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Davantage mobilisés qu’au début de l’initiative, les professionnels de la filière restauratrice commencent à prendre leurs marques sur le marché couvert de l’Arquebuse à Auxerre. Même si des points d’achoppement existent encore dans la mise en œuvre logistique du concept, une quinzaine de chefs ont honoré ce vendredi 22 janvier ce cinquième rendez-vous avec l’espérance de s’améliorer dans leurs prestations. Prometteur…

AUXERRE : Certes, ce n’est pas tout à fait la panacée en l’état actuel. Mais, indubitablement, le mieux s’apparente de manière progressive dans l’approche identitaire que souhaitent donner les organisateurs de cet évènementiel.

Une animation, greffée au sein d’un rendez-vous incontournable pour les consommateurs auxerrois, à savoir le traditionnel marché alimentaire du vendredi matin.

Plus nombreux, motivés, élargissant la palette de leurs offres culinaires à grand renfort d’éclectisme goûteux, les toques de la restauration locale gagnent en légèreté pour appréhender un rendez-vous dont il n’avait pas l’habitude de fréquenter d’ordinaire. Un site consumériste quasi sédentaire qui devient dorénavant l’unique endroit où ils peuvent s’exprimer via leurs recettes et leur tour de main.

 

 

Des bruits de couloir peu réjouissants autour de la réouverture…

 

Les horaires de marché sont particuliers. La clientèle coutumière qui s’active entre les étalages, sans doute plus hétéroclite que celle qui déguste de petits plats savamment mitonnés à leurs tables. Mais, l’enjeu, capital, est là : grâce à cette démarche, opportunité leur est donnée de pouvoir exister, enfin, d’exercer leur métier et surtout de revivre !

 

 

Sans s’appesantir sur la dure réalité de ce contexte économique qui les prive de toutes activités dans leurs établissements. A ce propos, les bruits de couloir glanés çà et là du côté de ces acteurs de la filière ne sont pas terribles. Pas de réouverture prévu dans un proche immédiat, c’est une évidence quasi validée dans les esprits. Au bas mot, on évoque la période de Pâques. Les plus pessimistes d’entre eux entrevoient un retour en grâce de la restauration cet été. Voire à l’automne pour les plus lucides ?

Donc, il est judicieux de se concentrer sur les affaires courantes. Et sa présence même matinale au marché de l’Arquebuse, seule porte de sortie honorable pour espérer apercevoir un rai de lumière…

 

Thierry BRET

 

 


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Avocat à Paris, Me Carlo Alberto BRUSA est le président-fondateur de l’association « REACTION 19 ». Une structure qu’il a portée sur les fonts baptismaux en 2020. Celle-ci recense à ce jour plus de 52 000 adhérents. L’entité met tout en œuvre, par toutes les voies du droit, des actions juridiques et judiciaires afin de sanctionner et réparer les atteintes portées aux personnes physiques et morales à la suite des mesures de la COVID-19. Il nous a accordé une interview exclusive vidéo-filmée…

TRIBUNE : Me Carlo Alberto BRUSA est un représentant de la filière des métiers du droit et des chiffres. Ancien chargé de cours de droit à l’université de Paris II Assas et de Panthéon Sorbonne, cet avocat a pour zone d’influence la capitale. Mais pas seulement. Il officie aussi en qualité de responsable de l’association « REACTION 19 ».

Cette structure associative, il l’a montée de toute pièce pour collecter les plaintes de ses adhérents, et les formulaires mis en ligne, informations fournies autour des mesures prises au nom de la lutte contre le coronavirus.

On se rend compte aisément que c’est un homme de conviction et courageux. Son degré d’implication dans ce qu’il fait est entier. Avec franchise et honnêteté.

Au titre de son association, il publie régulièrement des vidéos dans lesquelles il explique sa position sur ce qui lui semble dysfonctionner dans les procédures mises en place actuellement par la gouvernance contre la COVID-19.

Il partage ses informations avec force et énergie, montre et commente des documents sur les actions en cours ou à venir ; les publiant sur ce site en toute transparence.

L’homme agit autant en tant qu’homme qu’en tant que juriste. En tant qu’homme, ce qui n’est pas harmonieux et ce qui manque de logique dans les pensées et dans les actes de la crise que nous traversons, le dérange profondément.

 

Comprendre les contradictions dans la gestion de la crise…

 

En tant que juriste, il pense avant tout aux principes d’égalité. La même cause devant produire les mêmes effets, il analyse pour quelles raisons le virus est dérangeant dans certains endroits. Et, pas dans d’autres.

Observateur, il pointe avec insistance sur ce qui se trouve pris dans des contradictions : les métros bondés aux horaires de fin de journée et le paradoxe des salles de cinéma vides. Sans omettre la déshérence culturelle vécue dans les théâtres, désormais dans l’immobilisme et sans spectateurs ou les restaurants, condamnés à un épisode de fermeture sans fin.

Presse Evasion a proposé un entretien filmé à ce professionnel du juridique. Une invitation à mieux comprendre les arcanes d’un dossier sanitaire qui fait la une depuis de tous les médias.

 

Visionner la vidéo :

https://youtu.be/ex60uvI4sgg

 

En savoir plus :

Site : https://reaction19.fr/

Le lien de la page Facebook : https://www.facebook.com/Reaction19Asso

Texte : Hadrien ACELA

Interview vidéo de Daniel BOUKEZ 


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Prenant à contre-pied le sacro-saint principe très hexagonal de vivre heureux dans l’ombre lors d’une période de crise, le centre de formation de l’Yonne souhaite optimiser en la renforçant sa visibilité vers l’extérieur. Un challenge impérieux qui intègre une nouvelle stratégie de communication peaufinée aux petits oignons par ses responsables. Et en particulier l’une d’entre elles, Delphine ENGELVIN. Celle-ci possède parmi ses multiples cartes de visite celle des relations publiques…

AUXERRE : Plus de notoriété à acquérir alors que l’établissement n’en manque pas dans la réalité ! Un curieux paradoxe, en vérité, qui montre toute la détermination de l’équipe dirigeante du centre interprofessionnel de formation par l’apprentissage de l’Yonne !  

Question de logique, en somme, puisqu’il y a belle lurette que ces gens-là ont choisi le sceau vertueux de l’excellence pour accroître le rayonnement de leur savoir-faire auprès de leurs partenaires usuels et de leur public cible, les apprentis et leurs familles. Voire au niveau national pour certaines manifestations résolument porteuses à l’instar du restaurant d’application « Le Com des Chefs », le salon de coiffure applicatif sous l’égide de L’Oréal ou le fameux « Clic Store », concept ultra technologique d’enseignement que beaucoup d’établissements leur envient aujourd’hui.

Bien présent dans les esprits du sérail de la pédagogie et de l’orientation made in Yonne, le CIFA profite donc de cette nouvelle année pour s’appliquer de grandes résolutions identitaires. Via la création d’un logo qui gagne en modernisme dans sa configuration conceptuelle. Tout en affirmant l’identité visuelle de ces différents supports de communication.

 

De la réflexion partagée pour des solutions préconisées…

 

Un travail de refonte en profondeur a ainsi été réalisé selon les rites intellectuels du partage collectif. Autour de la table, plusieurs acteurs cogitent et lancent des pistes à tout crin. Delphine ENGELVIN, à l’évidence au vu de son positionnement stratégique dans l’organigramme interne du centre, en qualité de bras droit du directeur de l’établissement Marcel FONTBONNE.

Il y a aussi une jeune recrue ayant rejoint les rangs de cet effectif au printemps. Maxime LAUZET est son patronyme. Chargé de développement, la communication est son fil d’Ariane. Il puise dans ses connaissances sanctionnées par l’obtention d’un master en marketing pour s’y étayer avec allégresse.

 

 

Extérieurement, l’agence de communication auxerroise BEES COM apporte ses compétences. Michaël BERGIA et son équipe se sont plongés dans le relookage du site multimédia qui sera rendu opérationnel d’ici peu. De nouveaux univers vont apparaître. Permettant de mieux définir les thématiques principales d’enseignement dispensées en ces lieux. Tout devrait être finalisé en février.

Second objectif : la réappropriation des réseaux sociaux. « Nous allons les travailler différemment, concède Delphine ENGELVIN, en déployant une ligne de communication cohérente et identique… ».

 

 

Des manifestations thématisées pour les professionnels de l’artisanat…

 

La mise en forme de manifestations thématisées à destination des entreprises de l’artisanat et des maîtres d’apprentissage se profile également à l’horizon. Elles confèreront de la valeur ajoutée à cet ensemble de décisions. Même si pour l’heure, et selon les évolutions chaotiques de la crise sanitaire qui perdure, il est impossible d’en arrêter la moindre date sur le calendrier.

Qu’importe ! L’optimisme prévaut au CIFA. Qui ne compte pas baisser les bras en cette période de flou artistique total et se prépare à reprendre très sérieusement du collier grâce à sa nouvelle communication accélérée !

 

Thierry BRET

 

 


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Le négociateur du BREXIT pour la communauté européenne, le Français Michel BARNIER, déclara juste après l’accord : « Il n’y a pas de gagnants, il n’y a pas de perdants » ! Un discours, diplomatique plus proche de la langue de bois que des constats objectifs liés au deal. Le contrat fut conclu in extremis quelques jours seulement avant l’échéance. Pourquoi de tels atermoiements et une telle lenteur avant d’arriver au terme de l’aventure britannique au sein du concert européen ? L’Europe voyait d’un très mauvais œil le départ de la perfide Albion. De crainte que cela ne donne des idées d’émancipation à d’autres pays ?!

 

TRIBUNE : La France a tout fait pour mettre des bâtons dans les roues du carrosse de Boris JOHNSON. Il est nécessaire de démontrer qu’un départ de l’Union européenne est extrêmement nuisible à ceux qui demandent à en partir. Au bout d’un suspens, digne d’un roman d’Agatha CHRISTIE ou de Sir Conan DOYLE, les signatures furent enfin apposées au bas du parchemin. Le sourire arboré par le Premier ministre anglais en disait long sur son degré de satisfaction, et pour cause…

 

Sur biens des points, les Anglais peuvent crier victoire !

 

Les deux mille pages du traité commercial entre l’Europe et le Royaume-Uni ne sont pas encore commentées et bien identifiées mais on subodore déjà l’essentiel. En premier lieu, les Anglais économisent douze milliards d’euros : soit le solde de leur contribution à l’Europe. Mais surtout, ils ont accès au marché commun, sans droits de douane ni quotas. Au passage, ils améliorent de 25 % leurs possibilités de pêche au détriment de l’Europe et particulièrement des Français ! Globalement au niveau des marchés, ça ne change rien, avec ou sans l’Europe !

L’objectif central des Britanniques fut de retrouver leur souveraineté, sans concession à ce que qui a toujours fait partie de leur histoire. Un pouvoir total sur leur destin et l’indépendance dans leurs décisions. Finalement, les grands gagnants sont les souverainistes ! Cette volonté est certainement commune aux 470 millions de consommateurs européens, fatigués et usés par des normes imposées par des technocrates déconnectés des réalités. Les Européens perdent toute confiance dans les femmes et les hommes politiques  de tout bord. Dans le style : « On n’a pas tout perdu », l’Union européenne se donne un droit de regard sur les règlementations sociales ou le dumping éventuel sur les salaires. Quant aux menaces de réactions de l’Europe, les Anglais s’en contrefichent ! Ils ont récupéré leur indépendance, loin des contraintes réglementaires et des normes imposées par Bruxelles !

L’europhobe Nigel FARAGE qui a fait  carrière sur le rejet de l’Union européenne, avait célébré à sa manière la sortie formelle du Royaume-Uni : « Nous pouvons célébrer le fait que nous sommes libres des contraintes de l’UE, nous pourrons retrouver notre place dans le monde. La guerre est finie. Nous avons gagné ! ».

Sur le plan militaire, les Britanniques arrivent au sixième rang des puissances militaires. Ils possèdent la dissuasion nucléaire et sont largement favorables à l’OTAN, comme l’Allemagne, au détriment de la France ! Sur cet aspect, le BREXIT représente une défaite personnelle pour la France. L’OTAN est inféodée aux Américains qui vendent de plus en plus les équipements militaires à l’organisation. En politique étrangère, les experts regrettent la perte des compétences que représente le « Foreign Office », mais ils estiment que Londres ne devrait pas s’éloigner des positions européennes sur les grandes questions comme le nucléaire iranien, la Russie ou le Proche-Orient. On se console comme on peut mais de l’autre côté de la Manche, les décisions ne sont liées qu’aux seuls intérêts…de l’Angleterre et de ses habitants.

Sur le terrain de l’immigration, Boris JOHNSON gagne aussi une totale souveraineté face aux accords de quotas d’émigrés que l’Europe doit accueillir. Pour le Parlement britannique, le blocage de la frontière fut un vrai soulagement, laissant ainsi à la France les étrangers bloqués à Calais et ailleurs.

 

 

Des idées de sortie de l’Europe, mais pour qui ?

 

Si certains pensent que la meilleure solution serait un Bruxelles-exit, plus sérieusement, l’idée d’une « sortie » effleure de nombreux pays. A commencer par la France, qui compte des partisans d’une France hors de l’Europe. Si nous faisions aujourd’hui un référendum le « oui » (favorable au départ) l’emporterait sûrement.

Le président Emmanuel MACRON a tort quand il affirme que les Français sont pro-européens et qu’ils ont affirmé leur adhésion dans tous les référendums ! Faux et archi-faux ! Volonté de manipulations ? Si le traité de Maastricht fut approuvé par seulement 51 % des votants, le traité de Lisbonne de 2005, établissant une constitution européenne fut rejeté, infligeant ainsi un véritable camouflet à Nicolas SARKOZY. A telle enseigne que grâce à l’artifice de règles constitutionnelles, ce dernier parapha le traité au nom de la France ! In fine, qu’est devenue la volonté du peuple ? 

Les plus grands contributeurs nets au budget européen restent l’Hexagone, l’Allemagne, l’Italie et avant le BREXIT, le Royaume-Uni. Dans un degré moindre, le Danemark, la Suède, la Finlande et l’Irlande contribuent plus modestement.

 

 

Si nous excluons d’un Brexit, les pays qui reçoivent plus de monnaie de Bruxelles qu’ils n’en donnent, encore appelés « les bénéficiaires nets », nous retrouvons pour les plus significatifs : la Pologne, la Hongrie, la Roumanie, l’Espagne, le Portugal, la Grèce… Ceux qui parient que tous les pays bénéficiaires ne pourront jamais quitter l’Europe se trompent lourdement. Certains pays souhaitent ardemment retrouver leur autonomie et leur indépendance vis-à-vis de l’Europe : la Hongrie et la Pologne en tête. Il suffirait de très peu de choses : une volonté de déstabilisation de l’Europe du côté de POUTINE et de la Russie par exemple.

Que dire d’une Chine omniprésente en Afrique qui contribue aussi à la désunion de l’Europe.  Les Russes engagent actuellement un rapprochement avec l’Allemagne sur un vaccin anti-COVID !

 

 

Contourner les incohérences aberrantes du système…

 

Mondialisation oblige, plus besoin de l’Europe pour faire circuler les capitaux et les biens sans contraintes. En ce qui concerne les normes, la réglementation française impose des conditions plus rudes que pour les autres membres.

A titre d’exemple, on peut citer la culture bio. Même si le ridicule ne tue pas, on peut également faire référence à des règles absurdes qui entament notre libre arbitre : « l’escargot de Quimper » a empêché la construction du stade de Brest ! A cause d’une espèce protégée par Bruxelles. La construction de l’autoroute A 28 fut retardée de dix ans à cause de la présence du scarabée « Pique-prune », présent sur le tracé et protégé par la Convention de Berne (1979).

Des contraintes qui trônent parmi les plus de 400 000 règlementations administratives nationales !

Quitter l’Europe, pourquoi pas ? Mais, nous pouvons rester en imposant de nouvelles règles aux pays qui ne jouent pas le jeu : le dumping salarial des Polonais, des Espagnols ou des Roumains qui sous-payent leurs employés et ouvriers et faussent ainsi la concurrence. L’Allemagne, qui préfère imposer l’OTAN et l’appui américain afin que les Français ne reprennent pas la suprématie militaire avec l’arme nucléaire et le Rafale. Une question s’impose : qui sont réellement nos Alliés ?

De quelle Europe parlons-nous ? Celle qui nous impose des quotas d’accueil d’émigrés comme on désigne des fruits ou des légumes ? Une Europe où la frontière appelée « espace Schengen », devient une vraie passoire ? Pour l’accueil d’émigrés, certains pays ont par ailleurs refusé de ratifier l’accord…

Quant à la pandémie actuelle, elle n’a rien démontré quant à l’unité médicale d’une Europe  capable de répondre d’une seule voix aux solutions à mettre en œuvre. Si, on peut noter l’unanimité pour refuser le vaccin anglais anti-COVID juste pour marquer notre colère au détriment de la vie des gens !

On n’a rien compris de nos amis britanniques. On les accuse d’hypocrisie mais aussi dignes d’un humour décapant. Cette histoire décrit parfaitement la mentalité anglo-saxonne : que dit un Anglais quand il entre par mégarde dans une salle de bains ou il y a une femme nue ? En refermant la porte il déclare : sorry, Sir…

Alors « messieurs les Anglais tirer les premiers » en refermant la porte et à votre suite, attention le mot de CAMBRONNE est, en Europe, sur beaucoup de lèvres !

Jean-Paul ALLOU

 


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Une école de vente à demeure au sein de l’entreprise, pourquoi pas ? L’idée, ingénieuse, a fait son petit bonhomme de chemin dans l’esprit avisé du président-directeur-général du groupe AMPLITUDE Gérald RICHARD. Proposant des séances théoriques et des immersions concrètes sur le terrain, elle a permis à cinq stagiaires de bonifier ce cursus instructif en contrats à durée indéterminée au terme de la première saison…

TROYES (Aube) : L’adage le stipule à bien des égards : on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même ! Une maxime à prendre au pied de la lettre lorsqu’il s’agit de dénicher, à titre d’exemple, la perle rare en matière de futurs collaborateurs.

Serait-ce ce singulier prétexte qui est à l’origine de l’initiative ? Toujours est-il que le groupe automobile AMPLITUDE, présent à ce jour sur une zone de chalandise forte d’une dizaine de départements, n’a pas ergoté pour transformer cette pensée basique en image très concrète.

En 2020, la société de Troyes décide de se lancer dans l’aventure en ouvrant sa propre école de vente. Grand bien lui fasse ! Le nom de baptême de ce nouvel outil pédagogique se dévoile sans équivoque : « AMPLITUDE ACADEMY ». Avec son clin d’œil malin et astucieux à ce qui se fait de mieux dans les expériences anglo-saxonnes. Celles qui régissent les règles absolues d’un marketing bien léché et performant.

 

L’éclectisme au niveau de la formation…

 

Sept candidats au profil très disparate suivent alors le fil d’Ariane sélectif de la promotion initiale. Ce sont des jeunes gens, diplômés ou pas, qui possèdent ce dénominateur commun qui les unit dans leurs choix : la passion immodérée pour la vente et le conseil.

Seule ombre au tableau dans ce panorama presque idyllique, ils leur manquent pour beaucoup l’essentiel : la maîtrise de la technicité. Logique, comment posséder quand on n’est béotien le savoir à son paroxysme sur un segment professionnel en constance évolution !

Grâce à des séances de travail théoriques, additionnées de phases pratiques au sein des concessions, les néophytes réussissent les différentes étapes de ce cursus long d’un trimestre pour s’aguerrir au futur métier qu’ils entrevoient dans le viseur.

 

 

 

 

Le contenu de la formation brille par son éclectisme : fiscalité, produits automobiles, utilisation des outils CRM afin d’optimiser au mieux sa relation à la clientèle…Tout y passe !

La présence d’un tuteur, expérimenté et qualifié, permet aux candidats de se transcender en explorant des univers de la vente jusque-là encore trop méconnus. Cinq de ces valeureux apprenants toucheront le Graal. Un CDD de six mois qui débouchera in fine sur leur conversion légitime pour une durée pérenne et encourageante.

 

Ouverture des dépôts de candidature pour la prochaine session…

 

Sur un plan purement organisationnel, AMPLITUDE a pris soin de se rapprocher de Pôle Emploi. L’organisme majeur de l’intégration dans le travail dans l’Hexagone apporte sa pierre dans le projet tandis que tous les frais inhérents à ce cursus, y compris l’hébergement et les repas, tombent dans l’escarcelle du groupe automobile. Un souci de moins qui rassure les stagiaires.

La deuxième session doit débuter en avril. Une dizaine de postes sont à pourvoir pour y vivre pleinement son goût de la vente automobile. Les candidatures sont déjà ouvertes. Jusqu’au 08 mars avec l’envoi d’un CV et d’une lettre de motivation qui se mueront en un premier échange direct sous la forme d’un entretien, une fois ce premier cap passé.

Une chose est sûre, l’un des nouveaux récipiendaires de l’examen final qui sanctionnera ce cursus printanier sera titularisé dans la concession que possède AMPLITUDE à Sens. 

 

En savoir plus :

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Thierry BRET

 


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