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Les exercices professionnels se suivent et se ressemblent avec une certaine persistance et lassitude dans le milieu du bâtiment et des travaux publics départemental. Déjà présent au sortir de l’année 2018, le doute s’installe un peu plus dans les têtes pensantes de la filière, qui à l’heure des bilans n’y trouvent pas leur compte. C’est le cas du président de la FFB 89, Xavier PAPIN, forcément déçu de constater, une fois de plus, que le marché icaunais patine dans l’inertie. Explications…

AUXERRE: Une fois encore, la montagne du BTP dans l’Yonne aura accouché d’une souris au terme d’une année 2019, qualifiée de très décevante par l’un de ses observateurs attitrés, le président Xavier PAPIN, porte-étendard de la puissante Fédération départementale des entrepreneurs et des artisans du BTP.

Force est de constater que l’espérance tant souhaitée au début de la nouvelle année 2019 n’aura pas été au rendez-vous de ce qui avait été escompté lors du tombé de rideau le 31 décembre.

A l’heure du bilan, Xavier PAPIN ne se berce d’aucune illusion pour expliquer ce que vit à l’heure actuelle la filière sur notre territoire.

Convaincre les donneurs d’ordre locaux, qu’ils soient privés ou publics, de faire travailler les entreprises locales ne représente plus, à ses yeux, une priorité mais bel et bien un devoir.

Comme l’année dernière, Xavier PAPIN relève que la baisse de l’offre rencontrée dans le département accentue l’hétérogénéité des situations vécues par les entreprises.

Certes, les plus importantes d’entre elles peuvent prétendre encore rebondir dans une conjoncture toujours assez morose. Elles réalisent, en effet, majoritairement leurs travaux hors du département icaunais.

 

 

 

Pas d’indicateurs optimistes dans l’Yonne hormis l’emploi…

 

Les structures dites « intermédiaires », c’est-à-dire employant entre dix et vingt salariés, se focalisent davantage sur la commande publique, synonyme d’affaires. Mais, la baisse de ce marché est désormais indéniable et n’a jamais été une source de garantie absolue de pouvoir démarrer un chantier.

Reste en bout de course les plus petites de ces entités professionnelles, qui n’exercent leurs compétences presque exclusivement sur le territoire immédiat de leur établissement. Ces dernières souffrent terriblement : c’est une évidence.

Côté chiffres, l’Yonne ne présente pas d’indicateurs positifs à faire sauter au plafond les responsables du syndicat patronal. A la fin août 2019, et sur une période de douze mois glissants, le nombre de logements mis en chantier a décru de 32,7 % ! Malgré les 19,2 % de logements autorisés. Sachant que le logement demeure le principal vecteur de croissance et d’activité de la filière.

 

 

Quant aux chiffres collectés pour le bâtiment non résidentiel neuf, ils se situent sur une veine similaire : inappropriés pour rendre le sourire au patron de la FFB 89. Il y a eu – 36,3 % de surfaces de locaux mises en chantier en 2019 pour 27 % de surfaces de locaux autorisés.

La seule note d’optimisme enregistrée dans ce tableau atone à broyer du noir vient de l’emploi salarié. Il a cru de 0,6 %. Une augmentation, sous forme de légère embellie, qui sera compensée par la baisse du recours à l’intérim : soit – 3,9 % en moyenne des trois derniers mois à fin juin 2019.

Une lueur, toutefois, illumine ce ciel passablement assombri par ces résultats de mauvais aloi. C’est la volonté que souhaitent impulser Xavier PAPIN et ses troupes à vouloir changer les choses dans le landerneau en espérant en modifier le constat à terme.

Cela passe par le développement de nouvelles solidarités auprès des entrepreneurs qui sont en proie à de plus importantes difficultés. Cela permettrait de renforcer le travail de ces entreprises dans le département. Voire d’y attirer des compétences novatrices, gage d’un potentiel regain d’attractivité.

 

 

 


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Le gâteau d’anniversaire n’offre que deux bougies à souffler. Ce qui traduit encore l’aspect juvénile de la structure qui, petit à petit, fait son nid dans le paysage de l’Yonne. Pourtant, après Auxerre, la marque des FESTINS rencontre aujourd’hui le succès dans le Sénonais. Régalant au passage celles et ceux qui effectuent journellement la liaison par chemin de fer entre Paris et la ville la plus septentrionale de notre département pour se rendre à leur travail. Via une application qui leur permet de réserver leur repas au camion-dépôt avant de l’emporter à bord du train.

SENS : C’est une manne de clientèle qui ne cesse d’augmenter chaque année. Près de 4 300 personnes effectuent au quotidien le trajet reliant la capitale de l’Hexagone à la ville du nord de l’Yonne. Des déplacements qui s’inscrivent dans un cadre purement professionnel.

Cette aubaine stratégique apparaît comme indéniable pour l’un des référents des arts culinaires, de la réception et du traiteur de notre contrée, FESTINS de BOURGOGNE. La société artisanale de CHEMILLY-sur-YONNE ne pouvait passer à côté de ce filon de consommateurs avides d’être interpellés par une offre de restauration rapide mais de belle facture quant à sa gamme de produits proposés et au niveau de la qualité.

Déjà testées durant une saison à Auxerre, il n’en fallait pas davantage pour décliner à son tour les prestations de service de TOQTOQUE sur le Sénonais. Si dans la capitale de l’Yonne, la cible potentielle visée concernait au tout début les particuliers désireux de dîner tranquillement à leur domicile sans ressortir de leurs pénates, à Sens, l’enseigne de ce prêt-à-consommer à l’estampille des FESTINS s’est immédiatement intéressée à celles et ceux qui empruntaient la voie ferroviaire pour se rendre sur leur lieu de travail.

Une application numérique a même été créée à leur intention sur smartphone afin de pouvoir réserver son repas et venir le récupérer au camion-dépôt, désormais positionné depuis janvier en zone des Vauguillettes dans les locaux du Village d'entreprises de la Chambre de Commerce et d'Industrie, entre 12 h et 14 h.

 

 

Viser les travailleurs nomades mais aussi la clientèle sédentaire…

 

Le concept de réservation commence à obtenir ses premiers résultats encourageants. Même si 80 % de la clientèle préfèrent encore prendre la commande en direct au point d’approvisionnement.

Il s’avère également, à la lecture des analyses initiales qui ont été réalisées par le directeur de développement de la marque, Matthieu CHAPUIS, que 50 % des clients assidus de l’offre TOQTOQUE ne sont pas nécessairement des voyageurs ferroviaires attitrés !

Bref, cela signifie que le bouche-à-oreille fonctionne plutôt bien dans le landerneau alors qu’aucune stratégie de communication n’avait été réellement déployée jusque-là. Et que la potentialité consumériste née de ce projet original et de proximité est beaucoup plus élargie qu’il n’y paraît !

Nonobstant, FESTINS a décidé de passer outre en maximisant la distribution de flyers dans les boîtes aux lettres du centre-ville. Puisque que le concept séduit celles et ceux qui ne bougent pas nécessairement de Sens la journée, autant profiter de ce cœur de cible qui désire déjeuner différemment.

 

 

Un produit d’appel dans le vent pour une clientèle rajeunie…

 

Quant aux retours de satisfaction exprimés par les habitués, ils comblent d’aise la direction des FESTINS. Les indices gradués sur une échelle de zéro à cinq tutoient les sommets, accréditant la judicieuse initiative qui est développée par le groupe de l’Yonne depuis vingt-quatre mois déjà.

L’offre de produits se décline autour de plusieurs formules comprenant entrées, plats de résistance et desserts. Parmi les spécialités alléchantes proposées, les gourmands peuvent se sustenter d’une fricassée de volaille agrémentée de morilles, de saumon à l’oseille ou à titre d’exemple à faire saliver le plus gourmet d’entre nous, un succulent rizotto au homard.

Les perspectives affichent leur insolence grâce à l’obtention de résultats à deux chiffres. Preuve que la qualité de la table, même dans une optique de déjeuner rapide sur son lieu de travail ou à son domicile ne rebute pas les consommateurs, bien au contraire, sans même trop bourse déliée.  

A l’aide de cette jeune enseigne, FESTINS de Bourgogne, groupe qui exerce ses activités sur une large zone de chalandise depuis plus de deux décennies, a souhaité en développant cette marque à la manière d’une start-up digitalisée créer un produit d’appel sympathique.

Il vise à s’attirer les faveurs d’un nouveau public, désireux de joindre l’utile à l’agréable en y ajoutant parmi les ingrédients incontournables à leur confort, la qualité et la traçabilité des mets dans leur mode nourricier. Réussi…

 

 

 


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Confortable en optimisant la qualité de vision des habitants mais surtout très économique pour les communes qui en règlent les factures, l’éclairage public 100 % LED progresse sur notre territoire. Ce sera encore le cas ce 26 février au nord de Sens, à CHAMPIGNY. L’agglomération vient de se doter d’un parc de 380 luminaires pour un coût de travaux de 280 000 euros TTC dont 145 000 euros TTC à sa charge. Le reliquat émane des aides proposées par le Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne…

CHAMPIGNY : Vétuste, le parc d’éclairage public de cette grosse bourgade de plus de deux mille habitants de l’Yonne septentrionale devait procéder à de sérieux aménagements. Afin d’en améliorer la qualité de lumière diffusée.

Mercredi prochain, aux alentours de 18 heures, les 380 luminaires LED connectés seront officiellement inaugurés.

En présence de l’équipe municipale, certes, mais aussi des représentants du SDEY, le Syndicat départemental d’énergies qui a contribué au succès de cette opération.

Le SDEY aide, en effet, les localités qui le désirent à rénover leur parc d’éclairage public en le modernisant avec l’emploi de cette technologie déjà éprouvée.

 

 

L’organisme, présidé par Jean-Noël LOURY, propose des aides allant jusqu’à 70 % du coût des travaux. Sachant qu’une fois le réseau d’éclairage opérationnel, la maintenance du parc est gratuite pendant cinq ans.

Grâce à cet éclairage qui gagne en performance et surtout en qualité de lumière, la commune peut ainsi réduire jusqu’à 50 % d’économies sur ses factures d’électricité.

Alors, à qui le tour, pour la prochaine installation ?

 

 


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Cocorico ! Le département de l’Yonne figure parmi ceux de l’Hexagone les mieux pourvus en bornes rapides de charge pour véhicules électriques. L’installation de trois appareils supplémentaires dont un de nouvelle génération le 26 février prochain à Villeneuve-sur-Yonne démontre ainsi toute la pugnacité du Syndicat départemental d’énergies de l’Yonne à promouvoir ce mode de transition énergétique auprès des collectivités locales. Avec succès…

 

VILLENEUVE-SUR-YONNE : Convaincu par la pertinence de la mobilité électrique, Cyril BOULLEAUX ? On peut en juger favorablement, en effet. L’édile de la localité septentrionale de l’Yonne s’est engagé à déployer, non pas une borne de charge pour véhicules électriques, mais bel et bien un lot de trois appareils !

Ils seront fonctionnels à partir du 26 février, date de leur inauguration officielle par le président du SDEY, Jean-Noël LOURY.

Aider les communes à se doter de ces indispensables auxiliaires à l’amélioration de la qualité de vie de leurs concitoyens mais aussi à l’attractivité de celles-ci intègre les priorités de l’organisme institutionnel départemental.

A ce jour, ce sont cent-vingt bornes qui offrent ainsi leur précieux service aux automobiles qui circulent au quotidien dans l’intérêt de la préservation de la planète. Dix-huit de ces recharges le sont de manière rapide. Faisant de l’Yonne l’un des territoires le mieux équipé de France.

 

 

Des modes d’utilisation d’une facilité extrême…

 

Au plan national, le réseau de bornes de charge pour véhicules électriques comprend 2 340 appareils. L’un des chiffres significatifs de leur rôle est le suivant : c’est l’équivalent de 9 340 kg de Co2 économisé. Pas si mal !

A l’instar du phénomène observé en Europe, le parc de véhicules électriques ne cesse de croître dans l’Yonne. D’où l’attrait du SDEY de solliciter les communes qui le désirent afin de leur proposer les aides financières nécessaires à l’installation.

L’auto-partage communal et l’acquisition de véhicules électriques communaux constituent les volets complémentaires de ces accompagnements.

 

 

Quant à l’utilisation de ces additifs à la transition environnementale, ils se présentent à nous sous deux formes.

La première consiste à créer un compte sur la référence (www.sdey.fr) où sera obtenu l’inéluctable badge donnant accès au réseau. De là, l’utilisateur pourra même réserver trente minutes à l’avance la borne libre pouvant l’accueillir lui et son automobile.

La seconde opportunité passe par le smartphone. En lisant tout bonnement le QR code, visible sur la borne, la charge électrique se lance immédiatement…

Bref, à Villeneuve-sur-Yonne, comme ailleurs, le progrès technologique n’a pas fini de nous étonner !

 

 

 


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Une décennie, déjà. On pourrait presque la qualifier de prodigieuse tant le travail fourni à bon escient par les bénévoles formateurs s’est révélé payant. Organisme de formation linguistique reconnu d’intérêt public, la structure fonctionne aujourd’hui à plein régime avec l’aide de partenaires inconditionnels. Les projets fourmillent dans les têtes. De nouvelles perspectives pointent en ligne de mire, notamment depuis la mise en place d’un prolongement pédagogique naturel, proposé dans la langue de Shakespeare…

AUXERRE : Lutter contre l’illettrisme. La belle affaire. Délicate mission que celle-ci qui peut paraître complexe à bien des égards et qui nécessite la motivation continuelle de celles et de ceux qui y contribuent. Oui mais voilà, au sein de CLEF, de la volonté et de l’abnégation, ses décideurs en ont à revendre. A commencer par Michel CANET, son emblématique président.

Un homme de ressources et de conviction. En portant sur les fonts baptismaux la structure associative en 2009, pensait-il vraiment que CLEF posséderait cette aura territoriale en termes de notoriété et d’efficience dix ans après ?

Rien que l’acronyme représente déjà un raccourci très évocateur des différentes missions auxquelles ces bénévoles passionnés se sont assujettis : Communiquer, Lire, Ecrire, Former.

 

 

CLEF est devenue une clé de voûte inéluctable pour toutes celles et ceux qui n’ont pas la chance de jongler avec les mots, d’interpréter entre les lignes avec un brin d’imaginaire les textes lus parce qu’ils ont compris le sens de leur lecture et de disposer des connaissances requises pour aller de l’avant.

Bref, ce public fragilisé par l’âpreté de notre monde ne peut plus se sentir seul avec un tel organe opérationnel. Les trente-huit personnes, vouées corps et âme au succès de cette entité, le savent bien. Elles n’ergotent pas sur le nombre d’heures passées aux côtés de ces apprenants de l’impossible qui réalisent pourtant de sérieux progrès et des prouesses dans leur quotidien. Grâce aux séances d’alphabétisation ; grâce à des méthodes au final accessibles pour grandir dans leur for intérieur.

 

Un véritable ancrage territorial pour cette ESUS…

 

Au-delà de cet apprentissage volontaire et participatif, le suivi et l’évaluation des candidats demeurent primordiaux. Personne n’est abandonné en cours de route une fois lancé dans le cycle de la compréhension et de la maîtrise du français, une langue réputée si complexe et difficile à pratiquer. Le sens de la pédagogie chez CLEF, on en a fait un sacerdoce.

Soutenu par divers partenaires dont en premier lieu l’Etat et le Conseil départemental, CLEF a reçu l’adoubement officiel de collectivités locales (la Ville d’Auxerre), de structures financières à l’instar du réseau des Caisses d’Epargne. Même l’obtention de fonds européens permet d’abonder dans le financement des missions éducatives.

Possédant aujourd’hui un vrai ancrage départemental, CLEF a profité de l’année 2016 pour se recentrer sur les actions de formation. Référencé DATADOCK, et devenu un centre à part entière, l’organisme s’appuie depuis cinq ans sur le professionnalisme reconnu de sa directrice, Nelly DEDEBANT pour optimiser ses changements d’orientation et accroître son potentiel d’offres visant à former tous les publics.

 

 

C’est simple : cette reconnaissance s’est muée en un atout très précieux puisque la structure bénéficie dorénavant du DLA, le dispositif local d’accompagnement auprès des foyers ruraux, de Bourgogne Active et de la Caisse d’Epargne.

Au service de ce public en situation précaire et délicate, CLEF décline ses prestations avec l’aide d’une équipe structurée et professionnelle, des formateurs salariés qualifiés, des bénévoles volontaires et formés aux méthodologies d’usage, en s’appuyant au plan décisionnel sur un conseil d’administration actif et revendiquant son dynamisme.

Centre d’examens, pour le français mais aussi pour certaines langues étrangères dont l’anglais, CLEF s’apparente désormais à une ESUS, une entreprise solidaire d’utilité sociale depuis quelques mois.

Réduire les inégalités linguistiques grâce à un programme d’actions valorisantes intègre l’ADN de cette toujours jeune entité qui vient de souffler ses dix premières bougies. Et compte bien ne pas en rester là…

 

 

 


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