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Trois demoiselles du centre de formation agricole du CFA La Brosse ont obtenu le Graal en disputant vendredi dernier les épreuves de la sélection départementale du concours de l’un des « Meilleurs apprentis de France », catégorie « palefrenier-soigneur ». Des filles cousues d’or qui poursuivront l’aventure en prenant part à l’épreuve régionale les 30 et 31 mars…

 

VILLEFARGEAU : Elles se nomment Clara BONIN, Suzanne CONSTANT et Leïa QUAAK. Des férues de la chose équestre. Des passionnées qui ont converti leur amour indéfectible pour le plus noble des compagnons de l’homme - le cheval – en activité professionnelle. Du moins, une fois qu’elles seront sorties de leur période d’apprentissage, sanctionné comme il se doit par un diplôme obtenu au CFA La Brosse.

Un centre de formation éducatif que l’on ne présente plus – celles et ceux qui ne le connaissent pas encore auront tout le loisir de le découvrir lors de ses journées portes ouvertes dont celle de ce samedi 18 mars – concourant pour la première fois de son existence dans l’une des plus belles épreuves mettant en exergue le travail et le savoir-faire des jeunes apprenants : le concours de l’un des meilleurs apprentis de France. Précisément dans cette catégorie reine de la découverte pédagogique des métiers équestres : le palefrenier-soigneur. Une session départementale à laquelle prenait part une petite dizaine de candidates – neuf exactement – issues du centre auxerrois.

 

Un copieux programme à aborder durant l’épreuve…

 

L’épreuve fut accueillie chez l’un des partenaires du CFA La Brosse, en l’occurrence le centre équestre de Villefargeau, situé à quelques kilomètres d’Auxerre. Un cadre champêtre très agréable, disposant des infrastructures idéales pour y réaliser son concours dans d’excellentes conditions, et de surcroît de magnifiques chevaux qui se prêtaient avec grande docilité aux soins des jeunes prétendants au titre. Ajoutons que « Cheval Pro » avait mis à disposition des candidats le matériel et les équipements adéquats.

Parmi les épreuves de la journée – les puristes de la chose équine apprécieront le copieux programme -, citons la mise au paddock, l’entretien d’un box, l’identification et les soins à prodiguer à l’animal, le toilettage, la présentation du cheval lors d’une visite vétérinaire, etc. Pour parfaire le tout, un QCM (questionnaire à choix multiples) fut aussi proposé aux courageuses jeunes femmes afin de les tester sur leurs connaissances générales et animalières.

 

 

Sur neuf candidates, six reviennent avec une médaille…

 

Président délégué au MOF de Bourgogne, l’incontournable spécialiste des concours favorisant la valorisation des apprentis, Marc LABARDE – il était affublé de sa célèbre écharpe rouge ! – assistait à la remise des prix après s’être longuement immergé dans le monde du cheval ; lui qui a jadis obtenu le titre suprême de « Meilleur Ouvrier de France » (MOF) dans une spécialité méconnue du grand public : « conseil en solution énergétique et économie d’énergie » ! Une discipline aux antipodes de la cause équestre qui depuis le volontarisme politique de la gouvernance de promouvoir la transition énergétique et les conséquences néfastes des crises liées à la surconsommation des énergies auprès des ménages pourrait bien faire des émules à l’avenir…

Le bilan de la manifestation devait satisfaire la directrice du CFA La Brosse, Hélène DECULTOT-TREMBLAY. Sur les neuf candidates en lice pour cette édition 2023, six d’entre elles obtenaient une médaille dont l’or pour les trois jeunes filles déjà citées à l’ouverture de cet article.

Dans une quinzaine de jours, l’objectif de ces trois lauréates, lors de l’épreuve régionale, sera d’aller encore plus loin vers les sommets en visant la qualification pour la finale hexagonale…Impossible n’est pas Icaunais pour ces amies avérées des chevaux !

 

 

En savoir plus :

 

Les récipiendaires des médailles d’argent sont :

Molie BOLLEA, Ornella GRILLOT et Camille LUBOUE.

Les récipiendaires des médailles d'or sont :

Clara BONIN, Suzanne CONSTANT et Leïa QUAAK.

 

Thierry BRET

 

 

 


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La sortie du palmarès étoilé « Michelin », puis de sa version papier en librairie, constitue chaque année un marqueur de l'actualité gourmande. Bien sûr, ce « jeune homme » de 123 ans que l’on peut trouver parfois un peu trop ou pas assez en matière d'avis, reste une référence à laquelle votre serviteur n'échappe pas d'ailleurs ! La version papier, après quelques errements passés, semble avoir enfin retrouvé quelques-uns de ses fondamentaux…

 

TRIBUNE: Une couverture rigide, un référencement alphabétique des localités, en lieu et place d’un ridicule classement régional ainsi que des hôtels, supprimés en 2022 (on se demande bien pourquoi ?!) : si « Bibendum » veut avoir l'air d’être dans le vent, il ne doit pas cependant négliger les basiques du succès qu'il constitua jadis avec soin d'ailleurs !

Un petit bémol pourtant : la catégorie « Bib gourmand » apparaît désormais sans limite tarifaire. Celle-ci constituait depuis 1997 (date de la création de cette catégorie) un marqueur aussi net que  précis : tel prix pratiqué en province, un peu plus cher à Paris.

Qu’en est-il de cette édition 2023 pour le département de l’Yonne ? C’est le statu quo. L’Yonne est à marée basse avec seulement deux « Bibs gourmands », accordés aux « Chenets » à Valloux et aux « Trois Bourgeons » à 

Chablis. Alors qu’il y en eut jusqu’à six, voilà peu ! Comment comprendre l'absence de cette distinction pour la bonne cuisine servie au « Rive Gauche » de Joigny ?

Du côté des tables étoilées départementales, elles sont au nombre de trois : « La Madeleine » à Sens, « Le Château du Vault-de-Lugny » ainsi que « La Côte Saint-Jacques » à Joigny. Cette dernière laisse désormais apparaître le nom prometteur du jeune neveu de Jean-Michel LORAIN, Alexandre BONDOUX, agir aux côtés de son auguste oncle, y constituant ainsi la quatrième génération de cette saga familiale. 

 

 

L’Yonne évolue en seconde division par sa présence culinaire…

 

Une nouveauté est à signaler : le référencement du « Noyo » à Auxerre. Cela avait été annoncé dans nos colonnes voici quelques semaines. C'est indéniable,  l'Yonne mériterait un peu mieux en termes de présence...

Difficile cependant de rivaliser avec des départements comme la Vendée, le Vaucluse, le Var, les deux Savoie, le Rhône, l'Alsace, les Pyrénées-Atlantiques, le Nord - eh oui ! - le Morbihan, le Maine-et-Loire, la Loire-Atlantique, la Loire, le Loir-et-Cher, l'Indre-et-Loire, l'Ille-et-Vilaine, l'Hérault, la Gironde évidemment, le Finistère, la Dordogne, la Charente-Maritime, le Calvados, les Bouches-du-Rhône ou encore les Alpes-Maritimes.

Ces départements constituent une sorte de « Ligue 1 » touristique, et nous ne sommes qu’en division inférieure avec seulement quinze adresses référencées. La Nièvre pointe, quant à elle, parmi les derniers du peloton avec cinq établissements…

 

 

 

Pas grand-chose à se mettre sous la dent en Bourgogne, côté nouveautés !


On peut penser aussi que nos dirigeants départementaux et autres collectivités pourraient impulser quelque chose en la matière, en essayant d'accueillir de jeunes talents culinaires et faciliter ainsi leur installation grâce à des aides. Que sais-je ?

Reconnaissons que cela ne semble pas à l'ordre du jour ! Même le magazine d'informations du Département a supprimé la petite chronique des tables locales, c'est dire !
Peu de nouveautés en Bourgogne, sauf en Côte d'Or où deux tables « bobos » dijonnaises émergent, une table au cœur du joli vignoble de Saint-Aubin, une auberge dans la belle bourgade de Semur-en-Auxois et aussi  « L'Auberge de Guillaume », sise à Vandenesse-en-Auxois. Le truculent chef MOF qui la dirige méritera sûrement notre attention gourmande l'année durant, avant le Michelin 2024 !

Le guide adore être là où on ne l'attend pas forcément. Là est aussi sa force !

 

 

Si deux étoiles étaient vaguement attendues dans la verdoyante Saône-et-Loire, il faut reconnaître qu'on les voyait attribuer ailleurs qu'à « L'Amaryllis », sise  à Saint-Rémy, au sud de Chalon-sur-Saône.

Après Sennecey-le-Grand, le chef Cédric BURTIN s'est établi dans ce paisible moulin, voilà une douzaine d'années. Ce cuisinier au fort joli parcours (il a été formé par le formidable Daniel DOUCET à Charolles, puis par Pierre ORSI à Lyon, enfin par Paul BOCUSE par la suite...) est valorisé par le « Michelin » pour sa cuisine sublime et ses sauces superbes.

Nous vous y emmènerons un de ces jours prochains, d'autant que le service y est décrit comme impeccable. Bravo à ce chef quarantenaire et sa brigade ! La Bourgogne compte désormais vingt-trois tables possédant une étoile, cinq tables aux deux étoiles (l'une devrait fermer néanmoins en cours d'année à Saint-Amour...) et une table trois étoiles à Chagny (« Chez Lameloise »).



Gauthier PAJONA

 

Dans la seconde partie de cette rubrique à paraître, gros plan sur le nouveau triple étoilé de cette édition, « La Marine », sur l’île de Noirmoutier…

 

 

 

 


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Ils ne sont pas légion à la recevoir et cela reste un honneur qui sied bien à l’ancien patron du SDIS 89, le colonel Jérôme COSTE. Déjà titulaire de l’Ordre national du Mérite, le « soldat du feu », aujourd’hui retraité, a été fait chevalier dans l’ordre de la Légion d’honneur. Une distinction qui couronne toute une carrière au sein des sapeurs-pompiers, faite d’engagements et dévouement au service d’autrui. La cérémonie s’est déroulée en présence d’anciens collègues et amis ayant jalonné quarante ans durant, sa vie professionnelle au fil des différentes affectations.

 

ESCOLIVES-SAINTE-CAMILLE : Pour ses détracteurs, ce n’est qu’un « hochet de la République » épinglé à tort et à travers en retour de services rendus, là où ses thuriféraires y voient la plus haute décoration honorifique existante à ce jour, avec pour seul critère d’obtention, le mérite. Notamment par le biais d’activités au bénéfice de l’intérêt général et de la Nation exercées pendant au moins deux décennies. Une définition en symbiose avec le parcours de celui qui débuta sa carrière le 26 janvier 1981, jour de ses seize ans, en intégrant les rangs des sapeurs-pompiers volontaires d’Avallon, sa ville natale. Avant de la refermer le 30 mars 2022 avec le grade de colonel en qualité de directeur du Service Départemental d'Incendie et de Secours (SDIS). La passion chevillée au corps « des camions rouges, des deux tons et de l’odeur du cuir dans les vestiaires », avec le bonheur d’en avoir fait un métier.

 

La para-médicalisation des secours par les pompiers est à conforter…

 

Dans son allocution, Jérôme COSTE est revenu sur les étapes de sa carrière, dédiant chaque élément de sa médaille aux différentes compagnies l’ayant accueilli successivement, au premier rang desquelles, les sapeurs-pompiers d’Avallon, « c’est à vous mes formateurs, vous mes copains d’alors, que revient le premier rayon de l’étoile de cette médaille ».

De son séjour ultérieur en Seine-et-Marne dans les années 90, où il put bénéficier d’un dispositif de formation continue sans pareil, l’ancien soldat du feu se souvient d’avoir été dès cette époque, « persuadé que la para-médicalisation des secours par les infirmiers sapeurs-pompiers était une voie d’avenir et alors que la pénurie médicale ne cesse de s’accroître sur notre territoire, leur place reste encore à conforter… ».

 

 

« Un monde consumériste plus prompt à revendiquer la paresse que le travail… »…

 

Suivront un premier commandement en qualité de chef de corps dans l’Ain et la découverte du réseau associatif, « ciment entre les hommes et véritable richesse du monde pompier », auxquels succédera pendant plus d’une décennie, une parenthèse jurassienne où il put mesurer l’importance de la fracture territoriale entre zones urbaines et territoires ruraux, d’où ce coup de griffe dans le discours : « à court terme, la distribution des secours dans les départements à dominante rurale est clairement menacée. Dit autrement, c’est une utopie et j’ose même dire que c’est une faute, que de voir appliquées des règles homogènes à des territoires dont les caractéristiques sont hétérogènes… ».

A l’heure où le volontariat est en berne un peu partout, y compris chez les sapeurs-pompiers, le discours du colonel COSTE résonne douloureusement : « c’est le socle sur lequel repose notre modèle d’organisation de la sécurité civile, à l’instar du bénévolat associatif… J’invite chacun, à repenser l’exercice d’activités de type bénévolat ou volontariat, dans un monde consumériste, par ailleurs plus prompt à revendiquer la paresse que mettre en avant la valeur du travail… ».

 

 

 

Pléthore de personnalités pour saluer un parcours hors du commun…

 

Ils étaient nombreux samedi matin pour entourer et fêter le récipiendaire du jour. Outre le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, étaient présents notamment, le président du Conseil départemental Patrick GENDRAUD, la sénatrice Dominique VERIEN, le député André VILLIERS, le conseiller d’Etat et ancien député de la circonscription Guillaume LARRIVE ainsi que Christophe BONNEFOND, président du SDIS 89, Crescent MARAULT, président de la Communauté de l'Auxerrois et le maire de la commune, Philippe VANTHEEMSCHE. Tous venus saluer le parcours hors du commun d’un homme qui de son propre aveu, « n’a pas fait de grandes études » … Un Homme, tout simplement, avec un grand « H » !

 

 

En savoir plus : 

C’est le colonel Daniel ORY, président d’honneur de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, qui a remis les insignes de chevalier de la Légion d’Honneur à son frère d’armes, Jérôme COSTE.

Dans son discours, le colonel COSTE n’a pas manqué de saluer le rôle de son épouse Patricia et de sa famille, tout au long de sa carrière : « qui a quasiment tout géré à la maison et je n’en suis pas particulièrement fier ! ».

 

Le temps de son intervention, le préfet de l’Yonne, Pascal JAN, a salué l’action menée par Jérôme COSTE pour développer le volontariat : « il y a une problématique fondamentale à laquelle vous avez contribué, qui est celle du volontariat et on sait combien aujourd’hui, les sapeurs-pompiers volontaires, sont déterminants dans l’efficacité et l’efficience de ce service public que l’on doit aux populations… ».

 

Dominique BERNERD

 

 


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Rançon du succès oblige, la romancière, journaliste et animatrice des réseaux sociaux – son blog automobile « Charlotte au volant » y attire toujours autant d’aficionados férus de critiques décapantes - se prépare à faire ses valises afin d’assurer la promotion et les séances de dédicaces qui vont de pair, après la publication de son dernier opus. Troisième volet d’une saga épique, mettant sous le feu des projecteurs une curieuse héroïne un brin décalé – toute ressemblance avec l’autrice serait-elle donc fortuite ?! -, « Le Journal d’une pétasse confinée » sort de son isolement pour mieux se faire connaître à travers l’Hexagone !

 

AUXERRE: La mayonnaise fonctionne toujours. Sa texture est tout aussi savoureuse en bouche qu’à l’identique de ses précédents opus, comme peuvent l’être les historiettes de l’héroïne principale de ce roman peu ordinaire à mettre entre toutes les mains si votre moral ne vire pas nécessairement vers le beau fixe ! Et même si notre « Pétasse » semble totalement blasée, perplexe et anéantie après deux ans de crises sanitaires à répétition et autant de périodes de confinement au fil des pages de ses nouvelles aventures, il n’en reste toujours que le meilleur à prendre : soit la quintessence de bons mots et d’attitudes désopilantes qui l’a font réagir face à des situations existentielles des plus cocasses.

Publié voici quelques semaines, le nouveau volet de cette trilogie à la manière plus drolatique et décalée que le triptyque marseillais de Marcel PAGNOL rencontre déjà le succès auprès d’un lectorat (pas seulement féminin d’ailleurs), devenu fidèle et accro aux écrits pittoresques de la romancière icaunaise. Oui, peut-on dire en filigrane dans son œuvre, que l’on peut rire de tout, même d’un contexte engendrant la déprime, l’anxiété à outrance, l’angoisse et la névrose. Bref, bienvenue dans le monde aseptisé dans lequel l’humanité a vécu durant plus de deux saisons avec la COVID pour seule compagnie ! Une épreuve difficile à surmonter pour une « Pétasse » qui se respecte !

 

Une tournée de dédicaces qui passe par Cannes et Valence…

 

Après quelques séries de dédicaces, plutôt fructueuses ceci dit au niveau des ventes de l’ouvrage, accordées dans le microcosme auxerrois, Anne-Charlotte LAUGIER en baroudeuse et aventurière qu’elle est de temps à autre lorsqu’elle se décide à tester derrière le volant la nouvelle production motorisée d’un constructeur automobile à l’autre bout de la France, en est quitte pour assurer désormais la promotion de son bouquin, commercialisé sur toutes les bonnes plateformes de vente en ligne.

Un périple qui va l’emmener du côté de la Saône-et-Loire, non loin de Mâcon, la cité chère à LAMARTINE, à Crèche-sur-Saône le 11 mars, dans l’Aube voisine, à Troyes pour deux dates les 25 mars et 08 avril – la ville où les vitraux sont rois ! -, avant de pousser le voyage un peu plus loin du côté de la Côte d’Azur à Cannes, puis à Valence, à Tours, etc. Des pérégrinations livresques à la rencontre de son public conçues en partenariat avec le groupe CULTURA qui lui offre un corner à chaque étape de ce Tour de France, devant s’étendre au fil des semaines.

Jamais à court de projets – elle incarne également le personnage emblématique de son œuvre épistolaire sur la scène théâtrale seule devant le public -, Anne-Charlotte LAUGIER poursuivra-t-elle sur sa lancée en publiant de nouvelles péripéties de son héroïne dans les mois qui viennent en s’inspirant de l’actualité intense du moment (« Le Journal d’une Pétasse face à la réforme des retraites », « Le Journal d’une Pétasse confrontée à l’inflation galopante »…) ? Quoi qu’il en soit : les sujets où elle peut immerger son affriolant personnage ne manquent pas et pour le reste, la romancière possède les arguments et le talent pour les narrer…

 

 

En savoir plus :

« Le Journal d’une Pétasse confinée » est paru aux éditions RAMSAY.

 

Thierry BRET

 


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Et un fanion dédicacé par tous les membres du club remis à Matthieu CHAPPUIS, l’un des dirigeants de FESTINS pour son dévouement qualifié d’exceptionnel. Et un fac-similé de chèque d’un montant de 3 000 euros offert à Gérard LECOLE, président de l’association « Cap Saint-Martin » afin d’y financer des travaux de réfection de la « Maison d’Hélène », lieu culte et altruiste que les malades du cancer connaissent bien dans la région. Décidément, le Lions Club Auxerre Phoenix aura su faire des heureux avec les royalties de sa « Soupe des Chefs », toujours aussi savoureuse…

 

APPOIGNY : Quelques-unes des toques généreuses ayant contribué au succès de la manifestation n’auraient manqué sous aucun prétexte le rendez-vous proposé ce soir-là par les membres du club service auxerrois. On y retrouvait avec réel plaisir Jean-Pierre VAURY « Le Moulin de la Coudre » à l’instar d’Eric GALLET du « Bourgogne » tout comme l’hôte de ces lieux qui accueillaient la cérémonie protocolaire de remise de chèque, Matthieu CHAPUIS, représentant les couleurs de la maison FESTINS.

Mention toute particulière aussi pour des partenaires indéfectibles de cette « Soupe des Chefs », quatrième du nom, qui prenaient sur leur précieux temps de travail pour assister à pareille fête. N’est-ce pas Jérôme LECOMTE incarnant « OPTIC 2000 » !

Naturellement, le président de la structure associative « Cap Saint-Martin » était de la partie avec sa gentillesse et sa bienveillance habituelle ! Normal : Gérard LECOLE n’allait pas repartir les mains vides de cette séquence chaleureuse et conviviale, en qualité de bénéficiaire de l’action sociale portée par le Lions club du cru.

 

 

Un stand où les soupes s’arrachèrent en deux petites heures !

 

Et même s’il devait tenir droit devant lui un fac-similé de chèque face aux objectifs des appareils photographiques et autres smartphones devant l’immortaliser après la réception du don, c’est bien avec une coquette somme de trois mille euros dans son escarcelle que le dirigeant associatif allait quitter le site du « Plaisir des Mets », l’une des unités de production des FESTINS de Bourgogne.

Que faire avec trois mille euros qui tombent presque tout cru du ciel ?! Plein de belles choses, assurément, comme l’a expliqué Gérard LECOLE lors de sa prise de parole.

« On a besoin de dons pour améliorer l’univers des malades, rappela le président, surtout que Cap Saint-Martin dispose désormais de trois antennes supplémentaires, accueillies à Saint-Georges-sur-Baulche, Carisey et Villeneuve-sur-Yonne. Cela évite de les emmener en Puisaye à Saint-Martin-sur-Ouanne… ».

Frédéric DOS SANTOS, président du Lions auxerrois – l’un des deux clubs existants dans la capitale de l’Yonne – se félicita de la tournure de la manifestation, concoctée le jour de la Foire Saint-Martin qui eut un écho favorable vis-à-vis du public puisque le stand où étaient vendues les soupes préparées gracieusement par les chefs fut dévalisé en l’espace de deux petites heures !

 

 

Sept membres pour porter un tas de projets : le recrutement est ouvert !

 

Un succès plus que d’estime en fait car les habitués de ce rendez-vous un brin gastronomique raffolent de ces veloutés, potages et autres consommés conçus à base de légumes de saison par des chefs au nombre de six à l’esprit solidaire. L’une des adhérentes du Lions, Pascaline CHAROY, plaisanta même de cette commercialisation réalisée au pas de course, souhaitant que les « soupes soient vendues un peu moins vite la saison prochaine ! ».

Soit 750 bouteilles qui se seront écoulées dans un laps de temps record. Peut-être, en faudrait-il davantage pour tenir les délais sur la journée entière ? Aux chefs de se remettre aux fourneaux et d’en produire le double, comme cela devait être suggéré malicieusement par certains membres !

Pour la suite du calendrier, le Lions club Auxerre Phoenix prévoit de se remettre à l’ouvrage avec un parcours santé facilitant la détection du diabète, la vente de roses jaunes au profit de « France Alzheimer 89 », une action commune – celle-ci reste à déterminer – avec le club Inner Wheel, etc.

D’autres idées émergent déjà dans les têtes bien remplies de projets des…sept membres du club qui en appellent à la bonne volonté et au recrutement afin d’étoffer leur équipe de bénévoles.

Particularisme de ce club : il est le seul Lions de France qui réalise ce type d’opération – le concept fait pourtant florès dans bon nombre de clubs de l’Hexagone toute obédience confondue – en proposant à l’appui un magazine pertinent, vantant la qualité des chefs et de leurs produits à déguster sans modération. Un média papier conçu avec le soutien de partenaires financiers, naturellement.

Quant à l’enveloppe de trois mille euros octroyée à « Cap Saint-Martin », elle servira à des travaux de réfection de la « Maison d’Hélène » afin d’y optimiser l’accueil des malades venus se ressourcer à Saint-Martin-sur-Ouanne.

 

Thierry BRET

 

 

 


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