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Seize minutes pour convaincre ! Cela correspond au temps de diffusion de l’animation vidéo concoctée par IDXPROD qui illustre de manière pertinente et novatrice le projet de rebond d’un territoire, en l’occurrence celui de l’Auxerrois, prêt à se lancer un grand défi : l’optimisation de son attractivité à dix ans. Le document a été visionné vendredi matin par le directeur du programme national Action Cœur de Ville Rollon MOUCHEL-BLAISOT. Conquis par ces images, monsieur le préfet ?  

 

AUXERRE : Bien calé dans son fauteuil, à proximité de Crescent MARAULT, édile d’Auxerre et président de l’Agglo, le directeur du programme national Action Cœur de Ville, en charge du pilotage interministériel des ORT (Opération de Revitalisation des Territoires) au sein de l’Agence nationale de la Cohésion des territoires, scrute attentivement la moindre image qui est projetée face à lui.

Il est vrai que l’écran plat grand format du téléviseur placé devant l’assistance facilite la tâche en termes de compréhension du concept. Il renvoie des informations visuelles suffisamment explicites pour que ce grand commis de l’Etat, préfet de surcroît, comprenne dès les premières minutes de ce visionnage les enjeux essentiels du projet.

Le territoire de demain que désire inventer la nouvelle équipe décisionnelle, au pouvoir de l’Agglomération de l’Auxerrois, et par ricochet celle de la capitale de l’Yonne depuis bientôt un an, le plonge dans une contemplation silencieuse. Celle-ci est ponctuée de temps à autre par une remarque bienveillante.

« C’est un beau projet ! » lâche de façon inopinée l’ancien directeur général de l’Association des Maires de France, qui rompt ainsi le silence de plomb qui règne dans la salle.

Crescent MARAULT acquiesce en opinant de la tête. Nul ne parle parmi ce petit comité dont certains ont déjà vu et revu les images de ce territoire en phase de remodelage insérées dans ce moyen métrage.

 

 

 

Des commentaires à chaud, synonymes de satisfaction…

  

Quelques minutes plus tard, alors qu’est projetée sur l’écran la transcription du plan de déplacement doux et d’une forme novatrice de la mobilité intra-ville, nouvelle appréciation de Rollon MOUCHEL-BLAISOT : « Ce projet répond à ce besoin de travailler la dimension paysagère de l’urbanisme… ».

Les élus présents aux côtés du maire d’Auxerre (Isabelle JOAQUINA, adjointe chargée du commerce et de l’artisanat et Nordine BOUCHROU, adjoint en charge de l’urbanisme, des travaux et de l’accessibilité) le savent intérieurement : le projet de mandature tel qu’il a été présenté la semaine dernière en séance plénière de l’Agglomération vient de marquer un sérieux point.

Celui-ci est très précieux sans doute pour qu’il puisse intégrer la recherche de financements nécessaires à sa concrétisation, tant vers la sphère publique que privé, et l’obtention de subsides émanant précisément de l’organisme national dont a la charge Rollon MOUCHEL-BLAISOT.

 

 

Ce dernier, très investi sur les questions de centralité, d’aménagement du territoire, d’urbanisme commercial et de développement local assure en effet la direction de ce programme, Action Cœur de Ville.

Un concept qui est doté de 5 milliards d’euros consacrés à l’amélioration de l’attractivité des villes dites « moyennes ».

C’est sûr : les quatre axes de la transformation de l’Auxerrois illustrés par ce film conceptualisé par la start-up auxerroise IDXPROD n’ont pu que séduire le visiteur du jour.

Les atouts touristiques, commerciaux et patrimoniaux de ce bassin de l’Yonne à horizon 2031 se sont déclinés limpides au fil du contenu de ce fondu enchaîné, fait de propositions bien réfléchies traduites par des préconisations chiffrées.

Du grain moudre sous la forme d’arguments construits et anticipés par la visualisation de ces images que le directeur du programme national Action Cœur de Ville n’aura plus qu’à mouliner en cabinet de réflexion aux côtés de son pôle ingénierie pour en déterminer depuis Paris le montant d’aides nécessaires à sa concrétisation et le bouquet d’offres existants pour y parvenir…

 

Thierry BRET

 


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La France aurait-elle atteint un point de non-retour en matière de sécurité et de liberté profanée ? C’est ce que pense sans ambiguïté le leader du Rassemblement National qui, profitant de la présentation de ses partenaires icaunais engagés à ses côtés pour les échéances régionales, a pointé du doigt l’état de non-droit actuel. Bénéficiant du soutien inconditionnel des militants de l’Avenir Français, transfuges de Debout La France, le membre du bureau national de la formation bleu marine a placé sur le curseur des priorités les arguments sécuritaires en pôle-position…

 

AUXERRE : La France est-elle en état de déliquescence absolue en matière de sécurité ? Sans fioritures, la réponse formulée par le très médiatique porte-parole du Rassemblement National est plus que positive ! D’ailleurs, l’essentiel de ses propos, tenus lors de la présentation de ses colistiers icaunais lors d’une récente conférence de presse, ne laisse nullement la place aux doutes. L’Hexagone traverse une situation de crise aigüe et qui risque de perdurer longtemps si des mesures drastiques ne sont pas appliquées avec force et immédiateté.

Déplorant la perte de deux fonctionnaires dans l’exercice de leurs métiers, Julien ODOUL a eu une pensée et un temps de recueillement en mémoire du gardien de la paix Eric MASSON, abattu froidement dans une rue en Avignon.

Une tragique interpellation d’un dealer qui a viré au drame, provoquant l’ire du porte-étendard du RN en Bourgogne Franche-Comté : « La France doit mener un combat impitoyable contre ces trafiquants… ». Une véritable déclaration de guerre pour le conseiller municipal d’opposition de Sens qui s’insurge contre les perpétuelles incantations d’un gouvernement, laxiste à ses yeux parce que ne prenant pas les bonnes mesures coercitives.

 

Deux leitmotivs prioritaires : la sécurité et la protection des citoyens…

 

Au-delà de ces mots introductifs sans ambages, on l’aura compris : la tête de liste du Rassemblement National qui brigue un nouveau mandat d’élu à la Région tout en convoitant le fauteuil suprême de président de l’institution, place la sécurité et la protection de ses concitoyens parmi ses leitmotivs prioritaires.

Un choix stratégique dont il ne dérogera pas jusqu’au terme de son intervention puisque pour lui, « aucun organisme ne peut se dédouaner de cette mission ». Balayant d’un revers de la main ses nombreux détracteurs qui préfèrent être obnubilés sur d’autres thèmes de campagne que sont la santé ou l’éducation. Toutefois, le volet de la sécurité n’entre pas dans le domaine de compétence de l’organe régional. Il n’est de ce fait l’apanage que de l’Etat et de lui seul.

Qu’à cela ne tienne en vérité pour le communicant Julien ODOUL qui égrène ensuite une panoplie de mesures visant à renforcer la sécurité dans le territoire. Depuis le recrutement de compétences armées devant officier dans les gares routières et ferroviaires, y compris dans les moyens de transport, mais aussi d’agents assermentés qui viendraient grossir les rangs des effectifs de la police municipale.

Certes, elle n’est pas la panacée absolue mais la vidéo-protection gagnerait également les entreprises, soumises à de nombreux cambriolages depuis plusieurs mois. Les « bandes des pays de l’Est », visées par l’orateur du jour, n’auront plus qu’à pointer à Pôle Emploi !

Mais, au-delà de ces dispositifs anti-empêcheurs de tourner en rond, le chef de file de la formation bleu marine n’en oublie pas les victimes de ces actes d’incivisme et de non-respect d’autrui.

Ainsi, une enveloppe de 5 millions d’euros serait attribuée aux personnes ayant subi des violences conjugales et autres méfaits du même acabit qui paraissent à la une des pages faits divers des médias.

 

 

Des flèches acerbes adressées à ses adversaires…

 

Soucieux d’apporter du concret et du réalisme dans les réponses que souhaitent entendre son électorat, Julien ODOUL, s’il est aux commandes de la région, coupera les vivres à celles des structures et autres organisations associatives qui alimentent la délinquance. Un vivons ensemble à reconstruire qui passerait immanquablement par le haro sur le gaspillage public dont il dénonce avec véhémence la pratique quotidienne depuis des lustres.

Voulant un moratoire sur la politique des villes et les cinq quartiers réputés les plus dangereux de ces mêmes agglomérations qui paradoxalement sont les plus riches du territoire, le candidat trentenaire veut mettre le paquet en termes de subventions pour aider les secteurs ruraux.

Dans le viseur, on s’en doutait : le département de l’Yonne, qui à l’instar de la Nièvre ou de la Haute-Saône, demeure l’un des parents pauvres côtés retombées financières avantageuses.

Se fendant d’une formule toute faite (« Rien n’est possible sans la sécurité que ce soit l’économie, le développement des transports et la protection environnementale…), le trublion de l’hémicycle régional fustige les « magouilles de tout poil » qui se vivent chez ses adversaires durant cette campagne, précisant, quant à lui, avancer sans masque.

Maniant le verbe et la gestuelle à son habitude, l’élu de l’Yonne n’épargne personne dans cette succession de reproches et de petites piques acérées qu’il adresse à ses opposants.

La première de ces cibles n’est autre que la présidente de l’exécutif. Une Marie-Guite DUFAY qui « aurait pu avoir d’autres ambitions compte tenu de son cursus que de ne faire barrage qu’au RN ». « C’est la candidate du passé et du passif, inodore et incolore… ».

Traité de « Tartuffe », le patron des Républicains Gilles PLATRET se voit qualifier de spécialiste des « tambouilles politiques » avec à la clé le débauchage d’anciens frontistes convertis entre-temps à la cause de Debout La France. Sans omettre des écologistes issus d’un « nébuleux mouvement » dont le « gourou » n’est autre qu’Antoine WAECHTER !

Bref : pour Julien ODOUL, cette cuisine politicienne a le goût au palais d’un « mauvais bœuf bourguignon indigeste ! ».

 

 

Quant au troisième personnage marquant de ces régionales, le maire de Nevers Didier THURIOT, à l’estampille de la République en Marche, il ne serait « qu’un adepte du recyclage de grumeaux comprenant un assemblage hétéroclite qui est la marque de fabrique de LREM, avec tout et le contraire de tout ! ». La messe des critiques est dite !

Désireux réduire la fracture sociale et économique observée entre les grandes villes du territoire et les zones rurales, Julien ODOUL a trouvé avec les représentants de l’Avenir Français des alliés de circonstance. Unis pour la même idéologie, en tentant de remporter le gain de la victoire.

« Nous possédons les mêmes valeurs, a rappelé le responsable politique RN, la commission d’investiture nationale a validé cette liste, la plus représentative de nos convictions… ».

A noter parmi celle-ci, les patronymes de Pascal BLAISE, ancien responsable de Debout La France dans l’Yonne et aujourd’hui membre fondateur de l’Avenir Français qui occupe la troisième position ou encore Annick VILBOIS, de la même mouvance politique à la quatorzième place ; mais également Audrey LOPEZ, conseillère municipale de Villeneuve-sur-Yonne, Xavier ROSALIE, premier adjoint de la commune de Piffonds ou encore Alexandre BROCHIER, ancienne figure du mouvement des « Gilets Jaunes ».

Avec ce groupe, Julien ODOUL entend bien jouer un rôle plus que de favori au soir du 27 juin, adoubé par Marine LE PEN qui est venue lui apporter son soutien lors d’un déplacement ce mardi à Chalon-sur-Saône. Dans le fief de Gilles PLATRET, comme c’est étrange !

 

 

Liste des candidats :

 

Julien ODOUL, président du groupe RN à la Région BFC,

Audrey LOPEZ, conseillère municipale à Villeneuve-sur-Yonne,

Pascal BLAISE, Avenir Français, membre fondateur,

Anissa BEERRAHO,

Alexandre BROCHIER,

Patricia GRASSET,

Romain LUBOUE, conseiller municipal de Pont-sur-Yonne,  

Elodie REBILLON,

Daniel GRENON,

Vanessa HERNANDEZ,

Léandre CROENNE,

Karine CHICANNE,

Xavier ROSALIE, premier adjoint à Piffonds,

Annick VILBOIS, Avenir Français.

 

Thierry BRET

 


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Prélevés courant mars en forêt de Conches, dans le département de l'Eure, sept chênes majestueux ont été offerts par l’assureur mutualiste à la reconstruction à l’identique de la flèche de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. Une contribution réalisée au nom de la préservation du patrimoine hexagonal et de l’intérêt collectif porté par l’enjeu…

 

PARIS : Ils sont au nombre de sept (tout un symbole au niveau du chiffre) qui seront utilisés in fine par les artisans charpentiers à l’édification de la nouvelle flèche ornementale, placée sur le point culminant du célèbre emblème parisien. Détruite lors du terrible incendie de 2019, la charpente en bois de Notre-Dame-de-Paris ainsi que sa flèche fruit de l’imaginaire de l’architecte VIOLLET-LE-DUC devrait retrouver son lustre d’antan dans le cadre du gigantesque chantier décidé par l’Etat.

Un total d’un millier de chênes sera nécessaire à la reconstruction à l’identique de cette charpente, trop vite consumée dans les volutes de fumée.

 

 

Soucieux de préserver le patrimoine de l’Hexagone, et investi dans de nombreuses opérations de réhabilitation des monuments historiques, à l’instar de plusieurs pièces du Château de Saint-Fargeau dans l’Yonne par sa caisse régionale Paris-Val-de-Loire, GROUPAMA a décidé de prélever sept de ces arbres centenaires dans l’un de ses domaines forestiers privés dont il a la gestion. Soit un équivalent de près de vingt-deux mille hectares en France.

Grâce à ce patrimoine végétal d’importance, l’assureur mutualiste peut ainsi apporter sa contribution pour faire face à la catastrophe qui a frappé le pays il y a déjà deux ans. Un geste utile pour une cause noble…

 

Thierry BRET

 

 


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On ne se lasse jamais d’admirer des toiles et de belles couleurs. Celles qui transportent l’âme des visiteurs de la galerie Hors Cadre au plus près de ses créateurs. Des peintures qui semblent si simples au premier abord mais qui sont en réalité le fruit d’une expression artistique finement ciselée. Comme celles de l’artiste Annie Paule THOREL.

 

AUXERRE : C’est le retour en grâce, pour  les lieux de culture, fermés depuis plusieurs mois à cause de la crise sanitaire. Certes, les musées et leurs expositions n’ont pas réussi à se hisser hors des griffes du virus. Cependant, depuis le 19 mai, ces endroits discrets mais pas secrets où fleurent bon des odeurs d’encaustique et d’essence de térébenthine qui bercent les plus passionnés d’entre nous peuvent de nouveau rouvrir afin d’y dévoiler leurs œuvres.

La nouvelle présentation de l’artiste picturale Annie Paule THOREL, baptisée de la locution transalpine « Allegro ma non troppo », invite les curieux à contempler le fruit de son travail.

Conçues en collaboration avec l’association Hors Cadre qui a pour but de promouvoir et de diffuser l’art contemporain, les œuvres de cette dernière sont exposées au centre-ville d’Auxerre, au 49 de la rue Joubert.

Dans une ambiance des plus claires, la couleur vive des œuvres règne au sein de la pièce qui accueille l’exposition. Annie Paule THOREL est une artiste âgée de 67 ans. Jusqu’alors, elle jouait avec les formes organiques qui semblaient flotter continuellement dans l’espace. Aujourd’hui, elle se consacre aux lignes et aux couleurs qui sont devenues, selon la directrice artistique de l’association Hors Cadre, Nathalie AMIOT, « les éléments principaux de son vocabulaire ».

Avec un titre d’exposition qui se positionne en point de référence par rapport aux œuvres réalisées, la peinture permet aux visiteurs d’avoir un moment de répit propice à l’évasion. Dès le premier regard, cela paraît tellement facile. Mais, que l’on ne s’y méprenne pas : cette addition d’intervalles colorés n’est pas le fait du simple hasard. Toutes ces toiles ont été longuement réfléchies par son auteure à la couleur près.

 

Une méthode où se constitue sa propre gamme chromatique…

 

Côté technique, la peinture n’est pas appliquée directement sur la toile mais sur des modules qui permettent à l’artiste de choisir une taille spécifique à ce qu’elle souhaite faire ressentir comme émotions aux spectateurs.

L’emploi de ces modules lui offre la possibilité d’utiliser des pigments purs à la cire sans avoir peur que l’altération de celle-ci s’invite sur l’œuvre. Ainsi, grâce à ce procédé, la couleur demeure intacte et contracte à la fois une qualité supérieure mais aussi une certaine texture assemblée à la profondeur. En adoptant cette méthodologie, Anne Paule THOREL crée ainsi sa propre gamme chromatique en s’éloignant des standards initiaux. De ce fait, les œuvres présentent des mariages de coloris qui n’auraient pas été pensés de façon primaire.

 

 

Un effet de superposition de couches colorées très surprenant…

 

En cheminant dans la galerie, on s’aperçoit que certaines œuvres possèdent un travail de superposition de couches picturales grâce à la méthode de ces fameux modules. Les couleurs que perçoivent les visiteurs en surface sont alors liées aux couleurs qui se trouvent en dessous de ces dernières.

L’œuvre étant faite avec une première couche de couleur, en y ajoutant d’autres intensités, elle créée alors sa propre musicalité.

De ce fait, la peinture à l’encaustique sur bois, « Etretat », intègre ce processus créatif avec ses lignes de couleurs aussi opposées les unes que les autres. Les lignes faisant penser à un piano, chacune d’entre elles joue alors une note de musique différente.

D’autre part, le titre de l’exposition « Allegro ma non troppo » qui signifie « vite mais pas trop » fait lui-même référence à la musique, un univers dont l’artiste connaît particulièrement bien les rouages, ayant travaillé longtemps à la radio.

Les œuvres d’Annie Paule THOREL offrent cette touche de musicalité originale tout en cherchant la profondeur rythmée des espaces.

 

En savoir plus :

Exposition Annie Paule THOREL

Chez Hors Cadre

Jusqu’au 17 juillet

Entrée libre

Du mercredi au samedi de 14 à 18 heures

49, rue Joubert à Auxerre

 

Jordane DESCHAMPS

 


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Comprendre les enjeux et perspectives d’une belle PME positionnée dans le traitement des matières plastiques, tel était le sens de la visite préfectorale concoctée ce 18 mai au sein de la société RECYTHERM. Henri PREVOST, préfet de l’Yonne, a pris soin de questionner ses hôtes sur toutes les subtilités techniques qui ont amené la structure icaunaise à être bénéficiaire des subsides accordés dans le cadre du plan France Relance…

 

BRIENON-SUR-ARMANCON : Contexte sociétal oblige, le représentant de l’Etat a fait du soutien économique l’une de ses priorités régaliennes, multipliant les visites sur des sites industriels qui lui étaient jusqu’alors inconnus. Une immersion passionnante dont il ne se lasse pas, de semaine en semaine, annonciatrice de nouvelles positives pour les entrepreneurs qui ont le privilège de l’accueillir.

En effet, quand Henri PREVOST se déplace au sein de ces unités de production, c’est dans la plupart des cas, du moins depuis plusieurs mois, pour évoquer le soutien du gouvernement qui s’est pleinement mobilisé en apportant une réponse immédiate et forte avec la mise en œuvre du plan de relance. Un plan synonyme de distribution d’enveloppes financières.

 

 

 

Donner une seconde vie au plastique recyclé…

 

En se rendant au sein de la société RECYTHERM, spécialiste du recyclage de matières plastiques par broyage, le haut fonctionnaire n’a pas dérogé à la règle. Non seulement, il a remis aux dirigeants de l’entité le fameux trophée de plexiglas symbolisant le dispositif France Relance. Mais, en outre, il s’est félicité que l’entreprise icaunaise ait pu bénéficier d’une coquette somme de 281 124 euros, des fonds destinés au développement des actions de recyclage de ces matières plastiques envahissantes.

Analysé, qualifié dans le laboratoire du site, le plastique sera transporté après sa collecte et son traitement par broyage vers l’unité d’extrusion où il deviendra une nouvelle matière première sous forme de feuilles et de plaques destinés à la production de pièces thermoformées.

 

 

Lors de sa visite, Henri PREVOST a par ailleurs rappelé que « dans le cadre de ce plan de relance exceptionnel, le soutien à l’investissement et à la modernisation dans l’Yonne concernait huit entreprises industrielles ayant bénéficié de près de quatre millions d’euros d’aides leur permettant de réaliser 15 millions d’euros d’investissement ».

Parmi ces huit structures se trouve RECYTHERM qui pourra ainsi poursuivre ses projets de développement.

 

Thierry BRET

 

 


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