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Le problème est devenu récurrent. Mettant à mal la sécurité physique des têtes blondes qui fréquentent l’école primaire Saint-Louis-Notre-Dame. Des actes d’incivisme répétitifs interpellent les parents d’élèves. Du moins, ceux qui ne transgressent pas les règles au Code de la Route ! Chaque jour, des automobilistes peu scrupuleux se réservent le droit de stationner de manière anarchique sur l’emplacement réservé aux bus scolaires à proximité de l’établissement. Obligeant les élèves à se mouvoir sur la chaussée !

VILLENEUVE-SUR-YONNE: Pas facile de descendre et de monter à bord d’un bus scolaire lorsque l’on est un jeune utilisateur des transports en commun qui suit sa scolarité à l’école Saint-Louis-Notre-Dame de Villeneuve-sur-Yonne. Chaque jour s’apparente à une péripétie particulière où il faut se prémunir des dangers de la route à tout instant.

Immobilisés au beau milieu de la chaussée, les bus déversent le flux de leurs jeunes occupants à la hussarde et de manière très rapide. Faisant craindre le pire aux chauffeurs qui en ont la responsabilité. Car, les dangers de la route comme chacun le sait sont bel et bien réels dans ce périmètre où bon nombre de véhicules circule d’ordinaire.

Pourtant, il existe une aire de stationnement matérialisée par des panneaux routiers. Toutefois, le marquage au sol de cet emplacement s’est quelque peu volatilisé. Du fait de l’érosion imputable au temps. Ce qui laisse désormais le champ libre aux parents indélicats et peu respectueux de l’espace de se poser là en toute impunité. Créant ainsi une situation dangereuse pour d’autres enfants que les leurs !

L’agent municipal en charge des passages piétons a certes bien tenté de faire cesser ces comportements inciviques journaliers mais en vain. Il n’est pas la police municipale et ses pouvoirs de persuasion sont limités.

Les chauffeurs de bus, quant à eux, s’inquiètent de la situation. Ils en ont fait part en haut lieu et réclament davantage de sécurité vis-à-vis de leurs jeunes passagers.

 

 

De leurs côtés, deux élus de l’opposition, les conseillers municipaux Rassemblement National Audrey PEREZ et Cyril ANDRE désapprouvent ces actes d’incivisme permanents. Un communiqué de presse signé de leurs plumes explique l’objet de leur protestation.  

Ils sollicitent une présence régulière de la police municipale aux heures d’entrées et de sorties de l’établissement scolaire. Pour mettre un terme à cet incessant ballet automobile qui n’a pas lieu d’être à cet endroit. Ils demandent également le rafraîchissement de la matérialisation au sol de cet emplacement réservé au seul accueil des bus scolaires.

Soit un petit coup de peinture salvateur sur l’asphalte qui engendrerait le respect des règles de bonne conduite citoyenne pour tous afin d’éviter l’irréparable ?

 

Thierry BRET

 


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Construire de nouvelles perspectives au profit de la filière agricole. L’intention est louable sur le papier. D’autant que le secteur fait face à une crise sans précédent, subissant les aléas répétitifs d’une météo capricieuse et la plongée abyssale des cours sur les marchés mondiaux. Le Tonnerrois, par le prisme de son organe communautaire, a choisi d’être le pionnier en croyant à ce rebond. En portant aux côtés de la chambre consulaire départementale un projet novateur, baptisé sobrement « 360 ° Tonnerrois »…

ANCY-LE-FRANC : Une référence géométrique pour identifier un nouveau projet au bénéfice de la filière agricole ? Pourquoi pas, en effet, il fallait y penser !

Synonyme d’une vision ambitieuse et surtout élargie d’une prospective aguerrie favorable à la pérennité du secteur, le concept qui a vu le jour en décembre 2020 dans les esprits fertiles des responsables de la Chambre départementale d’Agriculture de l’Yonne possède dans les grandes lignes de sa phase applicative tous les atouts pour séduire.

Non seulement, il se veut original par sa méthodologie et ses axes de réflexion. Mais, en outre, il entre de plain-pied dans la ligne de mire de l’appel à projets émanant de la Région à cet égard (le plan de relance de l’agriculture).

Impulser des projets territoriaux qui soient profitables aux agriculteurs supposait de s’adosser à un partenaire du cru. En dans ce domaine, la Communauté de communes du Tonnerrois n’est jamais avare en expérimentations en tout genre pour sortir du moule par le bon côté de la lorgnette. Il suffit de se remémorer les initiatives prises dans un récent passé par l’EPCI, ne serait-ce que dans le domaine de l’optimisation du numérique. Une réussite, à faire pâmer d’autres collectivités nettement plus frileuses sur le sujet !

Quoi qu’il en soit, la CC du Tonnerrois ne pouvait rester insensible aux récurrentes problématiques vécues par la filière agricole. D’une part, cette bande géographique orientale de notre territoire se situe précisément en zone intermédiaire. Réputée complexe pour optimiser et rentabiliser le travail des exploitations. D’autre part, de nombreuses préoccupations et attentes sociales se font fait jour à travers le département.

Alors, in fine, ce mariage entre le milieu agricole, incarné par le président de la chambre Arnaud DELESTRE, et l’organe institutionnel, piloté par la Conseillère départementale Anne JERUSALEM, est devenu légitime. Un hymen qui a été officialisé face à la presse en fin de la semaine dernière.

 

  

Trouver ensemble des pistes et des projets territoriaux…

 

Intelligence collective, démarche inclusive, co-construite, à base de concertation et de retours d’expériences : tous les ingrédients de la communication participative sont réunis derrière ce concept à la vision panoramique.

Son but est noble : permettre aux professionnels de participer et échanger avec leurs interlocuteurs institutionnels sur l’avenir de leur territoire. Si les agriculteurs constituent le socle initial de ces futures rencontres (une soixantaine d’entretiens individualisés sont d’ores et déjà planifiés parmi les pistes d’actions à venir), d’autres corporatismes seront associés à la démarche.

Ce sera le cas des opérateurs économiques. Mais, aussi des élus. Sans omettre les citoyens, eux-mêmes qui se situent au bout de la chaîne consumériste des produits agricoles, qu’ils soient transformés ou pas.

Articulé en quatre phases distinctes mais complémentaires, le concept « 360 ° Tonnerrois » s’étalera durant douze mois où de manière commune seront édifiés plusieurs projets au service de l’agriculture et du territoire.

Quant aux thématiques pouvant potentiellement être abordées durant cette période de collectes d’idées, elles devraient englober différents items chers à la filière agricole : l’eau, l’alimentation, l’énergie, l’entretien des paysages, la production, le foncier et la gestion de l’espace.

Cet audit réalisé au plus près du terrain a également trouvé écho en Saône-et-Loire sous l’impulsion de la région Bourgogne Franche-Comté.

Vu de notre pré carré, s’il n’est pas encore prévu de le décliner vers d’autres zones géographiques de l’Yonne, il pourrait toutefois faire des émules dans le département si les résultats escomptés sont bel et bien là.

Pour l’heure, les réunions régulières pour le pilotage de ce projet, assuré par les équipes de la Communauté de communes du Tonnerrois et de la Chambre départementale d’Agriculture vont se mettre en place pour en optimiser son avancement.

 

Thierry BRET

 


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Applicable depuis le 01er janvier 2021, l’engagement qui lie la Communauté de communes du JOVINIEN, la Ville de Joigny et la Fondation du Patrimoine aura une durée de vie de trois ans. Il promeut les aides à la restauration du patrimoine bâti apportées par la Fondation. Des subsides qui s’ajoutent à ceux déjà accordés par cette même fondation dans le cadre de son partenariat avec le Département.

JOIGNY : Deux signataires pour une convention tripartite ! Le 28 janvier, Nicolas SORET, président de la Communauté de communes du JOVINIEN et maire de Joigny apposait son paraphe au bas d’un document officiel. Une pièce administrative qui fut complétée instantanément par Christophe BONNARD.

Le délégué régional de la Fondation du Patrimoine officialisait ainsi après le dépôt de sa signature la portée de ce nouvel engagement entre les deux collectivités (EPCI et la Ville) en faveur de la valorisation du patrimoine bâti.

Grâce à cette convention, conçue dans le cadre de l’opération « Petites Villes de Demain », de nouveaux octrois financiers vont pouvoir s’additionner à ceux déjà accordés par la Fondation du Patrimoine via sa relation partenariale privilégiée avec le Département de l’Yonne.

Ces aides se matérialisent par un financement direct auquel vient s’ajouter la possibilité de déduire de 50 à 100 % du montant restant à charge du revenu des propriétaires.

 

 

Engagés dans un programme de valorisation du patrimoine bâti (celui-ci encourage les propriétaires qui souhaitent réhabiliter leurs biens à le faire), l’organisme communautaire et la Ville ont décidé de confier un fonds d’intervention à la Fondation du Patrimoine pour bonifier les financements apportés sur ce territoire soutenus dans le cadre du label de la Fondation. Une initiative qui intègre le programme initié par l’Etat, « Petites Villes de Demain ».

Ces mesures fiscales ne peuvent être qu’incitatives auprès des propriétaires de patrimoine bâti ancien d’obtenir la labellisation Fondation du Patrimoine.

Pour mémoire, rappelons que la Fondation du Patrimoine, organisme privé reconnu d’utilité publique, accompagne les propriétaires privés et publics dans la mobilisation de financements en faveur de la restauration de leurs biens immobiliers.

Depuis l’été 2020, son périmètre d’intervention a été élargi aux communes de moins de vingt mille habitants.

 

Thierry BRET

 


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Annulation, reprise, nouvelle annulation, hésitation, jauge réduite ! C’est le lot des artistes, salles de spectacles et programmateurs depuis le mois de mars 2020. Malgré cela, tous tentent de s’accrocher et continuent d’avancer en travaillant de futurs spectacles. Ceux-ci qui seront présentés dès le retour à une vie normale…Du moins, l’espèrent-ils.

AUXERRE : En septembre, une vingtaine d’artistes du collectif du « Commun Artistique » se retrouvaient à bord de la péniche de « La Scène des Quais ». Objectif : y discuter de futurs projets et de l’évolution artistique dans l’Yonne malgré le contexte sanitaire incertain.

Baptisée entre eux, des « patates », leur commission évaluait alors la situation en tentant de mettre en place des projets pour la suite. Notamment les grandes lignes de la future année 2021 !

A l’époque, en discutant avec certains artistes, et malgré les préjudices subis par la crise sur leur activité, ils restaient positifs. Les aides attribuées par l’Etat leur permettaient de continuer à entretenir leurs compagnies. Quant à leur statut d’intermittent du spectacle, il était également préservé. 

 

 

Mais, aujourd’hui, de l’eau à couler sous les ponts. Qu’en est-il réellement de ces belles espérances ? Il est vrai que dans ce milieu, les hauts et les bas représentent le quotidien et suppose une adaptation permanente qui fait partie du job ! Mais, les artistes souffrent de plus en plus. Le plus souvent en silence et hors des sentiers battus.

Il ne faudrait pas que la situation ubuesque qui les concerne perdure encore trop longtemps. Le temps des sacrifices pourrait bien leur être fatal. Et ce de manière définitive, cette fois-ci…

 

Maryline GANDON et Thierry BRET

 


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A douze heures précises, tout s’est suspendu dans les neuf cents agences que compte l’opérateur public de référence sur le marché de l’emploi. L’agression mortelle dont a été victime l’une des collaboratrices de l’entreprise dans la Drôme laissera forcément des traces indélébiles dans les esprits…

BILLET : Elle s’appelait Patricia PASQUION. En sa qualité de conseillère, elle effectuait son travail comme responsable d’agence chez Pôle Emploi à Valence. Dans ce département de la Drôme, d’ordinaire si paisible et si évocateur de chaleureuses vacances.

Vendredi, on l’a tuée gratuitement sur le lieu de son labeur. Froidement abattue, pire qu’un animal, par une personne en totale détresse psychologique. Un ingénieur sans emploi depuis deux ans.

Mère de deux enfants, heureuse dans la vie, la responsable de l’agence drômoise avait célébré il y a peu son cinquante-troisième anniversaire. Disponible, toujours souriante, affable : son professionnalisme faisait l’unanimité parmi ses collègues.

Le drame a plongé la structure professionnelle dans une profonde émotion.

Toutes les agences de France ont ainsi fermé leurs portes en ce funeste jour de vendredi pour se recueillir.

La crise est telle qu’un soutien psychologique est proposé aux agents qui ne sentent guère rassurés sur leur lieu de travail. Un effet boule de neige qui hante désormais les pensées des responsables des services ressources humaines dans les entreprises.

Mourir en de telles circonstances aussi tragiques est possible : c’est la dure réalité de cette société de moins en moins saine et contrôlable…

 

Thierry BRET

 


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