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Terminant dimanche soir en tête de tous les candidats aux élections municipales à Auxerre, le candidat de la droite et du centre en appelle au sens des responsabilités pour faire face à la crise sanitaire de grande ampleur qui s’abat sur le pays. Pour lui, il n’y a pas d’autres alternatives que de programmer le second tour du scrutin plus tard…   

AUXERRE : Le candidat de la droite républicaine et du centre a fait connaître sa position sur la question fondamentale qui brûle les lèvres de tous les observateurs de la vie politique depuis vingt-quatre heures. Faut-il décaler la date du deuxième round des élections municipales ?

Un communiqué de presse diffusé dans la journée de ce lundi 16 mars a permis d’en savoir davantage sur la pensée de celui qui est arrivé en tête à l’issue de ce premier tour auxerrois.

« L’épreuve du coronavirus exige de nous de l’exemplarité et le sens des responsabilités, écrit Crescent MARAULT via ce document. Dans ce contexte, je suis favorable à un report du second tour par les autorités de l’Etat… ».

Invitant la population à prendre toutes les précautions qui s’imposent, Crescent MARAULT conclut ses propos en rappelant que « la santé de nos parents, de nos enfants et de chacun d’entre nous est le plus important… ».

 


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Il est encore trop tôt pour présager de l’avenir de ces municipales et de l’issue définitive du scrutin. Compte tenu du contexte si particulier et insolite qui émane de l’actualité. Mais d’ores et déjà, les leaders de la liste « Auxerre Ecologie La Ville envie », arrivée en troisième position au terme du premier tour, tendent une main bienveillante à Maud NAVARRE (« Les Printemps pour Auxerre ») dans le cadre d’une unité verte. Placée sous le sceau de la réconciliation ?

AUXERRE : Si le second tour des élections municipales devait se tenir dans la capitale de l’Yonne ce dimanche 22 mars prochain, les électeurs auraient à choisir entre quatre listes qui demeurent toujours en course pour la victoire finale.

Rappelons, en effet, qu’au soir de la précédente journée dominicale, Crescent MARAULT a viré en tête avec 37,25 % des suffrages, devant le maire sortant, Guy FEREZ (33,09 %) ; les deux candidats de la mouvance écologiste, Denis ROYCOURT (13,27 %) et Maud NAVARRE (10,90 %) formant le dernier carré d’as. Bref, une quadrangulaire qui ne manque pas de sel sur le papier.

Avant même que les choses n’évoluent au plan de la logistique et du probable report du second tour aux calendes grecques, les candidats de la liste conduite par Florence LOURY et Denis ROYCOURT se sont réunis en assemblée générale.

Il a ainsi été décidé de valider le rassemblement des deux listes écologistes dans le cadre de cet hypothétique second du tour de la fin mars. L’explication tient en deux points : le score important cumulé par ces deux listes qui représente près de 25 % des votants et surtout l’opportunité réelle d’ancrer durablement la transition écologique et sociale nécessaire pour la ville d’Auxerre et son agglomération.

Une véritable main tendue à Maud NAVARRE et à ses colistiers, après la période de désamour qui aura donné naissance à deux équipes de campagne à la coloration similaire.

Reste à connaître maintenant la position de la jeune femme qui a réussi le tour de force de qualifier sa liste pour la seconde manche de la compétition.

 


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Ecourtée pour laisser la place par écran cathodique au président Emmanuel MACRON qui intervenait à vingt heures, la prise de parole de Guy FEREZ candidat à sa propre succession n’en demeura pas moins dense et énergique. Face à un auditoire bien garni (plus de quatre cents personnes) qui avait bravé leur peur du coronavirus, le maire-président de l’Agglo fit un exercice oratoire de synthèse sans aucune note où il énonça toutefois plusieurs de ses grands chantiers à mener pour le bien-vivre à Auxerre. En conspuant l’ignorance et l’amateurisme de ses adversaires qu’il ne daigna point nommer…

AUXERRE : La pendule et la sécurité. Deux aspects essentiels qui sont à retenir au point de vue de la logistique de cet ultime rendez-vous avec les électeurs, vécu ce jeudi soir.

Pas un supporter de l’édile auxerrois n’aura pu échapper à la sagacité et aux contrôles sanitaires mis en place à l’entrée de la salle VAULABELLE qui accueillait ce tour de piste d’avant scrutin. Le coronavirus n’était pas invité à y rentrer. Par conséquent, et dans un esprit bon enfant, chacune et chacun des sympathisants se prêta volontiers au jeu du nettoyage des mains réglementaire. Avec discipline et bonhomie.   

La montre était elle aussi partie prenante de ces futurs échanges entre les orateurs et le public. En maître de cérémonie avisé pour garantir la vérification temporelle de l’exercice : Marc  PICOT (directeur du cabinet du maire) positionné aux avant-postes de la tribune. Il devait le répéter à maintes reprises à qui voulait l’entendre : les allocutions seront raccourcies pour suivre l’intervention télévisée du chef de l’Etat devant s’exprimer à 20 heures tapantes sur les mesures à prendre pour juguler la propagation invasive du virus inquiétant.

Directrice de l’école des Rosoirs et colistière de l’équipe « Un nouvel équilibre », Sophie FEVRE eut le privilège d’ouvrir le bal afin d’expliquer les motivations de son engagement. Elle insista lourdement sur le fait que « d’égrener des rêves utopiques auprès des Auxerrois sans les avoir budgétés au préalable ne constituaient pas les bases d’un programme pérenne et sérieux… ».

 

 

 

Placer la jeunesse et l’intelligence en orbite…

 

Puis, nimbé par la lumière de projecteurs blafards, arrive sur la scène un Guy FEREZ prenant possession du pupitre comme à son habitude. Pas de notes, et une maîtrise mémorielle qui lui permet de débiter le flux de ses pensées avec aisance…

D’abord, il remercie. Puis congratule ses colistiers. Ses fidèles, aussi. Ainsi que toutes ces voix anonymes qui apporteront leurs suffrages. Se faisant le prêcheur d’une grande fraternité où « les uns vivent avec les autres dans le respect et l’altruisme qui correspond à la règle d’or de son engagement dans la vie politique… ».

Viennent ensuite les espérances. Liées au renouveau incarné par ce printemps. Toutefois, elles ne dépendent pas de lui, tout seul. Le maire d’Auxerre s’en remet aux autres pour qu’il représente ce nouvel équilibre dont il est l’ardent défenseur. Une alchimie que puise son creuset d’idées et de dynamisme via la jeunesse qui l’accompagne dans l’aventure. Il faut aussi de l’audace. « Nous en aurons besoin demain et après-demain, clame-t-il haut et fort.

 

 

Curieusement, Guy FEREZ s’épanche. Un peu plus que de coutume. Pas sur son sort, non, mais sur l’image et le bilan qu’il pourrait laisser un peu plus tard. Une fois l’heure du retrait en politique venu. « Le plus loin possible, plaisante-t-il afin de rassurer ses troupes.

« Je ne veux pas être enfermé dans la nostalgie et le regret, confie-t-il, je veux simplement être un passeur : celui d’une nouvelle génération intelligente, brillante, qui œuvre au service de notre ville… ».    

Du petit lait à siroter voluptueusement pour les composantes trentenaires et quadragénaires de la liste. N’est-ce pas Mathieu DEBAIN ? N’est-ce pas Mani CAMBEFORT ? N’est-ce pas celles  et ceux  qui pourraient se révéler dans le futur mandat en cas de victoire ?

 

 

  

Le refus de l’amateurisme et de l’ignorance

 

Quant aux adversaires dont il prendra le soin de ne pas les nommer même s’il les a étrillés, l’édile en place se dit stupéfait, « voire estomaqué par trop de voix qui portent les stigmates de l’amateurisme et de l’ignorance ».

Puis, décochant une nouvelle flèche, « ce sont des voix suffisantes qui ont du mal à cacher leurs insuffisances ».

Appelant à opposer le front de l’expérience et des compétences à celui de l’amateurisme, Guy FEREZ insista ensuite sur la vision nécessaire que se doit de posséder un prétendant au précieux sésame municipal dans la future gouvernance.

Rejetant l’idée de répertorier l’ensemble du programme, l’orateur ponctua de quelques exemples bien saillants ses faits d’arme pour le prochain mandat.

« Demain, je veux conduire au même rythme les projets et le renouvellement urbain de nos quartiers, qu’il s’agisse des Rosoirs, de Sainte-Geneviève ou du cœur de ville. J’y tiens ! Au nom de l’unité de la ville, il est stupéfiant de penser que nous souhaiterions dresser tel quartier contre un autre ou telle catégorie de la population à une autre ! ».

Alors, oui, il le réaffirmera tout de go : il construira le nouveau parking de Saint-Vigile, il aménagera l’Arquebuse et la place des Cordeliers. En bâtisseur dont il se définit.

« Je ferai ce qui a été annoncé, car nous sommes des élus bâtisseurs ! Nous avons besoin de logements sociaux, et bien nous les érigerons ! Je m’insurge aussi quand on dit que je ne favorise pas l’investissement privé… ».

Preuve à l’appui avec les quarante nouveaux logements qui seront bientôt disponibles en centre-ville.

 

 

 

 

Le volet économique ne fut pas oublié de ce discours. « Quelle ignorance de dire que le dynamisme n’est pas au rendez-vous alors que l’Agglomération de l’Auxerrois englobe 18 % des habitants de notre territoire et qu’elle est porteuse de 30 % des emplois ! ».

Se rapprocher de l’Ile-de-France pour y développer des axes de travail autour du développement économique figure déjà dans les coursives depuis deux ans. Grâce à une symbiose maîtrisée avec l’intervention de Nicolas SORET (président du PETR Nord) et de l’Etat.

Quant à la finalisation du contournement sud de la ville, il intègre les futurs projets du programme, en étant d’ores et déjà budgété.

« Je pourrai évoquer la culture, la solidarité à l’égard de celles et ceux qui sont dans la précarité, le commerce, l’accessibilité aux personnes âgées et en situation de handicap, le tourisme, l’écologie…Mais au-delà de la servitude qui existe à assumer la gouvernance d’une ville (et je l’assume pleinement), ce que je sais, c’est que j’ai en moi la ferme volonté de poursuivre le chemin et d’inciter les Auxerrois à ne pas prendre le risque d’une période aventureuse en empruntant une autre voie… ».

En terme clair, et pour résumé, dans un environnement anxiogène, serait-il convenable de se dispenser de repères faits de compétences et de solidité pour Auxerre ?

La réponse sera dans les urnes dès le premier tour ce dimanche…

 

 

 


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Fidèle à ses méthodes usuelles, c’est-à-dire casser les codes de l’orthodoxie routinière en matière de communication, le candidat de la droite et du centre à la mairie d’Auxerre a réuni ses aficionados lors d’un ultime tour de piste d’envergure, salle Vaulabelle, jeudi soir. Devant quelques quatre cents supporters, acquis à sa cause, l’entrepreneur-candidat s’est glissé dans les habits d’un « Monsieur Loyal », qui a assuré l’animation et la scénographie participatives de ce show ayant pour objectif de rassembler. Un meeting choral où plusieurs de ses équipiers purent également s’exprimer…

AUXERRE : Il ne manquait que les light-shows et la présence des « pom-pom girls » pour que la fête soit complète dans cet univers un tantinet vétuste qu’est la salle municipale.

Au centre de celle-ci, départageant deux allées de chaises très vite garnies de leurs occupants, un vaste tapis couleur bleu sombre. Avant même que les choses ne débutent, on subodorait déjà que ce meeting, seul et unique rendez-vous de cette importance avant le premier tour des municipales, engendrerait son lot de surprises. A défaut, toutefois, d’être un vrai spectacle politique comme savent si bien l’exécuter les Américains !

Quant au pupitre, positionné en contrebas de l’estrade, il ne fera office que de lieu de prise de parole introductive et conclusive. Bref, sans doute peu habitué à ce type de rendez-vous, plutôt original sur sa forme, le public dut tourner la tête à maintes reprises pour suivre sur le long ruban bleu du revêtement au sol la déambulation des orateurs successifs qui allaient dérouler le programme du challenger au maire sortant.

Pour autant, la soirée ne pouvait s’enclencher sans qu’il n’y ait eu la moindre allusion à celui dont la mémoire vivace raviva tous les esprits. L’ombre du regretté Jean-Pierre BOSQUET, source d’inspiration et de réflexion du candidat en lice, planait très nettement au-dessus de l’assistance. Un hommage légitime lui fut rendu. Le temps que passe un ange. Celui de la vie éternelle ?

 

 

Ne pas être le maire d’une ville musée !

 

Puis, les choses s’accélèrent. Après la phase d’introduction réservée à Elisabeth GERARD-BILLEBAULT, le quadragénaire fédérateur des forces de la droite républicaine et modérée développa dans une longue intervention, ponctuée de salves d’encouragement, ses propos.

Il ne fallut pas attendre très longtemps pour que ne tombe une première banderille de l’orateur destinée à l’adversaire clairement identifié à battre.

« L’équipe sortante a beau essayer de faire l’autruche, nous sommes parmi les plus mauvais élèves des villes moyennes ! Sur 203 villes étudiées par le Commissariat général à l’égalité des territoires, Auxerre est classée parmi les villes les plus vulnérables… ».

 

 

Dès lors, les arguments fusèrent, les bons mots faisant réagir le public s’intensifièrent : « Je veux être le maire d’une ville qui ne sera pas un musée ! ».

Petit à petit, Crescent MARAULT se décontracta à la tribune, gagnant en facilité avant d’aborder deux sujets majeurs et structurants de son programme : la déviation Sud et la liaison ferroviaire, un dossier qui ressemble à s’y méprendre à une véritable arlésienne dans le landerneau. Puisqu’il n’est toujours pas résolu.

Au sujet de la déviation Sud : Crescent MARAULT s’interroge. « Comment peut-on dire sérieusement qu’on veut faire cette déviation et dans le même temps ne pas l’anticiper dans un document budgétaire alors que son coût est de l’ordre de 120 millions d’euros ? ».

 

 

Pratiquer une politique différente de celle des autres candidats…

 

Deuxième item intéressant : la liaison ferroviaire avec l’accès au plus grand pôle économique européen (l’Ile-de-France) dont il fait l’une de ses priorités.

« Ne nous mentons pas, Auxerre a déjà raté plusieurs trains dont celui de l’électrification de la ligne TER ! Le projet était programmé mais il a été abandonné par le maire sortant. Mais, faisons plutôt le pari d’attirer de nouveaux talents et les potentiels venus des métropoles par chez nous… ».

Sa rencontre, récente, avec la présidente de la Région francilienne, Valérie PECRESSE, dont il fera écho, s’inscrit dans ce cheval de bataille participatif.

Evoquant ensuite le taux de vacance commerciale qui atteint localement 19 % (soit six points de plus que d’autres villes de même taille), le candidat à l’estampille des Républicains, de l’UDI et du MoDem, s’engage à réamorcer la pompe pour sauver le centre-ville dès qu’il détiendra les pleins pouvoirs.

 

 

« Encourageons les propriétaires à rénover leurs façades avec des mesures incitatives, clama-t-il, déployons une stratégie commerciale faisant du cœur de ville une locomotive, pour tous les quartiers et même de l’ensemble du bassin ! ».

Critiquant le projet de construction d’un nouvelle zone de stationnement en hyper-centre, le porte-voix de la liste « Auxerre au Cœur » s’est attelé à donner sa vision personnelle qu’il se fait de la multi-modalité.

« Les quartiers de la gare Saint-Gervais et du port méritent d’être amplifiés, et surtout transformés. Il y a aujourd’hui près de deux kilomètres de distance entre la gare ferroviaire et la prétendue gare multimodale des Migraines qui soit dit en passant a coûté trois millions d’euros ! ».

 

 

Le logement social apparut ensuite dans le viseur du candidat. « Arrêtons d’en construire, souligna Crescent MARAULT, Auxerre compte aujourd’hui 35 % de logements sociaux alors que l’obligation légale s’élève à 25 % ! Ayons plutôt le courage de rééquilibrer le marché du logement auxerrois ! ».

S’arguant de vouloir pratiquer une politique singulièrement différente de ses opposants, le candidat de la droite et du centre énuméra quatre premières actions qu’il pourrait réaliser à court terme en cas de succès au soir du 22 mars.

Dans ce panorama applicatif, citons pêle-mêle la première heure de gratuité pour le stationnement en centre-ville, le renfort des effectifs de la police municipale qui ne compte pour l’heure que cinq personnes, la tenue d’une assemblée citoyenne sur des sujets économiques et sociaux ; enfin, le recrutement d’un manager de centre-ville. Ce dernier devra combiner trois domaines de compétence : le savoir-faire en matière d’urbanisme, la gestion du budget et la communication, pour mieux vendre le cœur de ville.

Pour conclure, Crescent MARAULT brossa un succinct portrait de lui-même. Mettant en exergue ses valeurs de chef d’entreprise « qui ne craint pas les responsabilités ». Et désireux de placer l’écologie en évidence parmi toutes les strates de son programme.

 

 

« L’économie circulaire et l’économie verte peuvent apporter ce qui est indispensable à notre ville : des emplois pérennes qui ne seront jamais délocalisés… ».

Considérant son engagement politique comme une mission ponctuelle, l’orateur précisa qu’il s’engageait à ne pas effectuer plus de deux mandats.

L’heure et demie de discussions et d’échanges avec la salle se poursuivit par les interventions thématisées, et plus ou moins minutées (!), de plusieurs de ses co-équipiers (Emmanuelle MIREDIN, Isabelle JOAQUINA, Carole CRESSON, Céline BAHR, Nordine BOUCHROU et Pascal HENRIAT…).

Avant que ne se lève le voile sur ces nouveaux visages de la droite et du centre auxerrois qui composent la liste, réunie au pied de l’estrade. Et les conclusions sous forme de synthèse du député de la première circonscription, Guillaume LARRIVE, qui s’est dit « très enthousiaste devant pareilles retrouvailles… ».

L’heure de l’ultime round de ce combat des chefs a donc sonné. Entre doutes et certitudes, on y verra un peu plus clair au terme de la journée dominicale qui pointe à l’horizon…

 

 


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Prévu initialement pour cette fin de semaine, le fameux rendez-vous des amateurs de veilles cylindrées et de véhicules d’exception ne peuvent qu’éprouver une profonde désillusion à l’annonce de l'annulation sine die de la manifestation. Eux qui attendaient avec impatience cet évènement annuel qui, pour l’heure n’a pas encore trouvé de date de remplacement dans le calendrier déjà chargé de Dijon CONGREXPO…

DIJON : Tout était paré pour que la fête soit belle dans les travées du palais des congrès de la capitale de Bourgogne. C’est loupé ! Ce maudit coronavirus aura eu raison, à l’instar d’une noria d’évènementiels qui disparaissent au fil de l’eau des agendas dans l’Hexagone, de ce rendez-vous réservé aux puristes et spécialistes de belles mécaniques.

Le directeur du développement et de la communication de Dijon CONGREXPO, François CONTET, a dû se soumettre aux appréciations des organisateurs de ce salon qui n’ont pas voulu prendre le moindre risque en matière de sécurité. Mais aussi de fréquentation à la baisse (ce qui était logique par effet gigogne) en termes de recettes.

L’édition 2020 de ce traditionnel Auto Moto Rétro ne verra donc pas le jour en ce printemps qui n’a rien de joyeux. C’est acté.

 

 

Reste à savoir à quelle période ce rendez-vous où se pressent des centaines d’aficionados de l’automobile de l’ancien temps et de motos aux lignes extraordinaires sera reprogrammé.

Interrogé, François CONTET marche sur des œufs car il ne peut confirmer à l’instant « t » une date cohérente. D’une part, la programmation du second semestre 2020 commence à être chargée. D’autre part, la multitude d’évènements reportés engorge les possibilités restantes au planning.

Dans l’expectative, le responsable du palais des congrès de Côte d’Or demeure prudent et attend de voir, selon la formule consacrée…

 

 


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