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Les prémices de la nouvelle saison se font ressentir pour la plupart des clubs cyclistes de Bourgogne Franche-Comté. Les premiers coups de pédales sont donnés au gré de sorties facilitant le retour progressif vers une bonne condition physique. Même si les températures sont rudes pour les organismes, les adeptes de la petite reine n’en ont cure. Ils bravent la météo, soutenus par leurs partenaires à l’image de l’un des leaders du secteur assurantiel et de prévoyance…

AUXERRE : Question liminaire : comment bien débuter la future saison avant même qu’elle ne soit actée dans les faits ? Tout simplement en bénéficiant de la confiance de l’un de ses incontournables partenaires qui vous remet de quoi s’équiper avant de se lancer dans le grand bain de la compétition !

C’est ce que viennent de vivre cette semaine les dirigeants du Team Elite Restauration (ex-Vélo Club de Toucy) en recevant en guise de nouvelle dotation un jeu d’une trentaine de maillots et de cuissards floqués aux couleurs de GROUPAMA.

Dans le cadre de son opération marketing, « Un club, un maillot », l’assureur mutualiste régional (en l’occurrence la direction de la caisse départementale de l’Yonne) a remis ces précieuses tuniques au président du club cycliste de Puisaye-Forterre.

Un geste salué très chaleureusement par Philippe GERBAULT, à la tête de l’association sportive depuis plusieurs saisons.

Trois coureurs de ce club qui évolue en Nationale 2 ont tenu à arborer en avant-première leurs nouvelles parures dont ils ne se priveront pas de porter haut les couleurs tout au long d’une saison riche en péripéties et en évènements.

C’est le directeur d’établissement départemental de GROUPAMA Paris Val-de-Loire Jacques BLANCHOT, grand amateur de sport (l’entité est aussi un irréductible soutien de l’AJ Auxerre et du Rugby Club Auxerrois) qui devait offrir ces nouvelles tuniques aux dirigeants de la structure associative. Gageons que les coureurs de ce club de très belle facture sauront y faire honneur !

 

Thierry BRET

 


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Ce n’est qu’un petit coin de ciel bleu dans la pénombre ambiante. Toutefois, il symbolise une lueur d’espoir et un retour progressif vers la normalisation. Surtout pour les restaurateurs qui, sur la base du volontariat, s’engagent  dans cette démarche en appliquant les règles sanitaires. Lundi, les professionnels du bâtiment pourront se sustenter d’un repas chaud dans l’un des dix-huit établissements signataires de ce protocole. Une première avancée constructive soutenue par les milieux économiques…

AUXERRE : Ca y est ! Les salariés du bâtiment, celles et ceux qui le désirent, pourront troquer dès ce lundi 15 février leurs camionnettes, servant de lieu de refuge au quotidien pour y avaler de manière expéditive leur repas de midi, pour un havre de paix en phase avec leurs besoins : une salle de restaurant chauffée !

L’ouverture de dix-huit établissements s’officialise après la signature d’une convention de partenariat entre la préfecture de l’Yonne et les instances économiques de notre territoire.

Une autorisation qui possède, certes encore ses limites et un certain nombre de contraintes eu égard au contexte sanitaire actuel. Mais, l’initiative vise à améliorer les conditions de travail de ces salariés qui se nourrissent tant bien que mal et sans confort dans l’habitacle de leurs véhicules utilitaires malgré les morsures incisives des températures polaires.

Cependant, le corps préfectoral se veut très clair au niveau de la bonne compréhension du message. Il ne s’agit aucunement de la réouverture des restaurants à l’ensemble de la population.

Cette autorisation d’accueillir une clientèle dans les établissements ne concerne stricto sensu que celles et ceux de ces professionnels de la filière artisanale du bâtiment qui disposent en outre d’une carte référence sur soi.

Moyennant quoi, celles et ceux qui souhaiteraient profiter de l’aubaine pour pouvoir resquiller en toute impunité en s’installant à la table de l’une de ces dix-huit maisons en seraient pour leur frais !

Les contrôles par les forces de l’ordre vont se multiplier avec verbalisation à la clé en cas de non-respect des consignes. Sachant, en parallèle, que les restaurateurs devront être en conformité au niveau de l’application des gestes barrières et des mesures ad hoc prévues à ce sujet.

 

 

Un dispositif qui ne s’élargira pas à d’autres secteurs professionnels…

 

Un autre secteur bénéficie de mesures similaires du fait de leur mobilité : les transporteurs routiers. Mais, le préfet Henri PREVOST a été formel dans ses explicatifs : il n’y a pas lieu d’être en l’état actuel des choses où la pandémie connaît toujours une virulence aigüe dans sa circulation de vouloir élargir ce dispositif à d’autres filières professionnelles. Par exemple, celle des VRP.

Eviter le brassage social demeure l’axiome référentiel de base à toutes initiatives qui verraient le jour. Par ailleurs, le représentant de l’Etat a lourdement insisté sur la conjoncture sanitaire lors de la conférence de presse qui dévoilait les arcanes de ce dossier.

« Nous n’en avons pas fini avec cette pandémie, devait-il souligner, ce coronavirus est toujours très agressif… ». Même si le taux d’incidence dans l’Yonne est désormais en dessous de la moyenne nationale.

 

 

Chez les acteurs du BTP, les choses se mettent en place avec une extrême prudence pour s’octroyer ce petit  supplément d’âme de liberté retrouvée. Une préconisation qui a déjà fait ses preuves dans le département de la Creuse, d’où a été imaginé ce concept limitant la présence autour de la même table de quatre convives seulement.

L’Yonne, a contrario, est l’unique département de Bourgogne Franche-Comté à tester ce dispositif. Si son mode opératoire convainc les différentes instances partenaires, on peut supposer qu’il fera des émules chez nos voisins.

 

 

Les acteurs économiques saluent l’initiative en exigeant le respect des règles…

 

Le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie Alain PEREZ a salué de manière positive cette expérience. Fier de cette signature, il a insisté sur la rigueur qui doit prévaloir à son succès. Rappelant que la réussite de l’opération ne pouvait se faire qu’en étant très rigoureux sur l’adoption des mesures de protection et son respect.

Plus circonspect dans ses analyses, le président de la Fédération départementale du Bâtiment (FFB) Didier MICHEL n’a pas voulu se voiler la face.

« Cette convention sera très dure à mettre en œuvre… ». Toutefois, c’est un premier pas prometteur qui répond à la problématique des regroupements de deux à trois salariés devant se nourrir dans la même camionnette. En filigrane, en prenant des risques de se transmettre la COVID.

Son homologue de la CAPEB, Jean-Pierre RICHARD, s’est félicité aussi au titre de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, du bel état d’esprit des signataires de cette convention qui pose des jalons favorables au retour d’un semblant « petit bout à la vie normale ».

Enfin, l’intervention du président de l’UMIH, Union des Métiers de l’Industrie Hôtelière, Eric MOUTARD, a conclu ce tour de table des décideurs économiques. Une prise de parole en forme de condensé testimonial empli d’émotions et de véracité d’autant que le gérant du « Biarritz » a subi les affres de la maladie durant plusieurs semaines, dans des conditions physiques et morales très éprouvantes l’ayant conduit à son hospitalisation.

« Je n’accepterai aucune dérive de la part des professionnels de la restauration qui doivent se conformer à l’application stricto sensu des règles sanitaires dans leurs établissements. Il ne faut pas perdre conscience que cette pathologie peut nous affecter à n’importe quel moment de notre existence et que cela n’arrive pas seulement aux autres… ».

Ne pas jouer avec la santé reste donc le credo absolu de cette initiative qui a le mérite de se mettre en place dans l’Yonne comme celle initiée cette semaine par le CIFA et METRO Auxerre de former les professionnels de la restauration à la vente à emporter et à ses réglementations.

 

 

En savoir plus :

La liste des 18 établissements de l’Yonne s’engageant dans ce dispositif :

Le Marais à Appoigny

Le CBR à Auxerre

Le Biarritz à Auxerre

L’Authentique Burger à Auxerre

Le Frascati à Auxerre

O Barakoa à Auxerre

La Renaissance à Auxerre

Brasserie des Bords de l’Yonne (BBY) à Auxerre

La Farandole Gourmande à Auxerre

Aux Plaisirs de Puisaye à Bléneau

Le Syracuse à Chablis

La Clé des Champs à Champigny-sur-Yonne

Hôtel restaurant de l’Ecluse 79 à Chassignelles

L’Auberge Chevill’Yonne à Charny-Orée-de-Puisaye

Le Canard dans le Bocage à Egriselles-le-Bocage

Autour d’un verre à Joux-la-Ville

Le Petit Perrigny à Perrigny

Le Relais de Sainte-Colombe à Sainte-Colombe-sur-Loing

 

Thierry BRET

 

 


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La COVID-19 aura eu au moins un effet positif cette année sur le réseau routier de notre territoire. Les restrictions en matière de circulation imputables aux périodes de confinements et de couvre-feu ont engendré fort logiquement une baisse très nette du nombre d’accidents. Toutefois, il ne faut pas se leurrer sur ce miroir aux alouettes trompeur. Mais, l’alcool demeure lui le prédateur numéro un de l’automobiliste au même titre que la vitesse et le non-respect du Code de la Route.

AUXERRE: Le bilan de l’Observatoire départemental de la Sécurité Routière offre une physionomie pour le moins cocasse cette année. A la limite de l’incrédibilité. Le baromètre annuel 2020 affiche un recul de 27,10 % du nombre d’accidents corporels par rapport à l’exercice antérieur. Une situation en trompe l’œil qui est naturellement faussée par le contexte sanitaire exceptionnel que l’Yonne, à l’instar de l’Hexagone, traverse depuis bientôt douze mois.

La fréquentation des automobilistes sur les routes de notre département s’est réduite comme peau de chagrin lors des périodes de confinements et de couvre-feu. Mais, l’Observatoire prévient : le taux de gravité des accidents qui sont venus grossir les statistiques officielles de ce service préfectoral s’est accentué de manière très significative dans l’Yonne. Soit trois fois plus que le taux national, 18 tués pour cent accidents.

Autre constat navrant qui démontre que les Icaunais n’ont pas changé d’un iota leur dérive comportementale lorsqu’ils s’installent au volant : c’est au cours du quatrième trimestre que le nombre de décès a progressé le plus fortement avec un bond de 66,7 % par rapport à la même période observée en 2019. Chasser le naturel, il revient au galop comme le précise l’adage.

Nonobstant, les messages préventifs et la présence des forces de l’ordre aux abords des routes n’inversent pas la tendance.

 

 

 

 

Les principales causes de cette hécatombe (encore 29 disparus cette année sur nos routes) proviennent invariablement du non-respect des règles routières (stop et feux de signalisation grillés de manière outrecuidante, priorités ignorées…), de la vitesse excessive alors que le réseau routier offre de larges portions limitées à 80 km/h et surtout l’omniprésence de l’alcool.

C’est d’ailleurs celui-ci qui est responsable de 34 % des accidents mortels sur l’ensemble de l’année et de 64 % sur le seul mois de décembre, sans doute plus euphorisant avec la période des fêtes.

Comme à son habitude, c’est une nouvelle fois la tranche d’âge des 18/39 ans qui est la plus représentée dans ce palmarès du sordide. Quant aux créneaux les plus meurtriers, ils s’observent entre 15 et 18 heures, et ce, à partir du jeudi. Prélude à un sinistre week-end.

Enfin, 46 % de ces accidents ont été répertoriés sur le réseau des routes départementales secondaires.

Quant aux infractions, elles sont à la hausse de 28 % en 2020, soit 955 cas contre 746 l’année dernière. Des infractions qui ont engendré la suspension du permis de conduire.

D’ores et déjà, la préfecture annonce de nouvelles campagnes de sensibilisation à venir et la poursuite des contrôles par les forces de sécurité.

 

Thierry BRET

 

 


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L’unité de production de ce spécialiste de la modification, la mise au point, la réparation et la maintenance de moules d’injection plastique et de moules de thermoformage figure en bonne place dans les agendas des personnalités de l’Etat. Surtout, après l’immersion récente d’un membre du gouvernement, quelques semaines après celle du préfet. Olivier DUSSOPT s’est dit ravi de sa découverte de l’une des PME bénéficiaire du plan de relance automobile…  

MAILLOT : Et si le pensionnaire de l’Elysée effectuait un jour ou l’autre un déplacement surprise au sein de l’unité de production de la PME industrielle sénonaise ?!

A cette question, la réponse engendre un large sourire sur le visage de Dominique VIE, le dirigeant de cette structure qui vient d’obtenir dans le cadre du plan de relance automobile une aide très appréciable d’1,23 million d’euros.

A défaut d’Emmanuel MACRON, c’est bel et bien le ministre délégué auprès du ministre de l’Economie, des Finances et de la Relance, en charge des Comptes Publics Olivier DUSSOPT qui pénètre dans les ateliers de la SAS pour une immersion instructive de plus d’une heure.

Le représentant de l’Etat n’y est pas seul. Outre le préfet Henri PREVOST qui connaît bien les lieux depuis sa précédente découverte, l’accompagnent dans cette plongée inéluctable vers les arcanes de l’industrie la députée de la troisième circonscription Michèle CROUZET, la sénatrice Marie EVRARD ou encore des élus de l’Agglomération.

 

E

 

 

Ecoutant avec intérêt les propos explicatifs de ses deux guides, Dominique VIE et son fils Antoine, Olivier DUSSOPT est venu constater de visu que la PME ne sombrait pas dans le marasme imputable à la crise sanitaire du moment aux relents nauséabonds pour l’économie.

Les projets de développement de la SAS sont nombreux avec la construction de nouveaux locaux et surtout une volonté chevillée au corps d’accroître la modernisation de la structure.

 

 

 

 

 

Des projets stimulants pour l’avenir…

 

Retenu parmi les 110 projets nationaux qui profiteront du plan de relance automobile, au même titre que FRUEHAUF à Auxerre, BOUDIN recevra la coquette somme d’1,23 million d’euros pour préparer les différentes étapes de son agrandissement.

Dans le domaine de l’outillage, l’entité se dotera à l’avenir de matériel de vingt-cinq tonnes qui lui permettra de gagner en performance au niveau des moules et de répondre ainsi à de nouveaux marchés.

Naturellement, le manque de place actuel sera compensé par un espace de travail plus en phase avec ses nouveaux besoins. Soit 2 200 mètres carrés d’atelier et 400 mètres carrés de bureaux : le Graal à l’état pur pour tout chef d’entreprise qui se respecte !

 

 

Autant d’éléments informatifs que Dominique et Antoine VIE ont pu transmettre au ministre de manière orale lors de sa déambulation parmi les postes névralgiques de l’entreprise.

La PME emploie à ce jour vingt-cinq collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de près de deux millions d’euros. Toutefois, il lui faudra s’armer de patience  jusqu’en 2023 pour que sa nouvelle unité soit opérationnelle. Cependant, elle sera source d’emplois supplémentaires avec l’embauche une demi-douzaine de salariés. L’avenir s’envisage donc avec un grand « A » chez BOUDIN SAS : une conclusion heureuse qui aura conforté Olivier DUSSOPT dans son choix de visite…

 

Thierry BRET

 

 

 


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Le 14 février, nous fêterons la Saint-Valentin ! Journée poétique, romantique, pleine de mots doux, de petits cadeaux et de fleurs. L’histoire des origines est contestable. Voire contestée. Pour certains, ses prémices datent de la Rome antique. Pour d’autres, la fête des amoureux est attestée en Grande-Bretagne au XIVème siècle ! A cette époque, on pensait que les oiseaux choisissaient ce jour-là pour s’apparier ! Si on ne recense pas moins de huit Valentins devenus saints, avec différentes protections associées (guérisons de maladies, vaches, oignons, apiculture…), l’Eglise se concentre sur un prêtre mort le 14 février 270, fervent défenseur du mariage, qui deviendra le saint patron des amoureux.

TRIBUNE : Le XXème siècle consacrera la fête laïque avec son cortège de Cupidons en pendentif, de dîners aux chandelles, de champagne et de cadeaux. Il semble important d’ajouter que l’amour ne s’achète pas : il se célèbre, tout simplement !

« Je t’aime » : c’est universel et se décline dans toutes les langues. « Je t’aime » de A comme Albanais « Unë Të Dua » à Z comme Zoulou « Ngiyakuthanda »…Petit tour du monde des amoureux en fête !

Au Japon, la fête est propulsée entre 1936 et 1960 par les fabricants de chocolats. C’est ainsi que la coutume veut que lors de cette journée particulière, on s’offre des confiseries à base de cette onctueuse matière. Ce sont les femmes qui offrent des chocolats aux hommes. D’abord par obligation sociale (collègues de travail), le «giri-choco », puis les chocolats sont réservés à l’homme qui compte le plus. On appelle cela le «honmei-choco ». Notons aussi le « tomo-choco » destiné aux amis et enfin, le « jibun-choco », ceux que l’on s’offre à soi-même.

Un mois plus tard, le 14 mars, les hommes doivent acheter un cadeau à celles qui ont offert les fameux chocolats ! Ce jour est appelé le « white day », généralement, ces cadeaux doivent être de couleur blanche. Alors kanpai avec ou sans saké ! Et « Kimi o ai shitern », traduisez par « je t’aime ».

Au Danemark, dans le pays de Karen BLIXEN, l’homme écrit une lettre d’amour à la femme qu’il aime. Il doit signer avec autant de points qu’il y a de lettres dans le nom de l’auteur ! Ensuite, la femme doit deviner le nom du galant. Si elle réussit, elle recevra un œuf de Pâques !

On a aussi coutume d’offrir des bouquets de perce-neige. En danois, « je t’aime » a quelques résonances de la langue de GOETHE : « Jeg elsker dig ».

Du côté de l’Ecosse, la première personne de sexe opposé, ou pas, que vous croisez dans la rue le jour de la Saint-Valentin, devient immédiatement votre Valentine ou votre Valentin !

Certes, cela reste symbolique car doit se limiter à un grand sourire…Et entre deux verres de whisky, on se déclare : « tha goal aga ort ».

 

 

Des messages d’amour sur des mandarines jetées à l’eau à Singapour…

 

En Afrique du Sud, ce jour-là, les femmes doivent épingler le nom de leur amoureux sur leur manche…et dire « ek hit jou lief ».

Quant au Mexique, on y célèbre l’amour mais aussi l’amitié. On marque ses sentiments à chaque personne pour qui on éprouve un ressenti amoureux. Je t’aime au Mexique, c’est comme chez CERVANTES « te quiero »…On dit « te quiero » avant de partir à la conquête des moulins à vent

A Taïwan, on fête deux fois la Saint-Valentin : une fois le 14 février et une deuxième fois, le 7 juillet. Si un homme offre 108 roses à une femme lors de l’un de ces deux jours, c’est qu’il la demande en mariage. Sans la censure de la reine Victoria, on ose dire ici : « I love you ».

A Rio de Janeiro comme dans l’ensemble du Brésil, « Dia dos mamorados » est le jour des amoureux qui est fêté le 12 juin. On fait la fête avec la personne aimée. Il faut aoûter une fête des célibataires, veille de la Saint-Antoine, protecteur des amoureux, qui doit permettre aux femmes seules de trouver un époux… Les fados d’Amalia RODRIGUEZ sont remplis de « Te amo »… Si proche de « Io amo » du roi de la fête, Roméo…

En Lituanie, on colle des autocollants sur le visage et les vêtements de ses collègues, amis et amoureux ! On peut aussi écrire : « Tave mylin » !

Plus loin de nous, à Singapour, les femmes célibataires écrivent des mots d’amour sur des mandarines avant de les lancer sur un cours d’eau, dans l’espoir de trouver un mari ! On peut dire, je t’aime dans la langue tamoule : « Nan unnai necikkirin », mais en anglais on sera compris !

Dans le pays des rennes, en Finlande, cette journée correspond au championnat du « port de la femme ». Epreuve qui consiste à porter la femme lors d’une course d’obstacles entre couples. Le gagnant reçoit le poids de la femme en bière ! Il déclare sa flamme en disant : «  Mina nakastan sinna » !

Aux Philippines, de nombreux couples se rejoignent : c’est le jour de « Lova paloouza ». Dans la baie de Manille et à minuit, tous les couples s’embrassent en gardant les lèvres jointes pendant plusieurs secondes ! C’est aussi l’occasion, dans le cadre d’un mariage de masse, de s’unir gratuitement et de se dire « Mahal kita ».

 

 

En Arabie saoudite, la fête est proscrite par l’Etat…

 

La Chine ne fait pas abstraction de cette célébration. La fête y est célébrée le 14 février mais surtout le 7 juillet du calendrier lunaire, le jour du « double 7 », la grande fête des amoureux. Dans les deux cas, on se dit des « Wo ai ni ».

En Russie, c’est la journée des familles, de l’amour et de la fidélité. Pour les familles orthodoxes, les couples affichant une longévité de vingt-cinq ans ou plus, reçoivent une médaille. C’est nettement moins coûteux que nos noces d’argent…Les plus romantiques lisent des extraits de « poèmes à Lara » et murmurent des « ya lioubliou ticbia ». Na zdorovie ! Tchin tchin si vous préférez !

Les Etats-Unis dépensent plus de 19 milliards de dollars en cadeaux en tout genre ; les Autrichiens défilent dans les rues. Chez nos amis britanniques, on est aussi adepte du dîner aux chandelles tandis qu’au Portugal, les femmes offrent des alcools et du vin contre des chocolats.

En Irak et en Egypte, les vitrines arborent des décorations rouges et invitent les amoureux à s’offrir des cadeaux. Depuis 2008, en Arabie Saoudite, cette fête est interdite. Mais, tout se passe sous le manteau, plutôt sous la burka. En Italie, les chocolats sont enveloppés dans des messages d’amour.

Souvent, dans les anciennes colonies d’Afrique, la Saint-Valentin est fêtée comme une pièce rapportée aux traditions locales.

On voit donc qu’il n’y a pas de frontière pour fêter l’amour universel. Le 14 février enflamme la planète de mille feux de joie et de douceur.

Les scientifiques nous confient que l’immunité est renforcée par le positif, les bonnes nouvelles, l’amitié, l’affection et l’amour. Alors, abusons de l’amour, le meilleur antidote pour juguler nos épidémies, en évitant les doses homéopathiques et sans modération !

Quelle que soit la façon de célébrer la Saint-Valentin, seule, la chaleur humaine, des notes d’amour empreintes d’originalité et pourquoi pas de folie, font oublier durant quelques instants la morosité ambiante !

 

France C.

 


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