le marché et le manque d’attractivité de la plus-value générée par les productions sous cahier des charges. A ce propos, le président d’YNOVAE sera très clair : «  il ne faudrait pas que cela se traduise par un désintérêt pour ces contrats… ».

 

Inverser la tendance de régression de l’agriculture nationale…

 

Un peu plus tard, le porte-parole d’YNOVAE aborda le rôle de l’union SEINEYONNE, « un formidable outil qui n’est pas assez connu et reconnu par les adhérents des deux coopératives – YNOVAE et 110 Bourgogne – alors que la valeur des services qui y est apportée est d’excellente qualité ». Notamment dans la commercialisation, le service agro-alimentaire ou encore l’informatique.

D’ailleurs, devait ajouter Laurent PONCET, SEINEYONNE a vocation à s’élargir et créer de nouveaux chantiers collaboratifs, une réflexion est d’ailleurs en cours au moment où se rédigent ces lignes.

Avant de conclure son intervention, le président de la coopérative agricole eut quelques mots sur la future campagne avec une moisson 2022 s’étant déroulée sous des conditions météorologiques plus clémentes et de manière précoce que la saison dernière.

« Le résultat est dans l’ensemble un peu en recul en termes de volumes ; les colzas sont très satisfaisants, les blés auraient pu mieux faire avec une qualité bien présente, les orges d’hiver sont hétérogènes et sans soucis particuliers de qualité à l’inverse des orges de printemps qui, elles, ont des rendements très faibles avec un excès de protéines… ».

Quant aux semis récents de la récolte 2023, ils se sont déroulés dans des conditions optimales.

Renouer avec la souveraineté nationale qu’elle soit alimentaire ou énergétique permettrait de sortir le pays de l’ornière. C’est ce que confirmera dans un dernier élan oratoire ostensiblement plus véhément Laurent PONCET : « au plus haut niveau, l’état de prise de conscience a eu lieu avec des positions allant dans le bon sens. Pour autant, il reste encore du chemin à parcourir pour contrer les bandes d’hurluberlus antitout que l’on a pu voir attaquer récemment des réserves d’irrigation, des élevages, des trains de céréales, des plateformes d’expérimentation ! Cela en toute impunité avec le soutien d’élus de la République qui font honte à leur mandat en se prétendant au-dessus des lois… ». Dont acte !

Gageons qu’en 2023, YNOVAE, au sein de l’entité SEINEYONNE, mettra un point d’honneur à répondre présent pour continuer à produire des céréales en qualité et quantité suffisantes en s’adaptant aux contraintes des changements climatiques.

« Il est grand temps d’inverser la tendance de régression de notre agriculture…et qu’elle regagne la place mondiale qu’elle n’aurait jamais dû quitter, lâchera Laurent PONCET avant de s’effacer définitivement de la lumière des projecteurs.

 

Thierry BRET

 


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Sobriété. Mais, forte en symboles la pochette très épurée du nouvel album de l’une des plus belles plumes de la variété hexagonale, Didier BARBELIVIEN. Elle représente une enveloppe affublée d’un timbre postal oblitéré. A 68 ans, l’artiste qui n’a décidément plus rien à démontrer dans la filière musicale qui est sienne depuis tant d’années (« Petite fille du soleil », « On va s’aimer », « A toutes les filles », « Les Sunlights des Tropiques »…), nous revient avec douze nouvelles chansons, concoctées dans le studio d’enregistrement de l’Icaunais Mathieu CHOCAT (« Production Artistique), prétexte d’une séance de dédicaces organisée à la Médiathèque de Joigny ce mercredi 07 décembre…

 

JOIGNY : « Souvenirs », « Le Secret », « Le Temps d’aimer », « Les artistes » ou « Ta main ». Autant de nouveaux titres parmi les douze créations nouvelles à découvrir depuis le 21 octobre sur les plateformes ou chez les disquaires que propose l’un des compositeurs interprètes les plus prolifiques de l’Hexagone, Didier BARBELIVIEN.

Qu’on en juge ! Le natif de Paris a composé depuis ses débuts dans le circuit artistique en 1978 plus de deux mille chansons enregistrées par lui-même et les plus grands artistes de ces cinq dernières décennies ! De Céline DION à Julien CLERC, de Mireille MATHIEU à DALIDA, de Johnny HALLYDAY à Patricia KAAS, ou encore de Démis ROUSSOS à Julio IGLESIAS, tous ont collaboré avec cet auteur, compositeur et d’interprète de talent et prolixe qui compte une vingtaine d’albums à son actif.

Le dernier en date, paru fin octobre et dont il assure depuis la promotion sur les plateaux de télévision et en radio, s’intitule sobrement « Didier BARBELIVIEN ». Il représente une enveloppe en papier kraft, comprenant son patronyme, affublé d’un timbre postal, oblitéré…L’envoi d’une ultime livraison, peut-être ?

 

La présence de l’Icaunais Mathieu CHOCAT dans ce disque à la couleur jazzy…

 

C’est avec le regretté CHRISTOPHE « Petite fille du soleil » ou Gilbert MONTAGNE « On va s’aimer » qu’il tutoiera les sommets en sa qualité d’auteur, décrochant les premières places dans le hit-parade hexagonal d’alors, le « Top 50 »  

La Médiathèque Olympe de Gouges – la bien-nommée ! – l’accueillera ce mercredi 07 décembre dans l’après-midi lors d’une séance de rencontre avec son public et de dédicaces. Logique que le chanteur consacre du temps à l’Yonne puisque ce dernier opus a été enregistré et travaillé dans les studios d’enregistrement de l’ex-accordéoniste bien connu autrefois, Mathieu CHOCAT, un pur produit de la Bourgogne septentrionale qui exerce désormais ses talents professionnels dans la production artistique et les arrangements musicaux comme le nom de sa société l’indique.

La présence de Didier BARBELIVIEN est un évènement à Joigny d’autant que le chanteur laissera bientôt la place désormais à l’auteur puisque ce nouvel album est censé être son dernier…

 

Thierry BRET

 


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