Découvrez nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
logo-credit-agricole-90x90.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
groupama_small.png
logo-cerfrance-bfc-accueil.png
capeb-logo.png
logo banque populaire bourgogne franche-comté
logo-cm.jpg
logo-edf-site.jpg
ccj-logo-petit-1.jpg
110 Bourgogne
Région Bourgogne France-Comté
Criquet Magazine
Lycée Saint-Joseph de la Salle
mercato de l'emploi yonne bourgogne
Caisse d'épargne Bourgogne Franche-Comté
chambre des métiers et de l'artisanat
Groupe La Poste
Chambre d'Agriculture de l'Yonne

Nos partenaires

bloc-marque-culture-couleur1.jpg
logo-festins-de-bourgogne.jpg
banque_populaire_bfc-long.png
capeb-logo.png
Lycée Saint-Joseph de la Salle
Caisse d'épagne Bourgogne Franche-Comté
cerfrance bfc
Communauté de Communes du Jovinien
Chambre d'Agriculture de l'Yonne
Criquet magazine
logo-edf-site.jpg
logo-cifa-89-auxerre-2020.png
logo-cm.jpg
groupama_medium.png
logo-credit-agricole-90x90.jpg
région Bourgogne Franche-Comté
20211006_lpg_logo_cmjn-616fec3863034.png
mercato de l'emploi yonne bourgogne
chambre des métiers et de l'artisanat
logo-110-bourgogne-ok.png

Warning: Creating default object from empty value in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/components/com_k2/views/itemlist/view.html.php on line 743

Les supputations vont bon train depuis la victoire du club bourguignon,  au terme d’une rencontre étouffante vécue dans le « Chaudron » de Saint-Etienne. Nouveau pensionnaire de Ligue 1, l’AJ Auxerre suscite forcément déjà moult convoitises du côté de son futur effectif. Et pourquoi pas parmi les anciennes gloires ayant déjà fréquenté le club ?

 

AUXERRE : Il a exulté de joie dès le dernier pénalty tiré en vain par un joueur stéphanois. L’ancien international tricolore Djibril CISSE a salué la victoire de son club de cœur – l’AJ Auxerre – sur « Twitter » où il n’a pas caché son émotion. Tant par son message d’une limpidité évidente quant à ses sincères félicitations que par des images joyeuses qu’il devait poster tard dans la nuit. Images qui ont depuis fait le buzz sur les réseaux sociaux.

« Force à ce club qui m’a tout donné ! J’ai tellement d’amour et de reconnaissance pour l’AJA ! Ce club mérite d’évoluer en Ligue 1… ». 

 

Un buteur hors pair aux 167 rencontres en « bleu et blanc »…

 

De là, à y revenir dès l’ouverture du championnat ? C’est ce que laisse entendre, l’une des chaînes sportives de notre paysage cathodique, « BeIn Sports ». Cette dernière a fait savoir que « l’ancien attaquant de l’équipe de France aurait même initié des contacts avec son club formateur… ».

Dans quel but ? Pour rechausser les crampons et effectuer un retour aux sources de sa passion footballistique, après avoir mis un terme à sa prolifique carrière en 2018 ?

Agé aujourd’hui de 40 ans – le garçon aurait encore du potentiel à revendre -, Djibril CISSE a, rappelons-le, disputer 167 rencontres en arborant le fameux maillot « bleu et blanc » au temps de la grande époque, chère à « maître Guy ROUX », faiseur de stars ! Inscrivant au passage la bagatelle de 89 buts au début des années 2000.

Au sommet de sa gloire, le joueur à la barbiche blanche et à la coupe de cheveux impeccablement soignée avait quitté l’Yonne en 2004, s’installant du côté de la Mersey, afin de proposer ses talents chez les « Reds » de Liverpool.

 

« Djibril est prêt à relever le défi ! »…

 

Avec deux participations à son actif à la Coupe du Monde (2002 et 2010) et ses 41 sélections nationales, celui qui a été à maintes reprises consultant sur « RMC Sport » et la chaîne « L’Equipe », envisage-t-il très sérieusement de refouler un jour la pelouse de l’Abbé Deschamps en qualité d’attaquant ?

Selon l’un de ses amis proches qui distille l’information, « Djibril serait prêt mentalement à relever ce défi « fou » ! ».

Cela ferait alors l’effet d’une bombe monumentale dans le paysage footballistique Auxerrois (et hexagonal) si cette information venait à se confirmer dans les jours à venir.

Si le mental – et on n’en doute pas quand on connaît un tant soit peu le truculent personnage - est au plus haut, qu’en est-il exactement du physique ?

D’après lui, « six mois de préparation lui permettraient de retrouver de bonnes sensations… ». De quoi lui donner de l’allant, à l’approche de la surface de réparation où sa présence était redoutée des défenseurs adverses autrefois ?

Du côté des fans historiques du garçon –ils sont toujours légion -,  on se prend à rêver et potentiellement à y croire.

Certains aimeraient que le come-back de l’ancienne perle offensive de l’AJ Auxerre, habituée aux joutes de haute volée durant sa longue carrière, se confirme sur les bords de l’Yonne.

Souvenons-nous, il y a deux ans en arrière, avant que Jean-Marc FURLAN ne reprenne à son compte le coaching de l’équipe professionnelle pour l’amener sur un piédestal, de pareilles informations avaient déjà circulé sur les réseaux sociaux. Vaines et infructueuses, évidemment.

Là, visiblement, le sportif imagine vraiment être capable d’effectuer un retour tonitruant et historique à l’AJA. Pourquoi pas ?!

Alors, laissons le rêve prendre corps et devenir peut-être une réalité palpable…Sans que cela soit un premier avril !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

La souffrance avant l’exaltation ! Que cette rencontre sportive fut compliquée pour l’inénarrable ancien coach de l’AJ Auxerre ! Guy ROUX en aura donc vu de toutes les couleurs lors de ce match de barrage, offrant l’accès parmi l’élite au club bourguignon. Hypothéquant leurs chances en prenant un but avant le terme du temps réglementaire, les Auxerrois ont eu raison in fine des Verts lors de la séance des pénaltys. Redonnant le sourire à l’ami Guy !

 

BILLET :

 

Lundi

 

Présent hier sur les quais de l’Yonne, à l’occasion de « Fleurs de Vigne », la figure charismatique de l’AJA qu’est Guy ROUX a bien sûr été interpellée sur la désignation la veille au soir, de l’AS Saint-Etienne, comme ultime adversaire dans la course des Auxerrois pour une montée en Ligue 1. Fidèle à son image de paysan madré, le vieux lion de l’Abbé Deschamps a fait preuve de prudence, confessant qu’il aurait préféré tomber sur le Football Club de Metz plutôt que sur les Verts de Geoffroy-Guichard, pour tenter de décrocher le sésame qui ouvrirait les portes de la première division à son équipe fétiche, dix ans après sa relégation en Ligue 2. Avant de rajouter dans un sourire que « soixante mille places en trois matchs, c’est du jamais vu… ». Si l’heure de la retraite a sonné, l’homme est semble-t-il resté fidèle à son image « bankable » de comptable des deniers de l’AJA. « Faut pas gâcher… ! »    

 

 

Mardi

 

Autre figure auxerroise présente ce dimanche à l’heure des intronisations, le député Guillaume LARRIVÉ qui, contrairement à ce que pourrait laisser imaginer cette photo, n’est pas décidé à lever les mains et se rendre à ses adversaires en lice pour lui ravir son siège au Palais Bourbon. En fait, il était à la manœuvre pour lancer un ban bourguignon ! Profitant néanmoins de l’estrade qui lui était offerte pour s’adresser au préfet Pascal JAN et lancer un appel : « Monsieur le préfet, vous êtes désormais dans un département qui aime l’Etat et qui souvent d’ailleurs, a élu des hauts fonctionnaires à la députation. C’est une habitude qui peut, le cas échéant, se reproduire… ». Pas de doute, la campagne bat son plein !

 

 

Mercredi

 

La tuerie d’hier à Ulvade, petite ville du Texas, était la 27ème fusillade en milieu scolaire, enregistrée depuis le début de l’année aux Etats-Unis. En moins de six mois, 17 196 personnes sont mortes à cause d’une arme à feu soit le chiffre terrifiant de 119 victimes par jour. Ce pays où l’on apprend le maniement des armes à des gamins de cinq ans est devenu fou, ivre de ses peurs et de ses certitudes. Un pays devenu sourd et qui n’entend pas le cri des corps suppliciés de 19 enfants et deux adultes, déchiquetés par les balles d’un semi-automatique AR-15, l’arme la plus répandue dans le pays, que toute personne majeure peut se procurer pour la somme modique de 400 dollars ! Que pèsent toutes ces victimes, face à la puissante National Rifle Association of America (NRA), l'influente association pour le port d'armes à feu aux Etats-Unis, aux 5 millions d’adhérents et au budget annuel de 400 millions de dollars, faiseur de rois et de présidents ? L’un d’entre eux d’ailleurs était l’invité de leur forum annuel au lendemain de la tuerie. Par mesure de précaution, les services secrets ayant pour mission de protéger l’ancien président Donald TRUMP, ont demandé que les invités viennent sans armes… On n’est jamais assez prudent !

 

Jeudi

 

Un nouveau pôle consacré aux affaires non élucidées, les « cold cases », a été créé au sein du Tribunal de Nanterre, avec pas moins de six magistrats dédiés et une galerie réservée, pour accueillir la vingtaine d’armoires où entreposer les tonnes d’archives papier consacrées à ces affaires ainsi que les scellés collectés. A ce jour, 107 dossiers y sont répertoriés, dont sept faisant l’objet d’une information judiciaire, parmi lesquels ceux d’Angèle DOMECE et Joanna PARRISH, victimes présumées de Michel FOURNIRET. Dommage que le Palais de Justice à Auxerre ne se soit doté en son temps, d’un tel pôle, cela aurait peut-être évité que ne disparaissent dans le secret de ses couloirs, certains scellés et dossiers liés à Emile LOUIS et à la mort tragique du gendarme Christian JAMBERT, alimentant à jamais les plus folles rumeurs… 

 

 

Vendredi

 

Les élections passent, les affiches demeurent, fragilisées par le temps et laissant libre cours à l’imaginaire au fil de leur dégradation. Comme ce Janus, dieu des commencements et des fins, né de la fusion des visages d’Emmanuel MACRON et d’Éric ZEMMOUR, avec pour Capitole, le Palais de l’Elysée et pour cri de ralliement, « en même temps… » !

 

 

Samedi

 

Et pendant ce temps-là, le géant pétrolier saoudien ARAMCO a vu son bénéfice net grimper de 82 % au premier trimestre 2022, pour un montant avoisinant les 40 milliards de dollars de profits. Amis automobilistes, un petit effort, faisons-lui franchir la barre des 100 % !

 

 

Dimanche


C’est fait ! Auxerre est en Ligue 1 et la fête bat son plein, entachée toutefois par le comportement au stade Geoffroy-Guichard de « brutosaures » au doux nom de supporters, à peine la série de tirs au but terminée. Un match qui, coïncidence du calendrier, s’est déroulé 37 ans jours pour jour, après celui opposant la Juventus de Turin et Liverpool, en finale des Clubs Champions au stade du Heysel à Bruxelles. Score final : 1 à 0 pour la Juve, grâce à un pénalty de Michel PLATINI et 39 morts au compteur, suite à l’explosion de violence et de haine dans les tribunes, entre les aficionados des deux équipes. On dit souvent que l’histoire n’est qu’un éternel recommencement, ce qui s’est passé ce soir à Saint-Etienne en est la preuve, sans faire de victimes heureusement… Mais, jusqu’à quand ?

 

Dominique BERNERD

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Lundi 30 mai, au matin, « the place to be » : c’était Auxerre ! Même « Miss Grenouille », au comptoir, s’est régalée en lisant la « une » de la presse régionale, relatant les exploits des footballeurs de l’AJA ! Bravo aux jeunes sportifs pour cette  réussite, qui dépasse largement  le cadre footballistique, et fait du bien à l'Yonne, tout simplement.

 

AUXERRE : On peut penser que désormais, il faut arrêter de regarder dans le rétroviseur de la Peugeot 505 ou celui de la  Renault 30 GTL, en ressassant les gloires passées (Cantona, Blanc, Boli, Roux et les autres…) et se concentrer plutôt sur le pare-brise de cette future saison à venir avec Furlan, Léon le formidable, Touré, Hein et les autres. Car l'avenir de l'AJA, c'est à eux seuls qu'il appartient désormais !

Quittons  le banc de touche, pour ce comptoir plus familier, car, ce matin-là, on ne parle que de ça, et c'est tant mieux finalement. Tels des verres auxerrois,  le bleu et le blanc s'entrechoquent de la plus belle des manières.

 

 

Une belle enseigne à découvrir, tenue par Nadia et Gaëtan…


Il faut un certain courage pour quitter la tenue d'une pizzeria à succès, aux marges financières confortables, et retrouver l'essence même de son noble métier de cuisinier. C'est cela qui a conduit Gaëtan et Nadia, son épouse, dans ce bel angle de rue, non loin d'une école maternelle d'antan. « A la Maison », comme l'indique la belle enseigne, c'est un restaurant. Mais aussi leur lieu de vie tout simplement. Sitôt la grille franchie, un sentiment d'élégance certaine nous envahit, dont on ne se départira qu'en quittant les lieux : le jardin, la salle, son confort et sa discrète isolation phonique au plafond.

Tout y est à l'unisson. De nos jours, pour pareille réalisation, il faut passer sous les arcanes de normes ubuesques de plus en plus contraignantes. Beaucoup d'énergie - trop peut-être - est dispensée pour ce faire.

Mais, reconnaissons-le : le résultat est à la hauteur des espoirs engagés. Quel joli endroit. La clientèle ne s'y trompe  pas, et ce jour-là, des restaurateurs locaux, ainsi que d’anciens édiles cohabitent paisiblement par fourchette interposée.

 

 

Des toasts au lieu de gougères, cela change !

 

A l'apéritif, des toasts qui changent avec la sempiternelle gougère, bonne pioche ! En entrée, l'œuf est impeccablement poché, velouté d'asperges vertes et de noisettes torréfiées : cela fait un fort bon plat. Le jaune pimpant se mêle à la verdeur prononcée de l'asperge. C'est frais et de saison. Le jambon ibérique  - c'est la mode, mais je le clame d’autant qu’en France, aussi, nous avons d'excellents jambons (le porc noir de Bigorre, l’Ibaïama....) - est ici découpé finement par la « Rolls » des trancheuses : une « Wismer », la préférée de sieur Philippe BULANT, patron de l'entrepôt « Métro », sis à Monéteau ! Un jeune serveur, affable et souriant, s'affaire alors à nous débarrasser.

 

 

Des plats équilibrés et structurés, à la saveur certaine…

 

Les plats arrivent alors. Pour votre serviteur, un suprême de poulet jaune fermier, sauce à l'orange. Une belle assiette, avec là aussi quelques fleurs, heureusement comestibles !  La sauce est bonne, bien équilibrée, même si dans sa globalité, l'assiette paraît manquer, d'un je ne sais trop quoi...Et en dessert, la tarte au citron déstructurée est intéressante, goûteuse et point trop sucrée. 
Avec le café,  une gouttelette de rhum dominicain, je crois, s'interpose avec élégance !  Le rhum, c'est vraiment l'alcool du moment, songeais-je alors, tandis que lorsque j'étais gosse, cet alcool semblait n'être dévolu qu'à la pâtisserie et autres pâtes à crêpes !

 

 

Quiétude et cuisine se donnent rendez-vous…



En traversant le joli jardin où les enfants peuvent jouer tranquillement, pendant que leurs parents prennent l'apéro, chut !..., on se dit en repartant, que voilà une bien jolie table où quiétude et cuisine se donnent rendez-vous. Comme à la maison  en somme ! Mais en ce lundi si particulier, j'allais oublier, encore bravo à l'AJA !


 

En savoir plus :

 

Les - : j'admets volontiers un côté un brin pinailleur, mais je suis certain qu'un plat comme ce suprême de volaille mériterait d'être plus abouti : avec assaisonnement de la viande, que sais-je ? Pas grand-chose, en fait, juste le temps d'y réfléchir, peut-être ?

Les + : la quiétude d'un joli cadre, des chaises confortables, et un agréable moment à table.

 

 

 

Contact

 

Restaurant A la Maison

20, rue Marcellin Berthelot

89000 Auxerre

Téléphone : 03 86 51 00 30

Du jeudi au lundi inclus.

Fermé mardi et mercredi.

Parking facile à proximité. 

 

Gauthier PAJONA

 

 

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Il ne faut pas se fier aux apparences. Parfois en retrait, à la limite de l’effacement dans les réceptions officielles, homme simple mais toujours à l’écoute de l’autre, l’ancien responsable du MEDEF de l’Yonne n’en est pas moins un grand monsieur de l’entrepreneuriat et de la prise d’initiative économique. Une qualité que lui reconnaissent ses pairs. Idem, pour les instances suprêmes du mouvement patronal, et la République. L’insigne de Chevalier de l’Ordre national du Mérite qu’il devait recevoir au printemps ? De la pure logique, en vérité, car le personnage le vaut bien !

 

AUXERRE : Jamais un mot prononcé plus haut qu’un autre. Calme, pondéré – il a pourtant du sang ibérique qui coule dans ses veines ! -, Etienne CANO, un patronyme à inscrire dans le marbre de toutes les mémoires entrepreneuriales, aura été un compagnon de route fidèle à ses principes pour celles et ceux qui l’ont côtoyé de près durant ce long parcours professionnel qui fut le sien. Un garçon affable, généreux, loyal, compréhensif, droit, perfectionniste qui aura pris parti fait et cause durant toute son existence pour le mouvement patronal dont il a défendu les intérêts en y acceptant les mandats, le MEDEF.

Alors que se déroulait ce jour l’assemblée générale du syndicat dans l’Yonne, alors que l’économiste Philippe DESSERTINE tiendra la vedette lors d’une conférence débat passionnante dont il a le secret dans le vaste amphithéâtre de la Maison des Entreprises, lui, Etienne CANO, dégagé de toutes obligations professionnelles, promène toujours sa silhouette sympathique, au gré d’un évènementiel corporatiste, afin de conserver des liens et des contacts avec celles et ceux qui l’ont fréquenté durant toutes ces années.

 

 

Un insigne qui fleurit à la boutonnière…

 

Etienne CANO ? C’est une multitude de talents concentrés sur un même individu. Une mosaïque d’actes engagés au service des entreprises et de l’économie icaunaise. « L’un des nôtres… précise à son effet un Claude VAUCOULOUX, délégué général de l’UIMM et du MEDEF, en le qualifiant. Un sentiment de fierté et d’admiration devant le travail accompli. Un trait significatif pour évoquer ce personnage public tracé à l’unanimité.

L’âme de la Maison de l’Entreprise et du patronat icaunais devait tôt ou tard recevoir une distinction honorifique à sa dimension. Cela a été chose faite il y a quelques temps. Une décoration prestigieuse : l’insigne de Chevalier de l’Ordre National du Mérite qui fleurit désormais à sa boutonnière. Un instant de gloire, trop court pour la postérité pour le vivre pleinement, traduit dans les faits la remise de cet accessit par la vice-présidente du MEDEF, Dominique CARLAC’H, une habituée des déplacements entre Paris et Auxerre, puisque l’ancienne championne de France d’athlétisme (discipline 400 mètres) n’en est plus à une visite de courtoisie (et de sympathie) près avec la représentation patronale agissant dans l’Yonne.

 

 

 

 

Un chef d’orchestre adepte de l’harmonie…

 

Fédérateur, organisateur, chef d’orchestre d’un ensemble symphonique uniquement composé de solistes, Etienne CANO devait recevoir les louanges de celles et ceux qui jouent les premiers rôles au sein de ce Mouvement des Entreprises de France. Logique, en somme, si l’on s’en réfère à l’analyse exprimée par son alter ego dirigeant, Claude VAUCOULOUX : « Etienne CANO a toujours su faire jouer cet orchestre à l’unisson ! ». Contre vents et marées, il va de soi !

Pudique, ne s’inclinant pas volontiers devant les discours flatteurs, l’ancien chef d’entreprise de Saint-Florentin – l’une d’entre elles a d’ailleurs été reprise par l’actuelle présidente du MEDEF de l’Yonne, Emmanuèle BONNEAU -, navigue forcément sur le bonheur. Celui-ci s’est mué en autant de devoirs managériaux accomplis. Ceux qui ont permis de porter hautes les couleurs du syndicalisme patronal dans son rayonnement départemental, voire au-delà. Et sans que le nouvel impétrant à la distinction suprême ne se laisse griser par quelques médailles que ce soit !

 

Thierry BRET

 

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Raisonnable ce nouveau projet qui s’apparente à un véritable défi malgré la conjoncture ? Assurément, il est ambitieux. Surtout, au vu de l’importance des sommes qui seraient injectées ces deux prochaines années pour financer le développement économique de la région Bourgogne Franche-Comté. Par le prisme de la clientèle de particuliers, de prime abord. Mais, aussi, en corollaire logique, en soutenant les initiatives des collectivités et entreprises. Réalisable, donc…

 

DIJON (Côte d’Or) : Jamais le credo de la Caisse d’Epargne (« L’Ami Financier ») n’aura autant été en phase directe avec son actualité ! Surtout avec les nouveaux objectifs que l’établissement bancaire s’est fixé comme challenge prioritaire à horizon 2024. C’est simple, parmi ses grandes résolutions de l’exercice en cours – on peut communément appeler cela son plan stratégique de développement – la banque qui veut « vous être utile » au quotidien s’engage à introduire dans les rouages financiers de notre territoire régional la coquette somme de dix milliards d’euros d’ici 2024. Rien que cela, excusez du peu !

Une manne qui n’a rien de providentielle, c’est une évidence, puisque la solidité financière de la maison « Ecureuil (pour tous les nostalgiques du Livret A !), n’est plus à démontrer. Or, partant de ce postulat basique, la direction bicéphale de la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté entend bien alimenter les circuits de l’économie avec cet argent qui ne peut être qu’utile au développement du territoire. En filigrane, le nôtre !

 

3 milliards d’euros de crédits octroyés sur la seule année 2021…

 

Se voulant pédagogue, lors de sa prise de parole explicative en conférence de presse, le président du directoire Jérôme BALLET a rappelé à quoi servaient exactement les fonds propres de son établissement.

« Si nous sommes solides financièrement, cela nous permet ensuite de proposer des crédits à la consommation, des crédits immobiliers, mais aussi des prêts aux collectivités et aux professionnels… ».

Simple comme bonjour dans le lexique financier et cela pourrait se résumer ainsi pour les néophytes des sabirs parfois complexes de l’univers bancaire : « pas de fonds propres, pas de crédits ! ».

Conséquence, prenons l’exemple de 2021. Ce sont ainsi trois milliards d’euros de crédits qui ont été octroyés en Bourgogne Franche-Comté, sur tous les segments du spectre clientèle de la banque. Une très belle performance à mettre à l’actif des collaborateurs du groupe malgré une période en demi-teinte, en proie à la crise sanitaire la plus grave depuis des lustres.

 

 

Un « défi 2024 » majeur pour la direction de l’établissement…

 

L’avenir, quant à lui, ne repose  que sur un seul et unique chiffre. Traduisant les réelles ambitions de ce poids lourd de l’investissement régional. Dix milliards d’euros. Une enveloppe mirifique au vu de son montant, qui sera distribuée entre 2022 et 2024, sous la forme de crédits aux multiples orientations. Cibles privilégiées : les familles, les associations, les collectivités, les entreprises. Bref, vous et moi, Mesdames, Messieurs, citoyens de la Bourgogne Franche-Comté !

Autre cœur de cible, visé par ce défi qualifié de « responsable » par ses instigateurs : les jeunes. Sans doute dans la logique des choses, leur employabilité n’est pas très loin des préoccupations premières des deux dirigeants que sont Jérôme BALLET et le président du Conseil d’Orientation et de Surveillance (COS), Eric FOUGERE.

Somme toute, afin de pouvoir bénéficier de cette manne royale qui va optimiser le développement commercial de la Caisse d’Epargne BFC ainsi que ses recrutements dans les huit départements où elle est influente, particuliers et professionnels vont affûter leurs projets en se rapprochant de leurs conseillers commerciaux en espérant décrocher la timbale « magique », celle de l’obtention des crédits, chose qui n’est pas toujours aussi évidente qu’il n’y paraît malgré les bonnes intentions des prêteurs.

Mais que les prétendants à ces crédits se rassurent en lisant ces quelques chiffres positifs ponctuant l’exercice 2021 : la Caisse d’Epargne BFC a atteint 8 milliards d’euros en encours de crédit l’an passé ; accordant aussi 550 millions d’euros aux entreprises et clients professionnels.  

Donc, tout est possible : à vos dossiers de demande de prêts !

 

Thierry BRET

 


Warning: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable in /homepages/25/d688666115/htdocs/presse-evasion-2017-07/templates/ts_news247/html/com_k2/templates/default/tag.php on line 99

Articles

Bannière droite accueil