Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Ce n’est pas de gaité de cœur que la présidente de l’agence de développement touristique, Yonne Tourisme, a annoncé à l’assistance présente lors de l’assemblée générale la décision entérinée quelques minutes auparavant par son conseil d’administration. La mort dans l’âme mais respectueuse des préconisations gouvernementales propres à la sécurité de chacun face à la propagation du coronavirus, Anne JERUSALEM a dû se contraindre à tirer un trait définitif sur la seconde édition de la prometteuse manifestation populaire…

JULLY : Question légitime que chacune des personnes participantes à l’assemblée générale de l’agence Yonne Tourisme se posait avant l’ouverture de la session : la FAMILY WEEK serait-elle maintenue cette année ?

Devant se dérouler sur les journées du 28 et 29 mars, la seconde édition de cette grande fête familiale populaire n’aura finalement pas lieu aux dates convenues.

La prolifération des cas de coronavirus à l’échelle de l’Hexagone (près de 130 cas recensés pour l’heure en Bourgogne Franche-Comté) aura eu raison, et ce de manière indicible, du rendez-vous festif printanier que s’apprêtait à organiser les équipes de la vénérable institution et ses partenaires dont le Conseil départemental.

Réuni en début d’après-midi, ce lundi 09 mars sur l’agréable site architectural du château de Jully dans le Tonnerrois, le conseil d’administration de l’organisme a pris soin de ne pas donner suite à la manifestation. Au grand dam de celles et ceux qui se faisaient un malin plaisir d’y prendre part.

 

 

 

A commencer par le président de La Grange de Beauvais, lieu d’accueil de l’évènement à VENOUSE. Dépité, Patrick HENRY devait faire grise mine à l’annonce de cette information néfaste, tombant comme une sentence funeste sur cette joviale manifestation.

D’autant que manifestement, et au vu de son exigence et sa structuration, elle ne pourra être reportée à une autre date de l’année. Les aficionados de cette célébration festive devront donc s’armer de patience et attendre désormais le printemps 2021 pour retrouver la future édition.

Côté budget, celui requis initialement autour de la manifestation pour sa phase logistique et communication nécessitait 15 000 euros. Si une partie de cette enveloppe a déjà été consommée en présence publicitaire, la réactivité des responsables de l’agence Yonne Tourisme aura permis de limiter toutefois la casse financière.

Les panneaux d’affichage réservés à ces effets d’annonce seront maintenus. Ils contiendront un tout autre message sur leur support : le choix de l’item est multiple car l’agence de développement touristique est plutôt prolixe en matière d’information.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Le programme développé par le candidat de la droite et du centre aux échéances municipales auxerroises est ainsi jugé réaliste et cohérent tant sur le logement que sur la sécurité, la mobilité, le développement économique ou le cœur de ville. Des arguments qui confortent les choix du secrétaire départemental du parti de Nicolas DUPONT-AIGNAN, Pascal BLAISE, a apporté son soutien à la liste « Auxerre au Cœur » conduite par Crescent  MARAULT…

AUXERRE : Parmi les 350 personnes présentes lors du récent meeting du porte-étendard de la droite et du centre dans la capitale de l’Yonne, les suiveurs de la politique départementale auront pu aisément identifier le représentant de Debout La France 89, Pascal BLAISE. Pur anachronisme de circonstance ou choix délibérément stratégique ?

Quelques heures avant cette réunion de campagne, un communiqué de presse de la formation de la droite souverainiste clarifiait les choses. Dans cet écrit, le secrétaire départemental de DLF 89 apportait son soutien à la liste « Auxerre au Cœur » conduite par Crescent MARAULT. A l’instar de toutes les autres listes de la droite républicaine déclarées dans l’Yonne…

« Constatant le déclin permanent de la ville tant au niveau économique que démographique après 37 ans de mandats municipaux du maire sortant, précisait le communiqué, nous ne pouvons qu’accréditer et soutenir les propositions faites par le candidat à la tête de la liste « Auxerre au Cœur »… ».

Ce choix a été entériné lors de la tenue de l’assemblée générale départementale de la formation. Un soutien qui s’élargit à l’ensemble des listes républicaines qui se présentent dans l’Yonne. Debout La France 89 ne présentant pas de liste à son identité sur notre territoire…

Au-delà de cette prise de décision, le mouvement de Nicolas DUPONT-AIGNAN se satisfait du refus argumenté par le Conseil d’Etat de classifier ce parti en un représentant d’extrême-droite comme l’avait stipulée en amont une circulaire émanant du ministre de l’Intérieur, Christophe CASTANER.

Fort de cela, et sans aucun doute en vertu du fameux principe de la loi du Talion (dent pour dent, œil pour œil !), Debout La France a invité l’ensemble de ses électeurs de l’Hexagone à sanctionner toutes les listes municipales positionnées, parrainées et soutenues par La République en Marche lors de ces échéances municipales.

Dans le sérail politique, on appelle cela un prêté pour un rendu !

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Doit-on être un responsable autoritaire pour que l’entreprise atteigne ses objectifs et tourne bien ? Ou faire montre de plus de pragmatisme participatif en développant l’esprit d’initiative et la concertation tous azimuts ? Autant d’interrogations qui devraient trouver leurs réponses lors du prochain rendez-vous du Club des Ressources humaines de la chambre consulaire de l’Yonne, proposé ce jeudi 12 mars à Auxerre…

AUXERRE : Ce n’est peut-être pas encore une sinécure mais agir en qualité de chef d’entreprise peut s’avérer très complexe dans notre société actuelle. Il est vrai que s’est développée au fil de ces dernières années une kyrielle de styles de management dont les plus courus portent autour de l’entreprise libérée.

Comment le patron de 2020 doit-il appréhender son rôle ? Doit-il faire preuve d’autoritarisme absolu ou déléguer davantage vers ses plus proches collaborateurs ?

Différents témoignages, et non des moindres, viendront étayer ces questions passionnantes en apportant leur lot de réponses appropriées.

 

 

Jeudi 12 mars, à 18 heures, la grande salle de réunion de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne, à Auxerre, recevra ce débat qui s’avère ô combien passionnant dans le contexte économique actuel.

Un débat qui sera introduit par Jean-Pierre LANTERNIER, cheville ouvrière de ce club R.H. qui accueille depuis plusieurs saisons et à rythme régulier ce type d’initiatives intellectuelles et pratico-pratiques.

Sont prévus parmi les intervenants de cette session : Sonia MOUFFOK (PROXIMALIA), Emmanuel DUBOIS (ULMANN), Jean-Baptiste MILLIERE (ARMATIS), Yannick FINTONI (Bureau Vallée) et Jean-Claude DUVAL (PSAV).

Mesdames et messieurs les participants, à vos questions et suggestions !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Notre pays déteste-t-il les entreprises qui la servent en faisant pourtant fonctionner tous les rouages économiques nécessaires à son essor et à son développement ? La question n’a rien d’incongrue dans le contexte actuel. Et elle mérite d’être enfin posée ! Elle émane de l’un des responsables de l’UIMM de l’Yonne, son président Jean-Dominique DAGREGORIO. Chef d’entreprise de son état, celui-ci aimerait que les décideurs économiques de l’Hexagone puissent enfin bénéficier des mêmes avantages que leurs concurrents européens pour jouer dans la cour internationale…

AUXERRE : Lucide et très réaliste dans ses analyses, le responsable de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie de l’Yonne. Le successeur de l’emblématique André BEX souhaiterait que les choses évoluent enfin dans ce pays.

Notamment dans la perception que l’Etat et d’autres zélotes des milieux administratifs peuvent se faire du monde entrepreneurial. Un milieu le plus souvent considéré comme un faire-valoir qui doit affronter un chemin parsemé d’embûches où les mines et les chausse-trappes du quotidien ne sont pas toujours posés par un ennemi venu de l’extérieur !

Pour le patron de la société NOGUES, qui a pris les rênes de l’un des principaux syndicats de la filière industrielle en juin dernier, « les entrepreneurs progressent aujourd’hui en terrain hostile, voire en position délicate par rapport à leurs homologues européens en 2020… ». Comme ce fut déjà le cas l’année dernière.

Au demeurant, s’engager sur la voie de l’entrepreneuriat aurait pu être jalonné de succès retentissants et de facilité pour y parvenir, avec l’appui des partenaires conventionnels. Oui mais voilà, il n’en est rien !

Jean-Dominique DAGREGORIO lâche la bride en appuyant l’index sur l’endroit où la douleur est sourde.

« Il est regrettable, précise-t-il, qu’une partie de la population semble hélas devoir définitivement considérer que l’intérêt général se construit par la somme d’intérêts particuliers… ».

 

 

 La motivation de l’entrepreneur est de créer de la richesse nationale…

 

 

Un amer constat qui l’amène à évoquer la voie de l’entrepreneuriat. Celle que des milliers de patrons vivent parfois isolés dans leur bulle au quotidien.

« Il est de plus en plus insupportable de devoir chaque jour prendre le départ d’une compétition, le plus souvent internationale, où les concurrents s’engagent sur la grille de départ à bord d’engins allégés ; quand nous-autres concourront avec des sacoches lestées de plomb qui prennent la forme de surabondance de taxes, de règles, de normes, mais aussi de grèves, de blocages de ports, de trains qui ne circulent pas, etc. ».

C’était sans compter sur la propagation virulente et alarmiste du coronavirus qui, depuis quelques semaines, rajoute une ligne supplémentaire à cette litanie de mauvaises nouvelles.

Toutefois, le chef de file de l’UIMM du territoire icaunais croit toujours aux valeurs de l’entrepreneuriat : «  La motivation des entrepreneurs est avant tout de faire fonctionner nos entreprises, de les développer, de créer de la richesse avec des femmes et des hommes qui s’engagent avec nous dans une relation contractuelle saine, sincère et apaisée… ».

 

 

Mais, alors, pourquoi ce pays, cette France adore tant détester ces entreprises qui demeurent le terreau de sa réussite et de son rayonnement aux quatre coins de la planète ?!

« C’est à croire qu’elle adore se détester elle-même, subodore Jean-Dominique DAGREGORIO…

Quant au contrat de travail, autre sujet d’actualité, il devrait voir l’aboutissement des travaux et négociations menant à l’émergence d’une nouvelle convention collective de la métallurgie. Et ce, dès cette année, selon lui.

Une nouvelle norme sociale qui serait ensuite déployée dans toutes les entreprises au nom de la modernité, de l’harmonisation, de la sécurité juridique.

S’interrogeant sur le capital humain qu’il est juge indispensable de préserver et de maintenir dans les entreprises, le président de l’UIMM opte pour l’intégration d’apprentis et l’accueil de stagiaires en reconversion en matière de formation. Observant que les solutions de recrutement à court terme n’existent pas. Parce que les chiffres du chômage demeurent encore trop élevés en France. Et surtout parce que cette population de demandeurs d’emploi ne possède pas les qualifications professionnelles requises pour pouvoir intégrer les structures industrielles qui en ont pourtant un besoin immédiat.

 

 

Le maintien du Pôle Formation 58/89 au plus haut niveau reste intact…

 

Tout comme leurs confrères qui sont implantés dans le périmètre de grandes métropoles, les industriels de l’Yonne méritent de pouvoir disposer des mêmes ressources et équipements de proximité, en matière d’outils au service de la formation professionnelle et de l’apprentissage. Un point très important que relève ensuite l’industriel de l’Yonne dans son entretien.

Or, dans notre territoire, le Pôle Formation 58/89 souffre des conséquences imputables à cette loi dite « pour la liberté de choisir son avenir professionnel ».

Loin de constituer un réel progrès, Jean-Dominique DAGREGORIO dénonce ce texte qui « commence par réduire les ressources dévolues à l’apprentissage et diminue de manière importante la capacité des entreprises à former leurs salariés ».

Et d’illustrer ses dires en citant l’exemple des entreprises accueillant plus de cinquante collaborateurs qui ne bénéficient plus désormais de la moindre prise en charge financière ; alors qu’elles continuent à devoir verser ce qui devient purement et simplement une taxe sur la formation !

Le porte-étendard de l’UIMM ne manquera pas de tacler sans ambages le financement des contrats d’apprentissage. A l’exemple de celui qui concerne la formation des ingénieurs qui, en passant de 12 000 à 8 500 euros par an et par apprenant, réduit de 30 % la capacité financière disponible pour former cette matière grise indispensable aux entreprises du futur.

Comment peut-on alors parler de progrès au vu de telles aberrations, s’insurge-t-il ? La réponse pour que les choses se modifient radicalement déboule sous le sceau de l’évidence : il est grand temps de favoriser la mise en place des conditions optimales au développement économique, gage de richesse et d’emplois, en France comme dans le département pour le bienfait de sa population.

Et la tête de file de l’UIMM de citer la convention « Territoire d’Industrie », auxiliaire indispensable pour espérer être éligible aux subsides financiers qui l’accompagne (l’Yonne n’a manifestement toujours pas paraphé ce concept applaudi pourtant des deux mains dans moult régions de l’Hexagone) et en s’adressant en filigrane aux acteurs du monde politique, pour qu’ils fassent enfin table rase de leurs « petites divergences à deux sous », pour que tous s’entendent sur ce qui constitue l’essentiel pour les industriels : un développement économique tous azimuts !

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

On y verrait presque comme en plein jour ! Depuis la semaine dernière, la localité septentrionale de l’Yonne a officialisé son éclairage public flambant neuf. Il possède la particularité d’être fonctionnel grâce à des luminaires LED connectés. Adieu l’ancien éclairage qui était devenu trop vétuste. Et vive le nouveau matériel, obtenu avec le soutien financier et l’aide technique du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne…

CHAMPIGNY : Les villageois ne peuvent que se satisfaire du nouvel éclairage public qui fonctionne à merveille et ce, depuis quelque temps. La localité du nord de l’Yonne a rénové l’ensemble de son parc public, considéré comme obsolète, en optant pour des luminaires LED connectés.

Ce sont 380 luminaires qui ont été ainsi installés avec le précieux concours du SDEY, le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne.

Son président, Jean-Noël LOURY, a pu procéder la semaine dernière à l’inauguration officielle de cette amélioration indéniable pour la visibilité des habitants de la commune, dont le maire n’est autre que Michel GUILLON-COTTARD.

Côté travaux, l’investissement s’élève à 280 000 euros TTC dont 145 000 euros à la charge de la collectivité. Un budget, certes, conséquent qui est cependant vite compensé par les économies réalisées sur ce poste capital dans la vie quotidienne locale.

 

 

Jean-Noël LOURY aura énoncé quelques bonnes vérités lors de la phase inaugurale de cette installation, notamment sur la faible consommation des leds (50 % de moins qu’une ampoule traditionnelle).

Le SDEY prend à sa charge l’entretien et l’assistance de ces luminaires modernes durant une période de cinq années ; ce qui n’est pour déplaire aux élus qui souscrivent sans rechigner à la rénovation de leur éclairage.

Dans l’Yonne, près de 80 localités disposent d’un éclairage public à base de leds dont quarante-deux sont opérationnels via un système connecté qui permet d’assurer une gestion affinée et précise du besoin de lumière.

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil