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L’une des figures de proue de la compagnie « Drôles de Drames », le comédien et professeur de théâtre Michaël GONNET, renoue ce samedi 06 février avec la pédagogie artistique en présentiel aux côtés d’enfants et d’adolescents. Avant de retrouver les adultes un peu plus tard, l’artiste entame une série de cours consacrés à la maîtrise de l’improvisation théâtrale…

SAINT-BRIS-LE-VINEUX : Une lueur d’espoir dans cet univers glauque et de grisaille où la vie culturelle n’a plus voix au chapitre depuis plusieurs mois. C’est le comédien Michaël GONNET qui nous offre cette belle bulle d’oxygène salvatrice. Avec son retour en présentiel qui sera acté ce samedi 06 février dans une salle de l’Yonne.

Certes, il ne s’agit pas encore d’une présence physique sur les planches face au public. Bien que l’artiste répète inlassablement avec son compère de la Compagnie « Drôles de Drames » Sylvain LUQUIN une adaptation dont le titre est déjà croustillant juste à l’énoncé : « Du pain, plein les poches ».

La moitié de « Drôles de Drames » endossera cependant une toute autre vêture ce samedi dans la localité de la périphérie méridionale d’Auxerre. Celle de pédagogue.

C’est en effet en qualité de professeur que Michaël GONNET donnera son premier cours d’improvisation aux enfants et adolescents dans le cadre de son atelier théâtre. Des séances qui se veulent instructives et qui seront déclinées gracieusement tout au long de février avec le concours de la municipalité.

Toujours en quête de lieux pour accueillir leur future création présentée au public dès que le contexte sanitaire le permettra, les deux chevilles ouvrières de la Compagnie « Drôles de Drames » entrevoient le futur avec un projet de résidence dans les tuyaux. Mais, pour l’heure, il leur faut encore s’armer de patience…

 

 

En savoir plus :

 

Atelier théâtre et improvisation de Michaël GONNET 

Les cours sont programmés tous les samedis, de 10 h à 12 h pour les enfants et de 14 h à 16 h pour les adolescents.

Pour plus de renseignements : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou 06 62 27 30 41.

 

Thierry BRET et Maryline GANDON

 


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La ville de Sens célèbre d’ores et déjà les prochains Jeux Olympiques d’été de Paris. Ceux-ci se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024. De nombreux projets pédagogiques ont été proposés aux écoles élémentaires dont un marathon coopératif de 42,195 km par classe. Un défi relevé avec succès, notamment à l’école des Champs d’Aloup…

SENS : Ce jeudi 04 février, vingt-deux élèves de CM2 de l’école primaire des Champs d’Aloup foulaient la piste de course de l’établissement, sous l’œil avisé de Stéphane POUZET, l’un des trois éducateurs sportifs de la ville. Athlète confirmé, il est également membre du club de course à pied nature « Sens Route Trail ». « J’adore courir à la montagne. Je n’aime pas le bitume » confiait-il en aparté.

Ce marathon coopératif était organisé dans le cadre de la Semaine olympique par les services des Sports et de l’Enfance, labellisée « Terre de Jeux 2024 ». Toutes les écoles élémentaires de la commune participaient à ce challenge, soit 89 classes et 1 773 enfants. On notait également la présence de l’institut médico-éducatif Sainte-Béate et l’école multisports. Un total à parcourir de 2 024 kilomètres.

Les élèves sénonais sont excellents dans ce domaine, a priori, puisque la distance parcourue à ce jour est de 3 100 kilomètres !

 

Les élus et les équipes pédagogiques ont œuvré malgré un contexte difficile…

 

Romain CROCCO, l’adjoint en charge des sports, effectue un véritable pèlerinage en ce moment. Dernièrement le stand de tir de sa jeunesse, aujourd’hui l’école de son enfance !

Quoi qu’il en soit, l’élu ne perdait pas de vue l’objectif de la municipalité, double, en l’occurrence : « Joindre l’utile à l’agréable ». Cet évènement aura permis à la ville de s’inscrire dans des actions sportives, « salutaires à l’époque où on vit, qui est anxiogène, compliquée ». Le but est également de démontrer que le sport est, pour la ville de Sens, « un vrai enjeu ».

Depuis une semaine, les enseignants et leurs élèves réalisent un travail culturel et historique sur l’olympisme : ses valeurs, la flamme, etc. D’un point de vue sportif, la préparation au marathon dure depuis trois à quatre semaines selon les classes. Certaines se sont entrainées seules avec leur professeur.

« Tout le monde ne s’est pas préparé de la même manière » remarque d’ailleurs Stéphane POUZET. « Et ça se ressent un peu au niveau de l’effort. Certains le gèrent bien et sont réguliers. A contrario, il y en a qui font un peu de l’intermittence et qui courent beaucoup, qui courent vite et marchent… ».

Il faut dire que la mise en place de ce projet s’est avérée complexe à cause des mesures gouvernementales liée à l’épidémie, notamment sur l’obtention des autorisations. En fin de compte, il a pu être mené à bien avec le concours énergique des enseignants.

« On est quand même content, ça a quand même bien pris » ajoute Philippe SENECHAL, responsable du service des sports. « C’est vrai qu’il y a eu peu de temps pour parler du projet, pour le préparer à l’avance ».

 

 

Les élèves de CM2 relèvent le défi du marathon avec brio…

 

En temps normal, bon nombre d’enfants rechignent plutôt à réaliser cet exercice. Mais vues les conditions, notamment des restrictions au niveau des activités sportives, les élèves s’en sont donné à cœur joie.

Fatigué mais satisfait, le jeune Issam débordait encore d’énergie après la course, comme la plupart de ses camarades. « C’était dur mais c’était bien » lance-t-il, pas peu fier d’avoir réalisé quatorze tours, soit une distance de près de quatre kilomètres.

Issam et sa classe ont couru pendant vingt minutes, temps règlementaire des CM2. L’éducateur sportif a déterminé les temps de course en fonction du barème de l’USEP (Union sportive de l'enseignement du premier degré) : 18 minutes pour les CM1, 15 minutes pour les CE2, 12 minutes pour les CE1 et 10 minutes pour les CP.

Les séances d’endurance démarrent par des courses en intermittence. Le temps augmente peu à peu jusqu’à atteindre la durée maximale. « Normalement, à la fin du cycle endurance, ils sont censés tenir ce temps-là sans s’arrêter » précise l’éducateur sportif.

Au final, tous ont participé avec enthousiasme à l’épreuve et même largement atteint l’objectif avec un score de cinquante kilomètres. Ce qui représente une douzaine de tours (entre 2,5 et 3 km). Bravo pour les efforts !

 

Floriane BOIVIN

 


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Lui, il endosse le rôle de métronome de la jeune entité, s’activant autour de la production, la conception et la pose des supports. Elle, c’est le joker côté chiffres, surveillant les curseurs comptables et la sérénité financière de l’entreprise. Associés depuis deux ans, Aurélie BOUCHARD et Alexandre CHABIN ont donné naissance à CREA PROJECT. Une SAS de communication visuelle où intervient un troisième élément, l’apporteur d’affaires Pascal DEMARTIN. Un exégète de la filière…

AUXERRE : Un trio de choc désireux de se faire une place au soleil dans l’univers très concurrentiel de la communication visuelle ? C’est l’un des objectifs avoués du pôle décisionnel de CREA PROJECT, nouvelle structure entrepreneuriale. Apparue en juillet 2018, elle se fonde dans le paysage icaunais, en n’hésitant pas à rayonner plus largement vers le territoire régional et les départements limitrophes.

Alors que le marché de l’événementiel subit de plein fouet la crise sanitaire qui perdure, celui de la communication visuelle via une multitude de supports hétéroclites (panneaux, enseignes lumineuses, marquage de véhicules…) subsiste encore.

Permettant une continuité plus ou moins progressive en termes de chiffre d’affaires pour ses acteurs. Même si la baisse d’activité avoisine les 30 % depuis que le coronavirus impacte durement les milieux économiques.

C’est aussi la preuve que les entreprises et les collectivités éprouvent toujours le besoin, et c’est tant mieux, de véhiculer leurs messages, même les plus liminaires, vers leurs cibles.

Vingt-quatre mois après avoir été portée sur les fonts baptismaux de la création, l’entreprise CREA PROJECT présente un bilan plutôt positif qui qualifie ses activités. Son PDG, Alexandre CHABIN, se satisfait de cette période de croissance vécue après le lancement de sa SAS dans le grand bain du business.

 

 

 

 

Des options stratégiques qui confèrent une touche de modernité…

 

Le carnet de commandes se garnit. La visibilité en matière de prospective est bien réelle : du pain béni pour l’ancien poseur en menuiserie de la société GENIES. Au terme de quinze années de collaboration, il a choisi de vivre une nouvelle étape de sa jeune carrière. En embrassant la responsabilité de dirigeant d’entreprise.

Lorgnant du côté de la Seine-et-Marne, tout en privilégiant les opportunités existantes sur le territoire régional, l’entité envisage de recruter les services d’un poseur d’ici la fin de l’année.

Mais, ce sont ses options stratégiques qui confèrent une réelle touche de modernité et de différenciation avec la concurrence. D’une part, CREA PROJECT est accueillie chez l’un de ses partenaires majeurs, la société RE-PACKED, concepteur de supports publicitaires et de PLV. Une manière pratico-pratique de mutualiser les intérêts communs.

D’autre part, la SAS a recours au service d’un apporteur d’affaires, Pascal DEMARTIN. Un spécialiste de ce secteur d’activité.

Son rôle l’amène à travailler au développement des relations publiques, initier des rendez-vous constructifs, faire connaître la structure dans le sérail professionnel départemental.

Résultat : CREA PROJECT décroche davantage de marchés. Notamment auprès des collectivités où à l’instar de la commune de Bassou, lui a été confiée la réalisation d’abris bus…  

 

Thierry BRET

 

 


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L’initiative est vertueuse. Symbolisant l’ancrage territorial d’un établissement à l’écoute des acteurs de l’économie. Somme toute, en plein marasme quant à leurs perspectives d’avenir. La crise sanitaire est passée par là. Avec son lot de désillusions et d’amertume profonde qui restent collés au palais des entrepreneurs n’ayant plus qu’un seul objectif face à eux : survivre. Un outil spécifique visant à les accompagner leur rendra-t-il le moral ? C’est sans doute là, la véritable force de la « BOX PGE » créée à leur intention

DIJON (Côte d’Or) : Tout est question dans la phase applicative de ce concept de confiance et d’immédiateté. Confiance parce que les chefs d’entreprise ayant souscrit un prêt garanti par l’Etat (PGE) ne peuvent occulter de leur esprit le fait qu’ils devront rembourser ce subside qui les aura aidés à surmonter du mieux possible le cruel manque de trésorerie. Immédiateté parce que les procédures de remboursement doivent s’anticiper en amont avant de s’engouffrer dans ce processus inéluctable.

Or, depuis le début de ce dispositif voulu par le gouvernement, les bénéficiaires du prêt garanti par l’Etat (PGE) savent qu’ils ne pourront pas se soustraire à la seconde phase de son application. C’est-à-dire son remboursement. Une réelle épée de Damoclès, couperet acéré au-dessus de la tête des entrepreneurs, dont il faudra bien tôt ou tard résoudre la problématique.

Pour bon nombre de ces entités productives, cela ne devrait occasionner aucune difficulté notoire. Le schéma est connu de tous : dès le mois de mars, les premiers PGE seront remboursables avec différentes options envisageables. Soit l’entreprise restitue ce qu’il doit à l’Etat en soldant le dossier de manière définitive et en une seule opération. Soit, un étalement échelonné dans le temps représente une autre opportunité. Sachant que cet échéancier peut courir au maximum sur une période de cinq années.

 

Une boîte à outils digitale pour mieux sortir de la crise…

 

Faisant montre de mansuétude face à un contexte sanitaire qui perdure, le Premier ministre Jean CASTEX par la voix de son ministre de l’Economie et des Finances Bruno LE MAIRE, a choisi de différer de douze mois supplémentaires ce remboursement de prêt, histoire de lâcher un peu de lest dans la sphère de l’entreprenariat. Une bouffée d’oxygène, certes mais qui ne doit pas toutefois faire oublier les difficultés que connaîtront certaines structures à pouvoir s’exécuter.  

C’est à partir de là que la proposition novatrice de la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté et Pays de l’Ain justifie toute sa raison d’être. Ce sont les sociétés qui éprouveront nécessairement de sérieux embarras financiers qui sont à l’origine du concept. Son appellation se veut sobre et explicite dès sa première lecture : « BOX PGE » !

De quoi s’agit-il, exactement, au plan pratico-pratique ? C’est une boîte à outils digitale utilisée par les conseillers de l’établissement mutualiste régional, l’un des acteurs clé du soutien à l’économie des territoires.

Astucieux et réactif, ce dispositif technologique propose en instantanéité de poser un diagnostic précis sur l’entreprise à étudier. Un audit précieux qui répond à trois objectifs fondamentaux : l’anticipation, l’état des lieux réel de la structure et surtout une approche globale en matière de solutions.

 

Un concept qui va se déployer dans l’Hexagone…

 

Dans le moindre détail, tout y est analysé avec minutie. Les conséquences de la crise sanitaire sur les activités de la société, les répercussions relationnelles avec les clients et les fournisseurs, la capacité de s’autofinancer pour faire face aux aléas conjoncturels.

Bref : une étude de cas approfondie qui en bout de course donnera suffisamment d’éléments instructifs à l’un des trois cents conseillers mobilisés par la banque pour choisir la bonne option en matière de remboursement du prêt garanti par l’Etat.

Quant à la dette de l’entreprise, son approche est mieux maîtrisée grâce à la finesse analytique proposée par cet outil. Dès lors, l’entrepreneur possède une vision plus en adéquation avec la réalité ce qui ne peut immanquablement que le rassurer sur le devenir de son affaire.

Dévoilée il y a quelques jours par son directeur général Bruno DUCHESNE à la presse, cette boîte aux multiples facettes analytiques représente un pur produit technologique de conception régionale.

Son déploiement auprès des autres caisses que compte l’établissement à travers l’Hexagone n’est qu’une question de semaines tant cette approche individualisée de sortie de crise, permettant de sauver des PME de l’irréparable économique, est probante quant à ses préconisations.

 

Thierry BRET

 


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Le programme de la visite du ministre délégué en charge des Comptes Publics se veut éclectique et copieux ce jeudi. Ignorant la capitale de l’Yonne, Olivier DUSSOPT focalisera son intérêt  sur la direction départementale des finances publiques installée à Joigny. Avant de rejoindre la périphérie de Sens où il découvrira l’écrin qui accueille l’une des belles pépites industrielles de notre territoire, la SAS BOUDIN…

AUXERRE : La dernière visite du ministre délégué en charge des Comptes Publics Olivier DUSSOPT dans l’Yonne date de janvier 2019. Reçu à l’époque par le préfet Patrice LATRON, le représentant du gouvernement devait participer à plusieurs réunions de travail lui permettant de prendre le pouls de la fonction publique. Avant de proposer une discussion à bâton rompu avec des figures de la sphère économique et institutionnelle du cru.

Certains de ces visages, à l’instar du président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Yonne Alain PEREZ, seront encore de la sollicitation ce jeudi 04 février à Joigny. Invité à prendre part à une table ronde où les acteurs des organes consulaires et quelques chefs d’entreprises feront connaître leur point de vue sur la relance économique. En toute discrétion et sans la présence des médias.

 

 

Interrogé en amont, Alain PEREZ fera part de ses réflexions personnelles sur le plan de relance économique engagé par le gouvernement pour faire face à la crise sanitaire.

Auparavant, le ministre visitera le Centre des finances publiques de Joigny où sera présentée la relocalisation d’un service de la Direction générale des Finances publiques (DGFIP). Il y sera accueilli par le président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny Nicolas SORET.

 

 

 

 

BOUDIN l’un des bénéficiaires des crédits relance…

 

Une touche industrielle clôturera ce périple au rythme soutenu avec la découverte d’une PME qui a  bénéficié de crédits relance dans le cadre du plan industrie du futur, la SAS BOUDIN à Maillot.

La structure pilotée par Dominique VIE a été l’une des entreprises parmi les 55 projets retenus suite à l’appel à projet lancé par BPI France à profiter de la manne étatique, soit un montant total d’aides évalué à plus de 45 millions d’euros.

La PME sénonaise figure aujourd’hui parmi les références dans la mise au point, la réparation et la maintenance de moules d’injection plastique et de moules de thermoformage. 

 

Thierry BRET

 


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