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L’évènement devrait marquer les esprits. Une convention nationale à Auxerre, cela n’arrive pas tous les jours, à vrai dire ! Mais, quand elle est portée par l’une des structures les plus dynamiques qui évolue dans l’Hexagone, on peut déjà en subodorer le résultat. Réussi, c’est certain ! Pour y parvenir, la Jeune Chambre Economique doit compter sur le soutien de partenaires investis. Des collectivités et des entreprises, prêtes à relever le défi !

 

AUXERRE : Les dates, tout d’abord, sont à biffer d’ores et déjà sur les agendas. Du 23 au 25 juin 2022. Trois  jours de réflexions, de travail mais aussi de moments festifs et de réjouissances. Au-delà des conférences et des surprises que nous promettent déjà sur le papier les membres de la JCE Auxerre, cette convention nationale devrait donner des couleurs chatoyantes à l’agglomération auxerroise à l’amorce de ce futur été.

Pensez donc ! Plus de huit cents congressistes, en provenance des quatre points cardinaux de notre territoire, convergeront vers la capitale de l’Yonne pour s’y retrouver lors d’un évènementiel de haute facture. Pas budgétaire, certes, mais bel et bien synonyme de rayonnement et de coup de pouce espéré pour l’aura de ce département.

Pour en savoir un peu plus sur les opportunités et les belles rencontres à faire lors de ce rendez-vous, synonyme de business et d’échanges, la commission ad hoc, présidée par Laurianne BELLIER (la jeune et talentueuse dirigeante de la société ELANTHIA qui a su faire son chemin dans le paysage du conseil patrimonial) propose un évènement la semaine prochaine. Précisément, à la date du 17 février, au cellier de la préfecture de l’Yonne, lieu coutumier de bon nombre de manifestations réalisées à la sauce JCE !    

Objectif de cette soirée qualifiée de gala : la présentation en long, en large et en travers de ladite convention nationale. Via toutes ces possibilités, en termes de partenariat et de retombées économiques pour ses futurs soutiens. De la pure logique lorsqu’il s’agit d’une JCE à la baguette !

Un évènement taille patron, assortie d’un repas, à la dimension des entreprises et des collectivités qui ont encore foi à l’investissement de cette jeune relève, prête à en découdre en balayant les aspérités de l’existence, afin de créer et pérenniser des projets. Elle n’est pas belle la vie ?!

 

Thierry BRET

 


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A contre-pied de ce qu’il pratique d’ordinaire dans son approche de la relation publique – le maire-président de l’Auxerrois est à ranger dans la catégorie des taiseux sur ce registre depuis sa prise de fonction -, Crescent MARAULT s’est finalement livré à un exercice de style pour le moins insolite, démonstratif et convaincant, soumis à l’interrogatoire, bien huilé, de Jean-Marc SYLVESTRE. De la pure communication, selon ses détracteurs. Que nenni, rétorque l’élu, qui a fait de l’info en jouant les pédagogues et les VRP afin de mieux vendre l’Auxerrois aux investisseurs.

 

AUXERRE: Initialement prévu pour durer à l’antenne une heure et quinze minutes, le journal télévisé de cette « édition spéciale » aux réminiscences de la Une, côté décorum et ambiance bleutée, se sera accordé un peu plus de souplesse au niveau du timing.

Confidences de Yannick DAVOUSE, prises en aparté et à la manœuvre de cette grande première audiovisuelle concoctée depuis la capitale de l’Yonne chez IDXPROD : « on ne se met pas la pression, on peut se donner du temps ! ».

Du temps de parole, Crescent MARAULT qui passait ses arguments à la moulinette de cette interview de longue durée et finement ciselée depuis plusieurs semaines, en aura eu. Largement, malgré les interventions de plusieurs invités, issus de la sphère économique et associative, venant ponctuer de leurs réflexions personnelles tel ou tel item à aborder (à lire notre prochain article à paraître sur le sujet).

Abondamment, pour nous dévoiler un rôle que l’on ne lui connaissait pas celui de « VRP » du bassin de l’Auxerrois, effectuant une fois par semaine des déplacements à travers l’Hexagone en quête de pépites professionnelles et d’investisseurs désireux apporter de l’eau (et surtout des moyens financiers) à son moulin. Celui qui n’a rien à voir avec le monument vétuste narré par Alphonse DAUDET, incarné par ce fameux « Projet de Territoire » dont il défend la moindre ligne programmatique jusqu’au bout des ongles.

 

Vendre l’image de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières…

 

Inhabituelle posture de l’édile, peu enclin à pratiquer l’art de la communication. Ce que lui fit remarquer d’entrée de jeu un Jean-Marc SYLVESTRE décontracté, à plusieurs reprises sur ce point, s’étonnant même d’être assis à ses côtés pour cette émission retransmise sur les réseaux sociaux et les outils numériques de la collectivité.

Si le trac était palpable à vingt minutes du commencement de cette prestation, assurée en direct, force est de constater que l’orateur vedette de cette soirée ayant pour objectif premier de vendre l’image de marque de l’Auxerrois bien au-delà de ses frontières a su au fil des minutes gagner en aisance et en sérénité. Débitant d’une voix claire et sans l’ombre d’une hésitation le fil d’Ariane de ses pensées, parfois tortueuses pour ses adversaires. Construites, on s’en doute, autour de ce « Projet de Territoire », devenu cette boussole indispensable et obsessionnelle à l’accomplissement de son mandat.

 

 

« J’ai commis une erreur mais la justice a tranché… »…

 

Un projet devenu un véritable credo pour l’élu de l’Yonne qui a eu des démêlés avec la justice en décembre dernier. Le thème sera abordé justement par le journaliste économique parisien. Presque sous le sceau de la confidence, voire de la confiance et de la révélation, puisque les deux hommes se faisaient face à face sur l’immense plateau, épuré de tout artifice et auréolé des lumières blafardes des projecteurs.

« Je voudrais vous demander d’aller un peu plus loin dans cet exercice d’information et de transparence que nous vivons. Ce qui n’est pas très facile pour un homme comme vous puisque vous n’êtes pas un adepte de la communication (sic !). Vous avez été récemment condamné par la justice pour des faits qui se sont produits lorsque vous étiez à la tête de la municipalité de Saint-Georges-sur-Baulche. Comment vivez-vous cet état de fait et quelles explications pouvez-vous en donner (alors que plusieurs opposants demandent sa démission pure et simple de ses mandats électifs) ? ».

Le mea culpa de Crescent MARAULT se résumera à une courte phrase : « j’ai commis une erreur mais la justice a tranché ; elle est passée et moi désormais, je reste concentré sur le projet de territoire pour l’Auxerrois en étant déterminé à le mettre en œuvre… ».

Un projet qui représente peut-être une véritable équation à 29 inconnues, s’interroge Jean-Marc SYLVESTRE, faisant allusion au nombre de communes qui composent l’Agglomération auxerroise. Problématique d’ego, intérêt local : comment négocier alors avec chacune de ces entités afin de réaliser le travail dans de bonnes conditions ?  

« La coopération intercommunale existe depuis 1990, répondra Crescent MARAULT, je ne m’inquiète pas pour les échanges entre les maires, habitués à travailler ensemble, à discuter et à dialoguer sur des projets menant vers l’intérêt commun. Ce serait d’ailleurs une hérésie de ne réfléchir aux projets avec la seule vision de sa commune… ».

Une réaffirmation du leadership qu’occupe dorénavant le maire de la capitale de l’Yonne sur ce bassin géographique devenu névralgique du fait de son attractivité impulsée par la station de stockage de l’hydrogène.

 

 

Investir 22 millions d’euros sans avoir recours à l’impôt : tour de magie ou pur réalisme ?

 

N’en ayant pas terminé avec la série des questions qui fâchent, Jean-Marc SYLVESTRE revient à la charge (pas trop fortement !), mettant en exergue certains des arguments véhiculés par l’opposition. L’augmentation de la dette, par exemple, qui est inhérente aux différents volets contenus dans ce projet de territoire. Une feuille de route très ambitieuse ou irréaliste, à vrai dire ?

« Nous avons une opportunité unique de faire rimer l’écologie urbaine et la croissance économique, souligne l’interviewé, un véritable pari pour conserver notre qualité de vie, tout en améliorant la compétitivité des entreprises dans le même temps et créer des centaines d’emplois. Sans qu’il n’y ait la moindre hausse fiscale pour les habitants de l’Agglomération, je m’y engage… ».

« Etes-vous un magicien, renchérit à brûle pourpoint le présentateur vedette.

Je ne suis pas un magicien, répond du tac au tac Crescent MARAULT, je suis un gestionnaire ! On investit et il y a nécessairement un retour sur investissement… ». L’équation expliquée dans la bouche du successeur de Guy FEREZ en serait presque enfantine au niveau de sa compréhension. Professoral, esquissant quelques gestes de la main comme pour entériner ses dires, Crescent MARAULT donne une leçon de pure gestion aux 3 600 internautes qui l’écoutent instantanément derrière leur écran d’ordinateurs, tablettes et autres smartphones. Y compris la poignée d’invités du sérail politique et institutionnel du cru, installés dans une autre salle attenante du complexe occupé par IDXPROD.

 

 

Les recettes fiscales des entreprises exogènes : la clé de la solution !

 

Concrètement, des douze millions d’euros initialement investis chaque année sous la mandature précédente, le besoin en financement s’élève désormais à vingt millions d’euros annuels (voire légèrement plus) pour mener à bien le projet défini par la nouvelle gouvernance. Soit un doublement des capacités budgétaires.  

« Il faut inciter les entreprises exogènes à venir s’installer sur notre territoire, observe le maire-président, plutôt détendu face caméra, 50 % des recettes fiscales dont nous avons besoin sont liées à leur présence. C’est cela la fiscalité sans augmenter les impôts ». Elémentaire mon cher Watson !

Oui mais, alors quid de la dette qui fait pousser des cris d’orfraie aux élus de l’opposition ?

« La dette, reprend Crescent MARAULT, c’est de la dette d’investissement. On la mesure sur sa capacité à pouvoir la rembourser. Toute cette méthodologie s'applique à toutes les administrations publiques ou privées. On peut la mettre en place dans les collectivités et améliorer ainsi la performance, améliorer l'efficience, améliorer l'efficacité des politiques publiques. Quant à ce retour sur investissement, il s’appliquera sur l’urbanisation, la culture, le domaine du sport, le tourisme, le développement économique… ».

Circulez, il n’y a rien à voir ! Les craintes de l’opposition sont balayées d’un revers de la main, non réalisé sur le plateau, mais que l’on perçoit presque intérieurement comme une aura dans l’esprit en effervescence d’un orateur qui tient la longueur côté endurance verbale. De plus en plus surprenant pour un non-communiquant !

 

 

Un non-communicant sachant communiquer !

 

Et Jean-Marc SYLVESTRE qui annote ses fiches avec méthode d’en remettre une couche supplémentaire, façon RIPOLIN : « On vous reproche (l’opposition, toujours sans la nommer précisément ?), que vous n’êtes pas assez présent dans les rues d’Auxerre et sur les marchés. Est-ce votre méthode de travail ? ».

« C’est vrai, avoue le maire-président, c’est la représentation que l’on se fait de l’élu. Habituellement. Moi, je consacre mon temps au travail et non à cultiver mon image. Une fois par semaine, je sillonne les quatre coins de l’Hexagone pour y rencontrer des porteurs de projets, des investisseurs. L’objectif est de les convaincre de s’installer ou de miser sur l’Auxerrois. Je fais mon job de « VRP » ! Quand j’aurai estimé avoir accompli cette mission, alors je me rendrai sur les marchés ! ».

Voilà. Il est presque 21h30 à la pendule du studio. La messe est dite ou presque puisque l’homélie finale se termine. Les techniciens s’apprêtent à débrancher leurs appareils. Les projecteurs, à s’éteindre.

Paradoxe étrange que celui-ci : ce non fan de la communication et des relations presse dont se vante Crescent MARAULT boucle son édition spéciale en ayant tenu près de 120 minutes l’échange et la discussion, sans qu’il en soit éprouvé. Serein comme un poisson dans l’eau !

Conservant un calme olympien pour asséner une ultime banderille à celles et ceux qui en douteraient encore après avoir ingurgité cette copie du « JT à la sauce TF1 » sur les réseaux sociaux : « ce n’est pas de la communication mais de l’information qui a été proposée ce soir ! ».

Quant au futur projet de territoire, prophétique il ajoute : « ce n’est pas un effet d’annonce : tout ce qui a été présenté durant cette émission va se réaliser, j’en ai la certitude… ».

« Mektoub » aiment à dire les sages qui pratiquent la langue arabe. « C’était écrit…, selon sa traduction plus cocardière…

 

Thierry BRET

 

 

 


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L’instant est solennel. Le temps est suspendu aux premières notes de musique qui retentissent dans la cour, derrière l’hôtel de police. D’un pas vif et alerte, le préfet de l’Yonne Henri PREVOST traverse la place d’armes. Il précède le commissaire divisionnaire Raphaël JUGE, directeur départemental de la Sécurité publique. A instant exceptionnel, cérémonie de prestige ! Les dix nouvelles recrues de la police nationale le méritent bien…un évènement unique à Auxerre.

 

AUXERRE : Dix d’un coup, cela frise l’exceptionnel ! C’est pourtant ce qui nous a été proposé de vivre lors de cette cérémonie protocolaire, saluant l’arrivée de nouveaux effectifs au commissariat d’Auxerre. Un moment émotionnel fort auquel ont assisté le maire-président de l’Auxerrois Crescent MARAULT, Yves LASMATRES, son directeur de cabinet et l’élu en charge des affaires sécuritaires et des quartiers, Sébastien DOLOZILEK.

La qualité exceptionnelle de cet évènement aura été relevée par le représentant de l’Etat lui-même. Lors de sa prise de parole, Henri PREVOST rappela que « cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un renfort d’une telle ampleur à l’hôtel de police de la capitale de l’Yonne… ».

 

 

L’application des mesures promises par le ministre de l’Intérieur…

 

Une hausse des effectifs imputable à la décision prise par le ministre de l’Intérieur, Gérald DARMANIN, qui, le 01er juillet dernier, avait annoncé l’amorçage de ce renforcement des forces de l’ordre au sein de la Direction départementale de la Sécurité Publique (DDSP). Un état de fait qui se sera concrétisé le 07 février 2022 avec l’installation de cinq premiers policiers au commissariat auxerrois.

Lors de son déplacement l’année dernière à l’Ecole de la Police nationale de Sens, Gérald DARMANIN avait promis des renforts dans la ville septentrionale de notre territoire afin de lutter contre la délinquance et les trafics de stupéfiants en tout genre, tout en assurant le maintien de l’ordre et la protection de la population. In fine, avec le jeu des mutations et des nouvelles nominations, le commissariat d’Auxerre verra grossir son effectif de dix recrues supplémentaires. Du jamais vu depuis longtemps, de mémoire de professionnels !

Dix nouveaux élus auxquels il faut ajouter les huit recrues touchées par le commissariat de Sens. D’ici le terme de ce premier semestre, ce sont donc bel et bien 18 fonctionnaires supplémentaires qui auront rejoint les forces de l’ordre de l’Yonne, côté police nationale.

 

 

Tremblez dealers, la police nationale vous surveille !

 

Un effort très significatif pour protéger une population icaunaise contre les incivilités du quotidien, le trafic de stupéfiants en tout genre ou les violences conjugales en forte progression, conséquences de séries de confinement à répétition.

D’ailleurs, cette lutte contre ces violences subies par les femmes s’inscrit parmi les priorités du représentant de l’Etat. Le bilan dont il a fait mention il y a quelques jours lors de son traditionnel point presse à ce sujet l’atteste : il y a urgence à réagir et à traiter de manière radicale le sujet.

Quant aux dealers, ils sont dans le viseur préfectoral et judiciaire avec le démantèlement de plusieurs réseaux ces jours-ci dans le paysage local.

« Ce sont des actions que nous allons poursuive, confirme Henri PREVOST, nous devons mener ces opérations dans la durée pour gagner en efficience ».

 

 

Le courage et l’abnégation plébiscités pour cinq gardiens de la paix…

 

Au-delà de l’humain, de nouveaux moyens matériels ont été affectés à la police nationale. Dont un nouveau modèle automobile, une rutilante Peugeot 5008, arborant un logo présentant une sérigraphie dynamique.

Il en est de même avec l’installation de systèmes de caméra en zone piétonnière dans les cœurs de ville. Côté technologie pur jus, la Police nationale se voit doter du dernier cri de portables téléphoniques et informatiques, permettant  la mise en place de procédures plus rapides, effectuées depuis le terrain d’intervention sans repasser par les bureaux du commissariat.

Au-delà de ces premiers recrutements, d’autres mouvements sont-ils d’actualité dans les mois à venir ? Nul ne le sait encore. Les quotas ayant été établis par la direction de la Police nationale.

Mais, pour l’heure, le préfet de l’Yonne et le directeur départemental de la Sécurité Publique, Raphaël JUGE, se satisfont de cet apport de forces vives à leurs effectifs afin de renforcer les ressources humaines à Auxerre et à Sens.

En parallèle du cœur de cible de cette manifestation, Henri PREVOST a décoré cinq policiers mis à l’honneur pour leur sens du professionnalisme et de l’abnégation qui est le leur. Le courage et l’altruisme récompensés en plein jour sous les regards admiratifs des officiels et un semblant de soleil printanier.

 

Thierry BRET

 

 


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L’œil pétillant de malice, monsieur le maire jubile ! Les projecteurs médiatiques sont braqués sur la localité dont il assume la gouvernance. Grâce à la concrétisation d’un projet qui ne concerne pas seulement les seniors. Un concept qui va dans le sens des besoins de ses administrés. Avec en filigrane la résolution des problématiques administratives, toujours complexes à appréhender lorsque l’on vit dans une bourgade d’un millier d’habitants…

 

AUGY : Le sourire bien affiché sur son visage, Nicolas BRIOLLAND, premier élu de la petite commune implantée au sud d’Auxerre, montre sa satisfaction. En accueillant un nouvel établissement à l’estampille de France Services, il apporte une réponse concrète à ses administrés. Celles et ceux qui éprouvent parfois des difficultés à résoudre des dossiers où le volet administratif est chronophage et omnipotent. Face aux méandres nébuleux de la paperasse, la proximité peut être l’une de ces solutions astucieuses qui facilite l’existence.

Aussi, l’idée de doter la commune de ce dispositif qui a fait montre de son efficacité depuis son lancement a fait tilt dans l’esprit de l’édile. Quelques rencontres fructueuses avec les services de l’Etat (ceux de la préfecture) et l’appui des élus du canton vont précipiter les choses.

Ouverte depuis le mois de décembre, la vingt-septième maison France Services, recensée dans l’Yonne, a trouvé son point d’ancrage en mairie. Une adresse facile à trouver donc, pour celles et ceux des citoyens du Sud Auxerrois qui en feraient usage à bon escient.

 

 

 

Un projet sous le sceau de l’engagement et de l’ambition…

 

 

Mobilisé dès le début du projet, le conseil municipal a réagi positivement comme un seul homme à la proposition du maire. Un acte d’engagement qui a poussé Nicolas BRIOLLAND à poursuivre avec célérité le montage du dossier.

« Nous sommes réellement rentrés dans une phase de dynamique avec ce concept, explique au micro un maire prolixe dans ses propos, nous l’avons accompagné en y injectant un peu d’argent nécessaire à l’acquisition du matériel adéquat, notamment informatique… ».

L’Etat a aussi apporté sa pierre à la construction de ce nouvel édifice sociétal très utile. Côté pratique, les horaires d’ouverture ont été revus à la hausse, avec une amplitude quasi journalière, hormis le jeudi, afin de permettre au plus grand nombre d’habitants de bénéficier des offres de services de ces neuf partenaires institutionnels référencés in situ.

L’Etat, il en sera encore question dans les remerciements du maire, adressés au préfet de l’Yonne Henri PREVOST, assis au premier rang de cet auditoire attentif à ses réactions. Côte à côte, ont pris place le député de la circonscription Guillaume LARRIVE, le vice-président du Conseil départemental élu de ce canton, Christophe BONNEFOND, Patrick GENDRAUD, chef de file de l’organe départemental institutionnel ainsi que la sénatrice Marie EVRARD.

 

 

30 000 euros d’aides annuelles injectées par l’Etat…

 

La nation tricolore soutient ce projet en y allouant un investissement de trente mille euros annuels assurant ainsi la bonne fonctionnalité de ce service, un vrai supplément d’âme qui est destiné à tous.

Nicolas BRIOLLAND insista ensuite sur l’aspect ambitieux de ce concept.

« Pour nous, cette ambition se détermine par l’aide apportée à un maximum d’usagers de notre territoire, argumenta-t-il, et ils sont nombreux puisque venant bien au-delà de notre périmètre cantonal… ».

La liste des partenaires de ce projet collectif fut énumérée. Mais, elle ne se limitera pas à ces seuls participants initiaux.

« Nous avons déjà commencé de travailler sur la base de nouveaux ajouts à ce partenariat, expliqua Nicolas BRIOLLAND, ce dispositif est évolutif… ».

Quant au rayonnement de cette maison France Services (la plus proche au sud d’Auxerre n’est autre que celle de Vermenton, officialisée ces jours-ci), elle irrigue au-delà du périmètre d’Augy. Et ce, sur une première période de trois ans que le maire pense déjà renouveler pour en optimiser sa pérennité.

 

Un projet de maison commune à horizon 2023…

 

Puis, Nicolas BRIOLLAND profita de son auditoire et des circonstances pour évoquer un projet qui lui tient pleinement à cœur : celui de l’édification de la maison commune à court terme, prévue l’année prochaine.

« Dans cette nouvelle mairie, souligne-t-il, nous regrouperons tous nos services publics. La Maison France Services, évidemment, mais aussi l’agence postale. Je voulais à ce titre remercier La POSTE (l’établissement était représenté par la nouvelle déléguée départementale Christine MORANGE) qui est un partenaire indispensable pour apporter cette proximité de moyens auprès de tous ! ».

Toutefois, le maire d’Augy aimerait voir s’ajouter parmi ses services nécessaires au bon équilibre de la vie quotidienne en zone rurale de ses habitants l’installation d’un distributeur. Une équation beaucoup plus complexe à résoudre et à mettre en place, apparemment. A noter que le budget de ce projet en cours de conception coûtera environ 400 000 euros hors taxes.

 

 

En savoir plus :

La liste des neuf partenaires accueillis à la maison France Services sont :

La CAF, la CPAM, la MSA, la CARSAT/AGIRC-ARRCO, la DDFIP, Pôle Emploi, la préfecture, la justice et La POSTE.

 

Thierry BRET

 


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Le festival de la soie, Silk in Lyon, a fait son grand retour durant quatre jours à l’automne dernier après que l’édition 2020 ait été annulée à la suite de la crise sanitaire. Ce renouveau a permis de redorer l’histoire et les techniques de la soie. Une matière qui est le symbole de toute une ville…

 

LYON: « SILK in Lyon » est un évènementiel organisé depuis 2018 par INTERSOIE France, une association interprofessionnelle dédiée à la soie. Afin de réaliser un tel évènement, l’entité est en lien avec UNITEX Auvergne-Rhône-Alpes qui représente les activités textiles de la région. Pour avoir davantage de soutien, la ville de Lyon, sa Métropole et l’association Première Vision sont en partenariat pour y contribuer.

Point de fabrication de référence de la soie depuis la Renaissance, la capitale des Gaules est un pôle européen reconnu pour les matières textiles. Au cœur de la vallée du Rhône y ont été plantés des mûriers, un arbre indispensable à la sériciculture, qui consiste à élever le ver à soie.

De plus, encore aujourd’hui, toutes les étapes de fabrication en passant du moulinage (pratique qui consiste à rassembler plusieurs fils de soie pour obtenir une grosseur) à la confection sont présentes au sein de la ville.

 

 

Plus de sept mille visiteurs pour 120 exposants…

 

La troisième édition, initialement prévue en novembre 2020, a été contrainte de fermer ses portes au vu de la situation sanitaire qui empirait. Cette annonce a été quelque peu difficile pour les organisateurs et les intervenants. Celui-ci s’est alors tenu au Palais de la Bourse à Lyon du 18 au 21 novembre 2021.

Le festival s’est consacré à transmettre le savoir-faire local de la soie. 7 000 visiteurs ont pu découvrir le processus de création, de peinture, d’assemblage autour de trente exposants et cent-vingt professionnels.

« La joie est le premier mot qui m’est venu à l’esprit pour définir cette nouvelle édition » déclare Xavier LEPINGLE, le président d’INTERSOIE France.

 

 

Dans l’objectif de toujours innover, cette année, le festival proposait pour la première fois une partie dédiée à l’ameublement et à la couture. En plus de d’offrir la découverte et la compréhension de la fabrication, des exposants sont venus présenter leurs réalisations en passant par la confection d’un vêtement, d’un livre ou encore d’accessoires. 

Au travers de la crise sanitaire, de nombreux consommateurs et marques ont pris conscience de l’enjeu environnemental. L’ambition de « SILK in Lyon » était de ce fait d’exposer aux visiteurs une solution pour consommer de façon plus locale afin d’être plus responsable.

 

 

Une filière artisanale porteuse d’emplois…

 

D’après le rapport d’activité de l’Union des Industries Textiles, ce secteur d’activité comptabilise 2 165 entreprises pour un total de 61 910 emplois qui génère 13,9 milliards d’euros de chiffre d’affaires au niveau national en 2020.

« SILK In Lyon » est un festival accessible pour les petits comme les grands. L’occasion ici est d’offrir une vision d’emplois rarement pensés.

Bruno BERNARD, président de la Métropole de Lyon explique que « la filière textile représente plus de 2 000 emplois dans la Métropole de Lyon ».

A l’occasion de ce festival, le public a accédé à la plateforme French TEX, une marque collective de la filière qui est consacrée à l’emploi et la formation.

Chaque année, 3 000 postes sont à pourvoir au sein de la filière textile française. D’ores et déjà, les visiteurs peuvent biffer la date de la future manifestation. Elle se déroulera du 17 au 20 novembre 2022 dans l’ancienne Lugdunum…

 

Jordane DESCHAMPS

 


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