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Au fur et à mesure que son mandat avance dans le temps – c’est l’une des prérogatives de l’institution départementale -, il en a fait son cheval de bataille. La santé, via le prisme de l’amélioration de l’offre de soins et l’accueil de nouveaux praticiens, représente l’une des préoccupations majeures du président Patrick GENDRAUD. Quoi de plus naturel, en somme, de le retrouver à l’ouverture des travaux des 5èmes Journées nationales des CPTS aux côtés de la ministre déléguée chargée de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LEBODO au parc des expositions…

 

AUXERRE : Face à plus de sept cent congressistes, venant des quatre coins de l’Hexagone, il ne peut que jubiler intérieurement, le président du Conseil départemental de l’Yonne/ Juste avant de prendre la parole.

Pour un territoire qui souffre de désertification médicale – l’Yonne semble néanmoins se revigorer depuis quelque temps en se positionnant davantage dans une forme tonique de « revitalisation » comme le qualifierait si bien avec ses mots, repris dorénavant par tout le sérail institutionnel et politique, le préfet Pascal JAN –, c’est presque un comble de voir autant de professionnels de santé (et de praticiens par déduction) dans une salle mise à disposition par Centre France Parc Expo, pleine comme un œuf !

Des médecins au mètre carré, il y en a donc dans les estrades ! Alors, accueillir pour la première fois un tel congrès, en présence de la ministre déléguée en charge de l’Organisation territoriale et des professions de santé, Agnès FIRMIN-LE BODO, représente du pain bénit pour un Patrick GENDRAUD qui se démène au quotidien comme un beau diable avec ses équipes – on pense volontiers à Gilles PIRMAN en charge de la santé au CD 89 ou au docteur Bernard CHARDON – pour que les choses bougent enfin sur le territoire le plus septentrional de la Bourgogne.

« Dans l’Yonne, affirma l’orateur, nous préférons le mot « redynamisation » à désertification lorsque l’on évoque la santé. Ce n’est pas la même démarche. Redynamiser, c’est engager une nouvelle dynamique en entrant dans l’action. C’est cela que nous devons privilégier à présent, une fois le constat effectué… ».

 

Les CPTS s’intègrent parfaitement à l’échelle des bassins de vie

 

Seul à son pupitre, s’inspirant parfois de ses notes posées devant lui, écouté très attentivement par David GUILLET, président national des Communautés Professionnelles Territoriales de Santé (CPTS) déjà sur le plateau, Patrick GENDRAUD brossera ensuite un tableau concis des différentes actions entreprises par l’organe institutionnel qui se coordonnent sur le terrain.

Puis, de renchérir par la formule suivante : « Puisque nous sommes novateurs à notre échelle, nous étions faits pour nous rencontrer, lancera avec boutade le président de l’exécutif départemental, se tournant alors vers le responsable national des CPTS.  

Appelant à l’optimisation de l’offre de santé de tous ses vœux, l’ancien édile de Chablis rappela que celle-ci se construisait ensemble et fédérée, « loin de la logique de concurrence ou celle de clocher ».

Un temps de pause, avant de reprendre le discours : « Nous avons tous un rôle à jouer dans cette partition, souligna Patrick GENDRAUD, à l’échelle départementale, mais aussi à l’échelle des bassins de vie. Ces communautés professionnelles territoriales de santé s’intègrent parfaitement dans cette réalité de terrain, en atteste ce qui se passe avec le CPTS Nord Yonne… ».

Satisfait par la pertinence et le mode opératoire de ce modèle, l’élu de l’Yonne poursuivit en précisant que l’ensemble du territoire devrait être ainsi couvert par ce dispositif au cours du premier semestre 2024.

 

 

Un inventaire à la Prévert de réalisations pertinentes…

 

Puis, Patrick GENDRAUD éclaira l’auditoire sur le bien-fondé des pactes de territoire. Il ne manqua pas d’apporter plus amples précisions sur le « Pacte Santé 2022/2024 », un concept voté à l’unanimité le 10 décembre 2021 par le Département et abondé de 5,4 millions d’euros.

Et l’orateur d’ajouter en toute transparence : « C’était une décision politique forte de notre assemblée, car cette thématique de la santé n’est pas de notre compétence… ».

A bon entendeur salut ! Puis, après un temps de silence, « ce pacte nous l’avions contracté au bénéfice des Icaunaises et Icaunais auxquels nous devions beaucoup plus que de simples promesses mais des actes ! ».

Aujourd’hui, les actions entreprises par le Conseil départemental portent leurs fruits. L’accueil de la première année de médecine dans l’Yonne dans les locaux de l’IUT Auxerre avec l’Université de Bourgogne, la poursuite du maillage conséquent entre maisons et centres de santé – la dernière en date a été inaugurée il y a peu à CHEVANNES -, la création d’un centre départemental de santé avec le salariat d’un médecin et d’une assistante médicale à Villeneuve-sur-Yonne, le salariat d’un autre médecin et d’une secrétaire médicale à Migennes, c’est encore le déploiement de points conseils et d’une équipe mobile de médiation santé, sans omettre le soutien financier au développement de la pratique numérique en santé dans le cadre des téléconsultations accompagnées, à la promotion du centre santé solidarité, à la mise en œuvre d’un plan marketing territorial santé à l’échelle départementale, au groupement d’employeur des professionnels de santé, et au système de bourse dont celle à destination des infirmiers en pratique avancée…

Bref, un inventaire à la Prévert et autant d’argument énoncés avec fierté par un Patrick GENDRAUD très à l’aise au pupitre et ravi de cette efficience déclinable au service des habitants.

« Restons mobilisés, dynamiques et optimistes pour l’avenir, devait-il conclure, dans cette mission qui est devenue la nôtre. C’est ainsi que nous gagnerons sur le terrain de la santé ! ».

Rideau ! Longuement applaudi, Patrick GENDRAUD pouvait regagner le fauteuil qui l’accueillait pour la première table ronde du jour. Tant qu’il y a des choses positives à dire sur la santé, dans son département de prédilection, le président ne compte pas son temps de présence sur une manifestation !

 

Thierry BRET

 


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Il a le regard malicieux, Régis MERARD. Il dégage de ce garçon une force tranquille. Bienveillante qu’il met à la disposition de celles et ceux qui sont interpelés par les ressources humaines et tout ce qui a attrait au recrutement. A la tête d’un cabinet spécialisé dans les évolutions et transformations professionnelles, MJ CONSULTING, l’accompagnement qu’il propose, lui et ses équipes, est prioritairement centré sur l’humain. Cela tombe à pic : l’humain doit redevenir le cœur de cible de tous les recruteurs potentiels…

 

AUXERRE : Bilan de compétences, bilan de potentiel individuel et technique, VAE, mobilité, transition professionnelle via les mutations, reclassements et autres outplacements : ce sabir, parfois un peu engoncé dans la technicité, se décline pourtant comme du petit lait dans la tête bien faite du chef d’entreprise qui tout sourire nous ouvre sa porte afin de faire plus ample connaissance ! Bienvenue chez MJ CONSULTING ! Une structure qui possède pignon sur rue au cœur de ville de la capitale de l’Yonne.

Gérant de l’entité, Régis MERARD promène sa silhouette et sa faconde lors de tous les évènementiels un peu « branchouille » de la place icaunaise, afin d’y parfaire la notoriété de son cabinet et assurer le SAV : il prend forme dans le cas présent en déclinaison de relations publiques. Le chef d’entreprise est sympathique et son aura lui permet de croiser sur son chemin tous les acteurs de la sphère économique ; cela lui est profitable, lui, il s’occupe du recrutement et de la mise en valeur des futurs collaborateurs.

 

Donner un nouveau souffle à celles et ceux qui veulent booster leur carrière

 

Indépendant depuis 2014 – eh, oui, dix ans déjà ou presque ! -, Régis MERARD vient de se doter d’un nouvel outil opérationnel, près du boulevard Vaulabelle qui lui offre l’opportunité d’accueillir stagiaires et formateurs qui suivent ses différents programmes. Membre du fameux réseau « Orientaction », il en épouse les préceptes. De quoi s’agit-il en vérité ? Le leader du bilan de compétences sait impulser de nouveaux repères à celles et à ceux qui veulent ainsi donner un nouveau souffle à leur carrière.

Comment, question liminaire posée à Régis MERARD ?

« C’est simple, rétorque ce dernier, nous aidons celles et ceux qui se sentent pousser des ailes en identifiant leurs compétences, leurs aspirations et objectifs professionnels. Bref, nous les préparons à leur reconversion professionnelle ! ».

Bon, il est juste de dire que Régis, côté expérience dans les ressources humaines, il en connaît un sacré rayon !

« Cela fait plus de quinze ans que j’ai multiplié les diverses expériences professionnelles et personnelles dans ce domaine d’activité, confie-t-il, tant en qualité de coach individuel que collectif… ».

 

 

Tourne-toi vers le soleil, l’ombre sera derrière toi !

 

Durant une décennie, Régis en sa qualité de coach de haut niveau aura construit et élaboré des projets de développement dans les milieux associatifs, au service du sport collectif. Un brin éloigné de sa formation…d’urbaniste !

« Je suis quelqu’un qui est toujours à l’écoute des autres, souligne-t-il, et un incorrigible optimiste ! Moi, j’accompagne les gens uniquement pour qu’ils puissent réaliser leurs envies profondes… ».

Il faut croire que cela porte ses fruits. Aux côtés de sa huitaine de collaborateurs, Régis multiplie les missions pour le compte des collectivités territoriales. A commencer par le Département de l’Yonne ou la ville de Joigny. La phase expérimentale du nouveau RSA vu de l’Yonne – le département sera choisi à l’instar de dix-huit autres territoires de l’Hexagone pour cette phase de test-, c’est lui qui s’y colle !

« Nous avons proposé une plateforme pour traiter cette population (huit mille allocataires du RSA environ sur l’Yonne) afin d’en accompagner une certaine frange vers le retour à l’emploi… ».

Avec Nicolas SORET et la ville de Joigny, le dirigeant de MJ CONSULTING se positionnera sur un tout autre segment avec deux portes d’entrée : le bilan potentiel jeune et « donner des « elles »» à destination de la gent féminine en quête d’un emploi.

On le constate : Régis et les siens ne s’ennuient pas une seule minute entre leurs diverses missions et la multitude d’opérations déclinables vers les demandeurs d’emploi.

Ah si : il faut aussi s’imprégner de son proverbe préféré : « Tourne-toi vers le soleil, l’ombre sera derrière toi ! ». A méditer pour retrouver la pêche et son enthousiasme…

 

Thierry BRET

 


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S’il y a bien un terme dont il a une sainte horreur et qui lui fait hérisser le poil dans son usage pratico-pratique au quotidien, c’est bien celui de la communication ! Le président de l’Agglomération de l’Auxerrois et édile d’Auxerre préfère utiliser le mot « information » pour expliquer les avancées des différents dossiers qui se rapportent à la mise en œuvre de l’ambitieux « Projet de Territoire », décliné sur la décennie à venir. Des informations savamment relayées par ses soins, via une lettre officielle qui a été distribuée dans les boîtes aux lettres de l’Auxerrois, couplée à une série de rencontres publiques dans les quartiers de la ville phare de l’Yonne…

 

AUXERRE : Ne lui parlez jamais de « communication » lorsqu’il évoque sa stratégie, car il pourrait voir rouge ou presque, Crescent MARAULT ! Non, lui, ce qu’il aime, ce sont les points d’étape, les focus et autres photographies prises à un instant « t » pour mieux « informer » sur la mise en œuvre de sa politique, applicable sur l’Auxerrois. Toujours dans le cadre de son « Projet de Territoire », la feuille de route initiale qui avait fait l’objet d’un abondant pavé informatif dès le début de son mandat.

Alors, trois années après sa prise de fonction et son installation dans le fauteuil du premier des élus de la capitale de l’Yonne, il n’y a donc rien d’étonnant à ce que le maire-président s’exprime en s’adressant à la population, tant de manière scripturale via une « Lettre aux Auxerrois » de quatre pages en version grand format reçue il y a quelques semaines dans les boîtes postales des habitants, ou de manière orale lors d’un exercice public, décliné en neuf actes dans la ville, les « Rendez-vous avec Crescent ». Un nom de code qui supposerait presque une part d’intimité relationnelle dans ces échanges avec l’interlocuteur !

 

S’il ne se passe rien, alors on ne dit rien !

 

« Expliquer ce que nous sommes en train de faire et non pas nous projeter sur ce que l’on pourrait faire d’ici deux à trois ans » permet de comprendre cette envie d’informer tous azimuts d’un Crescent MARAULT jusque-là disert sur sa politique. D’une part, il est (grand) temps de tirer les premiers enseignements des projets initiés  par son équipe après trois ans de gouvernance. D’autre part, il est judicieux pour l’élu de l’Yonne, de reprendre la main sur ce volet, coupant ainsi l’herbe à toutes les supputations et autres rumeurs, et de dire ainsi « comment se font réellement les choses de manière concrète sur le terrain ».

Un peu comme si Sherlock HOLMES nous gratifiait de sa célèbre formule, « Elémentaire mon cher WATSON ! », sous la plume de Sir Conan DOYLE.

Méthodique et réfléchi, Crescent MARAULT l’est visiblement jusqu’au bout de ses relations publiques ! « Vous savez, s’il ne se passe rien et que l’on a rien à dire, eh, bien on ne dit rien ! ».

Ce n’est donc pas plus compliqué que cela pour comprendre comment fonctionne l’édile auxerrois dans sa stratégie de « communication/information » !

 

 

 

Chacun des administrés doit avoir accès à une information claire et précise

 

Quant au temps politique, il ne joue jamais en faveur des gens trop pressés et avides de tout savoir, avant les autres – tiens, tiens, on dirait qu’il vise les journalistes ! - : « il faut respecter tout un processus qui nous est imposé autour de la mise en place d’un projet dans une collectivité, avec la construction du projet, sa faisabilité, sa validation, la recherche de son budget, sa validation, sa construction, soit une longue période comprise entre deux et quatre ans… ».

Naturellement, plus le projet est complexe, voire kafkaïen à sa réalisation, plus les délais impartis pour le voir se réaliser et enclencher un début d’information seront longs. De la pure logique donc dans la tête de l’ancien maire de Saint-Georges que « tous les élus ayant exercé le pouvoir savent par essence… ».

D’ailleurs, renchérit Monsieur le maire, « c’est souvent à partir de là qu’il y a une incompréhension totale de la part des citoyens qui ne sont pas au fait de ces modalités de fonctionnement et qui supposent que leur municipalité n’agit pas en conséquence sur les projets puisque rien ne se passe ouvertement ni par voie de presse ni par communication inutile ! ».

D’où l’idée, enfin, d’informer en cette période automnale les Auxerrois sur l’avancée des nombreux dossiers en fonction des étapes intermédiaires.

Au fil des quatre pages de cette lettre, pur produit du service de la communication de l’Agglo, qui devrait en appeler d’autres, si l’on suit le raisonnement du maire de la capitale de l’Yonne, la plupart des items évoqués dans le « Projet de Territoire » sont ainsi abordés en toute transparence grâce à des encadrés explicatifs, agrémentés d’une iconographie abondante et de chiffres à l’appui.

« Le but de ce document est simple, souligne Crescent MARAULT, c’est que chacun des administrés puisse avoir accès à une information claire, précise sur les nombreuses actions entreprises par l’équipe en charge de la gouvernance municipale (et/ou) communautaire… ».

 

Après l’écrit, l’oral pour partager la passion pour Auxerre

 

Du devenir de l’abbaye Saint-Germain au développement de la transition mobilité via l’essor du vélo ou du covoiturage, de l’innovation favorisant la transition écologique au changement des 2 300 points lumineux de la ville, sans omettre le renouvellement de l’offre commerciale sur trois ans ou la réhabilitation des logements qualificatifs permettant de revitaliser le cœur de ville : rien ne manque dans cet inventaire non exhaustif qui éclaire sur la nouvelle attractivité que souhaite impulser la gouvernance actuelle. Parmi les autres grands items abordés : l’enseignement supérieur, la réindustralisation, l’eau ou l’hydrogène, évidemment.

« Tout cela répond à un double objectif, insiste Crescent MARAULT : préserver la qualité de vie de l’Auxerrois et attirer sur ce territoire de nouvelles entreprises et de nouveaux habitants… ».

Le bilan de ce mi-mandat étant couché noir sur blanc sur le papier (un couché brillant du plus bel effet pour les puristes !), il était logique dans cette continuité informative de le commenter ensuite en public, en allant au-devant des habitants des quartiers auxerrois.

A cet égard, neuf rencontres sont ainsi programmées d’ici la mi-novembre pour l’élu d’Auxerre qui entend partager sa « passion » de la gestion de la ville auprès de ses administrés.

Une passion qui l’amène à évoquer les changements visant à améliorer au quotidien la vie des quartiers. Mais, aussi sans langue de bois – ce n’est pas le style du personnage ! – ceux qui peuvent occasionner des doutes et interrogations parmi les esprits chafouins : à l’instar de la suppression de la collecte des déchets en porte-à-porte qui suscite depuis sa validation communautaire à cinq voix près, moult remous parmi l’opposition (c’est son rôle) et des habitants amers qui n’adhèrent pas du tout à ce projet contraignant.

Bref, un exercice d’information sans filet mais pas sans courage que Crescent MARAULT aborde seul ou aux côtés de ses élus municipaux, avec pugnacité et volonté de pédagogie afin de convaincre les plus réfractaires à l’adoption de son « Projet de territoire ». Dans un souci de partage d’idées et d’échanges constructifs selon les règles initiales de la démocratie…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Emmanuel MACRON  a présenté  fin septembre les grands axes de sa planification pour une écologie « souveraine », « compétitive » et « juste », promettant notamment d'annoncer en octobre une reprise du « contrôle sur le prix de l'électricité ». Sortie totale du charbon d’ici à 2027, état des lieux des réserves naturelles d’hydrogène, voitures électriques à tout crin ainsi que les RER métropolitains intègrent ce plan. Sans omettre les pompes à chaleur…

 

TRIBUNE : Sans entrer dans des détails trop techniques, une P.A.C (Pompe à Chaleur) est composée d’un compresseur, de deux échangeurs, et d’un détendeur. Pour la transformation de la chaleur extérieure à l’intérieur du logement, le processus se décline de la manière suivante : un fluide frigorifique capte les calories ambiantes à l’extérieur, elles passent ensuite d’un état liquide à un état d’ébullition. La vapeur passe ainsi par le compresseur qui l’expédie à haute pression vers le condenseur.

La P.A.C. est un bon moyen écologique pour chauffer son habitation. L’énergie utilisée est puisée dans des ressources durables et renouvelables (air, eau, sol). La consommation de la P.A.C. est faible en électricité, sous certaines conditions que nous verrons plus avant. Quant aux prix, ils varient de 2 500 euros (se méfier) à des prix moyens de 7 000 à 15 000 euros.

 

Comment investir dans une pompe à chaleur ?

 

L’Etat contribue à l’installation de ces P.A.C. grâce à des primes qui vont de 4 000 à 10 000 euros. C’est aussi l’accès à une multitude d’aides : MaprimeRenov, primes CEE (Certificat d’Economie d’Energie), Eco Prêt à taux zéro, prêt avance rénovation, taux réduit de la TVA à 5,5 %, chèques énergie, aides des collectivités territoriales…

L’un des principaux enjeux économiques du développement des P.A.C. porte sur la construction neuve et la rénovation. Le Président de la République mise sur elle pour la planification écologique. La fabrication d’un million de P.A.C., associée à la formation de 30 000 installateurs, constitue un défi important. La planification écologique prévoit de réduire les gaz à effet de serre de 50 % d’ici à 2030 !

Il existe d’autres leviers dans le cadre de ce plan : la fabrication des batteries et des panneaux photovoltaïques. Pour l’instant les immeubles ne peuvent pas, techniquement, être équipés de P.A.C.

 

 

 

Sept millions de passoires thermiques dans l’Hexagone

 

Le magazine « 60 millions de consommateurs » indique qu’il est important de bien faire calculer la dimension de la P.A.C. En effet, si elle est trop grande, la consommation d’électricité peu annihiler le gain en énergie. De plus, il est inutile d’installer une P.A.C. dans une passoire thermique. Un diagnostic énergétique s’impose et il est indispensable de bien isoler avant tout investissement.

Selon la Fédération Nationale de l’Immobilier (FNAIM), la France compte plus de 7 millions de passoires thermiques ! Et « 60 millions de consommateurs » de poursuivre : il faut se méfier des prix les plus bas comme des plus élevés, et s’assurer de la qualité de l’installateur.

 

 

L’exemplarité de la gouvernance ? Que nenni !

 

En conséquence, il doit être détenteur au moins de la Certification RGE QUALITE P.A.C. Il faut aussi penser à inclure dans le devis le SAV et l’entretien de l’appareil.

Les écueils concernant la P.A.C. alimentent les controverses. Nous sommes très loin d’avoir les capacités industrielles pour fabriquer un million de P.A.C. aujourd’hui.

Produire tous ces appareils, c’est d’abord l’enjeu de notre souveraineté énergique, et c’est loin d’être gagné alors que les coupures de courant nous ont menacées tout l’hiver dernier !

Plus grave peut -être ? L’Elysée a fait remplacer ses vieilles chaudières par des chaudières à gaz ! Notre Président et ses ministres roulent bien-sûr à l’essence. Ils ne font pas confiance à l’électrique. Une remarque : quand on veut assurer la promotion de l’écologie, il vaut tout de même mieux avoir un échantillon sur soi !

On peut encore faire mieux : si on met d’un côté tous ceux qui brassent de l’air et de l’autre, tous ceux qui nous pompent l’air, on a une climatisation intégrée et gratuite !

 

Jean-Paul ALLOU

 


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Dire que le directeur de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne n’ait pas été bluffé par le résultat observable devant ses yeux serait un doux euphémisme ! Il a été conquis par la modularité du concept, Jérôme MAYEL ! Il n’est pas le seul. Cela a bien fait rire l’ingénieux Antoine DEMEYRE – directeur général de l’entité DERIMO -, à l’origine de cette cure de jouvence apportée en mode économie circulaire à un container maritime réformé. Grâce à cela, LOGI Yonne dispose désormais de sa salle de sport. De quoi satisfaire ses collaborateurs !

 

GRON : Mieux que les « ALGECO » ! Voici les containers maritimes réformés en variante salle de détente et de sport ! Une trouvaille fantastique qui va dorénavant faire le bonheur de la douzaine de salariés employées par LOGI YONNE sur la zone portuaire sénonaise.

Le principe est simplissime : on prend un vieux container, usé et fatigué d’avoir été transporté sur tous les océans du globe par des navires à l’estampille asiatique rempli à ras bord de marchandises, on le « plie » en deux – çà, c’est pour la façon imagée ! – car c’est tout de même une structure métallique costaude, et on bidouille le tout avec dextérité et savoir-faire, après un aménagement, pour lui offrir une nouvelle jeunesse !

Tel un Phénix renaissant de ses cendres, se présente face à nous…un espace de 30 mètres carrés flambant neuf qui accueille maintenant des agrès et autres appareils pour parfaire sa musculature…

Là, on en reste bouche bée une fois pénétré à l’intérieur de ce qui jadis transportait peut-être de l’électronique made in China ou des engrais.

Leds au plafond, climatisation réversible, tapis de sol pour le confort des disciples de la pratique de la détente sportive : le nouvel espace, officiellement opérationnel depuis vendredi, a été inauguré par Didier MERCEY et David BUQUET, les responsables de LOGI Yonne, l’un des opérateurs actifs du transport multimodal de notre région sur l’axe, Paris, Seine et Normandie. Bref, l’ouverture vers le monde depuis Le Havre !

 

Des containers usagés qui reprennent goût à la vie

 

Invité à cette soirée de présentation, et pour cause puisque la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne est toujours propriétaire de cette zone de fret au bord de l’Yonne septentrionale, Jérôme MAYEL. Le directeur général de la chambre consulaire a constaté avec ravissement toutes les opportunités subtiles offertes par ces vieux containers usagés qui, une fois retapés dans l’esprit éthique de l’économie circulaire, pouvait servir à d’autres fonctionnalités.

 

 

On doit ce tour de passe-passe un brin facétieux pour la déontologie mais surtout très professionnel quant à l’usage à la société DERIMO, basée à Sens, le spécialiste de la construction à partir de containers. Arborant un large sourire, son dirigeant, Antoine DEMEYERE, ancien cadre bancaire, a fourni moult explications sur le processus de modélisation de ces espaces métalliques, parfois recouverts de végétation pour faire encore plus naturel, des espaces qui apparaissent un peu partout au gré de notre environnement. C’est le cas sur le Sénonais avec un nouveau centre de kinésithérapie ayant nécessité l’apport de quatorze containers placés cote à cote.

Au port de GRON, même la prestigieuse Fédération française des Sports en entreprises et Harmonie Mutuelle ont apporté leur caution morale pour que ce container des plus ordinaires à l’origine ne devienne cet espace que les collaborateurs de LOGI Yonne pourront fréquenter à leur rythme et selon leurs envies durant les moments de  pause.

 

 

Un marché en développement auprès des particuliers, collectivités et entreprises

 

D’ailleurs, les premiers qui ont testé l’endroit y ont déjà pris goût : la structure a même reçu son nom de baptême, « LOGI Sport » ! De là à ce que Didier MERCEY et David BUQUET ne rebondissent en labellisant l’enseigne et ne la commercialise à l’avenir en inondant l’Hexagone, il n’y aurait qu’un pas !

Une idée pas si saugrenue que cela puisque DERIMO achète les containers usagés à une structure entrepreneuriale appartenant à Didier MERCEY (« Containers Equipement Service ») avant de les relooker à sa sauce et selon les desiderata de ses clients.

Aujourd’hui, il n’est  pas rare que des particuliers, entreprises et collectivités dans un souci de recyclage optimisé des produits arrivant à l’obsolescence se dotent d’une piscine, d’une pièce à vivre supplémentaire, d’un local pro, voire d’une cave à vin via des containers.

L’avenir de l’immobilier est dans le container : qu’on se le dise !

 

Thierry BRET

 


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