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La diffamation est une allégation ou l’imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur et à la considération d’une personne. Fort de ce postulat juridique, l’attaché parlementaire de la députée Michèle CROUZET, spécialiste en droit privé, a choisi de déposer plainte auprès du procureur de la République de Sens  mercredi 03 février. Cible identifiée par cette action en justice : deux élus du Grand-Sénonais et conseillers départementaux, auteurs de commentaires « diffamatoires » à son égard sur les réseaux sociaux. Du rififi en perspective dans le landerneau politique local ?  

SENS : C’est par l’entremise de Me Magali DUBREUCQ-TRUDDAIU, avocate au barreau de Sens que le bras droit de la députée MoDem de la troisième circonscription de l’Yonne a fait appel à la justice cette semaine pour pointer d’un doigt réparateur les nuisances diffamantes qui peuvent circuler d’ordinaire sur les réseaux sociaux.

Juriste de son état, Steve CAMPAGNE ne tolère plus les propos acerbes à la limite de la décence que véhicule la toile depuis plusieurs jours à son encontre. Des invectives qui émanent de la sphère politique locale et que l’intéressé considère comme « calomnieuses et diffamatoires ». Ces écrits qui fleurissent sur les comptes Facebook sont pour lui, « indignes des responsables politiques qui en sont les auteurs ».

Partant du simple postulat que la toile n’est pas une zone de non-droit, le jeune homme à la tête bien pleine ne veut pas se laisser intimider et insulter par des messages publiés par écran interposé.

« C’est là tout le problème avec les réseaux sociaux, explique-t-il dans un entretien accordé à la presse où il présente les dessous de l’affaire, on n’a pas pris la mesure de ce que sont ces outils de communication, de leur pouvoir et ce qui peut se dire ou s’écrire réellement… ».

Arguant que le droit s’applique partout y compris sur les canaux offerts par le numérique et que l’immunité zéro n’existe pas, l’attaché parlementaire de Michèle CROUZET a décidé de se lancer dans la bataille, tel un chevalier blanc qui souhaiterait pourfendre les aficionados de cette pratique somme toute usuelle par les temps qui courent, pour porter l’affaire devant la justice.

« Je le fais aussi au nom de toutes ces personnes qui souffrent en silence des méfaits de ce cyber harcèlement et des menaces anonymes qui sont diffusées régulièrement sur le multimédia, concède-t-il en présence d’un énorme Dalloz qui trône en majesté son bureau.

 

Accepter le principe de la liberté d’expression et de la transparence…

 

Quant aux faits, ils remontent au 22 janvier dernier. Désireux d’éclaircir quelques points interrogatifs qui l’interpellent, Steve CAMPAGNE sollicite le conseiller départemental et maire de Saint-Denis-les-Sens Alexandre BOUCHIER pour que ce dernier lui fournisse des explications détaillées sur son bilan et aborde le cumul de ses rémunérations en qualité d’élu.

Pour l’attaché parlementaire icaunais : il ne s’agissait là que d’une simple question d’ordre politique s’inscrivant dans la pure transparence citoyenne.

« C’est un devoir aujourd’hui de connaître les rémunérations de nos élus, précise Steve CAMPAGNE, cela s’inscrit dans la droite ligne de la démocratie. Si les élus ne s’appliquent pas à eux-mêmes les règles élémentaires de l’expression et de la transparence, on peut alors s’interroger sur les principes même de cette liberté d’expression dans ce pays ! ».

 

 

La réponse de l’édile de la commune périphérique de Sens ne tardera pas à être connue mais par le biais de la page Facebook des Républicains. Où Alexandre BOUCHIER compare la demande de l’attaché parlementaire à des « méthodes de mafieux ».

Un terme proprement indigeste et insultant pour Steve CAMPAGNE qui qualifie dans la foulée ces propos de « diffamatoires » ! Se promettant de ne pas en rester là en les faisant constater par un huissier !

« Je m’attendais à une toute autre réponse de la part de cet élu, ajoute Steve CAMPAGNE, mais pas ce genre d’insultes. Certes, la politique n’est pas un débat aseptisé. Mais, il faut savoir accepter le principe de la discussion. On a donc le droit de faire bouger les lignes en posant les bonnes questions. Y compris celles qui dérangent. Et de répondre aux interrogations lorsque celles-ci sont posées : cela s’appelle le courage politique… ».

 

Un combat mené au nom de l’exemplarité et du droit…

 

Affecté par ce qualificatif aux références siciliennes qui remet en cause sa probité personnelle et professionnelle, le plus proche collaborateur de Michèle CROUZET décide alors de contre-attaquer. En ayant recours à la justice.

D’autant qu’une seconde salve, émise sur le même canal d’expression numérique par la conseillère départementale Clarisse QUENTIN en soutien à son homologue du Sénonais, apportera un second souffle sur des braises déjà ardentes.

« Les mots possèdent un sens, souligne l’attaché parlementaire, et j’entends bien remettre cette notion à l’ordre du jour du débat public. On ne peut pas tout dire au nom de la liberté d’expression. Traiter ma méthode de « mafieux » fait allusion à un réseau criminel organisé. Oui, agir dans la sphère politique constitue bien une appartenance à un réseau. Mais, il manque alors le critère de référence à la criminalité : on n’a donc pas le droit de comparer mon intervention à celle de Cosa Nostra ! ».

Dès lors, Steve CAMPAGNE ne laissera plus le moindre interstice qui faciliterait la circulation de propos diffamatoires ou mensongers autour de lui. Y compris sur les réseaux sociaux.

La poursuite juridique se systématisera à l’avenir. Devenant un glaive acéré pour couper les fils de certaine forme de communication usitée par ses détracteurs. Un combat que le garçon souhaite mener au nom de l’exemplarité et du droit.

 

Thierry BRET

 


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Enfin une bonne nouvelle qui concerne l’univers des loisirs, de la culture et du tourisme en cette période de vache maigre ! Le site de Côte d’Or faisant référence à la fameuse bataille qui devait opposer en l’an 52 les forces de Vercingétorix aux puissantes armées de Jules CESAR pourrait accueillir d’ici peu des visiteurs. Une conférence de presse dévoilera d’ici quelques jours les grandes nouveautés 2021…

ALISE SAINTE-REINE (Côte d’Or) : Le début de la nouvelle saison touristique et culturelle est enfin programmé dans l’un des sites les plus attractifs de notre contrée, le MUSEO Parc d’Alésia.

Malgré le contexte sanitaire qui nous prive depuis des mois de toutes initiatives intellectuelles et ludiques sur les lieux réservés à cet effet, l’information a été officialisée en milieu de semaine par le service presse de l’institution : la réouverture de ce parc pourrait être actée en date du 15 février.

Articulé autour de trois sites, à savoir le Centre d’interprétation qui explique le contexte, le déroulement et les conséquences de la fameuse bataille entre Gaulois et Romains, les vestiges de la ville gallo-romaine d’Alésia et la célèbre statue du chef gaulois, Vercingétorix, érigée par Napoléon III, le MUSEO Parc ne cesse de voir sa fréquentation de visiteurs particuliers, en groupes et scolaires, augmenter chaque année.

 

 

 

Une conférence de presse, déclinée par outil numérique, offrira la possibilité au directeur du site Michel ROUGER et à son équipe de présenter la programmation 2021, l’agenda des différentes manifestations ainsi que les grandes nouveautés dont une démonstration de l’escape game conçue par l’agence OHRIZON.

Ce sera également l'occasion de faire un point sur la nouvelle scénographie, en présence des experts qui travaillent sur le projet : la cellule Alésia du Conseil départemental de la Côte-d'Or qui le pilote et l'Agence Clémence FARRELL.

 

Thierry BRET

 


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Un invité de marque assistait à la troisième conférence départementale du plan « France Relance » ce vendredi 05 février à Auxerre. Le secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en charge du tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE prenait part à cette séance de travail, présidée par le préfet Henri PREVOST. A l’issue, le membre du gouvernement a pu faire toute la lumière sur la situation dans l’Yonne…

AUXERRE : Incisif, enthousiaste, dynamique dans la forme et sur le fond. Le régional de l’étape au sein du gouvernement CASTEX, l’élu de l’Yonne Jean-Baptiste LEMOYNE, tenait sa première conférence de presse de l’année dans son fief bourguignon, porteur de bonnes nouvelles pour l’économie territoriale. D’ailleurs, qui d’autre que le conseiller départemental du Gâtinais aurait pu se livrer à cet exercice de présentation si éclectique sur les effets du plan relance avec autant de convictions ?

Chiffres à l’appui, notes posées sur le bureau et soulignées au préalable par un trait fluorescent d’un marqueur jaune, le ministre en charge du tourisme et de la francophonie déroula lors de son intervention de près de cinquante minutes in extenso ses arguments aux côtés du préfet de l’Yonne à l’écoute.

Un exercice oratoire devant déboucher sur un seul et unique constat : l’Yonne est à la relance, c’est sûr ! Une relance devant préparer à court terme le département septentrional de Bourgogne à mieux rebondir pour faire face à la crise. Tant au niveau de ses capacités industrielles que par l’implication de ses unités professionnelles intervenant sur les filières de service.

 

 

Des aides nécessaires à la préservation de l’emploi….

 

Le seul fonds de solidarité, l’un des socles majeurs des mesures d’urgence voulues par l’Etat afin de soutenir la sphère économique face au contexte sanitaire actuel, concerne plus de sept mille entreprises bénéficiaires sur notre territoire. Soit une enveloppe globale de 46 millions d’euros, prélevés sur les 470 millions initiaux qui ont été attribués par l’Etat pour venir en aide aux entreprises de la nation.

L’activité partielle a profité à plus de cinq mille structures issues de l’entreprenariat. Un chiffre à retenir sur ce point : 70 millions d’euros. Les reports fiscaux permettant d’alléger les charges des chefs d’entreprises privés de trésorerie s’élèvent à 12 millions d’euros. Quant aux prêts garantis par l’Etat, les fameux PGE, ils concernent à date 800 entreprises qui y ont eu recours pour un montant total de 340 millions d’euros. Seuls 2,5 % des dossiers ont été ajournés.

Toutefois, il existait des alternatives pour les entrepreneurs ne pouvant y prétendre. Les avances remboursables et les prêts participatifs purent combler les fameux « trous dans la raquette » dont les observateurs font régulièrement mention dans leurs analyses.

Ces engagements financiers ont été conséquents, souligna Jean-Baptiste LEMOYNE après l’énoncé de cet inventaire à la Prévert, mais indispensables pour franchir ce cap. Surtout avec une récession estimée à 8 % du PIB au lieu des 11  % prévus initialement par l’INSEE qui plonge inéluctablement notre économie vers les limbes.

 

 

Défendre le fabriqué dans l’Yonne et promouvoir les circuits courts…

 

Le ministre rappela que ces dispositifs n’avaient d’autres vocations que de maintenir les entreprises à flot en préservant en priorité les talents et les emplois.

Les collectivités n’ont pas été exclues de ces aides étatiques. La rénovation de certains bâtiments de l’Etat, celle induite au nom de la réduction énergétique se traduiront par l’octroi d’une enveloppe budgétaire de quatre millions d’euros de travaux en 2021.

Un dispositif devant faire mouche par effet gigogne sur les carnets de commande des entreprises du BTP. Auquel s’agrège également le concept « « Ma Prime Rénov » à destination des particuliers où près de mille dossiers ont d’ores et déjà été instruits, soit un équivalent de cinq millions d’euros de travaux supplémentaires.

D’autres coups de pouce sont à mentionner. Ceux qui se rapportent à la transition énergétique, cheval de bataille de la gouvernance, avec deux appels à projet qui caractérisent leur application dans l’Yonne. L’un concerne le développement des jardins familiaux avec l’implication des bailleurs sociaux. L’autre se destine à l’essor des circuits courts afin de promouvoir les ressources alimentaires de proximité.

Européaniste convaincu, Jean-Baptiste LEMOYNE ne pouvait occulter le rôle prégnant de l’Union dans l’octroi de ces subsides financiers qui ont été injectés dans ce plan de relance économique aux contours ambitieux.

Sur les cent milliards d’euros affectés par la France à ses différents outils de production, quarante milliards proviennent de fonds européens. Ils ont été obtenus après d’âpres tractations avec l’Allemagne. Mais, l’essentiel est là : la gestion de la sortie de crise de l’après-COVID-19 ne se résume pas qu’au seul prisme franco-français.  

Commentant les vertus de ce plan « France Relance », le préfet Henri PREVOST évoqua la capacité de résilience et d’innovation des TPE/PME de notre territoire. Elles représentent le vrai tissu industriel de ce département. Défendre le fabriqué dans l’Yonne est devenu l’un de ses leitmotivs !

 

Thierry BRET

 


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Le préfet de la Région Bourgogne-Franche-Comté, Fabien SUDRY et Marie-Guite DUFAY, présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté, ont signé ce vendredi 05 février l’accord de relance Etat-Région et l’accord stratégique du CPER (contrat de plan Etat-Région) 2021-2027, en présence de Jacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.

BESANCON (Doubs) : Ré-industrialisation de notre territoire, lutte contre la désertification et contre les inégalités territoriales, neutralité carbone : ce sont les trois objectifs majeurs qui ont été ciblés par le CEPR 2021/2027 (Contrat de Plan Etat Région).

Prenant en compte les conséquences de la pandémie, ce contrat de plan a été paraphé ainsi que l’accord de relance Etat/Région par le préfet de notre contrée, Fabien SUDRY et la présidente de l’exécutif régional, Marie-Guite DUFAY ce vendredi 05 février dans la capitale du Doubs.

La double signature officielle de ces documents s’est déroulée en présence de la ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, Jacqueline GOURAULT.

Conséquence : une enveloppe de près de 2,75 milliards d’euros sera affectée au service des citoyens, des territoires et de ses acteurs. Cela inclut le plan de relance Etat/Région 2021/2022 (1,25 milliard d’euros) et l’accord stratégique sur les orientations du contrat de plan Etat/Région (CPER 2021-2027), couplé aux crédits valorisés (1,49 milliard d’euros).  

Précisons que le contrat de plan Etat/Région finance la mise en œuvre de projets essentiels à l’intérêt général que sont l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation, la transition écologique et énergétique, la cohésion territoriale, les mobilités multimodales, l’emploi et la formation, le numérique, l’économie sociale et solidaire, la culture et le patrimoine, le sport, l’égalité entre les femmes et les hommes.

 

Thierry BRET

 

 


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La barre des 500 000 apprentis est enfin franchie en France. Un vieux rêve caressé de longue date par les exégètes de la formation professionnelle qui ne croyaient pas obtenir de tels résultats un jour. Il est vrai qu’en matière d’apprentissage, la France partait de très loin dans le concert européen. Additionnant les préjugés vis-à-vis de cette méthode pédagogique ayant fait ses preuves. Dans l’Yonne, 700 jeunes viennent de bénéficier des aides exceptionnelles de l’Etat pour y parvenir…

AUXERRE : « Cocorico ! ». C’est l’expression qu’a employée le secrétaire d’Etat en charge du Tourisme Jean-Baptiste LEMOYNE à l’annonce du chiffre révélateur de l’intérêt grandissant de l’apprentissage auprès des jeunes dans notre pays.

Le cap symbolique des 500 000 jeunes gens recrutés ayant choisi l’apprentissage pour mieux s’insérer dans la vie active vient d’être dépassé. Une première significative dans un pays qui, il y a encore quelques années de cela, était à la traîne sur le sujet et accumulait de considérables retards, notamment vis-à-vis de notre voisin d’Outre-Rhin, l’Allemagne.

Pour la première fois de sa longue histoire sociale, la France passe ce cap des cinq cent mille apprentis recrutés. Un record historique qui a fait réagir tout de go et par un tweet circonstancié, le président de la République Emmanuel MACRON, très attaché au développement de cette méthode formative pour la jeunesse. Ce dernier a précisé qu’il était nécessaire de « continuer pour assurer un meilleur avenir professionnel à nos jeunes ».

Mais, comme devait l’argumenter Jean-Baptiste LEMOYNE, lors de sa conférence de presse tenue ce vendredi 05 février dans les salons de la préfecture, derrière ce bon résultat, il y a le rôle implicatif et citoyen des chefs d’entreprises.

Malgré un contexte très délicat et en l’absence de toute visibilité en termes de projection, les entrepreneurs de France comme ceux de l’Yonne ont poursuivi leur cheminement pédagogique en intégrant de jeunes pousses parmi leurs sociétés. Un état de fait qui a fait dire au ministre originaire de l’Yonne que « la valeur ressources humaines n’avait pas été oubliée durant cette période complexe… ».

Rien que sur notre territoire, ce sont plus de sept cents bénéficiaires de l’apprentissage qui ont ainsi été épaulés par les services de l’Etat.

A cela, huit cents autres de ces jeunes gens ont été aidés dans leur démarche d’embauche. Au total, plus de 3 600 jeunes adultes en âge de s’insérer dans la vie active ont été accompagnés en profitant des différents dispositifs mis en place dans le cadre du plan de relance sur le volet des ressources humaines. Soit l’équivalent de la population adolescente qui fréquenterait dix collèges !

 

Thierry BRET

 


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