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Pour un coup médiatique, c’est une réussite ! Jean-Luc MELENCHON n’y va pas par quatre chemins ! Il passe par-dessus les règles de la nomination du Premier ministre de la République après une Assemblée nationale constituée. Il veut directement un troisième tour d’élection en disant à ses électeurs : « ne soyez pas frustrés de la présidentielle, nous pouvons diriger le pays, si grâce aux législatives, je deviens le locataire de Matignon ! ». Autrement dit, ne vous préoccupez pas des députés que vous allez élire, peu importe le nom, du moment qu’ils signent LFI !

TRIBUNE : Jean-Luc MELENCHON oublie juste une chose : le Premier ministre est nommé par le Président de la République. Emmanuel MACRON peut refuser de désigner le leader charismatique de La France Insoumise si d’aventure, celui-ci avait un nombre de députés majoritaire. Là est l’impasse : un blocage systématique de la vie parlementaire, donc de l’Etat.

Or, les marges de manœuvre sont restreintes. Le président peut nommer un Premier ministre consensuel (impossible si on croit l’ambition du leader de LFI), dissoudre l’Assemblée nationale, voire démissionner ce qui apparaît improbable. La seule alternative semble être la dissolution. Nous sommes dans une crise de régime cohérente avec une élection qui révèle encore une fois que le premier parti de France est constitué par les abstentionnistes !

Sommes-nous au bord d’un coup d’Etat ? Possible avec une nouvelle donne : trois blocs s’affrontent aujourd’hui. Deux blocs idéologiques, la « Gauche » (LFI, les Verts, les socialistes et les communistes), la droite nationaliste (Marine LE PEN, Eric ZEMMOUR, Nicolas DUPONT-AIGNAN) et les « Macronistes », sans idéologie à défendre mais qui regroupe LREM, Horizons d’Edouard PHILIPPE, François BAYROU et le mouvement Démocrate, ainsi que les transfuges des Républicains et du PS.

 

Qui m’aime, me suive : les intentions claires du leader de LFI…

 

Jean-Luc MELENCHON veut un coup de force contre le pouvoir de MACRON et nous faire entrer directement dans la VIème République : son cheval de bataille depuis une dizaine d’années. Ce nouveau « Napoléon » veut profiter, comme son illustre aïeul des divisions nationales et d’un contexte où les Français s’inquiètent plus du prix du pain et de la farine, de la guerre aux frontières que de la vie politique. Le sentier s’apparente à une autoroute qui s’offre aux audacieux pour profiter de la déliquescence des partis politiques qui ne peuvent assurer leur survie, comme les « Verts » et le PS, qu’en s’associant inconditionnellement à Jean-Luc MELENCHON et ce qu’il représente.

 

 

Pour les Macronistes, c’est  plus flou : ce sont des personnalités controversées qui veulent des portefeuilles pour la plupart et un Edouard PHILIPPE qui n’a pas compris que « l’horizon » est une ligne imaginaire qui s’éloigne chaque fois qu’on s’en approche. A méditer ! La grande inconnue est le peuple de France et sa capacité insurrectionnelle en situation de famine et de danger…

Après l’appel du « 18 juin », l’ami Jean-Luc nous fait le coup de l’appel du « 19 avril » : élisez-moi Premier ministre ! Dans l’histoire de la Vème République, l’usage a voulu qu’une cohabitation se soit installée démocratiquement chaque fois que le Président de la République n’avait pas de majorité parlementaire. Commentant la nécessité d’un rassemblement de la Gauche, François HOLLANDE a rappelé « qu’on ne peut pas se nommer Premier ministre par décret, ça n’existe pas », en visant sans le dire le leader de LFI.

 

Un peuple peu représenté dans sa diversité au Parlement…

 

Jean-Luc MELENCHON veut s’imposer comme le dirigeant de la France sans pour autant nous dire comment il définit la démocratie. Si on regarde l’histoire, les Marxistes Léninistes et autres Staliniens sont tout de même plus proches du totalitarisme que de la sagesse de GANDHI. N’oublions jamais que le communisme a fait plus de morts que le nazisme. Hors de question, toutefois, de comparer MELENCHON à ces sombres dictateurs. Mais, le risque de voir un leader, que l’on peut qualifier d’extrême gauche, prendre les rênes de l’exécutif, laisse songeur lorsque l’on sait que notre régime présidentiel donne quasiment les pleins pouvoirs au président et à son assemblée. On peut aussi craindre une pluie de « 49-3» !

Bref, Monsieur MELENCHON assure l’événement en réclamant un poste de Premier ministre en dehors des voies traditionnelles. Il oublie tout de même que Marine LE PEN a été au second tour des élections et qu’elle totalise bien plus de voix que lui. Les huit députés du Rassemblement national et les 17 de La France Insoumise posent tout de même le problème de la vie démocratique d’un pays où le peuple est finalement peu représenté dans sa diversité.

Pour les nostalgiques des révoltes et révolutions, n’oublions pas la constitution de 1793, qui précise dans son article « 35 » : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. ».

Cette belle constitution ne vécut pour ainsi dire jamais à cause du coup de force du 18 Brumaire…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Il y a un an, y'a un siècle, y'a une éternité, chanta Joe DASSIN, dans l'un de ses innombrables succès ! Plus précisément, ce fut à l'automne 1986 (ou 87) que je poussais à Sens, pour la première fois, la porte de ce nouveau restaurant, à la réputation déjà bien établie. A l'accueil, Odile, la souriante patronne était enceinte, et aux fourneaux, il y avait Pascal, son mari, fils d'aubergistes et ancien second au relais de Villeroy. Son chef d'alors, Michel CLEMENT, me confia souvent que Pascal fut son meilleur second. Quoi de plus naturel, pour ce fils d'aubergiste (Le Bon Abri à Rosoy).

 

SENS: Il me semble que nous avions pris en entrée, un feuilleté d'escargots au curry ! Je garde un souvenir précis de ce dîner, dans cette table provinciale et confortable d'alors. L'on y accédait, par la grande rue, où de beaux et bons commerces se succédaient les uns après les autres : une coutellerie,  une  épicerie chez ROUIF, une droguerie chez PAYEN, une crémerie chez PARRET, deux graineteries.

Bref, tout allait pour le mieux au « Clos des Jacobins ». Mais hélas, lorsqu'au début du siècle suivant, Pascal tomba malade, la courageuse Odile dut faire face. Elle se retrouva veuve avec trois enfants, et put compter sur Jean-Marie, le second de Pascal, qui dans ces tristes circonstances devint le chef de la maison. Il avait comme consigne de continuer le sillon tracé par Pascal : de bons produits de saison bien cuisinés. Et bien servis aussi. Ce n'est pas Fabien PAIRON, MOF charcutier-traiteur 2011 – voir l’article récent sur son auberge communale suisse) -, ancien arpète de la maison, qui dirait le contraire. Lui qui œuvra aux côtés de chef Pascal.

 

 

Une assiette savamment nettoyée qui repart à la plonge !

 

Depuis lors, pas mal d'eau a coulé sous le proche pont d'Yonne. Et lorsque régulièrement, l'on me demande où bien manger dans le centre-ville de la cité de Brennus, c'est l'adresse que j'indique, sans risque de me tromper !
Il est midi et demi ce lundi-là. A l'accueil, c'est toujours la souriante Odile. Le temps semble n'avoir point de prise sur elle. Et pourtant, elle serait heureuse de vendre à un couple de jeunes restaurateurs motivés, de les accompagner un temps certain, avant de tirer sa révérence avec élégance.

En attendant, l'on se cale dans un confortable fauteuil du petit salon, juste histoire de siroter un bon « Américano ». A la table voisine, le paternel de  la patronne. Ce vaillant nonagénaire venu à pied, déguste une « p'tite coupe », bien méritée !

A table  le menu à 32 euros est un modèle du genre. Il change régulièrement,  même si certains mets y sont incontournables, telle la terrine de la mer sauce Chablis. Ce plat est délicatement fumé. La sauce y est onctueuse. C'est juste délicieux. Peut-être plus trop à la mode, et c'est tant mieux ! Bien sûr l'assiette ne repart pas à la plonge, sans avoir été saucée comme il se doit !

 

 

Des abats impeccablement servis et bons à déguster…


En plat, un autre incontournable de la maison : la tête de veau, pommes vapeur, et sauce ravigote (plus digeste que la gribiche, reconnaissons-le !). L'assiette est élégamment dressée. Elle est accompagnée d'une utile petite saucière. C’est le régal des amateurs d'abats, nombreux dans l'Yonne. On en profite pour saluer les sympathiques frères MAGNONI, les tripiers icaunais de nos marchés ! Les derniers, en fait.

Quant aux rognons de veau au poivre vert, ils sont servis impeccablement rosés. Ils sont accompagnés de petites endives, parfaitement braisées et bien colorées par le fait.

 

 

 

La subtilité goûteuse de la tartelette aux fraises, une merveille !

 

Le fromage blanc aux herbes variées semble s'imposer, telle une évidence. Il est proposé avant un délicieux dessert de saison. Il s'agit d'une tartelette aux fraises, à la fine abaisse de pâte sucrée. Elle est plus légère qu'une pâte sablée, dirons-nous. Le tout est surmonté de ce fruit délicieux lorsqu'il a été bien acheté, comme de bien entendu. C’est un grand dessert préparé dans sa simplicité et sa gourmandise, qui ici, comprend aussi un baba au rhum de belle tenue. Ce sera pour la prochaine fois !

 

 

Un café-truffe au chocolat pour terminer et puis l'on claque la bise à Odile, se promettant d'y vite revenir dans ce bel antre gourmand !

Souvenons-nous en 1972. Georges POMPIDOU est le Président de la République. Michel FUGAIN chante : « C'est un beau roman ». Et chez nous dans l'Yonne, se crée l'Amicale des Cuisiniers départementale. Pour honorer ce cinquantenaire, nos amis ont édité ce bel opuscule de recettes. En libre-service dans toutes les belles maisons ! Entre pot au feu irlandais, épaule d'agneau à la champenoise et tiramisu bourguignon : quel cruel et gourmand dilemme !

 

 

En savoir plus :

 

Les - : peut-être que la sélection vineuse mériterait-elle deux à trois références en plus.

Les + : le cadre est élégant, l'assise est confortable : cela est fort agréable !

Contact : 

Le Clos des Jacobins

49 grande Rue 89100 SENS

Parking à côté de l’établissement

Téléphone : 03.86.95.29.70.

 

Gauthier PAJONA

 

 

 


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Certains de ses contradicteurs le disaient non partant. D’autres de ses fidèles pensaient, bien au contraire, qu’il allait y retourner. Ne serait-ce que pour poursuivre ce qu’il avait déjà entamé durant ce dernier mandat. Mais, tous peuvent s’accorder que le député de la deuxième circonscription de l’Yonne n’est pas homme à lâcher du lest sur le terrain. A 67 ans, l’ancien sénateur et ténor du Conseil départemental sera bel et bien dans les starting-blocks les 12 et 19 juin, investi par le Président de la République…

 

AVALLON : La liste des heureux nominés était attendue avec beaucoup d’impatience. Pas de celle de Cannes qui fait son cinéma, mais bien celle en provenance de la confédération « Ensemble », une mosaïque regroupant La République en Marche (LREM) – devenue entre-temps « Renaissance », avec son clin d’œil à l’illustre Phénix mais aussi aux dernières joutes européennes de 2019 -, l’inamovible MoDem et Horizons, nouveau venu dans le paysage politique hexagonal, un parti porté sur les fonts baptismaux depuis l’automne par l’ancien Premier Ministre, Edouard PHILIPPE.

 

Une liste de prétendants au Palais Bourbon validée par Emmanuel MACRON…

 

Et parmi les 187 premiers prétendants à l’Assemblée nationale, quelques patronymes concernaient la Bourgogne. Dont trois pour le département de l’Yonne : Michèle CROUZET, sur le Sénonais (députée sortante), Victor ALBRECHT – la surprise du chef ! – sur l’Auxerrois/Puisaye et André VILLIERS, sur l’Avallonnais/Tonnerrois. Lui aussi, député sortant. Des investitures qui selon les dires auraient été directement entérinées par le locataire de l’Elysée en personne !

A 67 ans, André VILLIERS se lance donc pour un nouveau tour de piste électoral. Tel qu’il les aime, lui, l’homme de communication et des relations publiques qui n’est pas un adepte de la langue de bois et adore se frotter à la réalité du terrain. Sauf que dans le cas présent, l’ancien sénateur et président du Conseil départemental de l’Yonne ne partira pas sous l’étendard UDI. Exit la bannière de l’Union des Démocrates et Indépendants ! Une formation que l’agriculteur de Pierre-Perthuis avait pourtant intégrée en 2009, avant d’en prendre la présidence départementale en décembre de l’année suivante.

 

 

 

Un député de l’Yonne parfaitement « Macron compatible »…

 

Absent du comité de soutien icaunais à la candidature de Valérie PECRESSE (LR) (et pour cause !) lors des récentes présidentielles, André VILLIERS a décidé de se rapprocher de la nouvelle formation dont Edouard PHILIPPE est le chef de file et d’arborer les couleurs « Horizons » en juin prochain.

Rien d’étonnant à cela, puisque à maintes occasions, l’élu de l’Yonne avait réagi positivement à la politique menée par le Président de la République au cours de cette mandature. Notamment sur la réforme des retraites.

A l’automne, André VILLIERS avait publié à l’intention de ses électeurs un opuscule récapitulatif de ses actions, des propositions de lois où il était cosignataire et de centaines d’amendements de seize pages. Soit quatre années de travail à la députation afin d’en dresser un bilan avant cette nouvelle joute électorale qui l’attend. La décision de se lancer dans ce nouveau défi, se succéder à lui-même, a été entérinée par l’intéressé en février dernier.

Dès l’annonce de son investiture connue publiquement, ses aficionados ont déjà réagi sur la toile en le félicitant. Dont l’un de ses plus fidèles amis et alliés parmi le sérail politique départemental : Patrick GENDRAUD, actuel président du Département ! Ils ont été les premiers des élus à s’être investis sur le dossier des réfugiés ukrainiens dans l’Yonne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le cadre est proprement remarquable. La fameuse « Orangerie » du château d’Yrouerre, située dans ce Tonnerrois bucolique où il fait bon vivre. Un site à (re)découvrir, sans aucune modération. D’autant que l’exposition artistique qui y est accueillie jusqu’au 29 mai fait la part à la rêverie, à l’esthétisme et à la quiétude intérieure. Une manifestation qui est concoctée par Les 4’Arts…

 

YROUERRE : Si le soleil est là, l’endroit est merveilleux. Mais, même par temps de pluie, cela ne doit pas réfréner les envies de découverte de celles et ceux qui sont adeptes de la culture picturale.

L’Orangerie du château. Etonnant édifice que celui-ci, dont les origines remontent au XVIIème siècle. Un endroit emblématique du patrimoine de l’Yonne faisant office de mairie !

C’est là, dans cet univers si caractéristique de l’architecture avec un grand « A » que seront reçus jusqu’à la fin de ce joli mois de mai fleurant bon le printemps une vingtaine d’artistes, membres de l’excellente association, « Les 4’Arts ». Pour les puristes qui s’en souviennent encore, l’ancienne Associations des Amis des Arts de l’Auxerrois. Dont le patronyme s’est transformé en janvier 2018.

C’est cette structure, fédérant de nombreux talents, connus et reconnus dans le sérail culturel régional, qui tiendra la vedette en cet antre historique, qui vaut amplement une visite. Plus que de courtoisie, en vérité, tant les œuvres sont radieuses et procurent ce baume au cœur nécessaire comme un rayon de l’astre diurne, venant égayer notre quotidien.

Peintres, dessinateurs, céramistes : les artistes présentent leurs dernières réalisations, patiemment matinées et travaillées avec leur âme ; témoignages d’une irrésistible passion envers la créativité.

Féru de culture, Maurice PIANON, ancienne figure du Conseil départemental et édile de la localité, se fera un plaisir d’apprécier les œuvres accrochées aux cimaises. Un plaisir qu’il partagera avec les aficionados de belles choses lors d’un vernissage, concocté le 14 mai en fin de matinée.

 

 

En savoir plus :

Exposition Les 4’Arts à l’Orangerie au Château d’Yrouerre

Entrée gratuite, dans le respect des règles sanitaires en vigueur, du samedi 14 au dimanche 29 mai de 14h à 18h.

Vernissage le samedi 14 mai à partir de 11h30.

L'exposition sera visible aux horaires d'ouverture de la mairie en semaine et les après-midis, les week-ends et jours fériés.

 

Thierry BRET

 


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Cinquante secondes. Pas une de plus pour effectuer un maximum de figures acrobatiques. Il faut être à l’unisson et en harmonie avec les autres partenaires. Tout en privilégiant la coordination et la mémorisation des gestes à accomplir. Facile à dire, plus complexe à réaliser surtout lorsque l’équipe se compose de huit parachutistes. Et que l’épreuve se déroule dans une soufflerie !

 

LILLE : De la graine de championne, Manue NICOLS ? Oui, et confirmée avec ça ! Présidente et directrice technique du centre de parachutisme de Saint-Florentin, la sportive icaunaise ne comptabilise plus ses titres de gloire. Ceux obtenus dans les airs à près de quatre mille mètres d’altitude en belle saison. Auxquels s’ajoutent les accessits glanés, çà et là, en indoor lors de challenges compétitifs qui sont concoctés en soufflerie.

Cette fois-ci, cette spécialiste du vol relatif a complété sa collection de médailles et de titres lors des championnats nationaux qui se sont déroulés dans la capitale du Nord, en VR 8, le week-end dernier. Après, un laps de temps très court à accorder à la phase d’entraînement. C’est le lot des esthètes en la matière. Tout est dans la mémoire et l’habitude des mouvements, en quelque sorte.

Pourtant, tout n’était pas forcément bien engagé pour la championne, membre de Paris Jump, le club qui a pris ses aises sur l’aérodrome de Saint-Florentin. La formation accusait dix-sept points de retard sur les leaders au terme de la première journée de compétition. Un gouffre quand on connaît la précision millimétrée et l’exigence requise de la discipline.

 

Une véritable « remontada » malgré un handicap de 17 points de retard…

 

Disputé en dix manches, le concours national réserva de sacrées surprises. Les huit équipes qualifiées présentant des spécialistes en la matière parmi ses compétiteurs dont les filles de l’équipe de France.

Il aura fallu toute l’abnégation, la combativité et les forces mentales nécessaires pour renverser la vapeur. Une véritable « remontada » selon l’expression consacrée !

Au final, Manue NICOLS et les siens firent bien mieux que réagir. Ils finirent en tête sur le fil du rasoir, devançant la seconde formation d’un unique petit point ! Empochant au passage la gloriole et surtout le titre de champion de France de la spécialité.

La sportive de haut vol a reçu les félicitations de Paul (Polo) GRISONI dans les minutes qui suivirent cet exploit. Le manager de Paris Jump, dont le palmarès est impressionnant, s’est dit très satisfait de cette belle performance qui rejaillit sur le parachutisme de l’Yonne.

 

Thierry BRET

 


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