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Maison fondée en 1844, « Le Conservateur » est un acteur de référence sur le marché patrimonial français. Spécialiste de la gestion d’épargne de moyen et de long terme, il accompagne ses clients dans une approche sur mesure pour la gestion et la valorisation de leur patrimoine personnel et professionnel.

 

AUXERRE : Au fil du temps, « Le Conservateur » a élaboré une vaste gamme de produits (assurance-vie, prévoyance, épargne retraite, placements financiers…) dont une solution d'épargne originale : la tontine.

Groupe indépendant porté par un réseau de conseillers en gestion de patrimoine, agents généraux d’assurance, implanté sur l’ensemble du territoire, « Le Conservateur » place l’intérêt de ses sociétaires (les familles, les dirigeants et leurs entreprises, etc.) au cœur de ses priorités. Il attache une importance particulière à la qualité de la relation qu’il tisse avec chacun d’entre eux : une relation personnalisée et durable dans une convergence d’intérêts, qui accompagne les différentes étapes de la vie de chacun.

Ainsi, en ouvrant son nouveau bureau à Auxerre, l’enseigne est au plus proche des Icaunais. La rentrée 2023 est riche en événements avec un programme de conférences, dont le lundi 06 novembre, en partenariat avec le magazine « Le Revenu » une soirée débat au Domaine BROCARD sur le thème « Comment gérer et dynamiser son patrimoine ? ».

Pour réserver votre place et participer à l’un de ces évènements contact à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Maryline GANDON

 

 


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Les petits plats dans les grands. Sans fioritures et surtout avec réelle gourmandise, pour celles et ceux qui aiment se sustenter lors d’un cocktail avec les délicieux canapés concoctés chez FESTINS ! Voilà ce qui attendait les trois cents cinquante invités du groupe 123 Immobilier qui eurent tout à loisir de mieux appréhender la philosophie et la stratégie de l’un des leaders icaunais de la transaction, venant s’implanter dans l’Aillantais. Une cinquième vitrine commerciale, ouverte depuis janvier, inaugurée dans la convivialité, ce qui n’était pas pour déplaire aux nombreuses personnalités, venues des quatre coins du département…

 

MONTHOLON : Il n’y a pas à dire : on possède le sens de l’accueil dans la commune dirigée par le maire Fernando DIAS GONCALVES ! Surtout lorsqu’il s’agit en substance de célébrer l’arrivée d’une nouvelle enseigne, permettant de renforcer l’attractivité économique du territoire, tout en créant de nouveaux emplois !

Certes, et selon sa date fétiche (le 02 janvier afin de mieux marquer le début de la nouvelle année peut-être au plan comptable !), le dirigeant du groupe 123 Immobilier, Baptiste CHAPUIS, dispose déjà d’un certain recul, vieux de quelques mois à peine, pour jauger de la pertinence d’une telle implantation dans la nouvelle localité de Montholon.

Au vu des premiers résultats en matière de transactions immobilières, le patron du groupe icaunais ne regrette nullement son choix, mûrement réfléchi au préalable comme le furent bien avant celui-ci ceux de l’ouverture des points de vente d’Appoigny, de Migennes et des deux boutiques auxerroises.

 

Une belle pépite de plus sur sa zone de prédilection : Mahfoud AOMAR jubile !

 

Nouvel acteur de l’immobilier sur ce secteur occidental du département, le groupe 123 ne s’est pas implanté ici pour y faire de la figuration. Tout cela résulte d’une fine appréciation territoriale de son dirigeant et des maillages potentiellement réalisables à développer sur cet axe compris entre Toucy, Joigny, Migennes et Auxerre.

Une vraie aubaine stratégique qui ravit à merveille le président de la communauté de communes, un Mahfoud AOMAR, toujours aux aguets lorsqu’il s’agit de flairer la belle pépite économique qui pourrait apporter davantage d’eau au moulin de la prospérité et de l’essor de son secteur géographique préféré ! Il n’est pas président de l’agence Yonne Développement pour rien !

Porte-étendard de la structure icaunaise de l’Association des Maires de France (AMF), Mahfoud AOMAR ne s’est pas privé de réagir à chaud à cette installation.

« C’est super, s’enthousiasme-t-il, c’est une entreprise de plus dans l’Aillantais, avec des emplois et une dynamique, et comme cette équipe est intelligente, ils vont nous ramener que des personnes au potentiel immobilier évident sur ce territoire – un clin d’œil appuyé aux Franciliens de plus en plus nombreux à accéder à la propriété dans le nord de la Bourgogne - ; c’est fabuleux ! ».

Entre Baptiste CHAPUIS et le maire de Valravillon, c’est l’osmose parfaite. Leur credo qui résonne tel un dénominateur commun repose sur l’attractivité !

« L’attractivité, explique Mahfoud AOMAR, cela s’applique à un territoire où l’on peut travailler sans avoir trop de problèmes, où l’on peut avoir une vie tranquille, et où l’on mange bien ! Je pense que ce dirigeant a fait le bon choix en venant s’installer ici ! ».

Bref, le portrait idéal de l’Yonne, non ?

 

 

 

Accueillir le plus de Parisiens possible en résidences principales

 

Quant à Baptiste CHAPUIS, il s’est dit très satisfait de l’accueil des élus, des commerçants et des habitants de la localité.

« Cette cinquième agence que nous ouvrons dans l’Yonne permet d’apporter deux choses : la première, c’est la résidence principale pour toutes les personnes qui quittent Paris et l’Ile-de-France vers davantage de qualité de vie, la seconde c’est pour répondre aux gens du cru qui recherchent de l’accession à la propriété mais aussi de la location qui est très demandée… ».

Hectares de terrain autour des maisons, fermettes à vendre, maisons de caractère et très atypiques qui se négocient entre 300 et 500 000 euros, sont des biens que le groupe possède en nombre beaucoup plus restreint sur Migennes ou à Auxerre. D’où l’intérêt pour son responsable d’avoir optimisé sa présence sur cette partie sectorielle de notre département.

Autre motif de satisfaction pour le président communautaire : l’emménagement du groupe 123 Immobilier dans un local qui était jusque-là vacant. « Et en plus, il y a des salariés, se réjouit-il la malice dans le regard !

Quant à l’hypothétique afflux trop massif de Parisiens dans le secteur, Mahfoud AOMAR balaie l’argument d’un revers de la main : « On ne craint pas de genre de situation, au contraire, ce qui nous intéresse c’est d’avoir le plus de Franciliens possible en résidence principale ! ».

 

Consolider le capital acquis par la société

 

Dans les faits, l’apport de cette nouvelle boutique commerciale se convertit en quatre postes à taux plein. En outre, dans la partie supérieure de l’édifice, des bureaux sont loués à des professionnels, notamment à une sophrologue qui vient de s’y installer. Une spécialiste de l’hypnose a fait de même dans ce business center. Deux autres locaux sont encore à louer, l’un situé au rez-de-chaussée et le second à l’étage de ce bâtiment. Tout cela dans un esprit bien-être et cocooning, tel que le souhaite Baptiste CHAPUIS.

Avec le site de Montholon, le groupe immobilier dispose désormais de cinq entités, toutes opérationnelles et aux résultats prometteurs malgré les soubresauts imputables au marché. Une cinquième agence, telle une symphonie de Beethoven, parfaitement achevée !

« Cinq vitrines commerciales, je qualifierai cela de très très bien, souligne le jeune dirigeant, il faut savoir demeurer à ce niveau et le consolider avant de penser continuer à augmenter le nombre de ses points de vente… ».

Une manière d’éradiquer avec élégance la sempiternelle question posée à l’entrepreneur, « et à quand la sixième agence ?! ».

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Les élus municipaux et communautaires d’Auxerre Ecologie Solidarités ont réaffirmé lors d’une réunion publique à laquelle assistait une centaine de personnes leur opposition au projet porté par la majorité en place, présidée par le maire d’Auxerre, Crescent MARAULT. L’occasion pour nombre de personnes présentes, de faire part de leurs interrogations et inquiétudes quant à l’abandon de la collecte au porte-à-porte, au bénéfice de l’installation de points d’apports volontaires (PAV) répartis sur tout le territoire de la Communauté de l’Auxerrois, synonyme pour beaucoup de nuisances et de régression.   

 

AUXERRE : D’emblée, l’élu EELV Denis ROYCOURT donne le ton de la soirée : « les propositions faites par la mairie sont purement spéculatives, derrière il n’y a rien, aucune cohérence globale dans ce dossier… ».

Rappelant qu’une étude préalable sur le sujet, financée par l’ADEME, avait été réalisée par l’ancienne municipalité mais dort aujourd’hui dans un tiroir : « On demande aux élus de décider, alors qu’ils n’ont pas en main les informations nécessaires pour pouvoir se positionner ! ».

C’est dans cette optique qu’il réclamera jeudi matin au prochain conseil communautaire, de concert avec sa collègue Florence LOURY, un report des décisions prises.

« Cela débutait plutôt bien… reconnaît cette dernière, revenant sur le diagnostic de la situation dévoilé par l’étude commandée, « j’ai trouvé les infos intéressantes, mais par la suite, aucune présentation faite, uniquement des documents transmis, sans prise en compte de nos positions… ».

 

 

Le risque de voir exploser les dépôts sauvages

 

Une étude au coût non négligeable de 100 K€ qui, fait apparaître notamment que la population de l’Auxerrois compte 11 % de personnes âgées de 75 ans et plus, avec cette conclusion émise par le bureau d’études signataire : « nécessité d’intégrer une réflexion sur les personnes âgées dans le dispositif de gestion des déchets qui sera retenu ».

Une recommandation restée lettre morte selon les deux élus, dont la fibre écologiste est mise à mal par le choix proposé également, de substituer aux sept déchetteries existantes maillées sur le territoire, deux super structures (pour un coût global de 7 millions d’euros), dont l’éloignement contraindra certains habitants à effectuer jusqu’à 15 ou 20 km pour y accéder souligne Florence LOURY : « alors même que notre collectivité s’est engagée avec un plan climat énergie pour utiliser beaucoup moins les voitures individuelles… ».

Rappelant en parallèle le risque de dépôts sauvages engendré par un tel éloignement : « on l’a bien vu lors de la crise COVID, alors que les déchetteries étaient fermées et que les dépôts sauvages se sont multipliés un peu partout… ».

 

 

Se pose la question du tri des bio-déchets

 

Autre sujet évoqué, celui de la Taxe Générale sur les Activités Polluantes (ou TGAP), créée il y a vingt-quatre ans sur le principe « pollueur-payeur », concernant les déchets non valorisables destinés à l’enfouissement ou l’incinération. Une taxe créée pour inciter au tri sélectif, mais qui augmente chaque année avec un surcoût estimé à près de 500 K€ supplémentaires pour l’Auxerrois à l’horizon 2025. Le système envisagé par la majorité en place, pénalisant de fait le tri sélectif en amont selon Denis ROYCOURT, dont le choix s’oriente plus vers une politique « incitative et pédagogique » plus à même de freiner le volume de ces déchets « ultimes ». Se pose aussi la question du tri des « bio-déchets », avec l’obligation au 01er janvier prochain, de « sortir » ce type de déchets des ordures ménagères, à charge aux communes ou collectivités de trouver une solution ad hoc : « la seule solution proposée est d’installer des PAV bio-déchets en même temps que le reste, mais pas avant deux ou trois ans, d’ici là, que fait-on ? Ils misent sur un report… ». 

 

 

Cette habitante des Piedalloues s’inquiète : « nous sommes une population relativement âgée, dans un quartier où cela monte et descend partout. Comment va-t-on faire ? Vous nous voyez avec une canne d’une main, portant de l’autre notre sac poubelle… ? ».

La question de cette pénalisation des personnes vulnérables a bien sûr été posée, avec comme réponse, selon Danièle BOISSON, conseillère municipale à Jussy, « que ce sera à la population de se retourner vers les Comités d’Aide Sociale (CAS) des communes et d’organiser une entraide pour aider les personnes les plus fragiles… ».

 

Une brigade verte de trois personnes : surréaliste !

 

Bénéficiant d’un statut particulier de collecte assuré par un prestataire privé, les huit communes du pays Coulangeois ont, rappelle l’élue, misé depuis 2008 sur une redevance incitative pour faire diminuer le volume des déchets collectés, « si l’on nous intègre au système prévu, l’on sera doublement pénalisé, perdant le bénéfice d’une expérience de plus de dix ans en la matière… ».

Alors même que les résultats étaient très encourageants, précise son collègue de Coulanges-la-Vineuse et premier adjoint, Christophe MOUY : « sur le Coulangeois, la moyenne est aujourd’hui de 90 kg d’ordures résiduelles par an et par habitant, contre 230 kg dans le reste de l’Auxerrois… ».

Ironisant sur le réseau de caméras prévu assurer la surveillance des futurs points de collecte : « une brigade verte avec trois personnes qui va tourner sur l’Auxerrois et verbaliser tous les contrevenants, c’est surréaliste ! ».

Nuisances sonores, impact foncier des 700 points de collecte prévus, risque à terme de privatisation générale du service, manque de concertation, dégradation du service aux habitants… autant de sujets abordés lors de la soirée, avec cette question en point d’orgue : quid des milliers de bacs jaune et marron qui assuraient jusque-là le tri sélectif et ont représenté un investissement énorme pour la communauté de communes ? Seront-elles mises au rebut ? Il est vrai qu’elles ont l’avantage de disposer de roulettes et que l’on pourra toujours s’en servir pour emmener ses déchets aux différents points d’apports volontaires annoncés !

 

Dominique BERNERD

 

 


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Fléau à l’origine de la destruction massive des récoltes – des centaines d’hectares sont retournés chaque année sur le territoire hexagonal -, le sanglier s’est donc invité au cours de la session de rentrée de la Chambre d’Agriculture de l’Yonne, jeudi matin. Malgré les prélèvements assurés par les chasseurs, les professionnels du monde agricole veulent davantage de moyens pour protéger leurs champs des ravages commis par ces prolifiques mammifères…

 

AUXERRE : Haro sur les sangliers dans les campagnes icaunaises ! Le phénomène ne date pas d’hier mais il semblerait que les prélèvements assurés par les sociétés de chasse ne soient pas suffisants pour en réduire le nombre, la bestiole prolifère à la vitesse du son dans les bois et sous-bois de nos forêts. Et mieux se nourrir au beau milieu des champs de tournesol, de blé ou de maïs des agriculteurs qui déconfits n’ont plus que leurs yeux pour pleurer !

Selon une estimation fournie par la Fédération nationale des Chasseurs, les dégâts occasionnés par ces puissants mammifères aux cultures et aux terres agricoles représentent entre 30 et 50 millions d’euros par an dans l’Hexagone. Par chez nous, les destructions des récoltes sont légion. Les céréaliers ne cessent de signaler les méfaits de ces animaux à leur instance officielle, la Chambre départementale d’Agriculture.

Profitant de la présence du préfet de l’Yonne, Pascal JAN, lors de la séance automnale de l’organisme consulaire réuni en plénière, plusieurs agriculteurs ont exprimé le souhait d’obtenir le droit de protéger leurs cultures. Comble du comble : certains propriétaires ne peuvent pas entrer dans leurs champs en période de chasse !

 

Les loups et les sangliers : même prédation !

 

Un sujet qui est devenu récurrent à chaque session de la chambre agricole et que le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, connaît sur le bout des doigts ! Les témoignages de quelques-uns des adhérents de la Chambre d’Agriculture sont accablants : « Après le passage des sangliers dans nos récoltes, c’est catastrophique, confie Walter HURE, président de la coopérative 110 Bourgogne, on ne peut plus pénétrer dans les champs car il faut attendre le passage des experts. Des délais qui sont parfois longs où l’on ne peut pas récolter… ».

L’une des solutions pour endiguer ces dégâts repose sur l’accès facilité au permis de chasse pour les agriculteurs. Tous, c’est le cas de Walter HURE, n’y accèdent pas, d’ailleurs. Bref, après la prédation occasionnée par le loup et les grands canidés – le sujet fera l’objet d’une réunion organisée par la Chambre d’Agriculture et les services de l’Etat le jeudi 05 octobre à Avallon -, ce sont les sangliers qui posent de sérieux problèmes à l’existence quotidienne des professionnels. Pas facile d’être agriculteur, aujourd’hui !

 

Thierry BRET

 


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Comme un trait d’union entre le séjour du roi Charles III en France et la venue du pape François à Marseille, la cérémonie de remise des diplômes « Cambridge » aux élèves du groupe scolaire Saint-Joseph-La-Salle avait cette année valeur de symbole, ponctuant une semaine riche en émotions et une année de travail ardu pour les récipiendaires. Un évènement à la fois festif et solennel, en phase avec le nom de la prestigieuse université à laquelle il est rattaché.

 

AUXERRE: Ce n’est pas tous les jours que l’Union Jack orne les murs de la cathédrale Saint-Etienne et que sous ses voûtes s’envolent les notes sonores et acidulées d’une cornemuse ! Comme il est de tradition, c’est dans l’enceinte de l’illustre édifice gothique que les jeunes diplômés se sont vu remettre leur précieux sésame. Une cérémonie haute en couleurs, sous la houlette de Philip GOMIS, directeur du centre d’examens Cambridge de Dijon, représentant de ladite Université en Bourgogne-Franche-Comté, honorée de la présence des différents chefs d’établissement et enseignants, ainsi que de très nombreux parents comblés de voir leurs enfants ainsi récompensés. Au total, ils sont 159 cette année à avoir validé l’examen, à des degrés divers, allant du A1 Movers pour les élèves de 6e et 5e, après une première étape et le passage du PreA1 Starters en CM2, jusqu’au prestigieux et très sélectif C1 Advanced d’envergure internationale. 

 

L’anglais, la langue indispensable pour qui veut réussir sa vie

 

Des diplômes, précise Philip GOMIS, « qui émanent de l’université de Cambridge, remis au nom de son recteur et non du ministère de l’Education Nationale, ce qui nous donne entièrement le droit de le faire en ce lieu… ».  Une cérémonie respectant en tous points le code de la seconde université du monde anglophone par l'ancienneté, comme la lecture d’un passage de l’Evangile ou la bénédiction des lauréats. Une bénédiction parfois très arrosée, précise d’un sourire le maître de cérémonie : « à Cambridge, l’on utilise un goupillon avec des crins d’animaux et je peux vous dire que les étudiants se prennent une douche… ! ».

Rapportant les propos échangés la veille avec le roi Charles III, qu’il eut le privilège d’accompagner dans son périple parisien : « il m’a dit : j’espère que vous expliquez aux jeunes que l’anglais est un pont entre les peuples, qui permet de découvrir le monde et ne pas avoir peur de l’autre… ».

Autant d’arguments partagés par les jeunes « Lassaliens » qui n’hésitent pas le temps de l’année scolaire à effectuer ainsi plusieurs heures de travail personnel supplémentaire par semaine, pour mieux s’imprégner de la langue anglaise et se doter d’un « passeport » aujourd’hui indispensable pour qui veut réussir sa vie professionnelle.

 

 

Que toute la ville vous entende !

 

C’est, après avoir remercié de leurs applaudissements parents et enseignants, que les lauréats ont reçu par groupe de six et au son de l’hymne officiel de Cambridge, leur diplôme, avant de se voir coiffés du « mortarboard », symbole de leur réussite et de toute « graduation ceremonie ».

Pas toujours facile de mettre en place le précieux couvre-chef et les conseils avisés de Philip GOMIS, sujet britannique à l’âme ô combien francophile, sont de mise : « on met le chapeau la pointe sur le crâne et on tourne le pompon de gauche à droite… ».

C’est sur les notes de l’un des hymnes les plus célèbres et les plus émouvants du monde anglo-saxon, « Amazing Grace » que s’est ponctuée la cérémonie, avant une dernière photo de groupe sur le parvis de la cathédrale. L’heure des « hip hip hip hurrah » et du « hat Throwing », chapeau tenu au-dessus de la tête ou jeté en l’air avec cette ultime recommandation de Philip GOMIS : « il faut que concrètement, tout le centre-ville vous entende… ».

Pari tenu : plus de 150 jeunes enthousiastes, d’excellence de surcroît, cela fait du bruit !

 

 

En savoir plus :

Répartition des diplômes obtenus :

A1 Movers : 51 lauréats (6e / 5e)

A2 Key : 51 lauréats (4e / 3e)

B1 Preliminary : 26 lauréats (3e / 2e)

B2 First : 18 lauréats (1ère / T)

B1 Preliminary : 4 lauréats

B1 Business Preliminary : 5 lauréats

C1 Advanced : 4 lauréats

 

 

Si vous deviez en quelques mots expliquer ce que représente cette certification « Cambridge » ?

Philip GOMIS : « Cette année en Bourgogne Franche-Comté, pas moins de 5 000 diplômes ont été validés, depuis le CM2 jusqu’au Post-bac et 143 cérémonies comme celle de ce soir s’y sont tenues. L’Université de Cambridge est l’une des meilleures à travers le monde et comporte depuis des centaines d’années un département de certification en langue anglaise qui lui est rattaché. C’est la seule université au monde qui délivre des titres diplômants valables à vie, sans date d’expiration. Il existe, à Yale notamment, des tests comme le « TOEFL », mais valables seulement deux ans. Les diplômes « Cambridge » certifient un niveau d’anglais au travers d’examens à reconnaissance internationale, comme les B2 et C1, contrairement au « Cambridge English Certificate » ou CEC, en lien avec l’Education nationale, mais non reconnus internationalement. Et d’ailleurs, j’ai pu remarquer que cette année, parmi tous les lauréats de notre région, 124 élèves avaient intégré les plus grandes universités à travers le monde… »      

 

Dominique BERNERD

 


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