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La présidente de la Communauté d’agglomération du Grand Sénonais Marie-Louise FORT a entrepris le tour des communes en ce début d’année. En compagnie de Marc BOTTIN, premier vice-président et maire de Dixmont, et du nouveau directeur général des services Florian AYMONIN-ROUX, elle a fait étape à GRON mercredi 16 février dernier. Entre écoute et présentation des projets…

 

GRON : C’était une étape parmi vingt-sept ! Le nombre de communes du Grand Sénonais, à la rencontre des élus municipaux (455 au total) puisqu’au conseil communautaire ne siègent que des maires ou leurs suppléants.

Une carrière riche que celle de la maire de Sens, qui fut adjointe à Saint-Clément, toujours élue au district qui devint la communauté de communes du Sénonais, puis de la CAGS en 2015.

Ensuite, il y aura le Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, la mairie de Sens ainsi que la députation dans une circonscription qui comprend 119 communes durant deux mandatures.

 

 

La réunion de l’autre soir avait comme objectif de rapprocher les élus et la CAGS en la faisant mieux connaître, ainsi que ses projets, tels l’agence de l’attractivité ou celle de l’habitat qui devrait voir le jour à l’automne prochain.
Le souhait de l’élue : la création de contacts annuels, comme un bilan des réalisations passées et aussi des projets futurs. L’occasion, aussi de se féliciter des bonnes relations réciproques avec l’ensemble des services techniques de l’agglomération (eau pluviale, éclairage, etc.).

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Opération intéressante que celle menée il y a peu par deux partenaires du lycée des métiers de l’hôtellerie et de la restauration Vauban à Auxerre. METRO et Le BORVO, producteur de saumon fumé, ont organisé un master class mettant en exergue la gamme de pains conçus par BRIDOR, l’un des incontournables de la filière industrielle sur ce registre.  

 

AUXERRE: Le pain, c’est bon. Et les Français, friands de ce produit du quotidien, en sont de gros consommateurs, comme chacun le sait. Mais, on n’est pas obligé de le déguster frais. Ainsi, le pain congelé peut servir de base nutritive à de multiples préparations en le travaillant différemment. Parfois, par nécessité. A l’instar de ce que vit le lycée des métiers Vauban qui ne peut être livré que par un seul boulanger pour ses besoins journaliers.

Insuffisant, donc, pour l’une des figures de l’établissement, Serge GOULAIEFF, meilleur ouvrier de France (MOF) catégorie maître d’hôtel et l’une des têtes pensantes pédagogiques du lycée.

« Nous avons été dans l’obligation de regarder ailleurs, plaisante-t-il, d’où notre intérêt porté sur l’offre de BRIDOR".

L’industriel fabrique une large gamme de pains, venant entre autres alimenter le restaurant d’application, « La Gourmandise ». Un site qui accueille son potentiel de clients réguliers tout au long de l’année.

Un pain qui visiblement ne laisse pas de marbre les consommateurs. Le gâchis au niveau de la perte est beaucoup moins important avec cette production qu’avec du pain traditionnel.

« Logique, rétorque Serge GOULAIEFF, la clientèle consomme jusqu’au bout le morceau de pain, plus petit et calibré à un repas, qui accompagne les mets sur la table du restaurant. Elle le mange volontiers et l’apprécie d’autant... ».

 

 

Même les restaurateurs s’y mettent pour optimiser leur productivité…

 

Lors de cette séance initiatique, conçue en présence de plusieurs professionnels de la restauration et de la formation aux métiers de la filière, l’objectif était de montrer aux élèves de la mention cuisine, cuisinier en dessert de restaurant l’utilité pour eux que parfois il ne fallait pas perdre du temps à préparer du pain, que l’on peut le transformer ainsi que les croissants pour en faire des productions salées.

Conséquence, les testeurs du jour eurent l’opportunité gourmande de savourer différentes variantes de pains, fabriqués par BRIDOR, mais aussi du pain retravaillé, et pas seulement la baguette.

Aujourd’hui, et toujours dans le souci d’améliorer la productivité, les grandes toques de la gastronomie s’interrogent sur le besoin de passer une commande auprès d’un boulanger ou de servir à leur table du pain d’excellente qualité mais… surgelé.

 

 

Une qualité que défend bec et ongle BRIDOR. L’industriel demeure à ce jour l’un des plus gros consommateurs de beurre à l’appellation AOP Charentes-Poitou pour concevoir ses viennoiseries.

La démarche pédagogique du lycée Vauban et de ses partenaires, aussi insolite fut-elle, ne va pas, non plus, à l’encontre de l’artisanat traditionnel.

« C’est une autre approche, confie Serge GOULAIEFF, elle existe et nous ne pouvons l’ignorer. Bien sûr, l’ensemble du corps professoral de l’établissement travaille avec des boulangers artisanaux. Mais, il faut aussi montrer à nos apprenants que ce pain surgelé a pris de l’importance auprès des consommateurs. Y compris les restaurateurs qui l’ont adopté de plus en plus dans leur cuisine, évitant ainsi d’avoir oublié de passer une commande, en faisant cuire le pain à l’instant le plus propice, et en limitant les doses à leur réel besoin ».

 

 

Une première qui devrait en appeler d’autres…

 

Une première au niveau de l’initiative. Celle-ci devant se dupliquer à l’avenir, à l’instigation de METRO, auprès d’autres lycées hôteliers ou de centre de formation par l’apprentissage.

On pense automatiquement au CIFA de l’Yonne, dont deux de ses représentants, Delphine ENGELVIN et Maxime LAUZET, assistaient aux premières loges à cette séance de dégustation, animée par les spécialistes du fabricant industriel.

Quant aux restaurateurs, dont Cornélius DELAMINNE « Le Moulin de Corneil » à Mézilles, il a confié s’être régalé à l’issue de la démonstration gustative, proposant charcuteries, foie gras et plateau de fromages !

 

Thierry BRET

 

 

 

 

 


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L’accès à l’emploi. Une priorité absolue dans la conjoncture actuelle. Surtout dans le milieu du bâtiment et des travaux publics. Un pan de l’activité économique qui aura su bon an mal an faire fi des soubresauts et aléas observés depuis ces deux dernières années du fait de la crise sanitaire. Avec des carnets de commandes qui demeurent stables pour ses entrepreneurs.

 

AUXERRE : Où en est le secteur du bâtiment et des travaux publics à l’aune de la sortie de crise sanitaire qui se profile ? Réponse publique du président de la Fédération du Bâtiment de l’Yonne Didier MICHEL, lors de la récente signature d’une convention de partenariat entre le Conseil départemental et les organisations patronales en faveur de l’accès à l’emploi : « Nous avons un besoin impérieux de main d’œuvre dans notre domaine d’activité… ».

De la main d’œuvre, nécessairement qualifiée pour jouer les premiers rôles au sein de ces entreprises artisanales qui peinent, comme tant d’autres, à trouver les perles rares. On pense évidemment à celles qui évoluent sur le registre très tendu de l’hôtellerie et de la restauration.

 

 

Le joli corollaire du concept « Brique par brique » à réitérer dans l’Yonne…

 

Qualifiant la mise en place de cette nouvelle démarche de « très bonne », Didier MICHEL, le dirigeant de la société éponyme, fait ainsi allusion à l’action « Brique par Brique », montée de toute pièce comme un puzzle efficace avec le concours du Département et de l’ensemble des acteurs patronaux et institutionnels intervenant dans le BTP.

« Brique par brique » : un joli corollaire à la construction d’un parcours professionnel destiné à accueillir les oubliés de l’existence afin de les remettre en selle vers le chemin de l’insertion sociale et de l’emploi.

D’ailleurs, le président de la FFB 89 s’est dit très convaincu par cette initiative, réalisée avec des personnes très motivées.

« C’est tout à fait le profil de personnes que nous recherchons, insiste l’ancien élu d’Auxerre, des gens motivés qui ont été sélectionnés par ce biais pour suivre un parcours de formation et vivre une immersion dans cette filière du bâtiment et des travaux publics… ».

 

 

Construire un projet professionnel pérenne qui ramène vers l’emploi…

 

La meilleure manière, sans aucun doute, pour pouvoir acquérir des notions de base de cette typologie de métiers et de mieux appréhender ce qu’est réellement la profession.

On se souvient que courant janvier, onze personnes de l’Auxerrois et de la Puisaye-Forterre avaient été plongées dans ce parcours initiatique, via des bancs d’essai en formation portés par le GRETA de l’Yonne et des stages en entreprise. Le but final étant de construire un projet professionnel pérenne dans ce secteur afin de mieux rebondir vers l’emploi. Une action qui s’est conclue au terme de la première semaine de février. Mais, d’autres groupes devraient reprendre le flambeau dans les semaines à venir.

L’élue du Conseil départemental de l’Yonne, Sonia PATOURET, vice-présidente en charge de l’Emploi, l’insertion et la santé, est très investie sur ce dossier qui lui tient particulièrement à cœur.

 

Thierry BRET

 

 

 

 


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Dix ans, déjà ! Et un concept muséographique qui sait se renouveler de saison en saison. Introduisant la technologie et les prouesses de la digitalisation. Se faisant plus proche encore des familles, et de la jeunesse en soif de découvertes historiques. De manière ludique, il va de soi. D’ailleurs, le 26 mars prochain, il sera même possible pour certains d’entre eux de dormir sous une tente de légionnaires au sein de l’enceinte culturelle. Un remake grandeur nature de « La Nuit au Musée » ?!

 

DIJON (Côte d’Or) : Ben STILLER n’a qu’à bien se tenir ! L’acteur fétiche de la fameuse saga cinématographique de « La Nuit au Musée » ne sera plus le seul à vivre fictivement l’une de ses trépidantes aventures en passant la nuit dans un musée où les pièces de collection, en l’occurrence des personnages et des animaux d’une autre époque s’animent dès la Lune levée !

De petits chanceux, accompagnés on l’espère de leurs parents (!) éprouveront peut-être les mêmes sensations de liberté avec un grand « L » et de multiples mystères à découvrir lors d’une immersion nocturne qui ne devrait pas manquer de piquant dans le « saint des saints » de la muséographie nationale consacré à l’époque gallo-romaine : le centre culturel d’Alise-Sainte-Reine.

Un lieu implanté, non loin de l’endroit mythique et chargé d’histoire où en 52 avant J-C s’est tenue la fameuse bataille entre les armées de Jules César et les hordes gauloises commandées par Vercingétorix. On se croirait presque revenu dans les lectures agréables du plus célèbre des Gaulois, Astérix, né de la plume ciselée d’Albert UDERZO et du scénariste inspiré, René GOSCINNY !

 

 

Un programme copieux et exceptionnel dès le 26 mars…

 

Oui mais voilà ! Tout ceci est on ne peut plus sérieux au MuséoParc. Non seulement, le site touristique qui a déjà reçu la visite de près de 800 000 personnes depuis qu’il a été porté sur les fonts baptismaux en 2012 proposera bel et bien une nuit très spéciale le samedi 26 mars prochain en accueillant des visiteurs durant vingt-quatre heures non-stop. Mais, en outre, dixième anniversaire oblige, ses animateurs en profiteront pour lancer un programme de festivités qui devraient être marqués d’une pierre blanche par sa richesse et son éclectisme.

Ne serait-ce que le 26 mars où le programme se veut copieux et exceptionnel avec de la musique, la pratique de sport, une exposition de bandes dessinées, des ateliers créatifs, etc. Sachant que la gratuité de l’entrée sera appliquée à partir de 17 heures : réservez votre soirée !

 

 

La jauge de fréquentation de 80 000 visiteurs à atteindre en 2022…

 

Ce ne sera que le prélude à d’autres évènements de la sorte qui viendront ponctuer de leur présence une saison 2022 qui ne présentera pas la même physionomie que les précédentes.

Pour Michel ROUGER, directeur du site, c’est très clair. Adjoindre davantage de ludique et de pédagogie parmi les animations proposées in situ vise en priorité à cibler plus particulièrement un public familial, voire rajeuni. Le site a rouvert ses portes le 15 février. L’objectif est clair : accueillir 80 000 visiteurs avides de curiosité et de joies à partager selon les âges en 2022. Par Jupiter, la bataille devant mener à cette belle victoire est engagée au nord de la Côte d’Or !

 

Thierry BRET

 


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A l’heure où le nucléaire s’invite parmi les programmes de la campagne présidentielle – même le candidat communiste Fabien ROUSSEL y est favorable ! -, quoi de plus légitime en somme que de pouvoir s’immerger au cœur de l’une des centrales afin d’en comprendre toutes les subtilités techniques et sécuritaires. EDF a parfaitement bien assimilé ce besoin de transparence pédagogique en ouvrant les portes du site de Belleville-sur-Loire dès avril.

 

BELLEVILLE-SUR-LOIRE : En matière de tourisme industriel, l’initiative est plutôt séduisante sur le papier. D’autant qu’elle concerne à la fois la jeune génération, avide de savoirs et de découvertes, mais aussi leurs parents dont certains demeurent toujours très rétifs à l’égard de cette ressource énergétique ayant pourtant fait ses preuves si elle est maîtrisée dans les règles de l’art.

C’est le cas du parc de centrales nucléaires dans l’Hexagone. A l’instar du site du Cher dont le panache blanc évanescent s’aperçoit par temps clair haut dans le ciel dans un large rayon environnant. Dont l’Yonne et la Nièvre.

Si elles étaient restées en suspens depuis bientôt deux ans (crise sanitaire oblige), les opportunités de visite de la centrale vont donc reprendre leur rythme de croisière dès le mois d’avril. Et ce n’est pas un poisson facétieux !

Le service communication ad hoc dont Pauline DEVIE est l’une des représentantes, en a défini les contours.

 

 

Un délai de cinq semaines d’anticipation pour sécuriser les visites…

 

Entre exposition photographique accueillie au centre d’information, la réception des adolescents lors des prochaines vacances de Pâques et l’immersion régulière des riverains chaque second et quatrième samedi matin du mois jusqu’en décembre, le nombre de visiteurs devrait être exponentiel cette année. Sans aucun doute.

Surtout qu’à la veille du scrutin présidentiel, le nucléaire ne peut que s’inviter dans les discours de campagne des futurs prétendants au fauteuil élyséen. Même la tête de liste du Parti Communiste de France, Fabien ROUSSEL, y fait référence de manière positive ce qui est pour le moins inattendu !

Bien que les premières visites débutent en avril prochain, la porte-parole de la communication rappelle que « cinq semaines de délai sont nécessaires à la réalisation des accès ».

D’où ce besoin anticipateur sur le calendrier afin de permettre dès maintenant de sécuriser les inscriptions. On ne rentre pas dans une centrale nucléaire comme dans un moulin !

 

 

« Un autre regard » sur le nucléaire : le thème de l’exposition photo…

 

Jusqu’au 29 avril (elle est actuellement visible au centre d’information au public), l’animation photographique propose des points de vue très intéressants de ces deux mastodontes de béton que sont les tours réfrigérantes. D’une part, un des deux volets de ce rendez-vous artistique fait la part belle au travail de Gill BOMMELAERE, artiste originaire de Bordeaux qui avait réalisé une expérience immersive insolite en 2019 sur le site.  

D’autre part, le fruit du travail qualitatif et inspiré de photographes amateurs de l’Yonne et de personnes influentes sur le réseau social Instagram est dévoilé au détour de la visite. Les meilleurs clichés du simulateur et de la salle des machines sont ainsi soumis à la sagacité critique et contemplative du public.

 

  

L’ouverture vers les ados : une volonté pédagogique…

 

Nouveauté importante avec cette relative normalité touristique : le retour des adolescents à la centrale ! Les premiers d’entre eux fouleront le sol de Belleville-sur-Loire dès les vacances de Pâques. Dès 12 ans, les enfants découvriront la salle des machines et le simulateur qui est la copie conforme de la salle de commande, elle reste inaccessible au public, il va sans dire !

Signalons enfin que les adultes peuvent apprécier l’ingénierie technologique d’un lieu industriel en participant aux « Samedis des Riverains », nous l’avons dit, à raison de deux samedis par mois, tous les quinze jours.

Naturellement, toutes ces visites sont organisées gratuitement et sont accessibles à partir de douze ans, sur simple inscription (www.edf.fr/belleville).

 

Thierry BRET

 

 


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