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Et si la vie de chacune et de chacun s’améliorait enfin ? Et si les intérêts du peuple et des salariés devenaient la préoccupation essentielle des responsables politiques en lice pour changer la France de paradigme ? Ce sont deux idées majeures qui auront été prônées durant la campagne par plusieurs forces de gauche dont le Parti Communiste, la Gauche Républicaine et Socialiste (GRS), le Mouvement Républicain et Citoyen (MRC) et les Radicaux de Gauche.

 

AUXERRE : La France des « jours heureux » peut-elle réellement se construire ? A quarante-huit heures du premier tour de scrutin,la réponse est on ne peut plus affirmative auprès des quatre formations politiques qui se reconnaissent derrière le candidat communiste, Fabien ROUSSEL.

Aux côtés du PCF, les représentants de la GRS, du MRC et des Radicaux de Gauche font bloc autour de la grande révélation de cette campagne, Fabien ROUSSEL, qui, même s’il n’est crédité que de quelque 3 % des intentions de vote, aura su trouver sa place dans cette course d’endurance, bénéficiant d’une réelle cote de sympathie y compris auprès d’électeurs de droite !

Un communiste qui pourrait bien faire la nique à la représentante officielle du Parti Socialiste si l’on en croit la plupart des sondages, en la devançant au soir du dimanche 10 avril !

 

 

D’ailleurs, le secrétaire départemental du PCF dans l’Yonne Alain RAYMONT s’en fait l’écho avec la publication de son dernier communiqué de presse, invitant les citoyens de l’Yonne à se rendre aux urnes et à y déposer le précieux bulletin au nom du parlementaire nordiste de 52 ans.

« Voter Fabien ROUSSEL, écrit-il, c’est choisir un projet clair et novateur pour l’avenir de la France, le choix du travail avant le profit, de la hausse des salaires et des retraites, celui de la République laïque et sociale, mais aussi démocratique, écologiste et féministe avec des services publics pour toutes et tous… ».

Un choix qui ne pouvait se conclure sans faire allusion à l’une des thématiques sociétales récurrentes depuis qu’a éclaté la guerre en Ukraine : la souveraineté énergétique, industrielle et alimentaire. Garante de l’indépendance de l’Hexagone. Bref, celle des « jours heureux », en vérité. Alors, le 10 avril, sera-ce le « grand soir » de Fabien ROUSSEL ?

 

Thierry BRET

 

 


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Plateau de premier choix pour l’ultime grand rassemblement des aficionados et militants du Président de la République dans l’Yonne. Un casting de poids fédérant toutes les composantes du collectif unioniste, Ensemble Citoyens, qui se range derrière le bilan et les perspectives incarnés par Emmanuel MACRON, mué en chef de guerre depuis l’invasion russe en Ukraine. Si Jean-Baptiste LEMOYNE a excellé dans un rôle inhabituel, celui de maître de cérémonie d’une soirée suivie par près de 200 personnes, les intérêts convergèrent sur la prestation musclée du ministre de la Santé Olivier VERAN. Le mot d’ordre est simple : bouter hors des urnes les extrêmes !

 

AUXERRE : Ils étaient tous là, ou presque. Affichant de larges sourires, multipliant les accolades (oubliés les gestes barrières trop contraignants !), serrant des poignées de main à n’en plus finir, s’immortalisant par smartphones interposés aux côtés des trois ténors de ce meeting qui fut orchestré dans un esprit bon enfant. Accessibles, détendus, en terrain forcément conquis face à leurs militants et sympathisants, la porte-parole de La République en Marche Maud BREGEON, et les deux membres du gouvernement, Olivier VERAN, ministre des Solidarités et de la Santé, ainsi que le régional de l’étape, Jean-Baptiste LEMOYNE, en charge des Français de l’étranger, du Tourisme, de la Francophonie et des PME/PMI (nouvelle corde à son arc qui ressemble de plus en plus à une harpe !) ont profité de ce bain de foule, presque de jouvence, pour délivrer les ultimes messages forts d’avant le premier tour.

 

 

Rien n’est jamais acquis dans une élection où il faut encore convaincre…

 

Un premier tour qui connaît un resserrement dans les sondages entre les deux favoris de ce scrutin présidentiel. D’un côté, en qualité d’outsider, la cheffe de file du Rassemblement National Marine LE PEN aura bénéficié de l’inéluctable diabolisation accentuée depuis quelques semaines sur les épaules du souverainiste Eric ZEMMOUR pour grimper dans les intentions de vote.

De l’autre côté, au-dessus de la mêlée se trouve Emmanuel MACRON en habit de Président de la République, tout auréolé de ses deux accessits supplémentaires glanés du fait du contexte international : celui de meneur pugnace à la grande cause européenne associé à sa casquette de « chef de guerre » portée depuis le début du conflit à l’est du continent.

Toutefois, rien n’est jamais acquis lors d’une échéance électorale. Le risque d’une abstention massive, créditée à l’heure actuelle sur une oscillation de 20 à 30 % selon certains instituts de sondage, pourrait troubler quelque peu la fête au soir de la prochaine journée dominicale dans le camp des supporters présidentiels.

Entre prudence, vigilance et incitation à se rendre nombreux dans les urnes, les flèches décochées par les trois hauts représentants du macronisme se devaient de faire mouche dans les esprits. D’une part, en désignant nommément les adversaires des extrêmes, de gauche comme de droite, « réels dangers pour la démocratie ». D’autre part, en effectuant le panégyrique d’un Président qui au terme de son quinquennat peut s’enorgueillir de présenter un bilan des plus honorables selon les commentaires avisés des différents participants.

 

Les élus de l’Yonne délivrent leurs bons points à la politique gouvernementale…

 

On l’aura compris : ce rendez-vous ne devait ressembler à aucun autre sur le fond et dans sa forme. Placées au centre de l’espace Vaulabelle, deux tables « mange debout » accueillaient les orateurs. La succession d’interlocuteurs, devrait-on dire. Ces derniers furent invités par un « Monsieur Loyal » peu commun mais en très belle dynamique : Jean-Baptiste LEMOYNE qui jouait les « David PUJADAS » sans prompteur mais avec des questions très ciblées. 

Chacun aura droit ainsi à sa mise en lumière oratoire lors de prises de parole au timing quelque peu disparate (!) mais en délivrant, moyennant ressentis personnels et une multitude d‘exemples concrets, leur soutien inconditionnel au locataire élyséen. 

Parmi les intervenants, citons pêle-mêle du côté féminin (galanterie oblige, la sénatrice Marie EVRARD, la députée Michèle CROUZET, la conseillère régionale Muriel VERGES-CAULLET, la conseillère départementale Irène EULRIET…), et du côté de la gent masculine, le président départemental du MoDem, Pascal HENRIAT, Jean-Philippe SAULNIER-ARRIGHI, président d’AGIR La Droite Constructive, les conseillers départementaux Yves VECTEN, Cédric CLECH, le maire de Seignelay Thierry CORNIOT, l’élu de Massangis Xavier COURTOIS, le président de l’AMF 89 Mahfoud AOMAR, etc.

Même l’inamovible ancien coach de l’AJ Auxerre, Guy ROUX, pour tous les amoureux du ballon rond hexagonal y alla aussi de sa petite causerie, ôtant le masque protecteur lui occultant la moitié du visage le temps de ses propos ! Un soutien très net de l’emblématique ambassadeur sportif de l’Yonne envers Emmanuel MACRON qui ramena Olivier VERAN à quelques souvenirs personnels (et footballistiques !) vécues en sa compagnie jadis.

 

 

La séquence ludique proposée par Maud BREGEON !

 

Vint le moment où la porte-parole de La République en Marche Maud BREGEON s’amusa à une parodie de jeu avec le public afin de déterminer si les mesures prises par le chef de l’Etat et son gouvernement se situaient plutôt à gauche ou à droite, voire au centre, tout bonnement au cours de ces cinq dernières années. Une récréation qui plut beaucoup au public, plutôt participatif dans l’épreuve.

Jusqu’au moment où l’interlocutrice asséna la phrase mémorielle de la soirée : « Emmanuel MACRON ne regarde pas à gauche, il ne regarde pas à droite mais en fait il a toujours regardé tout droit ! ». Pas de strabisme politique, donc !

Puis, reprenant sa démonstration dans un silence approbateur, « il vaut mieux une bonne mesure de droite qu’une mauvaise mesure de gauche et inversement… ». Un résumé, en somme, de la stratégie du chef de l’Etat qui se fit applaudir de longues minutes par une assistance convaincue par les propos de la jeune femme.     

Prudente, Maud BREGEON rappela, se retournant vers Guy ROUX, que « jusqu’à la dernière minute, rien n’est jamais joué dans une rencontre de football ».

L’oratrice souligna qu’il ne fallait pas se laisser endormir ni par les sondages ni par les médias (tiens, tiens !).  

 

 

Faire que le réveil ne soit pas douloureux pour la France le 25 avril…

 

Durant douze minutes, c’est un Olivier VERAN détendu qui prit la parole, présentant les grandes lignes de son bilan avec sa casquette ministérielle avant de l’enlever symboliquement pour affirmer son rôle de militant afin de mieux défendre le programme porté par le candidat Emmanuel MACRON.

Il parlera de la solidarité à la source (des prestations sociales auxquelles certains Français ont droit et qui vont être fusionnées en une seule ligne budgétaire, qu’elles seront données au bon moment aux personnes sans que ces dernières soient dans l’obligation de les demander…), de la simplification administrative, de centaines d’emplois qui vont être créés sur cet item, ainsi que de la lutte contre la fraude.    

Puis, se recentrant sur le scrutin, Olivier VERAN insista sur le fait que « ce ne seront pas les candidatures des Républicains, du Parti Socialiste et des Verts qui représenteront une sérieuse menace pouvant entraver la victoire des Marcheurs ». Une analyse peut-être influencée par la teneur des sondages. Mais, en revanche, les adversaires qui sont clairement identifiés sont les partis des extrêmes. De gauche comme de droite et qui possèdent à ses yeux, une multitude de points communs. Citant les « connivences troubles » avec la Russie de POUTINE, un « rapport à la République et à la démocratie extrêmement douteux », incitateurs à la violence sociale.

« Marine LE PEN se présente comme la candidate du pouvoir d’achat, affirma avec un zeste d’ironie le ministre-militant, c’est de son pouvoir d’achat dont elle parle puisqu’elle perçoit 5 000 euros par mois pour un parti qu’elle ne préside pas, 5 000 euros par mois pour un rôle au parlement dans lequel elle ne siège pas, et elle pérore en nous expliquant que nous ne faisons rien pour les pauvres et les précaires ! ».

Avant de conclure, l’air grave, par la phrase prophétique : « on ne peut pas se réveiller le 25 avril au matin avec le visage d’une France repliée sur elle-même, une France qui prône la haine et le « grand remplacement » ».

 

Thierry BRET

 

 


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Pour certains, comme Michel ONFRAY, le vainqueur de l’élection présidentielle sera obligatoirement « Maastrichtien ». Cette position exclut de facto Marine LE PEN et Eric ZEMMOUR. Pour l’égérie du RN, c’est plus flou. Elle est comme Emmanuel MACRON pour l’espace Schengen, pour l’euro, pour l’Europe, même si elle souhaite revoir les contours… En résumé dans cette configuration, les sondages donnent torts à notre philosophe. Quelles promesses dans les déclarations des candidats à la présidentielle ?

 

TRIBUNE : On ne le répétera jamais assez, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Comme dans l’enfer, on peut lire une litanie de bonnes intentions.

Tous veulent une France hégémonique, leader en Europe et dans le monde, pour certains redonner le pouvoir au peuple, défendre la ruralité, rétablir la sécurité, lutter contre les discriminations,… on pourrait poursuivre à l’infini les promesses de nos candidats. Les plus cohérents restent, Philippe POUTOU, Fabien ROUSSEL et Nathalie ARTHAUD : ils nous proposent le « grand soir » et la fin du capitalisme, rien de moins !

 

Quelles sont les erreurs de nos candidats ?

 

D’abord juste la forme : sans doute très mal conseillé par quelque McKinsey, notre candidat de Président commet deux erreurs dans sa présentation. Il écrit en gros sur une photo peu convaincante, « Nous tous », traduire : « Personne ». Le plus grave, le début de chaque paragraphe débute par : « en me faisant confiance ». C’est le B-A BA dans les écoles de commerce : tout appel à la confiance est traduit immédiatement par « méfiance » !

Bref, sur le fond tous les thèmes ou presque, sont survolés en pure démagogie mais sur les préoccupations les plus importantes, quoi de neuf ? Quelle créativité ? Quel facteur clé de succès ?

Mesdames, Messieurs les candidats demain matin vous faites quoi pour améliorer le sort des français et de la France ? Quelles actions immédiates et prioritaires ? Le régalien est effleuré et nous allons vers des lendemains qui fâchent. Les pleurs et grincements de dents sont inévitables quel que soit le vainqueur. Nous sommes dans l’immédiateté et les citoyens souhaitent que l’on s’intéresse à eux au-delà même des enjeux politiques, des idéologies anti droite et anti gauche !

 

 

De grandes absences parmi les programmes…

 

La cause animale : des catalogues truffés de « y’a » « qu’a » « faut qu’on ». La lecture des propositions est édifiante : modérer, interdire, organiser des rencontres, lutter, alourdir… La palme revient au candidat Emmanuel MACRON (décidément !) qui, pour la cause animale ne propose qu’une seule action : « mieux assurer le recueil des animaux de compagnie abandonnés »…

Demain matin, vous faites quoi pour la cause animale ?

Du côté des handicapés, le handicap n'a pas trouvé sa place dans la campagne, au-delà d'une polémique sur l'inclusion des élèves handicapés. Dans les programmes officiels, les propositions des candidats sont plutôt floues. Dans leur majorité ils proposent une société plus inclusive, la création d’un service public ou un ministère intégrant le handicap. On reste vague, on noie le poisson et nos politiques ignorent, quand ça les arrange, les minorités… Bon, mais demain matin, vous faites quoi pour les handicapés ?

 

 

La tarte à la crème de cette élection : l’écologie dans toute sa splendeur !

 

Le dossier de la famille à présent. Éric ZEMMOUR et Nicolas DUPONT-AIGNAN veulent rétablir l'universalité des allocations, sans conditions de revenus. Valérie PECRESSE désire, quant à elle, instaurer une allocation de 900 euros par an dès le premier enfant. Éric ZEMMOUR souhaite favoriser les familles en milieu rural avec une bourse de naissance de 10 000 euros, attribuée aux familles françaises. Jean-Luc MELENCHON veut revaloriser l'allocation des familles monoparentales et Emmanuel MACRON veut l'augmenter de 50 %. Marine LE PEN propose de la doubler, seulement pour les familles françaises. Anne HIDALGO, Yannick JADOT et Fabien ROUSSEL  souhaitent, quant à eux, augmenter la durée du congé parental et créer un congé paternité, afin de réduire les inégalités hommes-femmes. La baisse de la natalité en France questionne les politiques en campagne. Du saupoudrage, du clivage, de la démagogie, du « wokisme », de l’électoralisme, encore et toujours des intentions plus idéologiques qu’engageantes. Bon et demain matin on fait quoi pour anticiper la dénatalité en France ?

Quant à l’écologie, c’est véritablement la « tarte à la crème » des élections et le reflet des positions très clivantes au niveau national. Les français, surtout les jeunes, sont très sensibles à l’écologie, priorisent souvent l’écologie mais détestent de plus en plus les « écolos ».

A part les « Verts », tout le monde veut relancer la construction des centrales nucléaires, y compris le locataire de l’Elysée. Quelles anticipations pour permettre aux voitures des particuliers, aux véhicules professionnels (taxis, personnels soignants, artisans…)  de recharger les voitures électriques ?

Les « Verts » en Allemagne participent au gouvernement et peuvent donc agir, voire peser sur la politique énergétique. Là où les Verts d’outre-Rhin voient de la  participation active ; nos « Verts » français soulignent des compromis inacceptables. Le parti écologique français, ou plutôt l’égologie aura du mal à se remettre de ces élections.

Au final, il n’y a pas grand-chose de neuf dans ces élections. Les candidats sont les mêmes que la précédente édition de 2017 à l’exception d’Eric ZEMMOUR. Quant  aux propositions, elles demeurent sur le même mode démagogique, sur la non-prise en compte de nos préoccupations… !

Alors ? Dimanche matin sera l’heure du choix ! « Bon choix Madame, bon choix Monsieur ! » comme le disait si bien le regretté GISCARD…

 

Jean-Paul ALLOU

 

 

 


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Serait-ce la résurgence de souvenirs sportifs, issus de sa jeunesse lorsqu’il se destinait à un cursus de sport étude, dans sa discipline de prédilection, à savoir le football ? Où est-ce le tempérament bien construit de ce personnage affable et communicatif de vouloir faire évoluer les lignes en y apportant son savoir-faire, ses expériences et ses envies ? Toujours est-il que le nouveau préfet de l’Yonne a d’ores et déjà affiché ses intentions dès sa prise de parole initiale avec la presse. Celles de rendre encore plus attractive l’Yonne à travers ses atouts. En éradiquant tous les obstacles !

 

AUXERRE : Sportif dans l’âme, c’est en compétiteur de l’attractivité du territoire et en soutien inconditionnel à l’économie que s’est présenté le successeur d’Henri PREVOST lors de sa première prise de contact formelle avec la presse, mardi en fin de matinée. Accueillant avec cordialité et sens de la communication parfaitement bien huilé les représentants médiatiques du département, Pascal JAN s’est offert un exercice oratoire d’une trentaine de minutes façon « livre ouvert » dans son vaste bureau, la tasse de café à la main. Balayant les uns après les autres les grands dossiers sur lesquels il devra très vite plancher une fois le temps d’installation passé.

Un entretien prolixe où le haut fonctionnaire aura pu narrer en le résumant son parcours éclectique et riche qui devait conduire ce natif de Tours successivement à Bordeaux (notamment à Sciences Po où il officia es qualité de professeur agrégé des universités en droit public) et à Fort-de-France, où il fut encore il y a peu le recteur de la région académique de la Martinique.

 

 

Un premier poste au sein de la préfectorale pour ce quinquagénaire à l’allure sportive…

 

Troquant la touffeur humide de l’île exotique pour des températures printanières nettement moins clémentes en Bourgogne, ce sagittaire, ayant convolé en justes noces et père de trois enfants, est arrivé depuis quelques jours à Auxerre, découvrant ainsi son premier poste au sein de la préfectorale. Une prometteuse promotion pour ce quinquagénaire (il est âgé de 54 ans) à l’allure svelte et sportive, féru du ballon rond et désolé de voir se morfondre dans les limbes de la Ligue 1, des Girondins de Bordeaux (l’un de ses clubs fétiches) aux portes de la division inférieure. Sans doute, se consolera-t-il très vite avec la possible accession de l’AJ Auxerre parmi l’élite ?

Naturellement, ce n’est pas de football ni des plaisirs gourmands que cet épicurien aura à cœur de découvrir au détour de ses nombreuses pérégrinations durant ces deux prochaines années de présence en terre icaunaise dont il fut question !

Répondant aux interrogations de la palette journalistique qui se présentait à lui, Pascal JAN aura abordé avec franchise et en nourrissant ses propos de ressentis personnels inhérents à sa nouvelle fonction un panel de sujets qui fait le lit de l’actualité icaunaise habituelle.

 

 

« L’Yonne n’a pas de faiblesses, elle subit seulement des contraintes qu’il faut éradiquer… »…

 

Des difficultés quotidiennes des milieux agri/viticoles aux problématiques de la sous-traitance industrielle (le volet automobile) avec l’emploi, de la sécurité routière (vaste fléau que celui-ci dans l’Yonne, territoire remportant le pompon de l’accidentologie au plan hexagonal) à la présence des forces de l’ordre au plus près des concitoyens, rien ne manquera in fine dans cet inventaire à la Prévert des missions régaliennes qui incombent au représentant de l’Etat.

D’ailleurs, lorsqu’on lui pose la question d’identifier les « forces et les faiblesses » de l’Yonne, en matière d’attractivité, Pascal JAN répond péremptoire que le terme de « faiblesse » n’est pas du tout adapté à la réalité de ce département. « Disons qu’il existe des contraintes extérieures dont il faudra tout mettre en œuvre pour les supprimer… ».

Un positionnement combattif et impliqué pour le nouveau venu qui défend déjà bec et ongles les atouts du territoire le plus septentrional de la Bourgogne, du fait de sa ruralité et de sa proximité avec l’Ile-de-France limitrophe. Déjà un bon point dans sa besace et une attitude ambitieuse qui devrait plaire aux milieux économiques du sérail.

 

 

Les milieux agri/viticoles, cibles de ses premières visites sur le terrain…

 

Car, de l’appétence à l’économie, il en aura été beaucoup question durant ces courtes trente minutes de conversation où Pascal JAN déflora la feuille de route de ses futures actions sans trop en détailler la substantifique moelle. Une manière goûteuse de mettre les médias en appétit et d’attendre avec impatience les premières apparitions du haut fonctionnaire sur le terrain.

Ses primes visites seront justement destinées au monde agricole d’ici la fin de la semaine. D’autant qu’un épisode gélif d’importance a occasionné de sérieux dégâts tant dans l’arboriculture que chez les vignerons.

Ayant bénéficié lui-même d’une expérience d’élu municipal dans une vie antérieure – entre 2008 et 2014 en Gironde sur la localité de Saint-Morillon – le nouveau préfet ne pourra rencontrer pour l’heure les personnalités de la sphère politique, devant respecter le principe de réserve imputable à la présidentielle.

Poursuivant sur la continuité de ses prédécesseurs, Pascal JAN semble posséder la sagesse analytique et induite des représentants de l’Education Nationale à laquelle il a appartenu durant tant d’années. Son trop court vécu de footballeur étudiant lui a sans aucun doute conféré aussi cette insatiable volonté de bien faire, de se projeter en avant, droit au but même s’il portait jadis le maillot d’arrière gauche.

Un volontarisme qui pourrait peut-être l’aider à « tacler » toutes les aspérités et les freins qui peuvent ralentir l’attractivité économique de notre département…

 

Thierry BRET

 

 


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Ils en ont voulu. Ils ont bossé. Parfois à la limite du doute. En connaissant les affres du trac qui étrangle la parole, face à un jury. Un exercice oratoire qui n’est jamais facile à appréhender. Mais, in fine, l’objectif est atteint. L’obtention du diplôme de REAB. Traduction littérale : « Responsable de l’Entreprise Artisanale du Bâtiment ». Un titre qui au-delà de la gloriole personnelle (« ils l’ont fait ! ») accompagne les ambitions de ces jeunes entrepreneurs du bâtiment…

 

AUXERRE : C’est la pleine maîtrise de soi, au plan managérial, lorsque l’on peut s’enorgueillir de posséder dans sa besace personnelle le diplôme correspondant à cette formation. Le « REAB » : un précieux sésame que tout chef d’entreprise du bâtiment tente de conquérir après moult difficultés car l’exercice n’est guère aisé à appréhender. On l’aura encore constaté, ce 05 avril au siège de la CAPEB de l’Yonne, où trois récipiendaires du fameux trophée ont reçu leur titre distinctif.

Un peu timide, ces trois gaillards ! Ils masquent sans doute leur émotion. D’autant que l’un d’entre eux, Benjamin ASSIMON, plombier chauffagiste de son état, est accompagné de ses parents. Logique : il a repris la société familiale. Donc, au-delà des mots de félicitation qui lui sont adressés par Eric GUYOU, le futur successeur de Jean-Pierre RICHARD, inamovible président de la CAPEB excusé pour la circonstance, c’est un sentiment de fierté qui brille dans le regard du jeune homme.

Les parents savourent. Cela crépite de photos afin d’immortaliser l’instant…

Son voisin de gauche, René MAGOTOE, électricien de base mais touche-à-tout expérimenté en climatisation et en…plomberie car il s’aventure vers le large éclectisme potentiel des métiers de cette corporation, est, quant à lui, nettement plus volubile. Manifestement très heureux de se retrouver là, sans que ce soit vraiment le fruit du hasard.

 

 

« Construire Demain » : le sens pédagogique idéal à ce cursus…

 

Enfin, Dimitri MORIN exerce l’activité de peintre. On dirait, du fait de son apparence juvénile, un jeune étudiant qui vient de toucher le Graal à l’issue de son cursus universitaire sanctionné d’un examen. Se dandinant sur une jambe, puis l’autre. Ce fut parfois très complexe mais il a réussi. Sa gratitude va immédiatement au formateur, Jacky LECURET, de la société Construire Demain, qui a suivi ce trio d’apprenants plusieurs mois durant malgré les soubresauts intempestifs de la crise sanitaire. Jamais facile de transmettre le savoir derrière un écran d’ordinateur !

« Construire Demain » : la noble appellation ! Une structure de formation qui depuis trois décennies déploie à l’aide de ses formateurs chevronnés toute son énergie sur le terrain du bâtiment pour accompagner les gestionnaires de ces TPE/PME et leurs conjoints vers le rendez-vous avec le succès.

 

 

Une maîtrise approfondie de la gestion d’une entreprise…

 

Celui de faire progresser l’outil qui est leur appartenance et dont ils ont pris les rênes de la destinée : leur entreprise. C’est clair : à date, plus de dix mille structures implantées aux quatre coins de l’Hexagone leur ont déjà fait confiance. D’où cette collaboration naturelle avec les services de la CAPEB. C’est ce que devait rappeler Christophe BERTEAU, le coordinateur du syndicat professionnel dans l’Yonne, lors de sa prise de parole, plutôt enjouée.

Une formation utile pour René MAGOTOE qui a la tête de son entité, « Phoenix Conception », a su renaître de ses cendres alors qu’il ne savait pas s’il allait pouvoir surmonter la crise de la COVID et son tombereau d’incertitudes pesant sur son chiffre d’affaires.

Des hommes de l’art, pas forcément spécialistes de la gestion d’une structure professionnelle, voilà ce qu’étaient auparavant les trois lauréats comme devait le stipuler Dimitri MORIN. Chose aujourd’hui révolue grâce à ce « REAB » obtenu en deux ans dont ils en redemanderaient presque une prolongation…

 

Thierry BRET

 

 


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