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C’est déjà l’heure d’un premier bilan au centre hospitalier d’Auxerre. Au terme de la journée initiale de vaccination ouverte aux personnes âgées de 75 ans et plus. Malgré l’horaire avancé (il est plus de 17 heures) et la stricte contrainte à observer avec le drastique couvre-feu, plusieurs patients rongent encore leur frein dans la petite salle d’attente avant de recevoir la salvatrice injection. Ils ont même la surprise de pouvoir s’entretenir avec le préfet de l’Yonne, présent sur ces lieux…

AUXERRE : Le chiffre tant attendu est annoncé lors de la conférence de presse par le directeur de l’établissement hospitalier Pascal GOUIN. A l’issue de cette première journée vaccinale destinée à accueillir nos concitoyens de 75 ans et plus, cent-vingt-quatre doses du précieux antidote contre le virulent coronavirus ont été administrées ce lundi 18 janvier.

Si on l’ajoute à ce résultat à ceux obtenus dans les trois autres centres d’accueil facilitant cette opération sur la ville (la polyclinique Sainte-Marguerite et le Centre d’examens de santé), ce sont près de 170 de nos aînés qui se sentent davantage sécurisés au soir de cette séance liminaire de soins.

Une tendance révélatrice de la complémentarité fonctionnelle mise en exergue par l’ensemble des acteurs de santé du cru qui satisfait pleinement le représentant de l’Etat.

Le haut-fonctionnaire Henri PREVOST s’est donc rendu en cette fin d’après-midi dans le principal complexe sanitaire de la capitale de l’Yonne. Une légitime prise de température pour le porte-parole de l’Etat, garant de la réussite de cette action indispensable à la sortie de crise.

 

 

 

Sensible amélioration de la crise dans l’Yonne après les fêtes…

 

S’immergeant parmi les différentes zones permettant de prodiguer les soins et la gestion de l’attente de la patientèle, Henri PREVOST a pu constater de visu que le mode opératoire s’avérait très fonctionnel.

Jamais avare dans ses échanges relationnels, il a pu échanger quelques mots de courtoisie avec des seniors ravis de bénéficier avec soulagement de ces produits thérapeutiques si attendus.

Accompagné de l’élue auxerroise en charge de la santé, des affaires sanitaires et sociales le docteur Maryline SAINT-ANTONIN, le préfet a écouté avec intérêt les ultimes informations de la journée  fournies avec moult détail par la déléguée départementale de l’Agence Régionale de Santé (ARS) Eve ROBERT.

Première observation : la situation sanitaire dans l’Yonne semble quelque peu s’améliorer. Une surprise presque divine alors que beaucoup craignaient le pire et s’attendaient à enregistrer la recrudescence du nombre de contaminations au lendemain des fêtes de fin d’année.

Pas d’effet rebond de la COVID-19 en tout état de cause sur notre territoire, un secteur qui fut pourtant au plus mal au niveau du taux d’incidence fin novembre.

Aujourd’hui, cet indicateur de référence se situe en dessous de la moyenne nationale. Environ deux cents personnes (190 avec exactitude) bénéficient des services de soins dans les hôpitaux du département dont une quinzaine d’entre elles sont placées en surveillance accrue en réanimation.

 

 

 

Toutefois, prudent, le préfet appelle toujours à la plus grande vigilance. Car, le virus circule toujours dans notre contrée, certes avec moins de virulence que sur l’ensemble du territoire régional.

Sur un plan pratico-pratique, le représentant de l’Etat invite la population à privilégier les réservations vaccinales par Internet (plateformes DOCTOLIB, KELDOC…) plutôt que de se concentrer uniquement vers les centres d’appels téléphoniques.

Même si ces derniers sont opérationnels et mobilisent le personnel administratif des unités hospitalières. Une manière concrète de réduire les temps d’attente afin d’obtenir le précieux rendez-vous d’ici les prochaines semaines.

 

Déjà 2 500 personnes vaccinées dans l’Yonne au 16 janvier….

 

Quant au rythme d’approvisionnement des vaccins, il est en phase d’accélération tant dans l’Hexagone de manière générale que sur notre secteur géographique.

Selon les prévisions optimistes de l’Agence régionale de Santé, le nombre de doses à acheminer vers les différents centres de soins devrait doubler d’ici le mois de mars, passant ainsi de 500 000 flacons à plus d’un million de contenants par semaine.

Il est vrai que l’autorisation de nouveaux agréments (on pense en particulier aux nouveaux remèdes conçus par l’américain MODERNA et au consortium suédois-britannique ASTRA ZENECA plus flexibles à manipuler dans leur conditionnement) enrichira le panel de solutions monopolistiques actuelles en suppléant l’offre unique du laboratoire PFIZER. La seule à être délivrée aujourd’hui.

Deux mille cinq cents personnes avaient déjà reçu la première des deux injections à la veille du  dernier week-end dans l’Yonne.

L’ARS table sur un premier panel raisonnable de neuf mille patients d’ici la fin du mois. Sachant que trente-deux mille seniors âgés de 75 ans et plus vivent à leur domicile dans le département. Une statistique qu’il est bon d’accroître en y ajoutant celles et ceux de nos aînés qui coulent leur retraite dans les établissements d’accueil.

Bref, on le voit, il faudra tout de même s’armer encore de beaucoup de patience pour recevoir le produit anti-coronavirus, synonyme de protection.

 

Thierry BRET

 

 


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Opérationnel depuis le 04 janvier, la nouvelle variante du DAQ (Dispositif Amont de la Qualification) s’adresse aux demandeurs d’emploi âgés de plus de seize ans, peu ou pas qualifiés. Qu’ils soient inscrits ou non à Pôle Emploi. Articulé autour de trois prestations prioritaires, ce programme a été lancé officiellement en Bourgogne Franche-Comté ce mardi 19 janvier…

DIJON (Côte d’Or) : Construction de parcours, acquisition de compétences générales et professionnelles ou intégration renforcée desdites compétences : le DAQ se présente tel un parcours spécifique mis en place par la Région à destination des personnes très éloignées du monde du travail.

Au bas mot, ce sont des demandeurs d’emploi au profil peu qualifié. D’ailleurs, aucun niveau précis n’est requis pour en être le bénéficiaire. Il suffit pour y prétendre de se renseigner auprès des services ad hoc de Pôle Emploi, d’une mission locale ou de Cap Emploi.

Prise en charge par la Région, cette formation offre le statut de stagiaires de la formation professionnelle et permet de percevoir à ce titre une rémunération. A titre d’exemple, un jeune adulte de moins de 18 ans recevra 455 euros par mois de formation depuis la revalorisation régionale.

L’organisme prévoit en outre une aide forfaitaire de deux cents euros afin de couvrir les frais d’entrée en formation. Cela comprend notamment les frais d’équipement numérique ou la couverture de frais de garderie.

 

 

Aller plus loin dans l’accompagnement des stagiaires…

 

Ce mardi 19 janvier, la vice-présidente de la Région en charge de la formation professionnelle Océane CHARRET-GODARD devait dévoiler à l’ensemble des partenaires de la formation les contours de la nouvelle offre régionale, baptisée sobrement le DAQ 2.0.

Rappelons que le concept initial considéré à l’époque comme une action remarquable par le Haut-Commissariat aux Compétences avait été mis en place dès 2017 pour un budget annuel de 23 millions d’euros.

Deux ans plus tard, 61 % des personnes ayant suivi des cycles de formation sur notre territoire avaient suivi ce fameux dispositif. Preuve incontestable de son succès !

Aujourd’hui, cette seconde mouture va encore plus loin dans l’accompagnement spécifique des personnes sans qualification. Cinquante organismes, et non des moindres, sont précisément impliqués dans sa mise en œuvre. Pour être au plus près du domicile des stagiaires sur l’ensemble du territoire régional.

 

En savoir plus :

Renseignements sur www.formation-jaimaplace.org

Téléphone : 09.71.04.73.78.

Thierry BRET

 


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De la motivation, il en faut une bonne dose dans le contexte professionnel actuel pour prétendre se lancer de manière honorable dans une nouvelle carrière à l’âge de 23 ans. Titularisée à son nouveau poste au premier octobre, le chômage partiel l’a rattrape très vite en guise d’expérience curieuse et insolite à vivre ! Quinze jours de confinement plus tard, revoilà la jeune Auxerroise prête à s’impliquer à fond dans sa fonction de juriste opérationnelle au sein du syndicat patronal du bâtiment…

AUXERRE : Pas si simple de faire ses premières armes dans la sphère de l’emploi avec cette conjoncture sanitaire désarmante. Entre chômage partiel, télétravail et exercice de la fonction en présentiel, il est indispensable de faire montre d’inventivité permanente pour trouver ses marques.

Surtout si l’on débute une première expérience dans la vie active ! Celle d’une jeune fille diplômée en droit, issue du CNAM (Conservatoire national des Arts et Métiers) qui accède au Graal initial à la découverte de son futur cursus : le domaine juridique.

A 23 ans, Noémie TARDIVON endosse la vêture de juriste ayant le savoir-faire nécessaire pour dénouer le fil des embrouillaminis administratifs qui pèsent lourdement sur les épaules des chefs d’entreprise. Dans le domaine du bâtiment, ils sont légion !

 

 

Volontariste dans sa démarche, la jeune fille succède au sein de l’organigramme de la Confédération artisanale des petites entreprises du bâtiment (CAPEB) de l’Yonne à Martine THERY. Celle-ci ayant fait valoir ses droits à une retraite amplement méritée au 31 décembre.

Aux côtés du directeur de l’organisme icaunais, Christophe BERTEAU, la jeune Noémie aura pour tâches prioritaires de gérer le service juridique et recouvrement des créances.

Tout en s’adossant à d’autres missions complémentaires en phase directe avec le nouvel environnement corporatiste dont elle prend connaissance : l’appellation HANDIBAT, la gestion de la Prime RENOV ou encore le CEE, le Crédit économie énergétique.

 

Thierry BRET

 


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Le projet d’implantation de cet établissement aux PIEDALLOUES fait déjà couler beaucoup d’encre parmi le microcosme médiatique local. Comme le témoigne la manifestation des mouvements écologistes ce samedi (voir article consacré à ce sujet) qui protestait contre une hypothétique installation du site dans ce parc naturel urbain. Pour autant, le projet, soumis à un appel à manifestation d’intérêt at-il une réelle chance d’aboutir ? Pas si sûr, si l’on s’en réfère à l’élu de l’opposition LREM Mathieu DEBAIN à l’origine de l’idée…

AUXERRE: Trop mince et pas suffisamment étayée en argumentations pour être crédible aux yeux des décideurs de l’appel à manifestation d’intérêt la réponse fournie par la Ville d’Auxerre ? C’est ce que pense à l’heure actuelle le conseiller municipal d’opposition La République en Marche (LREM) Mathieu DEBAIN à propos de ce dossier qui a fait la une de l’actualité après la manifestation de ce week-end par les forces écologistes de la place.

L’ancien responsable du collectif « S’engager pour l’Auxerrois » exprime ses craintes quant aux chances de succès de ce dossier soumis à candidature par les services de la ville aux responsables de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

Comprenant seulement une dizaine de pages, les réponses faites à ce projet auraient justement peu de velléités à être retenues in fine en haut lieu « parce qu’il ne vante pas assez les qualités de notre territoire pour gagner la considération des responsables de la BNF ».

Et l’élu de l’opposition de se fendre d’un communiqué de presse daté du samedi 16 janvier où il explique sous la forme d’un tacle plutôt rugueux asséné à l’équipe de Crescent MARAULT que, selon lui, « cette dernière devrait montrer davantage de motivation et d’ambition pour espérer convaincre et accueillir ces projets d’envergures importantes qui sont favorables au développement de notre territoire ».

 

 

Des emplois à créer autour de la valorisation du patrimoine écrit national…

 

Pourtant, l’élu de l’opposition est à l’origine de cette candidature opportune. Lors du conseil municipal en date du 29 septembre, Mathieu DEBAIN avait présenté lors de sa prise de parole devant ses condisciples la nature plutôt alléchante de par sa physionomie dudit dossier.

Il était question en cas de réalisation de celui-ci de conserver et de numériser la bagatelle de 247 000 ouvrages de presse, consultables par des visiteurs aussi disparates que peuvent l’être les chercheurs, les étudiants, les journalistes. Un projet à vocation économique, également, puisque porteur d’une centaine d’emplois à la clé à créer sur notre territoire.

 

 

« Ce projet ambitieux me semblait intéressant pour notre ville avec ces retombées indirectes au plan économique pour l’Auxerrois, confie Mathieu DEBAIN, il aurait également donné une image positive de notre ville comme étant la ville qui conserve la mémoire du patrimoine écrit français… ».

 

Le site des PIEDALLOUES n'est ni une zone d'accueil ni une ZAD…

 

Dubitatif quant au dénouement positif du dossier, l’élu de La République en Marche rejoint en revanche les avis de Florence LOURY et de Denis ROYCOURT. De ne surtout pas implanter ce futur conservatoire sur le parc naturel urbain des PIEDALLOUES.

« Sans concertation aucune, l’équipe municipale a décidé de bâtir ce projet dans ce secteur d’Auxerre, précise-t-il, mais ce site doit rester une zone naturelle… ».

Rejetant ainsi l’idée de facto que ce quartier, considéré comme un petit village dans la ville, ne devienne un jour une zone d’activités.

Seul bémol divergent avec ses deux coreligionnaires de l’opposition municipale, Mathieu DEBAIN ne croit pas que les Auxerrois souhaitent la création d’une Zone à Défendre (ZAD) sur ce terrain.

Sans doute, le tumultueux et triste souvenir de celle de Notre-Dame-des-Landes qui fit la une régulière des manchettes de la presse demeure-t-elle encore trop vivace dans les mémoires collectives.

Mathieu DEBAIN propose sa propre vision alternative sur ce sujet : la mobilisation générale pour que le lieu d’implantation de ce concept unique et prometteur qui demeure toujours à l’état hypothétique, soit modifié.

Sans pour autant avoir recours à des moyens extrêmes…

 

Thierry BRET

 


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Franchement hivernales, neige à l’appui, les conditions météorologiques n’étaient pas les bienvenues pour organiser un rassemblement populaire en extérieur ce samedi en début d’après-midi à Auxerre. Nonobstant, cela n’aura pas empêché les défenseurs de l’espace naturel des PIEDALLOUES d’y prendre part avec pugnacité, répondant ainsi à l’appel des élus d’Auxerre Ecologie, d’Europe Ecologie Les Verts ou de l’association ADENY.

AUXERRE: La température ambiante ne s’y prêtait absolument pas. Pire, des flocons de neige blanchissaient progressivement le lieu déjà fort humide point d’ancrage de ce rassemblement revendicatif. Pourtant, de l’avis des organisateurs, ce fut in fine une très belle réussite.

Plus de quatre-vingt personnes, des courageux de tout âge et mobilisés à la cause osaient braver les frimas rigoureux de l’hiver pour y faire entendre leurs voix. Et surtout leur désapprobation contre le projet d’implantation sur la zone des PIEDALLOUES du futur Conservatoire national de Presse de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

Une construction qui prendrait la forme d’un bâtiment occupant selon des informations fournies par la Ville d’Auxerre environ 2,5 hectares sur les dix hectares existants. Un édifice qui ne serait d’ailleurs pas le seul à surgir de terre sur cet espace naturel que souhaite sauvegarder coûte que coûte les habitants.

 

 

Le Conseil départemental de l’Yonne ayant également précisé son intention de bâtir une structure lui permettant d’accueillir ses archives sur le même périmètre. Soit une amputation supplémentaire de deux autres hectares de terrain.

Une double décision devenue inacceptable pour les mouvements écologistes du bassin concerné. Non seulement, ce serait la moitié de ce parc urbain naturel qui serait rognée à brève échéance de sa superficie légitime. Avec le risque de le voir disparaître totalement des écrans radar en devenant une zone à 100 % urbanisée.

 

 

 

 

 

Une zone essentielle à la conservation de la faune et de la flore…

 

 

Pas touche à ce poumon vert au cœur de la ville ! Les mouvements écologistes n’ont donc pas tardé à réagir aux côtés des habitants de ce quartier auxerrois pour manifester contre ce projet à la puissance double.

Considérant que cette zone est primordiale à la préservation des végétaux et de la faune, Auxerre Ecologie, Europe Ecologie Les Verts, l’association ADENY et les collectifs regroupant les habitants du quartier ont déclaré ce secteur géographique comme devenant de facto une Zone à Défendre.

Une ZAD pour celles et ceux qui se reconnaissent dans cet acronyme populaire qui fait florès dans l’Hexagone depuis des années !

 

 

 

Munis d’une cinquantaine de pancartes symbolisant des lettres de l’alphabet, les opposants à ce projet ont pris position dans la zone des PIEDALLOUES lors de cette action visuelle et sonore avec la prise de parole de ses instigateurs. Rappelant au passage qu’il existait des alternatives différentes pour accueillir la construction de ces bâtiments de la discorde : la fameuse zone d’activités d’Aux R Parc, vide de toute réalisation à l’instant « t », et la zone de la SERNAM, près de la gare ferroviaire où les services de la Bibliothèque Nationale de France pourrait acheminer ses volumineuses archives via le train. Une manière sans équivoque de dire avec insistance que sur ce dossier, on peut aussi y joindre l’utile aux vertus du pragmatisme !

 

Thierry BRET

 

 

 


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