Si la France vit dans un état de confinement quasi général depuis quarante-huit heures afin de lutter de manière radicale contre la propagation du coronavirus, il n’empêche que d’autres pathologies circulent encore dans le pays, à l’image de la grippe. Or, de nombreuses études scientifiques ont démontré la puissance des huiles essentielles en guise de prévention mais également en curatif qui peuvent nous aider à vivre au mieux cette période épidémique…
TRIBUNE: Quelques conseils à pratiquer en guise de préventif. L’huile essentielle de ravintsara : elle est l’indispensable alliée pour combattre les effets néfastes de l’hiver, à avoir toujours avec soi !
Dès les premiers symptômes, on en prend deux gouttes sur un support, à raison de deux à trois fois par jour. Immunostimulante, cette huile améliore le système immunitaire de l’organisme et lui permet de lutter contre les virus, parasites et bactéries. A employer aussi bien en préventif et curatif pour toutes les infections de l’hiver : pharyngite, sinusite, bronchite, rhinite, rhume, otite, angine, maux de gorge, toux, grippe, gastro-entérite… On peut la prendre sous forme cutanée dès l’âge de trois ans et par voie orale à partir de sept ans.
N’oublions pas l’huile essentielle de muscade d’Afrique : elle est fortement immunostimulante. On l’utilisera pour toutes infections virales et bactériennes, en particulier celles des voies respiratoires, ainsi que la grippe. Là aussi, elle peut être utilisée en cutanée dès trois ans et par voie orale à partir de sept ans ; il est nécessaire de la combiner avec l’huile essentielle de Goyave également immunostimulante.
Ces deux produits pourront s’utiliser en synergie : une goutte de chaque sur un support trois fois par jour en prévention et en curatif de dix à douze jours, tout en effectuant une pause de deux jours, avant de reprendre la cure.
Fabriquer son gel hydro-alcoolique soi-même…
Jamais, autant de messages n’ont été diffusés vers le commun des mortels pour qu’il réapprenne à se laver les mains de manière régulière. Elles sont le vecteur idéal pour véhiculer les virus autour de soi.
Donc, à défaut de gel hydro-alcoolique, vous pouvez toujours fabriquer le vôtre ! Voici une recette pour contourner le délicat problème de réassort actuel.
Prendre un flacon pulvérisateur de 30 ml. Puis, y ajouter dix gouttes d’huile essentielle de « Tea Tree » ou arbre à thé, dix gouttes d’huile essentielle de lavande fine, dix gouttes d’huile essentielle de ravintsara, 9 grammes d’alcool à 60° ou de vodka à défaut, 2 ml d’huile végétale d’olive, un gramme de glycérine et l’on complète le flacon avec du gel d’aloé vera.
Dès les premiers symptômes, on peut aussi utiliser l’huile essentielle de laurier noble. Cette dernière aurait, selon les études, une activité sur les coronavirus, en règle générale.
Ce produit est à consommer par voie cutanée : idéalement sur les poignets et la plante des pieds. On peut ainsi appliquer cinq gouttes de laurier noble sur la voûte plantaire de chaque pied, de deux à trois fois par jour jusqu'à la disparition des symptômes. L’aromatologue Pierre FRANCHOMME la préconise également en suppositoire.
Quant à l’huile essentielle d’eucalyptus globulus, elle est à associer au laurier noble par diffusion. Soit dans un diffuseur à quantité égale, avec cinq gouttes de chaque à diffuser durant cinq minutes, de cinq à six fois par jour. Soit en fabricant un stick à inhaler avec trois gouttes de chaque et à respirer six fois par jour
Pour en savoir plus sur les virus et les huiles essentielles, je vous conseille cette vidéo de Pierre Franchomme : https://www.youtube.com/watch?v=Ujx2NMqVcnc&t=1829s&fbclid=IwAR0N45t_Pvzkw7Ik38QFDJfHm9O51i8vLPLvvxKcID_mByb875sMvzoaMbMi
Rappel : comment utiliser ces huiles essentielles…
Le plus facile : par voie orale sur un support (sucre, morceau de pain, miel) en y plaçant deux gouttes au total d’huiles essentielles de trois à quatre fois par jour. Ces dernières sont très puissantes : il est donc conseillé de respecter cette posologie.
On peut également en faire profiter l’entourage s’il n’y a pas de contre-indications et les diffuser. Par exemple, en mélangeant des huiles essentielles de sapin baumier, de citron et d’eucalyptus globulus pour assainir l’atmosphère.
Toutefois, on ne diffuse que pendant dix à vingt minutes deux à trois par jour. Ne pas le faire en présence de jeunes enfants (moins de 3 ans) ou de personnes asthmatiques.
Précaution : certaines huiles essentielles sont contre-indiqués pour les femmes enceintes et allaitantes, ou encore les personnes épileptiques et asthmatiques.
Ne pas hésiter à demander conseil à un spécialiste avant l’utilisation en cas de doute. Les conseils apportés dans cet article ne se substituent nullement à un diagnostic médical, ni à un traitement allopathique…
Maryline GANDON
AROMA & Cie
Etrange conférence de presse que celle-ci. Hormis l’ambiance presque ouatée qui règne dans le bâtiment préfectoral, chacun des acteurs, peu nombreux en ce jour de confinement du pays, veille à respecter la distance idéale de sécurisation. En prenant moult précautions dans l’une des salles de la préfecture de l’Yonne. Pourtant, le directeur de cabinet du préfet Tristan RIQUELME apporte de précieuses indications sur le degré de virulence de la pathologie sur notre territoire. Avec seulement treize cas déclarés à ce jour et aucun décès à déplorer, l’Yonne se situe à un très faible niveau de propagation. Les nouvelles mesures de restriction inhérentes à la mobilité arrivent donc à point nommé pour endiguer le fléau…
AUXERRE: Le sous-préfet Tristan RIQUELME a promis d’effectuer de manière régulière des points presse pour faire toute la lumière sur la circulation du coronavirus dans l’Yonne.
Apportant ainsi davantage d’eau au moulin informatif comme le souhaitait la presse départementale. Celle-ci est désappointée de ne pas avoir plus de précisions statistiques locales de la part de l’Agence régionale de santé (ARS).
Certes, l’organisme de surveillance sanitaire envoie chaque jour un communiqué de presse qui permet de suivre le parcours évolutif de la maladie sur notre contrée. Un état des lieux qui tombe en fin d’après-midi. Sans pour autant que ne soient trop affinés les chiffres de notre département.
Aussi, dans cette volonté de transparence et de communication qui est sienne, la préfecture de l’Yonne a décidé de compléter ces informations régionales.
Première observation, alors que le virus progresse de manière exponentielle dans le Grand-Est, l’ouest et le nord de la Bourgogne Franche-Comté sont encore très préservés et finalement peu affectés par le virus.
A l’identique de la Nièvre, l’Yonne enregistre une courbe de progression très faible de la pathologie, comparativement à ses voisins de l’Est. Seulement treize cas y ont été dénombrés. Sachant que la majorité des personnes contaminées demeurent à domicile. Au plan géographique, ces malades se répartissent équitablement entre Auxerre et Sens.
Interrogé sur sa perception personnelle de cet épineux dossier, Tristan RIQUELME constate que le nombre de nouveaux cas augmente pourtant tous les jours.
« Toutefois, ajoute-t-il, nous sommes au bon moment pour que le coronavirus ne se répande plus sur notre territoire. Si les mesures de confinement mises en place depuis douze heures ce mardi sont respectées, on pourra alors maîtriser la propagation du virus, voire enrayer le phénomène… ».
La dimension rurale de l’Yonne devient un atout…
Pourquoi le département de l’Yonne ne connaît-il pas autant de cas de contaminations que les autres territoires de la région, à l’instar de la Côte d’Or, de la Saône-et-Loire et du Doubs ?
Tristan RIQUELME dispose de solides arguments qui prennent leurs origines sur la typologie même de notre zone géographique, à forte vocation rurale, pour étayer sa réponse.
« Peu de rassemblements d’envergure nationale sont accueillis dans l’Yonne, explique le directeur de cabinet du préfet Henri PREVOST, en outre, nous sommes traversés par une autoroute du nord au sud mais nous ne possédons pas, en revanche, de nœuds de communication très importants… ».
D’ailleurs, pour s’en convaincre, ce sont bel et bien les centres urbains du nord de l’Yonne qui sont aujourd’hui les plus concernés par l’expansion de ce virus. Logique : ils sont plus proches de la région francilienne, foyer virulent de la pandémie.
En résumé, la ruralité de notre département est devenue un atout indéniable contre la diffusion de l’envahisseur microscopique.
Jusqu’au 15 avril 2020 inclus, les établissements commerciaux seront impactés par les décisions prises, mais ô combien nécessaires, par la gouvernance étatique. Objectif de cette démarche : ralentir le plus possible la propagation du virus à travers l’Hexagone. Toutefois, la préfecture de l’Yonne le confirme ce lundi 16 mars : un certain nombre d’établissements continueront encore à accueillir du public…
AUXERRE : Dans un communiqué de presse, publié ce lundi 16 mars en fin de matinée, le service communication de la préfecture de l’Yonne précise en l’état quels sont les établissements commerciaux qui pourront continuer à recevoir de la clientèle. Du moins jusqu’aux nouvelles directives qu’énoncera sans doute le président de la République Emmanuel MACRON à l’issue de sa prise de parole audiovisuelle lundi aux alentours de vingt heures.
Donc, suite à la publication de l’arrêté ministériel du 15 mars 2020 complétant l’arrêté du 14 mars 2020 qui porte sur les diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus covid-19, et afin de ralentir la propagation de celui-ci, les établissements commerciaux sont fermés à compter de ce jour jusqu’au 15 avril 2020.
Parmi la liste des établissements autorisés à recevoir du public, citons ci-dessous :
Entretien et réparation de véhicules automobiles, de véhicules, engins et matériels agricoles
Commerce d’équipements automobiles
Commerce et réparation de motocycles et cycles
Fourniture nécessaire aux exploitations agricoles
Commerce de détail de produits surgelés
Commerce d’alimentation générale Supérettes, Supermarchés, Magasins multi-commerces Hypermarchés
Commerce de détail de fruits et légumes en magasin spécialisé
Commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé
Commerce de détail de poissons, crustacés et mollusques en magasin spécialisé
Commerce de détail de pain, pâtisserie et confiserie en magasin spécialisé
Commerce de détail de boissons en magasin spécialisé
Autres commerces de détail alimentaires en magasin spécialisé
Les distributions alimentaires assurées par des associations caritatives
Commerce de détail de carburants en magasin spécialisé
Commerce de détail d’équipements de l’information et de la communication en magasin spécialisé
Commerce de détail d’ordinateurs, d’unités périphériques et de logiciels en magasin spécialisé
Commerce de détail de matériels de télécommunication en magasin spécialisé
Commerce de détail de matériaux de construction, quincaillerie, peintures et verres en magasin spécialisé
Commerce de détail de journaux et papeterie en magasin spécialisé
Commerce de détail de produits pharmaceutiques en magasin spécialisé
Commerce de détail d’articles médicaux et orthopédiques en magasin spécialisé
Commerce de détail d’aliments et fournitures pour les animaux de compagnie
Commerce de détail alimentaire sur éventaires et marchés
Vente par automates et autres commerces de détail hors magasin, éventaires ou marchés n.c.a. (non classé ailleurs)
Hôtels et hébergement similaire
Hébergement touristique et autre hébergement de courte durée lorsqu’il constitue pour les personnes qui y vivent un domicile régulier
Terrains de camping et parcs pour caravanes ou véhicules de loisirs lorsqu’ils constituent pour les personnes qui y vivent un domicile régulier
Location et location-bail d’autres machines, équipements et biens
Location et location-bail de machines et équipements agricoles
Location et location-bail de machines et équipements pour la construction
Activités des agences de placement de main-d’œuvre
Activités des agences de travail temporaire
Réparation d’ordinateurs et de biens personnels et domestiques
Réparation d’ordinateurs et d’équipements de communication
Réparation d’ordinateurs et d’équipements périphériques
Réparation d’équipements de communication
Blanchisserie-teinturerie
Blanchisserie-teinturerie de gros
Blanchisserie-teinturerie de détail
Services funéraires
Activités financières et d’assurance
Délicate manière d’étrenner sa récente nomination ! Nouvellement promue au poste de déléguée départementale de l’ARS (Agence régionale de santé) sur le territoire le plus septentrional de Bourgogne Franche-Comté, Eve ROBERT n’aura pas attendu longtemps pour faire face à la crise sanitaire majeure qui progresse à pas de géant à travers l’Hexagone. Même si pour l’heure, l’Yonne est encore relativement épargnée…
AUXERRE : Est-elle intimidée à l’idée de succéder par sa prise de parole au représentant de l’Etat, le préfet Henri PREVOST, assis à sa droite à la grande table de réunion ? Ou par celle de l’inspecteur académique et directeur des services départementaux de l’Education nationale, Vincent AUBERT ?
Cela ne semble pas être le cas, visiblement. La jeune femme qui est invitée à évoquer la situation sanitaire du territoire après les propos liminaires du préfet de l’Yonne occupe ses nouvelles fonctions depuis très peu de temps, en vérité.
Promue il y a quelques jours à la tête de la délégation départementale de l’agence de santé dans l’Yonne, Eve ROBERT se lance à l’eau dans un exercice à brûle-pourpoint, pas toujours facile que représente une conférence de presse.
Questionnée par les journalistes sur le nombre de cas de malades icaunais infectés par le coronavirus à l’instant précis, Eve ROBERT apportera des réponses concrètes, en y mettant toutefois quelques nuances.
« Les informations sont délicates à fiabiliser, devait-elle expliquer lors de son intervention, en l’état des lieux, l’Yonne recense trois personnes atteintes de la pathologie virale. Deux sont hospitalisées à Sens, une l’est à Auxerre. Selon les tests de dépistage, nous pouvons alors évaluer au plus juste nos statistiques…mais ce n’est pas si simple. L’objectif est de fiabiliser le plus possible nos informations… ».
412 personnes testées positives au dimanche 15 mars…
Au dernier pointage, soit ce dimanche 15 mars à 19 heures, l’Agence régionale de Santé comptabilisait 412 personnes présentant les symptômes de la pathologie. Le nombre de cas augmente de plus en plus depuis 72 heures. Mais, aucun nouveau décès n’est à déplorer depuis samedi. Cent-vingt-huit malades sont toujours hospitalisés dont vingt-cinq pris en charge de réanimation.
Précisons : au plan géographique, le virus est particulièrement virulent dans le Doubs, le Territoire de Belfort, en Haute-Saône, en Côte d’Or et en Saône-et-Loire. Sa propagation est plus faible dans le Jura et l’Yonne. La Nièvre étant à l’état sporadique.
Faire montre de citoyenneté, de civisme et de prudence. C’est en substance le message fort qu’a voulu véhiculer le représentant de l’Etat à l’issue du premier point de presse officiel propre à la propagation du coronavirus sur notre territoire. Le haut-fonctionnaire a confirmé l’identification de trois cas de contamination sur le département : deux localisés à Sens et un qui se situe à Auxerre…
AUXERRE : Un seul mot d’ordre reviendra en boucle durant cet exercice plutôt tardif (vendredi à 18h30) réalisé en présence des médias : la vigilance. Face à la menace très sérieuse du coronavirus, à ne pas prendre à la légère, le responsable de l’exécutif de l’Yonne implora les citoyens à s’appliquer à eux-mêmes les gestes barrière, permettant de juguler la contagion. Sachant qu’une personne atteinte de cette pathologie en contamine trois autres dans un proche environnement.
Réagissant après coup aux décisions présidentielles, prises la veille, Henri PREVOST en appelle donc à la responsabilité de chacun, notamment des personnes âgées de 70 ans et plus, à demeurer confinées à leur domicile. En les invitant à limiter tous leurs déplacements.
Très vite, il confirma la présence de trois malades, clairement identifiés, sur le territoire. Une confirmation qui a été validée par Eve ROBERT, déléguée départementale de l’Agence régionale de santé dans l’Yonne. A cet instant précis, la jeune femme apporta un aperçu statistique de la situation en Bourgogne Franche-Comté : la contrée enregistrait 272 personnes contaminées et plus de 53 nouveaux cas déclarés ce vendredi.
« Il faut être conscient que la maladie arrive chez nous… »
Le processus évolutif devrait connaître une courbe de croissance exponentielle d’ici les prochains jours, voire dans les semaines à venir selon le préfet de l’Yonne.
« C’est sûr, devait-il souligner, malheureusement, le nombre de personnes touchées par le virus va aller en augmentant… ».
Fut abordé ensuite le délicat problème de la garde d’enfants des personnels soignants qui sont mobilisés sans relâche pour contenir le fléau. Plusieurs structures scolaires, même fermées aux élèves habituels dès ce lundi, devraient accueillir la progéniture des professionnels soignants.
Un état des lieux dont Vincent AUBER, inspecteur d’académie et directeur académique des services de l’Education nationale dans l’Yonne, expliqua dans le détail.
Il rappela aussi que les enfants devant pratiquer le confinement ne vivaient pas là, avec cette situation insolite, une période de vacances. Les outils numériques assureront l’envoi de cours théoriques ; quant aux enseignants, ils resteront en activité. Enfin, le successeur d’Annie PARTOUCHE rappela la qualité de l’enseignement proposé par le CNED (Centre national d’enseignement à distance), pierre angulaire de ce nouveau dispositif mis à contribution d’ici peu.
Bien sûr, l’inspecteur d’Académie en appelle à la responsabilité des familles pour encadrer leurs enfants (élèves) durant cette période qui se prolongera jusqu’à nouvel ordre.
Aucune pénurie n’est pas à prévoir sur les produits alimentaires…
Si les stocks de gel hydro-alcoolique demeurent au plan quantitatif à la portion congrue, voire inexistants dans la plupart des pharmacies icaunaises, le préfet lève le doute, en revanche, sur les produits alimentaires.
« On en arrive à créer de la pénurie à cause de comportements irrationnels qui amènent à du sur-stockage, explique-t-il, c’est excessif ! ».
Quant à instaurer un système de carnets de rationnement qui nous renverrait à une période peu glorieuse de notre histoire, c’est illusoire dans la circonstance actuelle !
Cependant, trop d’appels téléphoniques convergent encore vers le « 15 ». Engorgeant de manière très importante le centre de secours sanitaire.
« Je l’ai visité hier, confie Henri PREVOST, je peux vous assurer que l’infrastructure peut faire face en l’état actuel des choses à cette augmentation… ».
Toutefois, le représentant de l’Etat constate une forte hausse du nombre de ces appels, soit plus de 40 % en très peu de temps.
Reste la réelle problématique de ces entreprises (tourisme, loisirs, évènementiels, commerce, transport…) qui vont être impactées de plein fouet par le COVID 19.
« L’Etat assumera son rôle en prenant des mesures de soutiens économiques importants. Le recours au chômage partiel sera pris en charge par la nation… ».
Mais, sera-ce suffisant pour surmonter l’incroyable crise sanitaire dans laquelle notre monde risque d’être plongé pendant un moment ?
Nul ne s’aventure à y répondre, à l’heure actuelle…